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Foot : malgré la «discipline financière», «le but reste l'Europe» pour Lyon
Foot : malgré la «discipline financière», «le but reste l'Europe» pour Lyon

Le Figaro

time11-07-2025

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Foot : malgré la «discipline financière», «le but reste l'Europe» pour Lyon

Directeur général de l'OL, Michael Gerlinger a fait le point sur les ambitions du club après son maintien en Ligue 1. Le soulagement à Lyon. Relégué en Ligue 2 par la DNCG le 25 juin dernier, le club rhodanien a fait valoir ses droits et a convaincu la commission d'appel ce mercredi, sous la houlette de la nouvelle patronne du club, Michele Kang. Les joueurs de Paulo Fonseca repartent en Ligue 1. La nouvelle présidente de l'OL était accompagnée par son directeur général, Michael Gerlinger, pour faire le point devant les journalistes, au Groupama Stadium. Ancien du Bayern, ce dernier a loué les qualités de la milliardaire de 66 ans, «un leader extraordinaire, sans elle ça n'aurait pas été possible», a-t-il indiqué. L'OL doit toutefois composer avec «l'encadrement de la masse salariale et des indemnités de mutation sur le budget Ligue 1 2025-2026 proposé». Rien d'inquiétant à en croire Michael Gerlinger, même s'il conviendra de faire des économies dans les mois à venir… «Ce n'est pas un plan d'austérité mais de discipline financière. On a proposé un budget en termes de masse salariale et de transferts. La commission d'appel a pris ce budget pour l'encadrement. Ça ne fait donc pas de différence par rapport au budget qu'on avait prévu. La décision d'aujourd'hui a confirmé qu'on jouera en Ligue 1 avec le plan qu'on a soumis. (…) On a adapté le budget par rapport à celui qu'on avait proposé le 24 juin à la DNCG avec les fonds reçus de la part des prêteurs et des actionnaires. Mais il n'y a pas beaucoup de différences. On va analyser avec Mathieu Louis-Jean et les équipes sportives l'impact du budget qu'on a soumis à la commission d'appel mais il n'y a pas beaucoup de changements», jure-t-il. Le succès commercial dépend du succès sportif Michael Gerlinger Publicité Il faut évidemment s'attendre à certains départs avant la fin du mercato. «Bien sûr, il y a des cessions de joueurs dans le budget, comme tous les ans pour tous les clubs. Le plan sportif soumis à la commission d'appel à un budget pour les cessions de joueurs et la masse salariale. On a légèrement adapté ce plan par rapport au plan du 24 juin, légèrement, on analysera l'impact dans les prochains jours», a encore martelé Gerlinger, précisant qu'il y a «toujours plusieurs alternatives sur un plan de mercato. Il faut voir quel mix on veut faire. C'est un ensemble, un plan sportif à établir, on a beaucoup de confiance en Mathieu Louis-Jean et ses collègues pour trouver le bon mix». Quid des ambitions pour la saison prochaine ? «Je suis très content d'être avec Michele comme présidente. Le succès commercial dépend du succès sportif. Il faut trouver le bon équilibre. Il faut gagner, de l'exigence sportive. Le but reste l'Europe, on veut disputer les compétitions européennes, on va trouver les moyens pour se battre comme la saison dernière, on a presque atteint la quatrième, voire la troisième place, on veut de nouveau se battre pour les places européennes la saison prochaine», affirme Michael Gerlinger. Rappelons que l'OL a terminé à la sixième place en Ligue 1 lors de la saison écoulée. Les Gones disputeront la Ligue Europa lors de la campagne 2025-26.

Les détails du plan financier qui a convaincu la DNCG de maintenir l'OL en Ligue 1
Les détails du plan financier qui a convaincu la DNCG de maintenir l'OL en Ligue 1

L'Équipe

time10-07-2025

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Les détails du plan financier qui a convaincu la DNCG de maintenir l'OL en Ligue 1

Pour valider son maintien en Ligue 1, l'OL a présenté à la DNCG un apport de 124 millions d'euros en tout. Il y a ce que la Direction nationale du contrôle de gestion exigeait et ce qu'elle a finalement accepté. Selon nos informations, pour obtenir son maintien en Ligue 1 devant la commission d'appel, mercredi à la Fédération française, l'Olympique Lyonnais a posé sur la table 124 millions d'euros en tout : 87 millions en cash plus 37 millions de garanties. Des montants pas si éloignés de ceux présentés en première instance. Simplement, le duo Michele Kang-Michael Gerlinger, respectivement présidente et directeur général du club, est arrivé avec de l'argent tangible, pas avec des lettres d'intention. Et avec d'autres appuis : entre la relégation en Ligue 2 prononcée le 24 juin et l'audition de mercredi, Kang et Gerlinger (intronisés officiellement le 30 juin) ne se sont pas contentés de centraliser l'argent dispersé au sein d'Eagle. Ils ont profité de ce court délai pour s'assurer du soutien d'acteurs majeurs, en interne et en externe. Kang a promis que Textor ne ferait pas son retour Pour preuve, la présence au sein de la délégation dépêchée boulevard de Grenelle de neuf personnes, dont Mark Affolter, représentant du fonds d'investissement ARES au sein du board d'Eagle, Jean-Pierre Conte, un des actionnaires, ou Thierry Sauvage, ancien directeur de l'OL, époque Jean-Michel Aulas. Autant d'éléments qui expliquent que la DNCG ait validé, avec des restrictions (encadrement de la masse salariale et des indemnités de mutation), le dossier présenté. Les mêmes éléments auraient-ils suffi s'ils avaient été portés par John Textor ? Sans doute pas. D'ailleurs, une bonne partie de l'entretien de mercredi entre la DNCG et Kang (l'audition a duré 2h30) aurait été centrée sur la question de l'ancien président, toujours actionnaire majoritaire à cette heure. Pour réinstaurer un climat de confiance entre l'OL et les instances, la femme d'affaires a dû apporter la garantie que Textor, poussé à la démission il y a dix jours, ne reviendrait pas d'une façon ou d'une autre dans le jeu. À lire aussi Et maintenant, l'austérité De la peur au soulagement Eredivisie Live, l'éphémère chaîne TV du Championnat néerlandais André veut rejoindre le Paris FC

Maintenu de justesse en Ligue 1, l'OL va devoir faire face à l'austérité
Maintenu de justesse en Ligue 1, l'OL va devoir faire face à l'austérité

L'Équipe

time10-07-2025

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Maintenu de justesse en Ligue 1, l'OL va devoir faire face à l'austérité

Le maintien est un soulagement pour l'OL mais pas une libération : lors des prochains mois, a minima, le club restera soumis à de sévères restrictions. Une simple phrase, dans le communiqué publié par l'Olympique Lyonnais dans la foulée de l'annonce de son maintien mercredi après-midi, disait peu et beaucoup. Le club remerciait la commission d'appel fédérale de la DNCG « d'avoir reconnu l'ambition de la nouvelle direction du club, déterminée à assurer une gestion sérieuse à l'avenir ». Une manière pour les ex-associés de John Textor de se démarquer de l'ancienne gouvernance, tout en annonçant la suite : fini de rire. « Ce n'est pas un plan d'austérité mais de discipline financière, a tempéré Michael Gerlinger, le directeur général. Ça ne fait aucune différence, ce budget on l'a validé auprès de la commission d'appel mais aussi avec les prêteurs et les actionnaires. » Le verdict de mercredi comprend des restrictions importantes - encadrement de la masse salariale et des indemnités de mutation sur le budget Ligue 1 2025-2026 proposé - mais les dirigeants olympiens savaient leurs chances d'y échapper très faibles. Et leurs créanciers, désormais plus qu'attentifs à la gestion quotidienne du club, seront les meilleurs garants de ces restrictions. Ils avaient l'intention, quoi qu'il arrive, de soumettre l'OL à une sévère cure d'austérité. Elle pourrait aller au-delà du cercle de l'équipe professionnelle, mais c'est d'abord celle-ci qui sera touchée. Fofana et Perri courtisés, Tolisso ou Almada aussi Lors de son passage infructueux en première instance devant la DNCG, le 24 juin, le duo Textor-Gerlinger avait déjà présenté une liste de ventes pouvant atteindre la centaine de millions d'euros dès cet été, à la fois pour abaisser la masse salariale et générer du cash. Elle comprenait Nemanja Matic, Duje Caleta-Car, Jordan Veretout, Tanner Tessmann, Saël Kumbedi, Paul Akouokou ou Rémy Descamps mais aussi deux « actifs » convoités qui sont des titulaires très importants aux yeux de Paulo Fonseca : Malick Fofana et Lucas Perri. Le maintien en Ligue 1 permettra à l'OL de négocier avec les acquéreurs sans se trouver dans une situation d'extrême faiblesse, d'autant que cette décision le « qualifie » aussi en Ligue Europa. Mais elle ne change rien à sa situation financière, extrêmement tendue. Outre la liste ci-dessus, au moins quatre éléments suscitent des convoitises concrètes auxquelles Lyon pourra difficilement résister : Corentin Tolisso, Ainsley Maitland-Niles mais surtout Georges Mikautadze et Thiago Almada, dont la situation demeure floue : son prêt gratuit à Lyon s'achevait normalement au 30 juin. L'Argentin illustre le statut peu lisible de certains joueurs de la galaxie Eagle, dont les droits sportifs et les droits économiques peuvent être dissociés. « On veut refaire cette bataille pour l'Europe la saison prochaine. » Michael Gerlinger, directeur général de l'OL Lyon, qui affichait la deuxième masse salariale de L1 il y a deux ans (160 millions d'euros), aurait pour objectif de la ramener à 60 millions, à terme. Cet effort considérable, certes entamé ces derniers mois et renforcé par les départs en fin de contrat cet été de Nicolas Tagliafico et Alexandre Lacazette, donne une idée de la saignée prévisible. Il indique aussi la catégorie de joueurs auquel le club pourra prétendre lors du mercato 2025 : la barre des 200 000 euros brut mensuels sera désormais le grand maximum. Tout cela alors que le centre de formation pourra essentiellement fournir des éléments de complément lors des deux saisons qui viennent, celles d'un « creux générationnel » qui tombe bien mal. « On veut refaire cette bataille pour l'Europe la saison prochaine », a pourtant assuré Michael Gerlinger mercredi soir. À voir. À lire aussi De la peur au soulagement Pour l'OL, une Coupe d'Europe sous conditions Les notes de PSG-Real Madrid L'OM veut vendre Rongier

« Ils vont être obligés de vendre les gros salaires » : Lyon maintenu en Ligue 1 mais au pain sec et à l'eau
« Ils vont être obligés de vendre les gros salaires » : Lyon maintenu en Ligue 1 mais au pain sec et à l'eau

Le Parisien

time10-07-2025

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« Ils vont être obligés de vendre les gros salaires » : Lyon maintenu en Ligue 1 mais au pain sec et à l'eau

L'Olympique lyonnais va vivre une 37e saison consécutive en Ligue 1 . Rétrogradé à titre conservatoire en novembre, puis officiellement le 24 juin dernier, l'OL a sauvé sa peau ce mercredi devant la commission d'appel de la DNCG. L'aboutissement d'une mission presque impossible menée par Michele Kang et Michael Gerlinger, le nouveau duo à la tête du club rhodanien, qui a su proposer un plan financier qui a satisfait le gendarme financier de la Ligue. Ils seront malgré tout surveillés de près. Comme l'écrit la DNCG dans sa décision, un « encadrement de la masse salariale et des indemnités de mutation » a été annoncé. Si chaque équipe prévoit un budget et le présente à l'instance, il est toujours possible de le dépasser si le propriétaire du club peut aligner les billets. Ce ne sera pas le cas pour Lyon.

« Je suis très fière »  : Michele Kang soulagée du maintien de l'OL en Ligue 1
« Je suis très fière »  : Michele Kang soulagée du maintien de l'OL en Ligue 1

L'Équipe

time09-07-2025

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« Je suis très fière » : Michele Kang soulagée du maintien de l'OL en Ligue 1

Michele Kang, nouvelle présidente de l'Olympique Lyonnais, est venue livrer la bonne parole du nouvel organigramme rhodanien, maintenu en Ligue 1 en appel par la DNCG ce mercredi après-midi. Longue robe blanche impeccable, sourire discret et allocution posée et mesurée en anglais, accompagnée de son directeur général, Michael Gerlinger, Michele Kang s'est présentée devant une trentaine de journalistes peu avant 19h, ce mercredi soir dans l'amphithéâtre du Groupama Stadium. Pendant une demi-heure, la nouvelle présidente de l'OL, remplaçante de John Textor, poussé vers la sortie, a exprimé sa gratitude envers toutes les composantes du club lyonnais, des prêteurs (ARES) aux actionnaires dont elle fait partie, mais aussi les élus locaux et l'ancien président Jean-Michel Aulas, après le maintien de l'OL en Ligue 1 par la commission d'appel de la DNCG, assorti d'une masse salariale et des indemnités de mutation encadrées. Sans jamais donner le moindre détail sur les sommes apportées au siège de la FFF le matin même, ni émettre le moindre jugement sur son prédécesseur texan, sauf entre les lignes. Avec un sens de l'apaisement aiguisé. Une belle opération de communication. « Je suis incroyablement ravie de partager avec vous et toute la communauté qui suit l'OL la meilleure nouvelle possible pour notre club, a d'abord expliqué Kang dans un court monologue de présentation. Cela a été rendu possible grâce au travail acharné de toute l'équipe, mais aussi de nos prêteurs et de tous nos actionnaires, jour et nuit depuis neuf jours. Je suis donc très fière. Nous avons donné 110 % de ce que nous possédions. Je suis très reconnaissante de la décision de la commission d'appel. Le vrai travail commence. » « Quelles garanties avez-vous apportées par rapport aux demandes de la DNCG ? La lettre de la DNCG reçue lundi dernier était claire et décrivait les faiblesses (du dossier OL) auxquelles nous avons dû répondre. La DNCG demande que la trésorerie soit assurée pour toute une saison. Nous avons dû le prouver pour la satisfaire. Pouvez-vous nous préciser par des chiffres combien vous avez injecté en cash et en caution ?Nous sommes une entreprise cotée en Bourse. Je ne peux pas vous donner des chiffres exacts. Nous avons une trésorerie suffisante. Il y a eu de nouveaux apports en liquidités du prêteur et de moi-même. Et une partie de garantie (une lettre de garantie à la première demande auprès d'une banque de premier rang) au cas où notre trésorerie deviendrait négative en cours de saison. Nous avons répondu favorablement à ces trois exigences. Aviez-vous bien compris la première décision de la DNCG (relégation en L2) ? J'ai lu la lettre. Je n'étais pas au courant de tous les détails. Après le premier entretien avec nos prêteurs et une deuxième réunion avec le Conseil d'Administration, j'ai pris trois heures pour regarder cette lettre en détail. J'ai examiné la comptabilité de l'OL. Je veux remercier nos commissaires aux comptes. Nous allons être complètement transparents. Nous avons donné toutes nos données, tout fourni à la hauteur de leurs demandes. Il a fallu que j'apprenne très vite. Je n'étais pas aussi au courant que je devais l'être à mon poste. Je remercie la DNCG et Jean-Marc Mickeler (son président) d'avoir pris le temps de m'expliquer les règles et comment les appliquer. Ce sont des dirigeants bénévoles. Sans cela, je ne sais pas si j'aurais pu arriver à ce résultat en neuf jours. « Nous avons laissé tous nos intérêts derrière nous et nous avons travaillé ensemble pour résoudre les problèmes. Certains prêteurs ont apporté plus de fonds, comme moi et les autres actionnaires. » Vous subissez des mesures de restriction. Cela augure-t-il d'un plan d'austérité ?Ce n'est pas un plan d'austérité mais une discipline financière. Nous avons proposé une masse salariale et un bilan de transfert en fonction de notre budget. La commission d'appel a pris en compte ce budget. Est-ce qu'il va impacter la feuille de route sportive ?On a adapté ce budget par rapport à celui que nous avions proposé le 24 juin (en première audience), compte tenu des fonds reçus du prêteur et des actionnaires. Il n'y a pas beaucoup de différence. On va analyser tout ça avec Matthieu Louis-Jean (directeur sportif). Qu'avez-vous dit au prêteur et aux actionnaires pour les convaincre ?C'était assez étonnant qu'ils soient tous arrivés à la même conclusion. Nous avons laissé tous nos intérêts derrière nous et nous avons travaillé ensemble pour résoudre les problèmes. Certains prêteurs ont apporté plus de fonds, comme moi et les autres actionnaires. C'était une mission collective ayant pour but de sauver le club et de lui permettre de continuer à prolonger son destin et ses racines. Quel a été le rôle d'ARES ? Les apports d'argent modifient-ils l'actionnariat du groupe, notamment concernant John Textor ?Nous sommes tous entrés comme investisseur avec une injection de liquidités. Il n'y a pas de différence avec le nouveau leadership et la nouvelle gouvernance. J'ai 100 % de contrôle sur OL Eagle Group (holding) et OL SASU (le club). Personne ne pourra changer nos décisions. Je vais partager nos informations avec les actionnaires et les agences d'information et de tutelle. Tout commence par les succès sur le terrain. Nous avons travaillé ensemble et unis avec ARES. Il n'y avait pas de distinction. « Jean-Michel Aulas nous a soutenus mais étant vice-président de la FFF, il y avait une notion d'indépendance à respecter et il n'a pas participé à nos échanges car il y aurait eu conflit d'intérêts. » L'ancien président de l'OL Jean-Michel Aulas et son ancien DG à l'OL vous ont-ils soutenu ? Nous avions demandé à travailler avec Thierry Sauvage. C'est un conseiller. Il continuera à travailler avec nous. Jean-Michel Aulas nous a soutenus mais étant vice-président de la FFF, il y avait une notion d'indépendance à respecter et il n'a pas participé à nos échanges car il y aurait eu conflit d'intérêts. Vous avez énoncé une certaine opacité sur les informations sous la gouvernance de Textor. Est-il responsable du problème et quel jugement portez-vous sur votre prédécesseur ?J'étais impliqué dans le foot féminin. Franchement, je ne regardais pas de près ce qui se passait. J'aurais un meilleur jugement après. Plus d'opinion au fur et à mesure que je m'imprégnerai de l'organisation dans sa totalité. L'OL a-t-il dû injecter 100 M€ en cash et 100 M€ de garanties ?Beaucoup de chiffres circulent. J'ai 100, 80... aucun de ces chiffres sont justes. La DNCG nous demande en fonction du budget pour l'année, d'assurer la trésorerie pour sortir de la saison sans être déficitaire. Ces chiffres ne sont pas corrects. Quelle sera votre ambition sportive cette saison ?(Michael Gerlinger prend la parole) Le but reste de se qualifier pour l'Europe. Il faut gagner en exigence sportive. Nous allons voir avec Matthieu Louis-Jean comment trouver le bon mix et les moyens pour se battre. Devrez-vous payer une sanction de l'UEFA pour participer à la Ligue Europa ?(Michael Gerlinger) L'UEFA nous applique une sanction fixe de 12,5 M€, payée en deux fois. Elle sera prélevée sur les primes qu'elle verse. Les autres sanctions ne s'appliqueront pas si nous restons dans les règles que l'instance nous a fixées. »

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