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«Qu'ils viennent en face», «Des inconscients», «Risquer sa vie pour 10 points, c'est trop fou», les phrases chocs du Tour de France

«Qu'ils viennent en face», «Des inconscients», «Risquer sa vie pour 10 points, c'est trop fou», les phrases chocs du Tour de France

Le Figaro2 days ago
Alors que la Grande Boucle marque une pause après dix jours de course intenses, florilège des petites phrases qui ont agité le peloton.
Le peloton du Tour de France a bien mérité une journée de repos ce mardi après dix premières étapes marquées par la pluie dans le Nord avec des chutes, une ferveur incroyable en Normandie et en Bretagne où s'est invitée la chaleur et une première étape de montagne dans le Massif central qui a pesé dans les jambes. Mercredi, la course reprend ses droits à Toulouse avec un parcours autour de la Ville Rose. Retour sur les petites phrases qui ont accompagné la première partie de l'édition 2025.
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Le Parisien

time15 minutes ago

  • Le Parisien

Tennis: l'héroïne de Roland-Garros Loïs Boisson qualifiée pour les quarts de finale à Hambourg

Loïs Boisson, révélation du dernier Roland-Garros , s'est difficilement qualifiée mercredi pour les quarts de finale du tournoi WTA 250 sur terre battue de Hambourg en venant à bout de l'Allemande Tamara Korpatsch en trois sets 6-4, 6-7 (3/7), 6-4 et près de trois heures de jeu. Dans un match où les serveuses n'ont pas été à la fête ( Boisson a perdu au total six fois son engagement, Korpatsch huit fois), la N.1 française, 63e au classement de la WTA, aurait pu se faciliter les choses, puisqu'elle a servi pour le match à 5-4 dans la deuxième manche, se détachant 30-0. Mais la 163e joueuse mondiale a alors effacé son break de retard et, deux jeux plus tard, s'est envolée dans le tie-break 6 points à 1, égalisant à une manche partout à sa troisième occasion. Breakée d'entrée dans le dernier set et demandant un temps mort médical à 2-1 pour l'Allemande, la Française de 22 ans a réussi à recoller à 3 jeux partout puis à 4-4 après un nouvel échange de breaks avant de repasser devant et de conclure sur le service adverse à sa troisième balle de match. Au premier tour, mardi, elle avait disposé de l'Autrichienne Julia Grabher (138e) en deux manches (6-1, 6-3). Depuis son tournoi sensationnel à Roland-Garros, où elle n'a cédé qu'en demi-finale face à l'Américaine Coco Gauff, future lauréate, après avoir éliminé deux membres du Top 10, Loïs Boisson s'est testée sans succès sur le gazon, battue dès le premier tour des qualifications à Wimbledon. Revenue au début du mois à la terre battue, sa surface de prédilection, la Dijonnaise a passé un tour au tournoi WTA 125 de Bastad, un tournoi de second ordre, mais a été sortie au tour suivant par la Lettone Darja Semenistaja, 121e mondiale. A Hambourg, la Dijonnaise, classée tête de série N.5, croisera pour une place en demi-finale l'Australienne Astra Sharma (139e) ou la Bulgare Viktoriya Tomova (105e). Elle a prévu ensuite de participer à la tournée nord-américaine sur dur, avec en ligne de mire l'US Open (24 août - 7 septembre).

« J'ai retrouvé mon niveau normal, avec de bonnes jambes » : Pavel Sivakov, équipier de Tadej Pogacar, a récupéré
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L'Équipe

time28 minutes ago

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« J'ai retrouvé mon niveau normal, avec de bonnes jambes » : Pavel Sivakov, équipier de Tadej Pogacar, a récupéré

L'équipier de Tadej Pogacar, Pavel Sivakov, malade depuis le début du Tour de France 2025, a retrouvé tous ses moyens physiques. Diminué depuis plusieurs jours et en difficulté dans le peloton, Pavel Sivakov a retrouvé des couleurs sur les routes toulousaines qu'il connaît bien, ce mercredi, à l'occasion de la 11e étape du Tour de France. L'équipier de Tadej Pogacar (61e à 5'32'') a révélé, après l'étape, avoir souffert d'une infection. « On m'a prescrit des antibiotiques, puis, après ça, j'ai aussi eu une grosse toux, une bronchite. J'ai vraiment eu du mal à passer les étapes mais le jour de repos m'a fait du bien. Je me suis réveillé ce matin (mercredi matin) plein d'énergie. » Quand le peloton a bataillé à l'avant, on a vu le Français aux côtés du Slovène : « Je me sens de nouveau super bien, j'ai retrouvé mon niveau normal, avec de bonnes jambes, de la puissance. »

Bataille pour l'échappée, public en folie, chute de Pogacar... la 11e étape du Tour de France s'est transformée en bal de punks
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time43 minutes ago

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Jonas Abrahamsen a remporté mercredi une étape totalement cintrée autour de Toulouse, où Tadej Pogacar est tombé dans le final. Même sans gravité, ce n'est pas une bonne nouvelle pour le champion du monde alors que se profile l'ascension d'Hautacam. Est-ce la punkitude de Ben Healy qui a dégouliné sur tout le monde ou le peloton est-il pris d'une hystérie collective les matins d'étapes qui n'intéressent pas Tadej Pogacar ? Mais enfin, c'était quoi cette folie qui a embrasé une journée qu'on avait qualifiée de plate, une salle d'attente avant d'attaquer les Pyrénées à laquelle on avait ajouté un petit coup de cul histoire d'épicer le final ? Tous les regards s'étaient arrêtés sur la côte de Pech David, il est vrai très, très raide en son pied avec une approche étriquée, mais elle n'a même pas eu de rôle décisif tellement ces doux-dingues de cyclistes avaient décidé de dévaster la salle de jeux dès son ouverture au km 0. On se serait crus dans une église du Moyen-ge avec des affligés pris du feu de Saint-Antoine, convulsionnés, les membres brûlants, ou, moins loin, dans une rave au milieu d'une forêt d'Ardèche au petit matin, c'est à peu près la même chose, les champignons sont après tout un passe-temps éternel. Et les nombreux Toulousains sur le bord de la route qu'on a sentis très tôt en température ont ajouté à ce carnaval de fadas. Que Sébastien Piquet, la voix de Radio Tour, qui suit la course au coeur du réacteur dans la voiture de Thierry Gouvenou, le directeur technique de la Grande Boucle, a résumé ainsi, et vous nous pardonnerez la trivialité mais elle dit tout : « On n'a jamais eu le temps de s'arrêter pisser. » Van der Poel, le chassé devient chasseur S'il faut tenter de mettre un peu d'ordre dans ce gigantesque bazar, où il était parfois compliqué de savoir quel groupe était le peloton, on peut dégager deux grandes phases. La bataille pour l'échappée, interminable, avec cette fois un trio qui s'est dégagé dès le départ, bien outillé pour vivre longtemps en autonomie à l'avant : Jonas Abrahamsen, Mauro Schmid et Davide Ballerini. Mais derrière, les contres se succédaient comme des vagues sur la plage. Mathieu Burgaudeau et Fred Wright parvinrent à revenir sur la tête à 88 km de l'arrivée, soit après autant de bornes de baston. Puis un deuxième iceberg réussit à se détacher, à 63 km du terme, un groupe chevronné qu'on aurait pu retrouver dans le final d'une grande classique : Mathieu Van der Poel, Wout van Aert, Quinn Simmons, Arnaud De Lie, Axel Laurance. La course bascula alors dans un autre temps, dans ce cinq contre cinq à l'avant pour la victoire d'étape. L'écart plongea rapidement mais il plafonna ensuite, 23 secondes à 30 km de la ligne, 20 secondes 10 km plus loin, le suspense était dingue et la résistance du premier groupe encore plus, d'autant qu'ils avaient embauché de bonne heure. Simmons décida de mettre fin à cette poursuite par équipes et de tenter de boucher le trou seul par une attaque dans la côte de Vieille-Toulouse, l'avant-dernière difficulté, mais à l'avant, Schmid et Abrahamsen accélérèrent quasiment au même moment. Les deux yétis allaient conserver leur avantage jusqu'au bout, malgré le démarrage de Van der Poel au milieu de la rampe de Pech David. Le Néerlandais a sans doute lancé trop tard, il échoua à 7 secondes des deux fuyards, la deuxième fois qu'une deuxième étape, après son succès à Boulogne-sur-Mer, lui filait entre les doigts dans ce Tour, chassé dimanche vers Châteauroux, chasseur mercredi. Et au bout de cette journée de débauche, il a fallu une photo finish pour trancher 156 km d'échappée et offrir la victoire à Abrahamsen, qui a confirmé sa puissance de chasse-neige et apporté à sa formation Uno-X le premier succès de son histoire dans le Tour de France. La seule règle qui n'a pas été brisée fut celle de ne pas attaquer Pogacar à terre Voilà pour le cadre de cette boucle autour de Toulouse au cours de laquelle l'antienne « il faut compter chaque coup de pédale » parut bien périmée, déréglée par une bande de punks qui avaient décidé de piétiner les codes qui régissent la vie du peloton. Un défilé de Gremlins ingérables qui par exemple attaquèrent, relancèrent les opérations quand on pensait qu'un moment de répit avait été atteint et qu'à l'arrière, Tadej Pogacar, Ben Healy et le maillot vert Jonathan Milan s'étaient arrêtés pour un besoin naturel. Un comportement qui déplut au champion du monde, d'autant que Wout van Aert était pas mal à la manoeuvre à ce moment-là (78 km de l'arrivée). Healy, justement, avait annoncé qu'il faudrait que lui et ses équipiers s'habituent à courir avec le maillot jaune, sous-entendu de manière plus défensive. Ce fut un sacré baptême du feu pour les Rose d'EF, dans une étape incontrôlable, totalement désarticulée, et il faut croire que leur leader irlandais ne peut pas vraiment se réfréner, que lui aussi fait un grand bras d'honneur à la bienséance, puisqu'on le vit attaquer tout seul pour rejoindre un gros contre, où Kévin Vauquelin s'était glissé, ce qui entraîna des réactions en chaîne de Pogacar, Jonas Vingegaard et Remco Evenepoel. Une folie à 68 km de Toulouse. La seule règle qui n'a pas été brisée fut celle de ne pas attaquer un homme à terre. Pour le grand bonheur de Pogacar, qui chuta à 5 km du terme quand Tobias Johannessen, qui voulait suivre une énième accélération d'un Vauquelin très remuant, faucha sa roue avant. Le leader des UAE vit le trottoir s'approcher à toute vitesse et la peur monter en lui, mais il remonta sur son vélo sans grand dommage, carrosserie éraflée, et put rentrer tranquille car le groupe des favoris avait décidé de l'attendre. Un drapeau blanc brandi à raison, alors que la bataille entre les gros était en train de se figer, qu'il n'y avait plus grand-chose à gratter dans cette étape et que les Visma de Vingegaard avaient déjà tenté de titiller leur rival, mais avaient échoué, que ce soit le Danois avec une mine au sommet de Pech David ou Matteo Jorgenson qui avait encore accéléré dans la descente. La grande explication devrait être pour jeudi, dans la montée finale d'Hautacam, la première étape de montagne de ce Tour de France, où Pogacar se présentera ankylosé par sa chute et où les Frelons voudront faire la démonstration qu'ils peuvent vraiment le bousculer. À lire aussi Pogacar, la frayeur avant les hauteurs Abrahamsen, la force norvégienne Les Visma roulaient-ils au moment de la chute de Pogacar ? De fleuriste à vainqueure du Tour, Vollering a réalisé son rêve

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