Dernières actualités avec #LeTélégramme


Le Parisien
2 days ago
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Un TGV Brest-Paris oublie un arrêt : 80 passagers restent à quai et 10 ne peuvent en descendre
Un couac qui a laissé 80 passagers sur le carreau. Samedi 19 juillet, un TGV Inoui parti à 16h14 de Brest, dans le Finistère, ne s'est pas arrêté à 17h42 comme il aurait dû le faire en gare de Lamballe-Armor, dans les Côtes-d'Amor, avant de rejoindre à Paris. Deux TER ont été mobilisés pour rattraper ce loupé, rapporte Le Télégramme . « Notre priorité a été de prendre en charge les passagers restés à quai. Grâce à la très très belle réactivité de nos collègues, un TER situé à proximité de Lamballe a pu être mis en service commercial, en une vingtaine de minutes », explique la SNCF au quotidien régional. Le TER de substitution a quitté la gare Lamballe à 18h07 pour rejoindre Rennes, où un autre TGV à destination de Paris attendait les voyageurs. La dizaine de passagers à bord du TGV qui n'a pas pu descendre en gare de Lamballe a également été prise en charge. À Rennes, ils ont pu prendre un TER en sens inverse et un taxi jusqu'à leur destination finale, aux frais de la SNCF. Pour l'instant, l'entreprise ferroviaire n'a pas donné d'explications sur les raisons de cet oubli. Selon le Télégramme, il pourrait s'agir « d'un couac lié à des balises ». La SNCF , qui s'est excusée auprès des voyageurs concernés, souligne que ce genre d'incidents demeure « exceptionnel ».


Le Parisien
6 days ago
- Politics
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Brest : trois agents de la brigade de tranquillité urbaine poursuivis pour violence avec arme
Trois agents de la brigade de tranquillité urbaine (BTU) de la ville de Brest, soupçonnés d'avoir agressé une personne sans domicile, seront jugés en correctionnelle pour violence avec arme en réunion, a indiqué le parquet mercredi. Le 30 juin, trois agents de cette unité censée lutter contre les incivilités en favorisant l'échange avec les citoyens. sont soupçonnés d'avoir agressé la victime avec une bombe lacrymogène, plusieurs heures après une intervention s'étant mal passé, selon le quotidien Le Télégramme qui a révélé l'affaire. Les trois agent ont été placés en garde à vue le 9 juillet et sont convoqués devant le tribunal correctionnel le 24 novembre, où ils seront également jugés pour faux en écriture, a confirmé le parquet à l'AFP. En attendant leur procès, les agents ont été placés sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer leur profession. La ville de Brest a précisé avoir pris « un arrêté de suspension de fonctions des agents en cause à titre conservatoire, en attente des conclusions judiciaires » dès qu'elle a eu « connaissance de l'information relative à la convocation au commissariat ». « A l'issue de la décision du tribunal, en cas de culpabilité de l'un ou plusieurs de ces agents, la ville de Brest engagera immédiatement une procédure disciplinaire conformément aux règles de la fonction publique », a-t-elle ajouté dans un communiqué transmis à l'AFP. Seule grande ville française dépourvue de police municipale, la municipalité PS de Brest qui n'en voulait pas avait lancé en novembre 2022 cette brigade de tranquillité urbaine aux pouvoirs limités. Les missions de la BTU sont « la dissuasion des incivilités à travers une présence active sur les espaces publics, une présence rassurante pour lutter contre le sentiment d'insécurité et en créant un lien renforcé avec les habitants et les commerçants », avait décrit la responsable du service stationnement et tranquillité urbaine de la ville de Brest lors de la création de la brigade.


Le Figaro
7 days ago
- Politics
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Finistère : trois agents de la ville de Brest poursuivis pour violence avec arme
Trois agents de la brigade de tranquillité urbaine (BTU) de la ville de Brest, soupçonnés d'avoir agressé une personne sans domicile, seront jugés en correctionnelle pour violence avec arme en réunion, a indiqué le parquet mercredi. Le 30 juin, trois agents de cette unité censée lutter contre les incivilités sont soupçonnés d'avoir agressé la victime avec une bombe lacrymogène, plusieurs heures après une intervention s'étant mal passé, selon le quotidien Le Télégramme qui a révélé l'affaire. Ils ont été placés en garde à vue le 9 juillet et sont convoqués devant le tribunal correctionnel le 24 novembre, où ils seront également jugés pour faux en écriture, a confirmé le parquet à l'AFP. En attendant leur procès, les agents ont été placés sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer leur profession. Publicité Suspension de fonctions des agents La ville de Brest a précisé avoir pris «un arrêté de suspension de fonctions des agents en cause à titre conservatoire, en attente des conclusions judiciaires» dès qu'elle a eu «connaissance de l'information relative à la convocation au commissariat». «À l'issue de la décision du tribunal, en cas de culpabilité de l'un ou plusieurs de ces agents, la ville de Brest engagera immédiatement une procédure disciplinaire conformément aux règles de la fonction publique», a-t-elle ajouté dans un communiqué transmis à l'AFP. Seule grande ville française dépourvue de police municipale, la municipalité PS de Brest a lancé en novembre 2022 cette brigade de tranquillité urbaine aux pouvoirs limités. Les missions de la BTU sont «la dissuasion des incivilités à travers une présence active sur les espaces publics, une présence rassurante pour lutter contre le sentiment d'insécurité et en créant un lien renforcé avec les habitants et les commerçants», avait décrit la responsable du service stationnement et tranquillité urbaine de la ville de Brest lors de la création de la brigade.