Dernières actualités avec #LaurentMekies


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5 days ago
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Laurent Mekies rencontre des membres de Red Bull à Silverstone
Le nouveau Team Principal de Red Bull Laurent Mekies, remplaçant de Christian Horner, a rencontré des membres de sa nouvelle équipe jeudi à Silverstone. Après le tremblement de terre de l'annonce du départ immédiat de Christian Horner, mercredi, l'écurie Red Bull doit commencer sa phase de reconstruction. Cela a débuté dès jeudi pour Laurent Mekies, le remplaçant du Britannique, qui a rencontré certains membres de sa nouvelle équipe, à Silverstone, lors d'un filmage avec la RB21. « Je vois cette équipe comme la plupart des gens à l'extérieur la voient, composée des meilleures personnes au monde dans ce qu'ils font, a commenté le Français, qui était jusqu'à mercredi le Team Principal de Racing Bulls. C'est ce que représente Red Bull, la plus précise et solide des écuries, qui a réussi à réunir les plus grands talents pour travailler ensemble. C'est un privilège de la rejoindre et notre objectif sera de faire en sorte qu'ils aient tout ce dont ils ont besoin pour donner le meilleur d'eux-mêmes. Nous nous concentrerons aussi sur le fait que l'énergie de Red Bull infuse dans toute l'équipe. Nous ne sous-estimons pas le challenge devant nous, nous aurons besoin de tout le monde et je suis sûr que la contribution de chacun permettra de réussir ce défi. »


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6 days ago
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« C'est avec le coeur lourd que je dis aujourd'hui au revoir à l'équipe que j'ai aimée d'un amour absolu » : l'émotion de Christian Horner après son départ de Red Bull
Christian Horner, désormais ex Team Principal de Red Bull, a publié un message mercredi soir sur son compte Instagram pour raconter ses vingt ans à la tête de l'écurie autrichienne. Quelques heures après l'annonce de son éviction de Red Bull, vingt ans après avoir pris les commandes de l'écurie, Christian Horner a publié un message sur son compte Instagram mercredi soir. Le Britannique, qui a été remplacé par Laurent Mekies, qui occupait la même fonction de Team Principal chez Racing Bulls, raconte en quelques mots les deux décennies passées dans l'écurie autrichienne, à qui il a dit au revoir dans la matinée, à Milton Keynes. « Après un incroyable voyage de vingt ans ensemble, c'est avec le coeur lourd que je dis aujourd'hui au revoir à l'équipe que j'ai aimée d'un amour absolu. Chacun d'entre vous, ces magnifiques personnes à l'usine, vous avez été le coeur et l'âme de tout ce que nous avons accompli. Victoire ou défaite, à chaque étape de cette aventure, nous sommes restés unis et je n'oublierai jamais ça. Ce fut un privilège de faire partie de cette équipe, de la mener, et je suis très fier de tout ce que nous avons accompli, et de vous. Une publication partagée par Christian Horner (@christianhorner) Merci à nos incroyables partenaires et fans qui nous ont permis de prendre part à ce Championnat. Votre soutien a permis à l'équipe de grandir, depuis nos humbles débuts jusqu'à la domination qui nous a menés à six titres des constructeurs et huit chez les pilotes. Merci également à nos rivaux, sans qui il n'y aurait pas eu du tout de compétition. Vous nous avez poussés, vous nous avez défiés et vous nous avez permis d'accomplir des choses que nous n'aurions jamais cru possible. La compétition a rendu chaque victoire plus douce et a transformé chaque revers en opportunité de faire mieux. « Les rivalités ont été féroces mais notre envie commune d'innover et d'aller toujours plus haut a rendu ce voyage très spécial » Christian Horner La F1 est un sport basé sur l'ambition, la passion et le respect. Les rivalités ont été féroces mais notre envie commune d'innover et d'aller toujours plus haut a rendu ce voyage très spécial. Ce fut un honneur de faire partie de cette ère incroyable de l'histoire du sport automobile. Je pars avec une fierté immense et beaucoup de respect pour tous ceux qui ont permis à la F1 devenir ce qu'elle est aujourd'hui, le pinacle du sport automobile. Merci. »

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6 days ago
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De la toute-puissance à un remerciement sans ménagement, une fin brutale pour Christian Horner après vingt ans chez Red Bull
Mercredi matin, à la surprise générale, un simple communiqué a mis fin à vingt ans de vie commune. Pour la première fois de son histoire, Red Bull n'est plus dirigée par Christian Horner, remercié, et remplacé par le Français Laurent Mekies. La loi du talion reste toujours valable. Et cette fois, c'est Christian Horner qui en a subi les douloureuses conséquences. Lui qui faisait et brisait les carrières au coeur de l'été vient de voir la sienne subir un sacré coup d'arrêt, avant même la trêve estivale. Lui qui surprenait souvent les pilotes, leur promettant la clémence pour mieux les exécuter, a reçu un sévère choc, apprenant peu après son Grand Prix national qu'il n'en connaîtrait plus d'autres... avec Red Bull. Horner (51 ans), celui qui a fait débuter Red Bull en F1 en 2005 et qui l'a menée au sommet, avec huit titres pilotes et six constructeurs, ne fait donc plus partie de l'entreprise. Il l'a annoncé lui-même à ses troupes au coeur de l'énorme usine qu'il a contribué à créer dans la banlieue de Milton Keynes, entre Oxford et Cambridge. Quelques minutes plus tard, une information venant de la petite soeur, Racing Bulls, annonçait la nomination de leur ancien boss, Laurent Mekies, à la tête de l'équipe autrichienne. Un communiqué de Red Bull arrivé en fin de journée venait ajouter que le Français occuperait également les fonctions de PDG. Pour en savoir plus, il a fallu quémander quelques explications à la direction de l'entreprise Red Bull. C'est par l'un des porte-paroles du fabricant de boissons énergisantes que l'on a obtenu quelques mots fugaces d'Oliver Mintzlaff, l'homme qui a succédé à l'historique fondateur Dietrich Mateschitz, disparu en 2022. « Nous tenons à remercier Christian pour tout le travail fourni inlassablement pendant vingt ans. Vous ferez toujours partie de notre histoire. » Horner, qui avait réussi à survivre à la tempête de l'an dernier, au lendemain de l'enquête pour comportement inapproprié à l'égard de l'une de ses assistantes, et à la guerre que lui menait le père de son champion de pilote, Jos Verstappen, vient donc de tomber sans que l'on sache vraiment pourquoi. Max Verstappen n'a pas précipité sa chute Est-ce lié aux rumeurs de plus en plus puissantes à propos d'un possible départ de Max Verstappen pour Mercedes ? Une tentative désespérée pour empêcher le Néerlandais de partir ? Les résultats, de plus en plus décevants, qui placent Red Bull en quatrième position au Championnat constructeurs ? Les choix plus que discutables de se séparer de Sergio Pérez cet hiver et de ne pas lui trouver un remplaçant ? Son comportement quelque peu autocratique ? Difficile de répondre aujourd'hui à ces questions avec précision, mais sans doute un peu de tout. Une chose est sûre : le champion néerlandais n'a pas demandé la tête de son boss. Il n'aurait, selon nos informations, pas encore décidé de son avenir. D'abord parce que la clause qui lui permettrait de partir (s'il est en dessous de 3e au classement pilotes lors de la trêve estivale) ne peut encore être activée. Ensuite parce que les décisionnaires, les dirigeants du groupe, ne sont pas réputés pour laisser filtrer d'infos. On sait toutefois que la direction est venue il y a dix jours au Red Bull Ring assister à la débâcle de son équipe (aucun point marqué). Même le copropriétaire thaïlandais, Chalerm Yoovidhya, pourtant grand soutien de Horner, avait fait le déplacement et a manifestement été convaincu. Vraisemblablement, c'est en Autriche que la décision de se séparer d'Horner a été prise, même si l'annonce définitive n'est arrivée qu'après la course en Angleterre, sans doute lundi ou mardi. Le Britannique, comme chaque année depuis son arrivée en F1, aurait organisé son barbecue annuel avec ses troupes au soir de la course, dimanche. Les fuites, de plus en plus nombreuses, sur la possibilité que Mercedes viennent recruter Verstappen, seul à permettre l'équipe de surnager en ce début d'année, ont sans doute accéléré la prise de décision, d'autant que selon la Gazzetta dello Sport, le grand patron de Mercedes, Ola Källenius, aurait donné son accord pour un chèque astronomique (on parlerait d'une centaine de millions de dollars, soit environ 85 millions d'euros) afin de s'offrir le champion néerlandais de 27 ans. Un futur chez Alpine ? La coordination des nouvelles donnerait du sens à l'action surprise, à moins que les patrons de Red Bull aient été fatigués de cette lente descente aux enfers de l'écurie, privée depuis dix-huit mois de deux autres de ses éléments clés, Adrian Newey, parti chez Aston Martin, et Jonathan Wheatley, devenu boss de Kick Sauber. Reste le futur de Horner, que certains verraient à tort chez Ferrari. La marque italienne n'a jamais songé à le recruter. Il serait plus probable que le désormais ex-boss de Red Bull rejoigne une autre équipe anglaise en mal de chef ou de propriétaire. Le rêve d'Horner était de devenir son propre boss. Alpine, en déliquescence, pourrait lui offrir une porte de sortie... plus tard. Une fois que la surprise aura été digérée. À lire aussi Le carnet de notes de Silverstone Verstappen, le tour de magie à Silverstone Gasly : «On avait besoin de ce coup de boost» Piastri, une erreur en forme de cadeau à Norris


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6 days ago
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Todt, Vasseur, Abiteboul... Avant Laurent Mekies, ces Français devenus directeurs d'écurie en Formule 1
Le Français Laurent Mekies (48 ans) a pris la suite de Christian Horner à la tête de Red Bull ce mercredi. Avant lui, d'autres Tricolores ont déjà occupé cette fonction en Formule 1. Avec plus ou moins de réussite. Guy Ligier D'abord pilote - douze participations en Grand Prix de Formule 1, entre 1966 et 1967 -, Guy Ligier ne rapporte, dans sa courte qu'un petit point (8e au GP d'Allemagne en 1967). Le natif de Vichy devient ensuite le directeur de sa propre écurie, qui porte son nom, de 1976 à 1996. La marque Ligier dispute 326 Grands Prix, pour neuf victoires et 50 podiums. Et se classe même deuxième au classement constructeurs en 1980. L'écurie deviendra Prost GP en 1997 après le rachat de l'ex-pilote éponyme, Alain Prost. Gérard Larrousse Directeur sportif de Renault Sport de 1976 à 1984, Gérard Larrousse assiste aux premiers succès en Formule 1 de l'écurie française. Mais le Lyonnais, en désaccord avec la direction, s'en va chez Ligier, où il occupe le même poste de 1985 à 1986, avant de se lancer lui aussi dans une aventure personnelle en créant sa propre marque en 1987, avec Didier Calmels. L'écurie Larrousse prendra part au Championnat du monde jusqu'en 1994 et ramènera 23 points en 125 Grands Prix. Jean Todt Avant sa présidence à la FIA (2009-2021), et après son passage chez Peugeot Sport (1981-1993). Jean Todt (79 ans) façonne l'âge d'or de Ferrari aux côtés de Michael Schumacher, en s'installant seize ans à Maranello (1993-2008). Son bilan est colossal : quatorze titres mondiaux - pilotes et constructeurs confondus -, dont les cinq de Schumi de 2000 à 2004 et 91 victoires en Grand Prix avec la Scuderia jusqu'en 2007. Sous son aile, la F1 écrit l'une des plus belles pages de son histoire. Cyril Abiteboul Patron de Caterham (2012-2014), puis de Renault entre 2014 et 2021, Cyril Abiteboul porte le retour du constructeur français en F1. L'ingénieur motoriste de formation, connu par son franc-parler parfois clivant, décroche six podiums avec l'équipe d'usine. Il est aussi l'un des architectes du succès des moteurs Renault chez Red Bull (quatre titres pilotes et quatre constructeurs entre 2010 et 2013). Frédéric Vasseur Apprécié pour sa bonne humeur et son esprit d'équipe, Frédéric Vasseur s'impose étape par étape, du plus bas de la chaîne chez ART Grand Prix, à la direction de Sauber (2017-2022) puis, tout en haut, aux commandes de Ferrari depuis 2023, en successeur de l'Italien Mattia Binotto. Au palmarès de la Scuderia sous sa houlette : 31 podiums, six victoires et une montée en puissance dans la hiérarchie. Eric Boullier À la tête de Lotus de 2010 à 2014, Éric Boullier relance une structure en crise jusqu'au plus haut niveau avec, en point d'orgue, deux victoires du Finlandais Kimi Räikkönen. Le Mayennais de 51 ans passe ensuite quatre années difficiles chez McLaren, de 2014 à l'été 2018, notamment à cause d'un partenariat embrouillé avec Honda. Il ne sera jamais en mesure de redresser la barre. Bruno Famin Après avoir succédé à l'Américain Otmar Szafnauer à la tête de l'écurie Alpine à l'été 2023, Bruno Famin n'est resté en poste qu'une petite année, jusqu'en juillet 2024. Conséquence d'une année catastrophique, avec neuf points arrachés en treize courses. Famin, 63 ans, ne quitte pas le groupe pour autant : il dirige désormais la branche motorsports d'Alpine. Laurent Mekies Laurent Mekies a pris mercredi la suite de Christian Horner en tant que Team Principal de Red Bull, après que le Britannique a été renvoyé avec effet immédiat de l'écurie qu'il dirigeait depuis 2005. Une casquette qui n'est pas nouvelle pour le natif de Tours, au même poste chez Racing Bulls depuis l'été 2023. Mekies (48 ans) compte par ailleurs une expérience à la FIA (2014-2018), où il a opéré en tant que directeur de la sécurité sous les ordres de Jean Todt, avant de passer directeur de course adjoint auprès de Charlie Whiting.


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6 days ago
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Qui est Laurent Mekies, le nouveau patron de Red Bull ?
Laurent Mekies est devenu ce mercredi le team principal de Red Bull en replacement de Christian Horner. Un aboutissement pour le Français après plus de 20 ans en Formule 1 depuis le motoriste Asiatech jusqu'à Racing Bulls en passant par Minardi, Toro Rosso, Ferrari ou encore la FIA. À l'âge de 48 ans, Laurent Mekies a endossé avec effet immédiat, ce mercredi, le costume de Team Principal de Red Bull que seul Christian Horner avait porté depuis la création de l'écurie en 2005. Un poste aussi passionnant qu'exposé et une nouvelle étape dans le parcours déjà exemplaire de l'ingénieur natif de Tours, reconnaissable au premier coup d'oeil dans le paddock avec son style capillaire unique. Passé par deux écoles prestigieuses Fan d'automobile depuis l'enfance, Mekies a intégré l'ESTACA, l'Ecole supérieure des techniques aéronautiques et de construction automobile, basée à Montigny-le-Bretonneux. Une véritable fabrique à ingénieurs de haut niveau, qui en fournit de manière assez régulière au sport automobile. Frédéric Vasseur, patron de Ferrari, est un autre « nom » passé par l'école. Mais ce n'est pas le seul établissement huppé à son CV. Soucieux de travailler son anglais, Mekies termine son cursus à la Loughborough University. Cette fac située au nord de Leicester est régulièrement classée parmi les dix meilleures de l'Angleterre et possède une spécialisation dans le sport mécanique. Ayao Komatsu, le Japonais, team principal de Haas, est un autre personnage important de la Formule 1 à avoir fréquenté l'université, qui est également celle de Sebastian Coe (ancien athlète et président de la Fédération internationale d'athlétisme), Clive Woodward (ancien rugbyman et sélectionneur de l'Angleterre, champion du monde 2003) ou, plus récemment, de la Française Cassandre Beaugrand (championne olympique 2024 de triathlon). Une première expérience en F1 avec un... Verstappen Une fois son cursus bouclé, Mekies finit par trouver une place chez Asiatech, motoriste qui prend la suite de Peugeot (en plein désengagement). La nouvelle entité cherche un ingénieur d'exploitation moteur qui sera le jeune ingénieur français. C'est au sein de l'écurie Arrows qu'il évoluera avec le Brésilien Enrique Bernoldi, un des premiers pilotes à afficher, comme sponsor personnel, les couleurs de... Red Bull, qui n'en est pas encore à avoir sa propre écurie. Clin d'oeil supplémentaire à sa nomination, l'autre pilote Arrows cette saison-là est un certain Jos Verstappen, le père de Max, son pilote actuel. Les routes de Jos et Mekies se recroiseront en 2003 chez Minardi où le Néerlandais dispute sa dernière saison en Formule 1 avec un hiatus d'un an. Minardi, Toro Rosso, Ferrari, un parcours très italien Après Arrows, Asiatech est associé avec Minardi en 2005. Cela marque un tournant dans l'évolution de l'ingénieur français. Même si Asiatech disparaît à la fin de la saison, Mekies convainc suffisamment l'écurie italienne pour pouvoir la rejoindre dès l'année suivante où il s'installe à Faenza. Il restera onze ans dans la ville voisine d'Imola connaissant l'immense révolution de voir la petite entité italienne être rachetée par le groupe Red Bull pour devenir Toro Rosso, nom qui restera au moins jusqu'à son départ pour la FIA. Il y grimpe quelques échelons dans le management et participe à la pole et victoire de Sebastian Vettel en 2008 à Monza, deux premières pour des monoplaces appartenant à Red Bull. Et son histoire avec l'Italie a connu d'autres épisodes plus récemment. Fin 2018, c'est Ferrari qu'il rejoint en tant que directeur sportif pour renouer avec la compétition. Son ascension se poursuit encore puisqu'il obtient le poste de Team principal adjoint en 2021. Auquel Vasseur, arrivé à la Scuderia début 2023, l'aurait volontiers conservé. Mais à l'été 2023, nouveau tournant, qui garde tout de même l'accent italien, avec un retour à Faenza pour devenir pour la première fois de sa carrière Team Principal d'une équipe qui s'appelle désormais Racing Bulls (après avoir été Alpha Tauri dans l'intervalle). Une expérience à la FIA avec un rôle dans l'arrivée du halo En 2014, il fait un pas de côté par rapport au sport et quitte Toro Rosso pour rejoindre la Fédération Internationale de l'Automobile alors présidée par Jean Todt. Mais il prend la fonction de directeur de la sécurité. À ce titre, il jouera un rôle clé dans l'arrivée du halo en F1 (annoncé en 2017 et installé en 2018) malgré la forte opposition des pilotes et des membres du paddock. L'élément est aujourd'hui devenu incontournable et plus personne n'en conteste la présence ou l'utilité. En 2017, il devient également directeur de course adjoint auprès de Charlie Whiting. Ce rôle qu'il occupe jusqu'en septembre 2018 lorsque son retour vers le sport et sa nomination chez Ferrari sont annoncés. À six mois près, Mekies serait peut-être devenu directeur de course de la F1 puisque la disparition soudaine de Whiting en mars 2019 a propulsé Michael Masi, adjoint temporaire de l'Anglais à ce moment-là, à ce poste en l'absence de solution évidente.