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« J'ai un rôle à jouer jusqu'au bout » : Nicolas Batum après avoir resigné aux Los Angeles Clippers
« J'ai un rôle à jouer jusqu'au bout » : Nicolas Batum après avoir resigné aux Los Angeles Clippers

L'Équipe

time6 hours ago

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« J'ai un rôle à jouer jusqu'au bout » : Nicolas Batum après avoir resigné aux Los Angeles Clippers

Après l'élimination en play-offs des Los Angeles Clippers, Nicolas Batum a décliné l'option de sa dernière année de contrat pour aussitôt prolonger avec la franchise californienne, qu'il juge toujours ambitieuse pour la saison prochaine, sous la direction de Tyronn Lue dont il est devenu très proche. Aperçu sur une vidéo publiée par ses agents à l'entraînement avec Bilal Coulibaly à Levallois, Nicolas Batum profite d'un été désormais sans équipe de France, après avoir rangé le maillot bleu dans la foulée de la finale olympique contre les Etats-Unis (87-98). Mais la carrière de l'ailier (2,06m, 36 ans) se poursuit aux Los Angeles Clippers, avec lesquels il a resigné. Présent vendredi dans le 18e arrondissement dans le cadre d'un projet caritatif, l'ailier aux 1 209 matches NBA explique son choix de rester en Californie. Vous avez décliné votre option pour 2025-2026 avant de prolonger deux jours plus tard avec les Los Angeles Clippers. Y a-t-il eu d'autres pistes ou était-ce une évidence ?C'était à 99 % sûr que j'allais continuer avec eux. Il y a eu deux-trois touches ailleurs, mais le projet aux Clippers est en place, c'est une équipe dans laquelle je me sens bien, une ville où je suis bien. Il n'y a pas que moi : la situation familiale avec les enfants, l'école, beaucoup de choses à prendre en compte. Et les Clippers restent une équipe compétitive qui joue pour quelque chose. C'est intéressant de continuer avec eux encore un ou deux ans (un contrat de 11,5 millions de dollars soit 9,8 millions d'euros, la deuxième année est en option). La sortie prématurée des Clippers en play-offs (3-4 contre Denver au premier tour) a-t-elle joué dans votre volonté de rester à Los Angeles ?On avait un goût d'inachevé. Après, on joue dans une Conférence Ouest où les franchises qui ont perdu au premier tour avaient une chance d'aller au bout. On a re-signé James Harden (81,5 millions de dollars sur deux ans), on a fait venir Brook Lopez (ex-pivot de Milwaukee, champion 2021) et il peut encore y avoir des changements. Il se passe beaucoup de choses ailleurs à l'Ouest avec Oklahoma City champion, Houston, Denver... C'est excitant de partir dans une nouvelle saison contre toutes ces équipes. Les Clippers sont-ils des candidats au titre la saison prochaine ?Ce sera très serré à l'Ouest. Mais je ne me suis pas caché, je joue dans une équipe qui a toujours essayé de faire quelque chose. J'ai un rôle à jouer, jusqu'au bout. Avec l'équipe qu'on a, le coach et le propriétaire n'ont que ce mot à la bouche : le titre NBA. On va tenter, mais il y a beaucoup d'équipes qui veulent la même chose. Avec Portland, à mes débuts en NBA, il fallait plus de 48 victoires pour aller en play-offs, on en avait eu 50 et on n'était que sixièmes. L'Ouest, c'est toujours aussi dur, mais j'aime y jouer (sourire). La relation proche tissée avec Tyronn Lue, sur le banc des Clippers depuis 2020, a-t-elle aussi été un facteur ?On a une relation particulière, au-delà de celle entre un coach et un joueur. Il sait très bien qu'il n'y a pas de problème avec moi, je m'entraîne, je ne loupe pas de matches, je sais ce qu'il attend. Pour donner un exemple, en début de saison dernière, on a eu une réunion, il donnait joueur par joueur les objectifs et ce qu'il attendait : James Harden, Kawhi Leonard et puis quand il a dit 'Nico', il a juste fait ça (un signe de la main), avant de passer à un autre mec. Les jeunes étaient surpris mais c'est normal, c'est la relation qu'on a lui et moi. Avec l'arrivée de Brook Lopez comme doublure d'Ivica Zubac, votre rôle va-t-il évoluer après avoir souvent joué pivot la saison passée ?On pourra encore partir sur du 'small ball'avec Kawhi Leonard en poste 4 et moi en poste 5, de temps en temps. Mais c'est bien d'avoir Brook Lopez, un champion, un joueur expérimenté. C'est bien pour Zubac. Il a fait une grosse saison l'an passé, on peut compter sur lui mais c'est difficile de lui mettre autant de pression, d'attendre qu'il joue à ce niveau une centaine de matches avec 35-38 minutes de temps de jeu. Avoir un back-up de la stature et de la qualité de Brook Lopez, ce sera génial. Cette saison 2025-2026 sera-t-elle votre dernière en NBA ?Les options sont ouvertes pour moi et l'équipe (l'été prochain). On a cette relation forte avec Steve Ballmer (le propriétaire), Lawrence Frank (le GM) et Tyronn Lue. C'est une famille maintenant. Il y a zéro pression. Je n'ai pas décidé si c'était la dernière année, je verrais dans un an. Mais ça me laisse l'option pour le club et moi. » À lire aussi Qui va animer le marché de l'été ? Des Knicks enfin «sexy» sous Mike Brown ? Pourquoi Yabusele a choisi les Knicks : «Ils me ressemblent : des bagarreurs» Les Bleues aux portes de l'enfer

« Je peux souffler » : pourquoi Guershon Yabusele est heureux d'avoir signé chez les Knicks
« Je peux souffler » : pourquoi Guershon Yabusele est heureux d'avoir signé chez les Knicks

Le Parisien

time13 hours ago

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« Je peux souffler » : pourquoi Guershon Yabusele est heureux d'avoir signé chez les Knicks

Guerschon Yabusele se souviendra longtemps des douze derniers mois. Médaillé d'argent aux Jeux de Paris suivi d'un retour gagnant en NBA sous le maillot de Sixers de Philadelphie, l'intérieur, l'un des héros du basket bleu aux Jeux, était sollicité par plusieurs franchises de NBA (San Antonio Spurs, Denver notamment) lors du Free Agency (le marché des joueurs libres de tout contrat). Finalement, le Français de 29 ans a choisi les Knicks de New York avec un contrat de deux ans et 12 millions de dollars . Finaliste de la Conférence Est, les Knicks sont partis des favoris pour la saison prochaine. Une bonne pioche pour l'Ours, qui a réagi à cette signature à l'Équipe . « Je suis très content, ce n'était pas un pari facile de partir de Madrid (NDLR il était sous contrat avec le Real jusqu'en 2025) avec l'indemnité, explique-t-il. Je peux souffler, car je peux payer ça sans problème (NDLR 1,7 million d'euros) . » Avec les Knicks, Guerschon Yabusele s'attend à vivre une grande saison avec des grandes ambitions : « C'est une équipe qui a un destin, ou du moins qui a la chance de pouvoir prendre le titre (NDLR le dernier remontant à 1973) . Je voulais être dans une équipe avec de l'ambition et qui a une histoire comme ça. Quand tu joues contre eux, l'ambiance est incroyable au Madison Square Garden : c'est quelque chose d'irréel, tu ne vis ça qu'à New York avec les fans, les célébrités au premier rang. Pouvoir y jouer avec le maillot des Knicks, j'ai hâte. » Concernant la pression, l' intérieur des Bleus pense avoir les épaules pour y faire face : « Il y a cette pression-là avec les fans, l'histoire de la salle, c'est impressionnant. Moi, ça me motive, ça m'amuse : si je fais un mauvais match et qu'on m'envoie un ou deux trucs drôles sur moi, je vais en rire aussi. C'est dans les deux sens. »

« Ils me ressemblent : des bagarreurs, des gens qui donnent tout » - Guerschon Yabusele explique pourquoi il a choisi les Knicks parmi une foule de courtisans
« Ils me ressemblent : des bagarreurs, des gens qui donnent tout » - Guerschon Yabusele explique pourquoi il a choisi les Knicks parmi une foule de courtisans

L'Équipe

timea day ago

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« Ils me ressemblent : des bagarreurs, des gens qui donnent tout » - Guerschon Yabusele explique pourquoi il a choisi les Knicks parmi une foule de courtisans

Onze mois après les Jeux de Paris qui ont précipité son retour en NBA, l'intérieur des Bleus Guerschon Yabusele va plonger dans la folie new-yorkaise pour tenter de ramener un titre aux Knicks la saison prochaine après avoir été courtisé par de nombreuses franchises cet été. « Il manque la photo de mon dunk ! » L'oeil vif en détaillant la collection de clichés sportifs exposés au dernier étage du bâtiment de L'Équipe, Guerschon Yabusele y ajouterait bien l'une des actions iconiques des Jeux de Paris : ce sacré coup de marteau sur la tête de LeBron James en finale (défaite des Bleus 87-98). De passage dans la capitale pour la première fois depuis l'aventure olympique, l'intérieur (2,03 m ; 29 ans) la quitte dès samedi, direction New York, pour signer son contrat de deux ans et 12 millions de dollars avec les Knicks, qui ont décroché la timbale au milieu de nombreuses équipes intéressées par « L'Ours » après son come-back réussi en NBA avec Philadelphie (11 points et 5,6 rebonds en 70 matches). Sa « free agency » « C'est un peu le grand huit, il y a des loopings » « J'avais hâte de vivre la "free agency" (marché des agents libres) et sur le moment, je me suis dit "Vivement que ça se termine". C'était un peu le grand huit, ça monte, ça descend, il y a des loopings. Je me voyais dans une équipe puis dans une autre. Il faut prendre des décisions rapidement : quand on te fait une offre, elle ne dure pas des jours ou des semaines. D'où je viens, toute proposition, c'était un effet "Waouh". Je ne voulais pas me retrouver sans rien et devoir rentrer en Europe après un an. L'objectif, c'était déjà de trouver un contrat et quand tu as de bonnes équipes qui te veulent, c'est flatteur. Il y avait Houston, les (San Antonio) Spurs, et là j'ai directement pensé à Victor (Wembanyama) en me disant que ça pouvait être cool. Il y avait aussi Denver, je me disais que ça pouvait être pas mal non plus de jouer avec Nikola Jokic (sourire). Et puis New York, qui sortait de la finale de conférence (à l'Est, 2-4 contre Indiana), en pensant à leur style de jeu, ça pouvait matcher. » Son choix « A New York, ils me ressemblent : des bagarreurs » « J'avais eu une très bonne impression quand on a joué New York cette saison. Ils me ressemblent : des bagarreurs, des gens qui donnent tout sur le terrain. Par rapport à mon rôle, de joueur qui se bat, un rôle de chien, de bulldog, ça cochait toutes les cases pour aller là où je veux aller. Leur équipe, c'est un bon groupe de gars, qui montent depuis plusieurs années. Ils sortent d'une finale de Conférence. C'est une équipe destinée, ou du moins qui a la chance de pouvoir prendre le titre (leur premier depuis 1973). Je voulais être dans une équipe avec de l'ambition et qui a une histoire comme ça. Quand tu joues contre eux, l'ambiance est incroyable au Madison Square Garden : c'est quelque chose d'irréel, tu ne vis ça qu'à New York avec les fans, les célébrités au premier rang. Pouvoir y jouer avec le maillot des Knicks, j'ai hâte. » Ses ambitions « Si tu peux réussir à New York, tu peux réussir partout » Sur le plan individuel, j'ai du mal à prendre le temps de voir tout ce que j'ai fait. Ma femme me dit de profiter car je suis toujours dans l'après. Mais quand même, je suis très content, ce n'était pas un pari facile de partir de Madrid (il a joué au Real de 2021 à 2024) avec l'indemnité (1,7 million d'euros à donner de sa poche). Je peux souffler car je peux payer ça sans problème. À New York, je sais qu'ils sont revanchards cette saison, qu'ils veulent aller au bout. On dit toujours que si tu peux réussir là-bas, tu peux réussir partout, il y a cette pression-là avec les fans, l'histoire de la salle, c'est impressionnant. Moi, ça me motive, ça m'amuse : si je fais un mauvais match et qu'on m'envoie un ou deux trucs drôles sur moi, je vais en rire aussi. C'est dans les deux sens. C'était un peu la même mentalité à Philadelphie, ça s'est bien passé avec leurs fans, donc ça ne devrait pas trop mal se passer avec ceux des Knicks. Est-ce que c'est plus ouvert dans la conférence Est ? On m'a dit ça récemment et c'est vrai que quand je vois les blessures (*), il y a une ouverture. Mais on a déjà vu beaucoup d'équipes qui pensaient faire une grosse saison et puis... C'est la mentalité générale qui va compter, il faut qu'on soit connectés et je pense qu'il y a quelque chose à faire. » (*) Saison blanche probable pour Jayson Tatum à Boston (tendon d'Achille droit), Damian Lillard (ex-Milwaukee, tendon d'Achille gauche) et Tyrese Haliburton à Indiana (tendon d'Achille droit). À lire aussi Qui va animer le marché de l'été ? Superstar, paria et businessman : l'incroyable parcours d'Alex Rodriguez Des Knicks enfin «sexy» sous Mike Brown ? Les Bleues aux portes de l'enfer

L'Asvel « sauvée » pour 2025-2026 mais avec un budget en baisse et sa masse salariale encore encadrée
L'Asvel « sauvée » pour 2025-2026 mais avec un budget en baisse et sa masse salariale encore encadrée

L'Équipe

timea day ago

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L'Asvel « sauvée » pour 2025-2026 mais avec un budget en baisse et sa masse salariale encore encadrée

Comme indiqué par son propriétaire Tony Parker fin juin dans L'Équipe, l'Asvel a passé l'étape de la DNCCG, le gendarme financier du basket français, pour être au départ de la saison 2025-2026. Mais dans une interview au Progrès, le président de l'instance Patrick Hianasy rappelle que le club rhodanien verra sa masse salariale encadrée. Demi-finaliste malheureux contre Monaco en Championnat, l'Asvel a passé avec succès le dernier obstacle de sa saison : la DNCCG, le gendarme financier de la Ligue nationale de basket. Comme indiqué par Tony Parker dans L'Équipe, le 24 juin, les actionnaires du club rhodanien ont compensé un déficit de 12 millions d'euros pour mettre leur équipe sur la ligne de départ de la saison 2025-2026. « À court terme, c'est-à-dire pour la saison prochaine, l'Asvel est sauvée. Les actionnaires qui ont mis la main à la poche pour boucler 2024-2025 ont pris un autre engagement pour 2025-2026 », explique Patrick Hianasy, le président de la DNCCG dans un entretien au Progrès. Pour voir plus loin, le club aux 21 titres de champion de France attend la fin de la partie d'échecs autour de l'arrivée de la NBA en Europe. « On investit tous avec ça en tête », reconnaissait Parker. « Au-delà de 2025-2026, l'Asvel mise sur la NBA Europe pour prendre de la valeur. Sportive et financière. C'est un pari. Et Tony Parker est un entrepreneur qui fait des paris. Mais si la NBA fonctionne très bien aux États-Unis, je demande à voir sur un continent qui est une mosaïque de pays avec des réglementations bien différentes », prévient Hianasy. En attendant, la DNCCG annonce un budget prévisionnel encore en baisse, à 18 millions d'euros (contre 20 en 2024-2025), et une masse salariale elle aussi plus petite (5,1 millions d'euros bruts contre 5,6). « L'Asvel est engagée avec un encadrement de sa masse salariale. Comme la saison dernière. Si elle désire l'augmenter, elle est obligée de demander l'avis de la DNCCG. C'est une liberté surveillée », poursuit Hianasy. S'il reconnaît la responsabilité de Skweek (signataire à l'origine d'un contrat de sponsoring pour trois ans et 21 millions d'euros) dans les difficultés de Villeurbanne, le patron de la DNCCG n'exonère pas le club : « Tony Parker est responsable d'avoir signé un contrat avec Skweek, mais il n'est pas coupable du fait que Skweek ne respecte pas son engagement. »

L'ancien joueur NBA Ben McLemore reconnu coupable de viol aux États-Unis
L'ancien joueur NBA Ben McLemore reconnu coupable de viol aux États-Unis

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time2 days ago

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L'ancien joueur NBA Ben McLemore reconnu coupable de viol aux États-Unis

Ancien arrière de NBA, Ben McLemore (32 ans) a été condamné ce jeudi pour trois chefs d'accusation, dont celui de viol, par un jury de l'Oregon. Sa peine n'est pas encore connue. Ben McLemore, ancien arrière de NBA, a été reconnu coupable de viol jeudi par un jury de l'Oregon. À l'issue de onze jours de procès et dix heures de délibérations, l'homme de 32 ans a été reconnu coupable de « viol au premier degré », de « pénétration sexuelle illégale » et d'« agression sexuelle au second degré ». Il sera fixé sur sa peine mercredi. Les faits remontent à octobre 2021, lorsqu'une femme a porté plainte pour agression sexuelle à Lake Oswego. McLemore avait été arrêté en avril 2024 après une enquête et un acte d'accusation du grand jury local. Il avait plaidé non coupable. « Ce dossier montre que nous poursuivons les actes criminels quel que soit le statut de l'accusé », a déclaré le procureur du comté de Clackamas, John Wentworth. Ancien n°7 de la draft en 2013, McLemore a joué 556 matches en NBA, avec les Sacramento Kings, les Houston Rockets, les Los Angeles Lakers et les Portland Trail Blazers, avant de poursuivre sa carrière à l'étranger. Il jouait cette saison pour le club de Merkezefendi, à Denizli en Turquie.

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