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À Asnières, une dose d'intelligence artificielle pour un dispositif de vidéosurveillance plus affûté
À Asnières, une dose d'intelligence artificielle pour un dispositif de vidéosurveillance plus affûté

Le Parisien

time2 days ago

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  • Le Parisien

À Asnières, une dose d'intelligence artificielle pour un dispositif de vidéosurveillance plus affûté

Elle a été contestée, dimanche 6 juillet, par la députée Insoumise Mathilde Panot sur le plateau de BFMTV. Mais l'utilité de la vidéosurveillance, Manuel Aeschlimann, lui, n'en a jamais douté. La preuve : le maire (LR) d'Asnières continue même de la développer, avec l'inauguration, ce jeudi 10 juillet, d'un centre de supervision urbaine (CSU) rénové et modernisé. Créé au début des années 2000 avant d'être transféré, en 2013, dans les locaux de la police municipale, rue Henri-Poincaré, le nouveau centre de supervision urbaine — où convergent les images captées par les 174 caméras de la ville — a été intégralement repensé et réaménagé. Et cela dans le but d'offrir davantage de conforts aux douze opérateurs qui se relaient 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 derrière le large mur d'écrans. Un mur « impressionnant » selon les mots du préfet, Alexandre Brugère, invité, comme le procureur, Yves Badorc, à inaugurer ce CSU rénové.

«Un racket social» : les députés LFI veulent interdire les péages en flux libre
«Un racket social» : les députés LFI veulent interdire les péages en flux libre

Le Figaro

time2 days ago

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«Un racket social» : les députés LFI veulent interdire les péages en flux libre

Mathilde Panot (La France Insoumise) a déposé une proposition de loi pour interdire les péages en flux libre, dénonçant un système injuste et pénalisant pour les plus fragiles. Le débat est relancé. Haro sur les péages en flux libre, ces capteurs de paiement sans barrière sur autoroute. Depuis son déploiement progressif en France fin 2022, le péage en flux libre s'installe progressivement sur les autoroutes françaises. Dernier épisode en date, la transformation complète de l'axe A13-A14 (Paris-Normandie), soit 210 kilomètres, mis en place depuis la fin d'année 2024. C'en est trop pour Mathilde Panot, présidente du groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale, qui a déposé une proposition de loi visant à interdire le développement des péages en flux libre sur les autoroutes françaises. Selon elle, cette technologie est un «scandale» et un «racket social». Publicité Données à l'appui, le groupe LFI parle de 180.000 impayés en un an sur le tracé Paris-Caen, 80.000 dossiers de pénalités et 170.000 demandes de rectification des parcours. Autre argument, derrière la promesse technologique se cacherait un piège social. «Les péages en flux libre pénalisent de plein fouet les 8,5 millions de Français souffrant d'illectronisme et les 16 millions de personnes ayant des capacités numériques faibles», dénonce LFI. Selon les députés LFI, le paiement différé, présenté comme un avantage, deviendrait un véritable parcours du combattant pour les usagers les moins familiers avec les outils numériques. LFI s'appuie sur une grogne bien réelle Autre critique soulevée par Mathilde Panot, «avec 10 millions de pauvres en France et des tarifs de péages qui ont flambé de plus de 10% en deux ans, le système fait peser toujours plus le coût des déplacements sur les plus fragiles». Enfin, le groupe LFI rappelle sa cohérence. Il est «le seul à avoir voté en intégralité contre l'introduction des autoroutes à flux libre dans la loi mobilités de 2019». Sauf que désormais, le groupe le plus à gauche de l'hémicycle s'appuie sur une grogne bien réelle des automobilistes à propos de ces nouveaux péages. En décembre dernier, Le Figaro avait récolté des témoignages d'automobilistes. Si le système permet de fluidifier la circulation et de gagner du temps, de nombreux conducteurs dénoncent un manque d'information et des modalités de paiement jugées complexes. Beaucoup se retrouvent à devoir payer des majorations élevées pour avoir dépassé le délai de paiement de 72 heures, ce qui alimente le sentiment d'injustice. Certains affirment ne pas avoir compris que le passage sous les portiques était payant, faute de signalisation claire, et regrettent l'absence de clémence en cas d'oubli. Le débat relancé par LFI promet d'être vif.

Guillaume Tabard : «Polices municipales, l'opération ratée de LFI»
Guillaume Tabard : «Polices municipales, l'opération ratée de LFI»

Le Figaro

time3 days ago

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Guillaume Tabard : «Polices municipales, l'opération ratée de LFI»

Réservé aux abonnés CONTRE-POINT - L'exigence de moyens concrets pour assurer la sécurité est aujourd'hui tout autant partagée par les électeurs de gauche que par ceux de droite. Experts en tactique, les dirigeants LFI pratiquent en général la provocation intentionnelle, trop heureux de se retrouver au centre des polémiques et, plus encore, d'embarrasser les autres formations de gauche. C'était sans doute l'intention de Mathilde Panot lorsqu'elle a prévenu, dimanche dernier sur BFM, que les éventuelles municipalités Insoumises désarmeraient les polices municipales et reviendraient sur la vidéosurveillance. Mais, cette fois-ci, la proposition a eu un effet boomerang et ce sont les divisions des mélenchonistes qui ont été révélées au grand jour. Refuser la vidéosurveillance, réserver l'armement à la seule police nationale, ce sont pourtant des positions historiques de la gauche qui durant des décennies faisait de ces mesures la preuve d'une obsession sécuritaire de la droite et d'une menace sur les libertés individuelles. Mais, même si elle est toujours montée avec retard dans le train régalien, la gauche, notamment celle qui exerce des responsabilités locales, a pris…

Jean-François Copé : «L'extrême gauche, alliée objective de l'insécurité»
Jean-François Copé : «L'extrême gauche, alliée objective de l'insécurité»

Le Figaro

time4 days ago

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Jean-François Copé : «L'extrême gauche, alliée objective de l'insécurité»

Réservé aux abonnés TRIBUNE - Désarmer la police municipale et démanteler les caméras de vidéosurveillance, comme l'a proposé la députée LFI Mathilde Panot, irait à l'encontre de la volonté des Français et traduit un décalage profond avec les réalités du terrain, souligne l'ancien ministre et maire LR de Meaux. Incroyable ! Alors qu'un récent sondage du Cevipof confirme que la sécurité est devenue pour 55 % des Français la priorité numéro un des prochaines élections municipales, Mme Panot, chef des députés LFI, a annoncé sans rire, au détour d'une phrase, que les municipalités où les coalitions de gauche seront élues en mars 2026, désarmeront, puis supprimeront immédiatement les policiers municipaux et démonteront la totalité des caméras de vidéosurveillance ! À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Alors maintenant il est temps de dire les choses telles qu'elles sont : les huit villes de France où l'insécurité est la plus forte (parmi lesquelles Grenoble et Bordeaux), et qui viennent d'être classées comme telles, sont administrées par la gauche et comme par hasard aucune n'est dotée de police municipale armée… À l'inverse, les neuf villes classées comme étant les plus sûres de France sont conduites - à l'exception notable de Cherbourg - par des maires de droite et toutes dotées de polices municipales armées avec des caméras…

Christian Estrosi : «Sans nos policiers municipaux, la délinquance exploserait !»
Christian Estrosi : «Sans nos policiers municipaux, la délinquance exploserait !»

Le Figaro

time4 days ago

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Christian Estrosi : «Sans nos policiers municipaux, la délinquance exploserait !»

FIGAROVOX/TRIBUNE - Le maire Horizons de Nice répond à la députée LFI Mathilde Panot qui s'est prononcée, le 6 juillet, en faveur du désarmement de la police municipale, dans les villes qui seraient dirigées par des maires insoumis. Selon lui, il faut au contraire accroître les prérogatives de ces agents. Christian Estrosi est maire de Nice, vice-président du parti Horizons, président de la métropole Nice Côte d'Azur et président délégué du conseil régional de Provence-Alpes-Côte-d'Azur. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Que serait-il advenu de pire encore dans la basilique de Nice si nos policiers municipaux n'avaient pas été armés le 29 octobre 2020 alors qu'un terroriste faisait irruption dans ce lieu sacré pour ôter la vie de Nadine, Vincent et Simone ? C'est la question que je me suis posée hier en écoutant Mathilde Panot réaffirmer sa volonté de désarmer les policiers municipaux. Dans un monde toujours plus violent, où la sécurité est un défi quotidien, désarmer les policiers municipaux revient tout bonnement à leur dessiner une cible dans le dos et à mettre nos concitoyens en danger ! C'est à la fois irresponsable et criminel. Publicité Quotidiennement, nos 28 000 policiers municipaux participent à sécuriser nos rues, améliorer notre qualité de vie et bien souvent interviennent les premiers dans des situations extrêmement difficiles. Formés, entraînés et bien équipés, ils font preuve d'un grand professionnalisme et notre rôle de maire est de les soutenir. À Nice, avec plus de 8. 000 interpellations par an et grâce à notre réseau de 4.800 caméras qui donne lieu chaque année à 2.000 réquisitions, nos policiers municipaux jouent un rôle essentiel dans notre continuum de sécurité. Depuis plusieurs années, en ma qualité de président de la Commission nationale consultative des polices municipales, je réclame des compétences élargies et la possibilité offerte aux maires de contractualiser avec l'État pour aller plus loin. Chaque maire doit être libre de prendre plus de responsabilités et d'avoir davantage de compétences en matière de sécurité lorsqu'il le souhaite. Ceci doit naturellement se faire en contractualisant avec l'État, sous l'autorité du préfet et du procureur, dont la sécurité reste la première des compétences. Je pense ici à la lutte contre le trafic de stupéfiants, aux squats ou encore à la fermeture de commerces qui nuisent au quotidien à la qualité de vie de certains quartiers et qui génèrent d'importantes nuisances sonores. Le projet de loi de François-Noël Buffet va dans ce sens et je m'en félicite. Enfin, nos policiers municipaux seront reconnus comme une véritable troisième force de sécurité. Enfin, nos policiers municipaux pourront dresser des amendes forfaitaires pour usage de stupéfiants, ouvrir des coffres de voitures ou encore confisquer des objets dangereux ou illégaux. À lire aussi Les 25 propositions du Sénat pour donner plus de pouvoirs aux policiers municipaux Si ce projet de loi va dans le bon sens, il n'est toutefois pas suffisant, notamment en matière d'utilisation des nouvelles technologies, car nous sommes constamment entravés par la CNIL. On ne peut pas prétendre réglementer les technologies de 2025 avec une loi votée en 1978 sous le président Giscard-d'Estaing. J'appelle en la matière à un véritable aggiornamento ! Au nom de quel principe absurde la police municipale de Barcelone peut-elle intégrer de l'intelligence artificielle dans ses caméras et pas celle de Nice ? Christian Estrosi Sortons de l'hypocrisie et n'ayons pas peur de faire des nouvelles technologies nos véritables alliées. Elles sont utilisées partout dans nos vies, dans nos smartphones, dans nos ordinateurs et nos tablettes mais nous sont interdites pour assurer la sécurité des Français. C'est un non-sens sur lequel il est urgent de revenir. Qu'est ce qui peut bien justifier que la police municipale de Madrid puisse utiliser ses drones et pas celle de Nice ? Au nom de quel principe absurde la police municipale de Barcelone peut-elle intégrer de l'intelligence artificielle dans ses caméras et pas celle de Nice ? Il ne me semble pas que l'Espagne soit moins démocratique et moins respectueuse des libertés individuelles que la France. Loin des positions idéologiques et sectaires de l'extrême gauche malfaisante, je sais que mes positions et demandes sont largement partagées par les maires de toute obédience politique car ils connaissent les difficultés de leurs agents, les risques qu'ils encourent en exerçant leurs missions et partagent la volonté de leurs concitoyens de vivre libres.

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