
À Asnières, une dose d'intelligence artificielle pour un dispositif de vidéosurveillance plus affûté
par la députée Insoumise Mathilde Panot
sur le plateau de BFMTV. Mais l'utilité de la vidéosurveillance, Manuel Aeschlimann, lui, n'en a jamais douté. La preuve : le maire (LR)
d'Asnières
continue même de la développer, avec l'inauguration, ce jeudi 10 juillet, d'un centre de supervision urbaine (CSU) rénové et modernisé.
Créé au début des années 2000 avant d'être transféré, en 2013, dans les locaux de la police municipale, rue Henri-Poincaré, le nouveau centre de supervision urbaine — où convergent les images captées par les 174 caméras de la ville — a été intégralement repensé et réaménagé. Et cela dans le but d'offrir davantage de conforts aux douze opérateurs qui se relaient 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 derrière le large mur d'écrans. Un mur « impressionnant » selon les mots du préfet, Alexandre Brugère, invité, comme le procureur, Yves Badorc, à inaugurer ce CSU rénové.
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- Le HuffPost France
Sur l'« islamo-gauchisme », Élisabeth Borne tape sur les doigts du ministre de l'Enseignement supérieur
POLITIQUE - Elle fustige « l'un des combats que mène LFI ». La ministre de l'Éducation nationale, Élisabeth Borne a recadré ce dimanche 13 juillet son collègue chargé de l'Enseignement supérieur, Philippe Baptiste, pour avoir estimé que l' « islamo-gauchisme » est une notion qui « n'existe pas ». « Ce courant existe dans la société, donc nécessairement à l'université », a, elle, affirmé Élisabeth Borne sur radio J. Lundi sur LCP, Philippe Baptiste avait estimé que « ce terme n'existe pas en tant que terme universitaire, il n'est même pas bien défini, donc cette notion n'existe pas ». Il y a certes « des abus » mais « se dire qu'il y a un mouvement islamo-gauchiste qui serait là à vouloir prendre le pouvoir au sein de telle ou telle université, non, je ne crois pas que ce soit la réalité », avait-il ajouté. Interrogée dimanche sur sa définition du terme, Élisabeth Borne a estimé que « ce sont des gens d'extrême gauche qui considèrent que les musulmans sont une force électorale, qui les courtisent en encourageant le communautarisme et en banalisant l'islamisme radical ». Vives réactions à droite « Il y a à la fois des personnalités et des partis politiques, je pense notamment à LFI, qui portent une idéologie d'extrême gauche qui instrumentalise l'islam, qui banalise l'islamisme radical, et qui encourage le communautarisme », a affirmé la ministre de l'Éducation. « Ça fait partie des combats que mènent LFI, notamment pour faire entrer ces idéologies au sein de l'université et ils ne s'en cachent pas » puisqu'' « ils font le tour pour certains d'entre eux de toutes les universités de France, donc je pense que leur combat est assez clair », a-t-elle ajouté. Les déclarations de Philippe Baptiste avaient suscité de vives réactions à droite. « Nier la présence de l'islamo-gauchisme dans les universités, c'est jouer le jeu de l'entrisme à un moment où nous devons être intraitables face à ce fléau », avait ainsi affirmé le secrétaire général de LR Othman Nasrou. « Dire que l'islamo-gauchisme n'existe pas, c'est un peu comme dire que la Terre n'est pas ronde », avait estimé l'ancien ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer. La position de Philippe Baptiste contraste avec celle de ses prédécesseurs : en 2021 la ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal avait voulu demander une enquête sur « l'islamo-gauchisme » à l'université, suscitant une polémique.


Le Parisien
5 hours ago
- Le Parisien
Les services secrets ukrainiens tuent des agents russes soupçonnés d'avoir assassiné un colonel à Kiev
Les services de sécurité ukrainiens (SBU) ont annoncé dimanche avoir tué des personnes soupçonnées d'être des agents russes responsables de l'assassinat d'un officier du renseignement ukrainien. Ce dernier, le colonel Ivan Voronytch , qui travaillait pour le SBU, avait été abattu jeudi à Kiev, une affaire relativement rare en Ukraine. gé de 51 ans, il combattait la Russie depuis 2014. et l'annexion de la Crimée . Selon Roman Chervinsky, un ancien officier des renseignements ukrainiens, il avait fondé au sein du SBU une division spéciale « qui pose aujourd'hui beaucoup de problèmes » à la Russie, sans préciser laquelle. Le SBU a affirmé avoir conduit dimanche une opération dans la région de la capitale ukrainienne en vue d'arrêter les suspects de son meurtre, identifiés comme étant des agents des services de sécurité russes (FSB) . Au moment de leur arrestation, des membres de ce groupe « ont opposé une résistance et ont été neutralisés », a raconté le SBU. Les services ukrainiens n'ont pas dit combien de personnes avaient été tuées au cours de cette opération, mais ont diffusé une vidéo dans laquelle deux cadavres sont visibles. Le meurtre du colonel ukrainien avait été commis, selon le SBU, par un homme et une femme qui l'avaient suivi pour connaître son emploi du temps et ses itinéraires habituels. Un groupe d'agents des services de sécurité russes « avait été envoyé en Ukraine à l'avance » pour cet assassinat, a expliqué Vassyl Maliouk, le chef du SBU, cité dans le communiqué. En plus de trois ans, Ukrainiens et Russes se sont régulièrement accusés d'assassinats, notamment de responsables politiques et militaires, ainsi que de sabotage ou encore d'espionnage. Le SBU affirme avoir déjoué 85 % des tentatives d'attaques russes similaires sur le territoire ukrainien, selon The Kyiv Independent .


Le Parisien
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« Pour être craint, il faut être puissant » : Macron sonne la mobilisation générale dans son discours aux Armées
Un effort budgétaire sans précédent, qui reposera sur la « force d'âme » des Français et sur un « élan patriotique » des entrepreneurs : voilà ce qu'a annoncé ce dimanche soir le président Emmanuel Macron , chef des armées auxquelles il s'est adressé dans son traditionnel discours de veille du défilé du 14 Juillet , dans les jardins surchauffés de l'Hôtel de Brienne. Un discours d'une exceptionnelle gravité, en apogée d'une dramatisation marquée ce vendredi par la rare prise de parole publique du chef d'état-major , le général Thierry Burkhard, mais entamée par Emmanuel Macron dès son intervention télévisée du 5 mars, avec sa sortie sur la « menace existentielle » de la Russie .