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«Qu'ils viennent en face», «Des inconscients», «Risquer sa vie pour 10 points, c'est trop fou», les phrases chocs du Tour de France
«Qu'ils viennent en face», «Des inconscients», «Risquer sa vie pour 10 points, c'est trop fou», les phrases chocs du Tour de France

Le Figaro

time21 hours ago

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«Qu'ils viennent en face», «Des inconscients», «Risquer sa vie pour 10 points, c'est trop fou», les phrases chocs du Tour de France

Alors que la Grande Boucle marque une pause après dix jours de course intenses, florilège des petites phrases qui ont agité le peloton. Le peloton du Tour de France a bien mérité une journée de repos ce mardi après dix premières étapes marquées par la pluie dans le Nord avec des chutes, une ferveur incroyable en Normandie et en Bretagne où s'est invitée la chaleur et une première étape de montagne dans le Massif central qui a pesé dans les jambes. Mercredi, la course reprend ses droits à Toulouse avec un parcours autour de la Ville Rose. Retour sur les petites phrases qui ont accompagné la première partie de l'édition 2025. À découvrir Le classement du Tour de France 2024

Malgré deux grains de sable et le bourdonnement des frelons de la Visma, Pogacar reste inébranlable
Malgré deux grains de sable et le bourdonnement des frelons de la Visma, Pogacar reste inébranlable

L'Équipe

timea day ago

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Malgré deux grains de sable et le bourdonnement des frelons de la Visma, Pogacar reste inébranlable

Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard se sont neutralisés dans le final de l'étape du Massif central, mais le champion du monde a laissé le Maillot Jaune à Ben Healy, ce qui l'arrange, et Simon Yates a remporté l'étape pour les Visma. On serait bien restés là-haut, sur le plateau magnifique de la Croix Saint-Robert, avec les vaches en estive, un sanctuaire de calme au milieu des reliefs bedonnants et moelleux de la chaîne des Puys, un repos visuel avec ces couleurs douces, le jaune des herbes brûlées par l'été, le mauve, le bleu des fleurs sauvages, le beige des troupeaux. Mais le Tour de France ne s'arrête jamais, avec sa fureur, son bariolage, son avancée inéluctable et la journée de lundi, furieuse malgré son cadre de paix, n'allait pas y déroger. Il nous faut nous aussi ruminer, mais c'est sur l'état du duel entre Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard après cette étape du Massif central et au bout de cette première partie du Tour de France. Les Visma s'agitent, Pogacar inébranlable Le champion du monde en sort sans égratignure, avec même 1'17'' d'avance et sans que son rival n'ait jamais pu le mettre en difficulté. Lundi encore, Pogacar est resté inébranlable, malgré le bourdonnement autour de ses oreilles des « Frelons » de Visma, qui ont essayé de le mettre sous pression. Il a même pu laisser le Maillot Jaune à Ben Healy pour s'économiser un podium et du temps de récupération, une bonne opération alors qu'il y avait plus de 3 h 30'de transfert lundi soir jusqu'à Toulouse pour la première journée de repos. Dans ce tableau presque parfait, deux grains de sable potentiels pour la suite, l'un sûr, l'autre à confirmer. Au lendemain de l'abandon de Joao Almeida, les UAE ont également dû faire sans Pavel Sivakov, malade et relégué sur le banc de touche dans le gruppetto, et il vaudrait mieux pour eux que le Français se retape, sinon la brigade pour la haute montagne sera un brin légère, d'autant que les autres ont déjà beaucoup bossé pour compenser. Lundi, Nils Politt, Tim Wellens, surtout, ont travaillé comme des mules, alors que le soutien dans le final de Jhonatan Narvaez et Adam Yates a été évanescent. Un nul qui dessine la limite de Vingegaard L'autre motif de bougonnerie pour Pogacar pourrait être son incapacité à décoller Vingegaard de sa roue, un constat pour l'instant sans incidence mais qui doit chatouiller son amour-propre. Rien ne dit qu'il ne sera pas en mesure de déposer son adversaire dans les Pyrénées, sur des pentes bien plus raides et longues, mais lundi, il a placé une attaque à environ 1,5 km de la ligne, sans plus de résultat qu'à Rouen ou à Mûr-de-Bretagne. Il n'a pas persévéré car après tout, ce n'est pas à lui d'attaquer, mais plutôt à Vingegaard. Ce dernier pourra se réconforter de n'avoir rien perdu dans la rampe du puy de Sancy, mais ce match nul dessine également sa limite, puisqu'il n'a rien pu faire de plus. Son équipe avait pourtant tout fait pour lui préparer le terrain. Elle avait placé deux pions dans l'échappée, Simon Yates et Victor Campenaerts, au cas où, et Matteo Jorgenson avec pour mission d'isoler Pogacar dans le final. L'Américain a attaqué à quatre reprises, dans une partie non répertoriée mais très difficile au-dessus de Murol, à une vingtaine de bornes de l'arrivée, puis dans le col de la Croix Saint-Robert, dernière ascension avant la montée finale, et à chaque fois, le Slovène a bondi dans sa roue. Les Jaune et Noir ont même essayé de le harceler dans les descentes, ce qui ne lui plaît pas en général - il leur avait reproché lors du Critérium du Dauphiné -, une manière de mener la guerre psychologique. On ne peut donc pas les accuser d'un manque d'initiative, mais tous ces efforts ne servent à rien si leur leader n'est pas en mesure d'attaquer Pogacar, sinon à grappiller quelques secondes aux suivants, comme Remco Evenepoel ou Kévin Vauquelin, qui a pris lundi un petit éclat dans les derniers toboggans. Ils se « consolent » avec la victoire d'étape, puisque Simon Yates a été le plus fort à l'avant, où il a démarré au pied de l'ascension du Mont-Dore, à 3,5 km du but, mais sont-ils là pour cela ? On ne crache pas sur une victoire dans le Tour, certes, mais change-t-elle la carrière du Britannique, améliore-t-elle le prestige de sa formation, alors qu'on pensait qu'ils allaient jouer serré autour d'un seul et unique objectif, la victoire finale ? Devant les favoris, une féroce bataille à l'avant avec l'étape pour Yates et le Jaune pour Healy La neutralisation des deux favoris a en tout cas permis une bataille féroce et sublime à l'avant, entre une trentaine d'éléments au départ, puis beaucoup moins à mesure que les 4 500 m de dénivelé étaient avalés. On y a ainsi vu un Lenny Martinez bien plus en cannes et plus inspiré qu'en début de Tour, qui est allé gober les points du classement du meilleur grimpeur et a revêtu le maillot blanc à pois rouges à l'arrivée. Il faudra voir si l'aventure peut continuer, ce dont on doute pour l'instant, car la concurrence va être rude, notamment avec Pogacar, et parce que le grimpeur français a vite été sec quand les plus forts ont enclenché lundi, Ben O'Connor puis Quinn Simmons qui ont tout fait exploser à une trentaine de kilomètres du terme. Ils furent vite relayés par ce monstre de Ben Healy, qui jusque-là avait été bien épaulé par ses deux équipiers Harry Sweeny et Alex Baudin. L'écart naviguait au-delà des 5 minutes avec le groupe des favoris, et l'Irlandais pouvait donc lorgner le Maillot Jaune. Il se lança dans cette nouvelle quête et écrasa les pédales dans l'ascension de la Croix Saint-Robert, qu'il mena tout le long, tout seul, sans rien demander à qui que ce soit. Cela l'élimina de la course à la gagne (3e), face à des coureurs aussi coriaces que Michael Storer, O'Connor, Thymen Arensman (2e) et Simon Yates, mais le punk d'EF, grand personnage de la première semaine, a bien fait de sacrifier le reste pour le paletot, qu'il peut espérer porter jusqu'aux Pyrénées, jeudi. Jusqu'à Hautacam, où Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard se livreront à nouveau bataille. À lire aussi Privé d'Almeida, que perd Pogacar ? Yates, heureux en embuscade Martinez avait tout planifié Vauquelin pouvait-il espérer mieux?

« Notre Baudelaire du XXe siècle » : l'hommage vibrant des fans à Jean-Louis Murat sur le Tour de France
« Notre Baudelaire du XXe siècle » : l'hommage vibrant des fans à Jean-Louis Murat sur le Tour de France

Le Parisien

timea day ago

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« Notre Baudelaire du XXe siècle » : l'hommage vibrant des fans à Jean-Louis Murat sur le Tour de France

Les fans de Jean-Louis Murat ont passé une nuit blanche à peindre le bitume dans les ultimes virages du col de la Croix-Morand, au cœur du Massif central. Et quand le coureur irlandais Ben Healy a franchi en premier ce sommet de 3e catégorie ce lundi après-midi lors de la 10e étape du Tour de France , celui-ci a roulé sur les lettres blanches et capitales à la gloire du chanteur auvergnat disparu en 2023 . Mieux encore, l'hélicoptère de France Télévisions a immortalisé son portrait géant d'un diamètre de 9 m. Une bâche en toile étalée dans les pâturages un peu plus haut près des vaches et aperçue, en direct, par des millions de Français dans leur salon.

Tour de France : Healy en jaune, Vauquelin sort du podium... Le classement général après la 10e étape
Tour de France : Healy en jaune, Vauquelin sort du podium... Le classement général après la 10e étape

Le Figaro

timea day ago

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Tour de France : Healy en jaune, Vauquelin sort du podium... Le classement général après la 10e étape

Découvrez le classement général de la Grande boucle à l'issue de la dixième étape, courue ce lundi entre Ennezat et Le Mont-Dore Puy de Sancy. Cette première étape de moyenne montagne sur le Tour de France 2025, courue un jour de Fête Nationale, promettait des étincelles à tous les niveaux. Si les Français ne tiennent toujours pas leur première victoire d'étape à domicile, ils pourront se consoler avec le maillot à pois que s'est adjugé Lenny Martinez à l'issue des 165,3 km au programme de ce lundi 14 juillet. Le classement général a lui été bouleversé par la nouvelle performance de Ben Healy, vainqueur à Vire Normandie jeudi et dans l'échappée du jour. À découvrir Le classement du Tour de France 2024 Malgré sa troisième place au final, il a récupéré le maillot jaune à un Tadej Pogacar (+29'') moins glouton qu'à son habitude. Kévin Vauquelin a en revanche montré des premiers signes de faiblesse, laissant sa place sur le podium à Remco Evenepoel (+1'29''). Tobias Johannessen a quant à lui fait son apparition dans le top 10 (+5'03''), juste derrière un Primoz Roglic enfin à son aise (3'41'') sur les routes du Massif central. À noter également la superbe journée de Jordan Jegat, 19e de l'étape et désormais 14e du général (6'32''). Publicité Classement général après la 10e étape du Tour de France, courue lundi entre Ennezat et Puy de Sancy : 1. Ben Healy (IRL/EFE) 37 h 41:49. 2. Tadej Pogacar (SLO/UAD) à 29. 3. Remco Evenepoel (BEL/SOQ) 1:29. 4. Jonas Vingegaard (DAN/TVL) 1:46. Publicité 5. Matteo Jorgenson (USA/TVL) 2:06. 6. Kévin Vauquelin (FRA/ARK) 2:26. 7. Oscar Onley (GBR/DFP) 3:24. 8. Florian Lipowitz (ALL/RBH) 3:34. 9. Primoz Roglic (SLO/RBH) 3:41. Publicité 10. Tobias Johannessen (NOR/UXT) 5:03. 11. Felix Gall (AUT/DAT) 5:38. 12. Carlos Rodríguez (ESP/IGD) 5:44. 13. Enric Mas (ESP/MOV) 5:56. 14. Jordan Jegat (FRA/TEN) 6:32. 15. Mattias Skjelmose (DAN/LTK) 7:02. 16. Guillaume Martin-Guyonnet (FRA/GFC) 10:44. 17. Jhonatan Narváez (ECU/UAD) 11:29. 18. Ben O'Connor (AUS/JAY) 11:50. 19. Romain Grégoire (FRA/GFC) 15:15. 20. Emanuel Buchmann (ALL/COF) 15:41. 21. Tiesj Benoot (BEL/TVL) 18:14. 22. Sepp Kuss (USA/TVL) 19:49. 23. Simon Yates (GBR/TVL) 20:26. 24. Xandro Meurisse (BEL/ADC) 21:28. 25. Thymen Arensman (P-B/IGD) 21:41. ... 26. Clément Berthet (FRA/DAT) 21:46. 28. Valentin Madouas (FRA/GFC) 23:28. 29. Quentin Pacher (FRA/GFC) 27:08. 30. Mathieu van der Poel (NED/ADC) 28:36. 33. Warren Barguil (FRA/DFP) 29:56. 34. Alex Baudin (FRA/EFE) 30:20. 37. Alexandre Delettre (FRA/TEN) 31:38. 40. Clément Venturini (FRA/ARK) 33:18. 50. Aurélien Paret-Peintre (FRA/DAT) 38:57.

Tour de France 2025 : Lenny Martinez va s'emparer du maillot à pois au terme de la 10e étape, 47 ans après son grand-père
Tour de France 2025 : Lenny Martinez va s'emparer du maillot à pois au terme de la 10e étape, 47 ans après son grand-père

L'Équipe

time2 days ago

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Tour de France 2025 : Lenny Martinez va s'emparer du maillot à pois au terme de la 10e étape, 47 ans après son grand-père

Quarante-sept ans après son grand-père Mariano, Lenny Martinez va enfiler le maillot à pois ce lundi soir, au terme de la 10e étape du Tour de France où il est passé en tête au sommet des cinq premiers cols. « Je pense que son plus grand kif serait que je prenne le maillot à pois sur le Tour ! »avançait Lenny Martinez (Bahrain Victorious) au mois de juin, en parlant de son grand-père Mariano. Le grimpeur de 22 ans a réalisé le rêve de son aïeul, ce lundi 14 juillet. Présent dans la grosse échappée de la 10e étape du Tour de France, il a profité de son punch pour passer en tête au sommet des cinq premières ascensions (sur les huit au programme) dans le Massif central, toutes de deuxième catégorie, et s'offrir ainsi un 25/25 aux points de la montagne. En plus des deux qu'il avait déjà pris sur la 4e étape, ce total lui assure d'enfiler au Mont-Dore le maillot blanc à pois rouges porté jusque-là par Tim Wellens (UAE Emirates-XRG). Difficile d'évaluer ses chances de le défendre jusqu'au bout face à Tadej Pogacar (UAE Emirates-XRG) et Jonas Vingegaard (Visma-Lease a Bike), qui devraient réaliser une belle moisson sur les étapes pyrénéennes et alpines à l'occasion de leur bataille pour le général. Mais 47 ans après son grand-père Mariano Martinez, meilleur grimpeur du Tour 1978, porter la tunique mythique est déjà une belle victoire et un joli clin d'oeil.

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