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L'Équipe
3 days ago
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Qui est Oliver Rowland, le nouveau champion du monde de Formule E ?
Dominateur tout au long de la saison, Oliver Rowland a été sacré champion du monde de Formule E, dimanche à Berlin. Une consécration pour l'Anglais de 32 ans au parcours particulier. À 32 ans, Oliver Rowland est devenu le 10e champion de Formule E différent en onze saisons. Dimanche à Berlin, avant même les deux derniers E-Prix chez lui à Londres, l'Anglais a accroché un titre auquel il était promis depuis des semaines et un début de saison où il était rentré dans le top 2 lors de 6 des 8 huit premiers E-Prix. Ce sacre récompense un parcours osé qui a attiré l'oeil des plus grands. Il est le plus frenchie des pilotes anglais Si Rowland roule aujourd'hui avec Nissan, c'est parce qu'il a une longue expérience avec cette structure qui, au départ, avait été formée par Renault et Dams au Mans (sous le nom de Renault en 2014 et 2018). Si l'écurie se nomme aujourd'hui simplement Nissan et bat pavillon japonais, elle reste basée en France, à Viry-Châtillon désormais. L'Anglais a, lui, fait ses premiers pas avec Dams en 2017 pour participer au Championnat de Formule 2, pour sa première édition sous sa forme actuelle. Après sa victoire à Monaco, Rowland avait plaisanté avec L'Équipe sur le fait qu'au moment de ce choix, de nombreuses personnes en Angleterre lui avaient déconseillé de venir travailler avec des Français, qui étaient « bizarres ». Hilare, le natif de Barnsley (entre Leeds et Sheffield) se disait déjà tout content de ne pas avoir suivi ces avis ! Il fut pilote de réserve de Renault et Williams en F1 S'il n'a jamais pu atteindre la Formule 1, l'Anglais a connu quelques expériences auprès de la catégorie-reine. Pendant ses jeunes années, il a même eu le droit de tester deux F1, une McLaren en 2011 puis une Red Bull en 2015, grâce à ses performances. Le test de la RB8, notamment, avait été décroché car il occupait à ce moment-là la tête du Championnat de Formule Renault 3.5 alors que la marque française motorisait Red Bull. Il est ensuite devenu pilote de développement pour Renault en 2017 avant de filer chez Williams comme « pilote junior ». Mais il n'a jamais eu l'occasion de rouler en compétition, la réglementation sur les deux séances d'essais libres 1 données à des rookies par voiture et par saison n'étant entrée en vigueur qu'en 2022, une fois sa carrière orientée vers la Formule E. Il a reçu les encouragements de Verstappen Juste après avoir arraché son sacre au terme d'un E-Prix à rebondissements à Berlin, dimanche, Rowland a confirmé qu'il avait reçu un message d'encouragements d'un certain Max Verstappen lui-même. « Il m'a écrit hier soir (samedi), me disant de garder la tête et d'aller marquer des points. Franchement, ça représentait beaucoup pour moi parce que j'étais vraiment déçu de moi-même, a-t-il confié après son accrochage avec Stoffel Vandoorne qui a condamné sa course de samedi et avait ajouté une pénalité de cinq places sur la grille dimanche. C'est vraiment une attention sympa de sa part, c'est vraiment un super mec. » Il avait quitté sa précédente équipe en cours de saison Au cours de sa carrière en FE, Rowland n'a connu que deux écuries : Mahindra et Nissan. Après un remplacement d'une course pour l'équipe indienne en 2015-2016, il avait rejoint Nissan dans la foulée de sa troisième place au Championnat de F2 2017 (remporté par un certain Charles Leclerc), décrochant sa première victoire à Berlin en 2020. Puis après trois saisons, il avait rejoint Mahindra. C'est là que s'est joué le tournant le plus important de sa carrière. Après une saison et demie difficile (1 podium et 6 fois dans les points en 25 courses), il prend une décision radicale et quitte l'écurie en cours d'exercice sans avoir de plan B. « J'ai pris un gros risque en quittant un bon contrat mais je savais que j'avais besoin d'essayer quelque chose de différent », expliquera-t-il. Après six mois sans rouler, il renouera avec Nissan dès 2023-2024, gagnera deux fois et signera cinq podiums supplémentaires dès la première saison de cette réunion avant de dominer totalement 2024-2025. Et se plaçant déjà en favori pour 2025-2026 où le règlement ne va pas évoluer avant la révolution de la Gen4 la saison suivante.


Le Figaro
4 days ago
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Formule E : Oliver Rowland sacré champion du monde à deux courses de la fin
Oliver Rowland a remporté le championnat de Formule E ce dimanche à Berlin. Une quatrième place lui a suffi pour détrôner Pascal Wehrlein alors qu'il reste encore deux courses à disputer. Le Britannique Oliver Rowland a été sacré champion du monde de Formule électrique (Formula E) à l'issue de la course organisée dimanche à Berlin et remportée par le Néo-Zélandais Nick Cassidy. Une quatrième place a été suffisante à Rowland, 32 ans, pour remporter la couronne mondiale alors qu'il reste encore deux manches à courir à Londres les 26 et 27 juillet. Il compte 184 points contre 125 pour son dauphin au classement, le champion sortant allemand Pascal Wehrlein, et ne peut plus être rejoint. Publicité Un titre constructeur indécis Rowland, qui pilote pour Nissan, a dominé la saison en remportant quatre des 14 manches disputées jusqu'ici. Il participe au championnat de Formule E depuis 2018 et son meilleur résultat final était jusqu'à présent une 4e place en 2024. Le Français Jean-Éric Vergne (DS-Penske), double champion de Formule E en 2018 et 2019, occupe actuellement la 6e place au championnat avec 89 points. Du côté des constructeurs, le titre reste encore indécis et sera attribué lors des courses disputées à Londres. Porsche est en tête avec 342 points devant Nissan (335) et Jaguar (279).


L'Équipe
4 days ago
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Oliver Rowland sacré champion du monde de Formule E après sa 4e place à Berlin
Oliver Rowland a décroché le titre de champion du monde de Formule E dimanche après avoir fini 4e de la course 2 à Berlin. C'est Nick Cassidy (Jaguar) qui s'est imposé devant Jake Dennis (Andretti) et Jean-Éric Vergne (DS). Avec 50 points d'avance sur Pascal Wehrlein au départ de la 14e manche de la saison, Oliver Rowland était dans une position avantageuse pour aller décrocher le titre mondial en Formule E dimanche à Berlin. Mais sa 8e place sur la grille, à la suite d'une pénalité de 5 positions pour avoir causé un accrochage avec Stoffel Vandoorne (Maserati) samedi lors de la première course, alors que son principal rival était lui en pole, pouvait laisser planer un doute. D'ailleurs, le début de course, où le Britannique a été contraint de naviguer entre la 5e et la 8e place pendant que l'Allemand se positionnait clairement dans le top 3, n'a pas été à l'avantage du leader du Championnat. Mais sur une piste sèche, aucun pilote n'est parvenu à prendre un réel avantage, et on a eu le droit à une course en peloton. Ce sont donc les Attack Mode qui ont chamboulé la hiérarchie, et à ce jeu-là, Porsche s'est loupé dans sa stratégie. Lors du deuxième restart, au 25e des 41 tours, Rowland et de nombreux autres pilotes ont pris leur Attack Mode, mais Wehrlein a préféré patienter. L'Allemand a alors dégringolé dans la hiérarchie, jusqu'à la 15e place, et lorsqu'il a finalement pris son boost de puissance, huit tours plus tard, il n'a pas réussi à remonter, franchissant même la ligne à la 16e place. Cassidy, 20e sur la grille, 1er à l'arrivée Pour Rowland, cette erreur a été du pain béni, et il a alors pu se contenter de gérer, sans nécessité de gagner. Il a donc laissé d'autres pilotes batailler pour la victoire. Celle-ci est revenue à Nick Cassidy (Jaguar), qui était 20e sur la grille, son deuxième succès cette saison, devant Jake Dennis (Andretti) et Jean-Éric Vergne (DS), seulement 18e au départ. Avant les deux dernières courses, à Londres dans deux semaines, Rowland compte 184 points, soit 59 de plus que Wehrlein, qui n'a marqué dimanche que les 3 points de sa pole. À 32 ans, le Britannique, présent en Formule E depuis 2015, décroche ainsi le premier titre mondial de sa carrière, et son premier titre depuis la Formule Renault 3.5 en 2015.


L'Équipe
5 days ago
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Mitch Evans remporte la première course à Berlin, Pascal Wehrlein se rapproche d'Oliver Rowland au Championnat
Mitch Evans (Jaguar) s'est imposé samedi lors de la première course du week-end à Berlin, devant Pascal Wehrlein (Porsche) et Edoardo Mortara (Mahindra). Le leader du Championnat, Oliver Rowland (Nissan) a abandonné et n'est pas encore champion du monde. Les conditions de piste à Berlin étaient quasiment les mêmes que sur le Sachsenring en MotoGP, avec un circuit tout de même un peu plus sec. Et si aucune goutte supplémentaire n'est venue perturber les débats, les pilotes ont tout de même pris des risques et les accrochages ont été nombreux. Le plus important, celui entre Stoffel Vandoorne (Maserati) et Oliver Rowland (Nissan) à moins de dix tours de l'arrivée. Alors que le leader du Championnat disputait jusqu'alors une course d'attente, entre la 5e et la 10e place, cet incident l'a contraint à abandonner. Il ne marque donc aucun point au terme de cette 13e manche de la saison. Cela fait évidemment les affaires de ses poursuivants, qui peuvent ainsi retarder son sacre. En premier lieu Pascal Wehrlein (Porsche), qui a lui effectué une course d'attaque pour rester tout le temps dans le top 5. Il a même essayé d'aller chercher Mitch Evans (Jaguar) dans les derniers tours, mais le Néo-Zélandais a résisté, pour aller chercher son second succès cette saison après la première course au Brésil. Déception dans le clan DS L'Allemand réalise tout de même une bonne opération au Championnat et revient à 50 points du leader Rowland, qui devra marquer huit points dimanche lors de la course 2 pour décrocher le titre. Son coéquipier chez Porsche Antonio Felix da Costa aurait pu l'accompagner sur le podium mais il a été jugé coupable d'un accrochage avec la Maserati de Jake Hughes et se retrouve 10e, la 3e place revenant dans les mains d'Edoardo Mortara (Mahindra). Déception dans le clan DS, qui aurait pu placer ses deux pilotes dans le top 5, mais Maximilian Günther se contente de la 7e place et Jean-Eric Vergne a dû abandonner en fin de course sur un problème mécanique.


L'Équipe
7 days ago
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L'heure du titre de champion du monde de Formule E pour Oliver Rowland ?
Avec son énorme avance au classement, Oliver Rowland (Nissan) a tout en main pour valider son titre mondial dès ce week-end lors des deux E-Prix de Berlin, deux semaines avant le final londonien. En tête du Championnat depuis le début de la saison, caracolant avec plusieurs victoires de marge depuis des semaines, Oliver Rowland est en position de valider son premier titre de champion du monde de Formule E dès samedi ou dimanche à Berlin, qui accueille deux E-Prix (avant le final, doublé également, à Londres à la fin du mois). Malgré un seul point inscrit lors des deux dernières courses, le pilote Nissan compte toujours 69 unités de marge sur son plus proche poursuivant, le tenant du titre Pascal Wehrlein (Porsche). Or il n'aura besoin d'en avoir « que » 58 à l'issue du week-end, dimanche, pour assurer sa couronne, ce qui serait sa première depuis celle décrochée en Formule Renault 3.5 en 2015. Un scénario favorable (18 points de mieux que Wehrlein, 13 de mieux qu'Antonio Felix Da Costa et 7 de mieux que Taylor Barnard) pourrait même lui offrir le titre dès samedi, à trois courses de la fin, une rareté en Formule E qui donne lieu, d'habitude, à des Championnats serrés jusqu'au bout. Côté DS-Penske, le but sera d'engranger autant de points que possible pour conserver la troisième place du Championnat par équipes, en comptant notamment sur l'expérience de Jean-Éric Vergne qui a déjà compilé 7 podiums sur les tracés dessinés sur l'aéroport de Tempelhof. Le double champion 2018 et 2019 sera le seul Français sur la grille puisque Norman Nato est retenu avec Jota-Cadillac au Brésil en Championnat du monde d'endurance (WEC). Il sera remplacé par Sergio Sette Camara. Autre remplacement pour une raison similaire, celui de Nyck de Vries (Toyota en WEC et Mahindra en FE) qui sera suppléé par l'ancien champion de Formule 2 Felipe Drugovich.