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«Mettre fin à une faille catastrophique» : Washington supprime l'exemption de taxes sur tous les petits colis
«Mettre fin à une faille catastrophique» : Washington supprime l'exemption de taxes sur tous les petits colis

Le Figaro

timean hour ago

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«Mettre fin à une faille catastrophique» : Washington supprime l'exemption de taxes sur tous les petits colis

Avec la suspension de cette exemption, les colis seront désormais taxés au même niveau que les autres produits provenant du pays d'origine ou avec un taux spécifique selon le type du produit et son origine. La Maison-Blanche a annoncé mercredi la publication d'un décret du président Donald Trump annulant l'exemption de droits de douane pour l'ensemble des petits colis entrant aux États-Unis à compter du 29 août prochain. Appelées «de minimis», ces exemptions permettaient jusqu'ici d'envoyer par colis postal des biens d'une valeur inférieure à 800 dollars sans avoir à payer de surtaxe lors de leur entrée sur le sol américain. Avec la suspension de cette exemption, les colis seront désormais taxés au même niveau que les autres produits provenant du pays d'origine ou avec un taux spécifique selon le type du produit et son origine. Il s'agit selon la présidence américaine de «mettre fin à une faille catastrophique utilisée, entre autres, pour éviter des droits de douane et envoyer des opioïdes synthétiques ainsi que d'autres produits dangereux». Publicité En particulier, ces petits colis représenteraient 98% des narcotiques, 97% des contrefaçons et 70% des produits dangereux pour la santé qui ont été saisis durant l'année 2024, selon l'Agence de protection des frontières (CBP). Le gouvernement américain justifie cette mesure par l'explosion de l'envoi des colis postaux, qui est passé, selon ses données, de 134 millions d'unités en 2015 à plus de 1,36 milliard en 2024. Pékin et Washington négocient afin d'aplanir les différends commerciaux Ce n'est pas la première fois que la Maison-Blanche prend des mesures visant les colis bénéficiant de cette exemption. Après une enquête lancée sous le gouvernement précédent de Joe Biden, celui de Donald Trump a dans un premier temps visé les petits colis provenant de Chine, qui représentent la majorité de ceux envoyés aux États-Unis, en particulier ceux provenant des vendeurs comme Temu, Shein ou AliExpress. Un premier décret a ainsi annulé début avril l'exemption sur les colis provenant de Chine, avant que Donald Trump n'annonce, une semaine plus tard, tripler les droits de douane qui leur sont appliqués, pour les faire passer de 30%, comme le reste des produits chinois à ce moment-là, à 90%, effectifs début mai. Mais les négociations entre Pékin et Washington afin d'aplanir les différends commerciaux entre les deux premières puissances économiques mondiales ont ramené ces droits de douane à 54%.

Trump donne 90 jours de plus au Mexique
Trump donne 90 jours de plus au Mexique

La Presse

time6 hours ago

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Trump donne 90 jours de plus au Mexique

Les États-Unis et le Mexique se sont donné jeudi 90 jours de plus pour conclure un accord commercial, évitant ainsi la hausse des droits de douane brandie par Donald Trump envers le principal partenaire commercial des États-Unis. James Wagner, Emiliano Rodriguez Mega et Ian Austen The New York Times Cette annonce faite par M. Trump et la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum est intervenue après un entretien téléphonique entre les deux dirigeants jeudi matin. Elle fait suite à des mois de négociations ardues qui faisaient craindre le pire à de nombreux Mexicains. Le sursis maintient les droits de douane de 25 % sur tous les produits mexicains non couverts par l'Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM). Ce taux devait passer à 30 % le 1er août, date butoir fixée par M. Trump pour que les pays du monde entier concluent des accords ou s'exposent à des droits de douane pouvant atteindre 50 % – finalement, ceux-ci ne devraient entrer en vigueur que le 7 août pour de nombreux pays, a annoncé la Maison-Blanche en soirée jeudi. « C'est un très bon accord, qui place notre pays dans une situation très favorable », a déclaré Mme Sheinbaum, ajoutant que le « respect mutuel » avait été essentiel pour parvenir à cette prolongation. En échange, le Mexique accepte de « mettre fin immédiatement » à ses « nombreuses » autres barrières commerciales non tarifaires, a dit M. Trump. Selon les responsables mexicains, ces enjeux incluent les mécanismes liés à la main-d'œuvre et les contentieux de propriété intellectuelle. Cette annonce laisse de nombreuses questions en suspens quant à l'avenir du commerce entre les États-Unis et le Mexique et le Canada, ses deux principaux partenaires, d'autant plus que M. Trump associe sans cesse la menace de droits de douane à des considérations politiques. PHOTO EDUARDO MUNOZ, ARCHIVES REUTERS Un porte-conteneur dans le port de Neward, au New Jersey Dans le cas du Mexique, il fait pression sur Mme Sheinbaum pour une action plus musclée contre les cartels de la drogue, le trafic de fentanyl et l'immigration vers les États-Unis. Pas de nouvelles concessions Selon Mme Sheinbaum, le Mexique n'a pas fait de nouvelles concessions lors des récents pourparlers avec les États-Unis et les mesures futures pourraient inclure une augmentation des investissements des entreprises américaines au Mexique. « Ce n'est pas juste une prolongation », a déclaré son ministre de l'Économie, Marcelo Ebrard. C'est une position très avantageuse pour le Mexique, par rapport à tout autre pays. Marcelo Ebrard, ministre de l'Économie du Mexique Mme Sheinbaum a déclaré qu'un accord de sécurité sur le partage de renseignements et la lutte contre le trafic de précurseurs du fentanyl et d'armes illégales pourrait être signé dès la semaine prochaine. M. Trump a imposé en mars des droits de douane de 25 % sur tous les produits mexicains, les décrivant comme une réponse à l'afflux de migrants à la frontière et au trafic de fentanyl. Peu après, il a suspendu les droits de douane sur tous les produits relevant de l'ACEUM. (En juin, les autorités mexicaines chiffraient à 87 % les exportations mexicaines exemptes de droits de douane américains.) Quand M. Trump a menacé de hausser les droits de douane sur les produits mexicains à 30 % début juillet, il a déclaré que le Mexique avait coopéré sur l'immigration, mais en avait fait trop peu contre les cartels et le trafic de fentanyl. Une situation unique Lundi, il avait promis que la date butoir du 1er août ne serait pas reportée, avant de changer d'idée jeudi. « La complexité d'un accord avec le Mexique est quelque peu différente de celle avec d'autres pays en raison des problèmes et des atouts liés à la frontière », avait déclaré jeudi M. Trump. PHOTO RONALDO SCHEMIDT, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE Des tomates mexicaines en vente dans un supermarché de Houston, au Texas, en juillet dernier « Je pense qu'il nous respecte et nous le respectons. Comme des voisins », a affirmé Mme Sheinbaum lorsqu'on l'a interrogée jeudi sur ses relations avec M. Trump. Selon M. Trump, le Mexique demeure soumis à ses droits de douane mondiaux (voitures : 25 % ; acier, aluminium et cuivre : 50 %). Le Mexique demande qu'ils soient réduits ou supprimés. Le sursis de 90 jours sur les droits de 30 % est « positif pour le Mexique et la preuve que la stratégie de négociation et non de confrontation de la présidente Sheinbaum est reconnue par le président Trump », estime Kenneth Smith Ramos, ancien négociateur commercial pour le Mexique. Cela étant, il demeure que les deux pays n'ont pas réussi à conclure un accord à long terme sur la suppression des droits de douane. « C'est une avancée pour le gouvernement mexicain d'avoir évité les droits de douane de 30 %. Mais ça me semble plutôt un match nul 0-0 », poursuit M. Smith Ramos. « L'incertitude va perdurer, au moins pendant encore 90 jours. » Cet article a été publié dans le New York Times. Lisez la version originale (en anglais ; abonnement requis)

L'entrée en vigueur des nouvelles surtaxes américaines repoussée au 7 août
L'entrée en vigueur des nouvelles surtaxes américaines repoussée au 7 août

La Presse

time9 hours ago

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L'entrée en vigueur des nouvelles surtaxes américaines repoussée au 7 août

Les nouvelles surtaxes imposées sur les produits en provenance de dizaines de partenaires commerciaux des États-Unis commenceront à être collectées le 7 août, sept jours après la date initialement annoncée, a annoncé jeudi un haut responsable américain. Ce délai de sept jours avant l'entrée en vigueur effective est prévu afin de permettre aux douanes de s'organiser, a indiqué le responsable à la presse. Au Canada Contrairement au Mexique, le Canada n'a pas été en mesure d'obtenir un autre sursis tarifaire auprès de l'administration Trump pour éviter le tour de vis qui entrera en vigueur le 7 août. Le prix de consolation pour les entreprises canadiennes : la plupart des entreprises pourront continuer de s'y soustraire. Malgré des négociations entre Ottawa et Washington dans la capitale américaine, les droits de douane sur les exportations canadiennes passeront de 25 % à 35 %, a confirmé la Maison-Blanche, jeudi en soirée. Plutôt que d'identifier ce qui achoppait dans les négociations entre les deux pays, le décret présidentiel blâme plutôt les efforts canadiens pour enrayer « l'afflux continu de fentanyl et d'autres drogues illicites » en territoire américain, sans toutefois fournir d'exemples concrets. Il évoque aussi les contre-mesures canadiennes aux droits américains. La tournure des évènements n'est guère surprenante. En fin d'après-midi, jeudi, le 47e locataire de la Maison-Blanche paraissait peu enthousiaste d'en arriver à une entente commerciale. Le plus récent irritant émanant du Canada était l'intention du premier ministre Mark Carney de reconnaître un État palestinien en septembre prochain – à l'instar de la France et du Royaume-Uni. PHOTO PATRICK DOYLE, REUTERS Mark Carney Le président américain avait envoyé une lettre au premier ministre canadien le 10 juillet dernier dans laquelle il menaçait de faire passer à 35 % les droits de douane sur les exportations canadiennes, faute d'un accord commercial d'ici le 1er août. Jusqu'ici, Washington a annoncé des accords avec le Royaume-Uni, l'Union européenne, les Philippines, l'Indonésie, le Vietnam, le Japon et, in extremis dans la nuit, avec la Corée du Sud. Les produits coréens, japonais et européens seront ainsi désormais taxés à hauteur de 15 %. Le secrétaire américain au Commerce, Howard Lutnick, a aussi affirmé, jeudi, que des accords avaient aussi été trouvés avec le Cambodge et la Thaïlande, sans donner plus de précisions. Un bouclier Malgré cette nouvelle salve tarifaire de Washington, les exportateurs canadiens devraient pouvoir encaisser le coup. La raison ? Les produits conformes à l'Accord de libre-échange Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM) demeurent exemptés de droits de douane, confirme le décret présidentiel. Même si des secteurs comme l'aluminium et l'acier, du bois d'œuvre ainsi que de l'automobile font l'objet de droits de douane sectoriels, la plupart des exportations canadiennes ont échappé, jusqu'à présent, aux taxes douanières. Selon une étude publiée en juillet par la Banque Royale, qui citait des données du Bureau du recensement des États-Unis, 91 % des exportations canadiennes à destination des États-Unis avaient franchi la frontière sans droit de douane. Être conforme à l'ACEUM, qu'est-ce que ça veut dire ? Il s'agit d'un produit qui respecte un ensemble complexe de critères qui décrivent le niveau de production qui doit être réalisé en Amérique du Nord pour qu'il soit admissible à un traitement préférentiel. Toutes les règles entourant l'origine des produits se trouvent dans un volumineux document de 245 pages. Affaires mondiales Canada donne l'exemple d'une bicyclette. Si elle contient 63 % de pièces nord-américaines, elle satisfait aux règles d'origine – le seuil minimal de production en Amérique du Nord. Pour d'autres produits, un processus spécifique doit se faire au pays. Une chemise doit par exemple être « coupée et cousue » sur le continent nord-américain, illustre le gouvernement fédéral. Le directeur général chez Courtage BGL, Nicolas Dolbec, l'a remarqué. « On pourrait dire que le dernier mois a été l'un des moins occupés en ce qui a trait aux demandes de nos clients sur la question des droits de douane, illustre-t-il. La notion [des exemptions prévues à l'ACEUM] semble avoir été bien assimilée. » N'empêche, l'incertitude qui découle des tensions commerciales laisse des traces, selon la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ). Selon l'organisation, les investissements ont par exemple fléchi de 318 millions dans le créneau manufacturier parce que les entreprises préféraient demeurer sur les lignes de côté dans le contexte actuel. À cela s'ajoute une diminution des exportations au sud de la frontière et une baisse du niveau d'emploi dans plusieurs secteurs. Et jeudi, le Canada n'avait toujours pas été en mesure d'imiter le Mexique, qui, in extremis, a été en mesure d'obtenir un sursis de 90 jours avec son Washington pour poursuivre les négociations. M. Trump avait préalablement menacé le Mexique de rehausser à 30 % les droits de douane sur les exportations en provenance de ce pays. Malgré le report, les droits sectoriels sur l'acier et l'aluminium, le cuivre et le secteur automobile restent en place. « En outre, le Mexique a accepté de mettre fin immédiatement à ses barrières commerciales non tarifaires, qui étaient nombreuses, a souligné le président américain, sur sa plateforme Thruth Social. Nous nous entretiendrons avec le Mexique au cours des 90 prochains jours dans le but de signer un accord commercial au cours de cette période, ou plus tard. » Légitimes, les droits de douane ? À quelques heures de l'entrée de ce qui avait les allures d'une suite au « Jour de la libération » du 9 avril dernier, où des droits de douane avaient été annoncés à l'endroit de 180 pays, une Cour d'appel fédérale américaine commençait à se pencher sur la légitimité de ces barrières tarifaires. L'administration Trump conteste une décision rendue en mai dernier par un tribunal commercial américain, qui avait tranché que le président américain ne pouvait imposer des droits de douane quand bon lui semble. Ce jugement bloquait une des principales stratégies de la Maison-Blanche, qui s'appuie sur une loi de 1977 (International Emergency Economic Powers Act), qui permet au président d'imposer les sanctions économiques nécessaires en cas d'urgence. Jusqu'au retour de Donald Trump dans le bureau Ovale, cette loi n'avait jamais été utilisée par un président pour imposer des droits de douane. Aucune décision n'avait été rendue, jeudi. Cela pourrait prendre plusieurs semaines, voir des mois. Avec La Presse Canadienne et l'Agence France-Presse

Trump va construire une vaste salle de bal
Trump va construire une vaste salle de bal

La Presse

time14 hours ago

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Trump va construire une vaste salle de bal

(Washington) Donald Trump, continuant à remodeler la Maison-Blanche à son goût, va y adjoindre une vaste salle de bal pour les réceptions officielles, a annoncé sa porte-parole jeudi. Agence France-Presse Elle a précisé que le président lui-même et des donateurs privés, dont l'identité n'a pas été révélée, financeraient ce projet à 200 millions de dollars. « Depuis 150 ans, les présidents, les gouvernements et le personnel de la Maison-Blanche attendaient une grande salle de réception à la Maison-Blanche », a affirmé Karoline Leavitt. Le nouveau bâtiment doit avoir une capacité de 650 personnes, et les travaux doivent débuter en septembre de manière à se terminer « bien avant » la fin du second mandat de Donald Trump le 20 janvier 2029, a précisé la porte-parole. L'objectif est d'accueillir en particulier les grands dîners donnés en l'honneur de chefs d'État étrangers, jusqu'ici organisés dans un vaste pavillon temporairement planté dans les jardins. La salle de bal sera, selon des maquettes rendues publiques par la Maison-Blanche, un édifice blanc flanqué de colonnes et d'un frontispice rappelant l'entrée du bâtiment principal. Elle doit être construite à l'emplacement de l'actuelle aile orientale, ou East Wing, où se trouvent traditionnellement les bureaux de la première dame. Donald Trump évoquait depuis longtemps sa volonté de construire une salle de bal, disant vouloir s'inspirer de ses propriétés privées, en particulier de sa fastueuse résidence Mar-a-Lago en Floride. Cette dernière lui sert plus ou moins de modèle pour façonner la Maison-Blanche à son image. Le milliardaire républicain, s'inspirant des patios de Mar-a-Lago, a par exemple dallé la pelouse de la célèbre roseraie de la Maison-Blanche. Donald Trump, qui ne recule jamais devant l'ostentation, a aussi chargé le bureau Ovale d'ornements dorés et installé deux immenses drapeaux américains sur les pelouses de la Maison-Blanche.

Washington supprime l'exemption de taxes sur les petits colis
Washington supprime l'exemption de taxes sur les petits colis

La Presse

time2 days ago

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Washington supprime l'exemption de taxes sur les petits colis

Avec la suspension de cette exemption, les colis seront désormais taxés au même niveau que les autres produits provenant du pays d'origine ou avec un taux spécifique selon le type du produit et son origine. (Washington) La Maison-Blanche a annoncé mercredi la publication d'un décret du président Donald Trump annulant l'exemption de droits de douane pour l'ensemble des petits colis entrant aux États-Unis à compter du 29 août prochain. Agence France-Presse Appelées « de minimis », ces exemptions permettaient jusqu'ici d'envoyer par colis postal des biens d'une valeur inférieure à 800 dollars sans avoir à payer de surtaxe lors de leur entrée sur le sol américain. Avec la suspension de cette exemption, les colis seront désormais taxés au même niveau que les autres produits provenant du pays d'origine ou avec un taux spécifique selon le type du produit et son origine. Il s'agit selon la présidence américaine de « mettre fin à une faille catastrophique utilisée, entre autres, pour éviter des droits de douane et envoyer des opioïdes synthétiques ainsi que d'autres produits dangereux ». En particulier, ces petits colis représenteraient 98 % des narcotiques, 97 % des contrefaçons et 70 % des produits dangereux pour la santé qui ont été saisis durant l'année 2024, selon l'Agence de protection des frontières (CBP). Le gouvernement américain justifie cette mesure par l'explosion de l'envoi des colis postaux, qui est passé, selon ses données, de 134 millions d'unités en 2015 à plus de 1,36 milliard en 2024. Ce n'est pas la première fois que la Maison-Blanche prend des mesures visant les colis bénéficiant de cette exemption. Après une enquête lancée sous le gouvernement précédent de Joe Biden, celui de Donald Trump a dans un premier temps visé les petits colis provenant de Chine, qui représentent la majorité de ceux envoyés aux États-Unis, en particulier ceux provenant des vendeurs comme Temu, Shein ou AliExpress. Un premier décret a ainsi annulé début avril l'exemption sur les colis provenant de Chine, avant que Donald Trump n'annonce, une semaine plus tard, tripler les droits de douane qui leur sont appliqués, pour les faire passer de 30 %, comme le reste des produits chinois à ce moment-là, à 90 %, effectifs début mai. Mais les négociations entre Pékin et Washington afin d'aplanir les différends commerciaux entre les deux premières puissances économiques mondiales ont ramené ces droits de douane à 54 %.

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