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PSG-Bayern Munich : buteurs, passeurs, dribbleurs… entre Dembélé et Olise, un vrai duel de funambules
PSG-Bayern Munich : buteurs, passeurs, dribbleurs… entre Dembélé et Olise, un vrai duel de funambules

Le Parisien

time2 hours ago

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PSG-Bayern Munich : buteurs, passeurs, dribbleurs… entre Dembélé et Olise, un vrai duel de funambules

Deux jolies cylindrées pour faire vrombir de plaisir le Mercedes-Benz Stadium d'Atlanta. Malgré une saison éreintante, Ousmane Dembélé (28 ans) et Michael Olise (23 ans) en ont encore sous le capot et seront deux attractions majeures du quart de finale de la Coupe du monde des clubs opposant le PSG au Bayern Munich, ce samedi (18 heures). Cette confrontation entre prétendants à la victoire finale est certainement la plus relevée depuis le début de la compétition et la présence des deux internationaux français participe forcément à l'attractivité de cette rencontre.

« On veut être imprévisible, c'est ça la clé » : Luis Enrique avant PSG - Bayern Munich à la Coupe du monde des clubs
« On veut être imprévisible, c'est ça la clé » : Luis Enrique avant PSG - Bayern Munich à la Coupe du monde des clubs

L'Équipe

time2 hours ago

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« On veut être imprévisible, c'est ça la clé » : Luis Enrique avant PSG - Bayern Munich à la Coupe du monde des clubs

Luis Enrique, l'entraîneur du PSG, se méfie du Bayern Munich avant le quart de finale de la Coupe du monde des clubs, ce samedi (18 heures, heure française). Il espère que son équipe conservera le niveau affiché depuis plusieurs mois. « Y a-t-il un sentiment de revanche ce samedi, comme le disent vos joueurs, après la défaite du mois de novembre face au Bayern Munich (0-1) ? Pour moi c'est différent, je n'ai aucun sentiment de revanche. Revanche pour un match en phase de ligue de Ligue des champions ? Non. Aujourd'hui c'est un quart de finale d'une nouvelle compétition, c'est suffisant pour être motivé. Vous nous aviez dit il y a quelques semaines que vous aviez vu lors de cette défaite à Munich des éléments positifs. A-t-elle constitué un déclic dans la saison du PSG ?Je ne me rappelle pas, je parle beaucoup trop avec vous (sourire). Peut-être est-ce que ce match a été le déclic ? Toute la saison, on s'est amélioré. En début de saison, c'était un manque d'efficacité surtout en Ligue des champions. Je ne sais pas où a été le déclic mais je suis très content de la saison et des performances de l'équipe. Pensez-vous qu'Ousmane Dembélé est prêt à démarrer, comme il l'a dit lui-même ?Ousmane s'est entraîné toute la semaine avec nous. Ses entraînements me donnent beaucoup d'informations, je suis content de pouvoir compter sur Ousmane. On va voir demain (ce samedi), mais ce n'est pas le moment de donner des informations au Bayern Munich. Vous avez déjà souligné le travail défensif de Dembélé. En quoi peut-il améliorer votre équipe ?En termes statistiques, il va nous améliorer. Je ne le vois pas tant aux buts marqués que sur les expected goals qu'on concède. Contre le Bayern, ce sera un match complètement différent des précédents. Qui va générer plus de situations de jeu que d'habitude des deux côtés. « La liberté, c'est te battre pour tes coéquipiers, pour ton club » Ousmane Dembélé jouit d'une certaine liberté dans le jeu. Que veut dire ce mot pour vous ?Prenez-le comme vous le voulez. Chaque joueur a des devoirs. La responsabilité collective est plus importante que l'individuelle. La liberté, c'est te battre pour tes coéquipiers, pour ton club. Ce groupe a porté à un très haut niveau ce que veut dire bien jouer au foot. Chercher la victoire en jouant bien. On peut gagner, on peut perdre, mais on va essayer de bien le faire. La semaine a été longue entre la victoire contre l'Inter Miami (4-0) dimanche et le quart face au Bayern ce samedi. Avez-vous ressenti le besoin de remotiver vos joueurs ?Pour être honnête, ça a été très long. Six jours entre les deux matches, c'est beaucoup, surtout en fin de saison. On a fait une très bonne semaine d'entraînement, on a bien fait le boulot. L'équipe est prête, ce sera dur face au Bayern Munich, l'une des meilleures équipes de cette compétition et d'Europe. Je pense que l'on verra un très bon match. Vous avez trouvé un système qui vous permet de gagner. Pensez-vous que dans deux ou trois années il vous permettra encore de le faire ?On doit être imprévisible pour l'adversaire et prévisible pour nous. Ce n'est pas un système, c'est une idée collective de jeu, c'est plus compliqué. Comment on occupe les espaces, comment on défend et on attaque ensemble. On veut être imprévisible, c'est ça la clé. Vous avez trois attaquants de haut niveau qui combinent bien. Comment le gérez-vous ?C'est notre choix, avec la direction et la direction sportive, d'avoir bâti un tel effectif. Que nos attaquants n'aient pas seulement la capacité de marquer mais de déborder, d'être bons dans les un-contre-un. On a Barcola, Kvaratskhelia, Doué, Mbaye, Dembélé, cinq joueurs qui peuvent jouer sur les ailes ou dans l'axe. Cela nous donne beaucoup d'options. La possession est ce qu'on cherche, mais si on peut générer des supériorités dans les un-contre-un, très bien. Je suis un entraîneur chanceux. Quelle est la clé pour être supérieur contre le Bayern ? Est-il l'adversaire le difficile que vous avez affronté ici ?On va se frotter à une référence. C'est une équipe très proche de nous : parce qu'elle aime avoir le ballon, et par son attitude quand elle ne l'a pas. Je m'attends à une partie ouverte, qui peut être divertissante pour les spectateurs. Pour nous cela sera un test. Si on passe, cela sera une motivation supplémentaire. On est dans une période très positive depuis des mois, et on veut relever ce défi. « En tant qu'entraîneur, j'essaie de transmettre une belle idée, offrir à nos fans un beau spectacle. Certains vont au cinéma ou au théâtre, nous, on veut faire pareil » Quelle place a la notion de plaisir dans votre travail ?C'est à la fois simple et difficile. Je pense que c'est la clé de ce qu'on propose. En tant qu'entraîneur, j'essaie de transmettre une belle idée, offrir à nos fans un beau spectacle. Certains vont au cinéma ou au théâtre, nous, on veut faire pareil. Cela a beaucoup à voir avec le profil des joueurs qu'on cherche à recruter. On s'entraîne à 90 %, pour ne pas dire à 100 %, avec le ballon. Je viens de l'école du Barça, où tout tournait autour du ballon. Depuis que je suis entraîneur, toutes mes équipes ont essayé de développer ça. Je suis convaincu que bien jouer te donne plus de chances de gagner. Bradley Barcola plaît au Bayern Munich, qu'en pensez-vous ?Qui sait ce qui peut se passer pendant le mercato ? Ça fait toujours plaisir de voir que nos joueurs plaisent aux autres clubs. Bradley a fait une très bonne saison, même s'il a été critiqué. J'espère qu'il restera longtemps au PSG, c'est notre souhait. À votre arrivée au stade, vous avez touché la pelouse. Comment la trouvez-vous ?Elle est pire que contre Miami. Il y a eu un autre match depuis dessus (Dortmund-Monterrey, mardi en huitièmes de finale). J'espère que demain (samedi) elle sera meilleure, après avoir été arrosée. Avez-vous discuté avec vos joueurs portugais de la disparition de Diogo Jota et de son frère André ?C'est sans aucun doute la pire nouvelle qu'on peut recevoir. Je ne peux pas imaginer dans quel état est sa famille, son entourage. On peut juste leur apporter notre soutien. Le temps fera, entre guillemets, qu'on puisse supporter cette nouvelle. Cela a été très dur pour ses coéquipiers en sélection. C'est la vie. Il faut l'accepter, mais c'est dur.

PSG - Bayern Munich : à quelle heure et sur quelle chaîne TV voir le quart de la Coupe du monde des clubs ?
PSG - Bayern Munich : à quelle heure et sur quelle chaîne TV voir le quart de la Coupe du monde des clubs ?

Le Parisien

time6 hours ago

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PSG - Bayern Munich : à quelle heure et sur quelle chaîne TV voir le quart de la Coupe du monde des clubs ?

Les choses sérieuses commencent pour le Paris Saint-Germain . Jusqu'ici relativement épargné dans son parcours à la Coupe du monde des clubs , même s'il a été surpris par Botafogo (0-1) en poules, le récent vainqueur de la Ligue des champions a hérité d'un gros morceau en quart : le Bayern Munich, qui n'a pas été beaucoup plus testé depuis le début de compétition. Le champion d'Allemagne sera diminué, avec la blessure de Kingsley Coman lors du huitième (4-2), et le départ de Leroy Sané pour Galatasaray. De son côté, le PSG pourra compter sur le retour d'Ousmane Dembélé, qui a pu entrer en jeu pour une demi-heure face à l'Inter Miami (4-0). Le club de la capitale aura des envies de revanche : lors de son dernier match face au Bayern, en novembre dernier, avant qu'il ne devienne le rouleau compresseur qui a roulé sur l'Europe ensuite, il s'était incliné en phase de groupes de C1 (0-1) sur un but de Kim Min-Jae. Le quart de finale de la Coupe du monde des clubs entre le Paris Saint-Germain et le Bayern Munich est à suivre ce samedi 5 juillet à 18 heures sur DAZN et en direct commenté sur notre site

Coupe du monde des clubs : «Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition», souffle le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi
Coupe du monde des clubs : «Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition», souffle le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi

Le Figaro

time8 hours ago

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Coupe du monde des clubs : «Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition», souffle le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi

Le président parisien a fait le point devant les journalistes ce vendredi, à Atlanta, évoquant notamment le Ballon d'or mais aussi les critiques envers le Mondial des clubs. «Si Ousmane Dembélé ne gagne pas le Ballon d'or, il y a un problème», a déclaré le président du Paris-SG Nasser Al-Khelaïfi ce vendredi, à la veille du choc en quart de finale du Mondial des clubs contre le Bayern Munich, samedi (18h00). «Vu la saison qu'il a faite, une saison magnifique, aucun doute qu'il gagne le Ballon d'or», a dit «NAK» à la presse après un entraînement de l'équipe sur le campus de l'université de Kennesaw, au nord d'Atlanta (Georgie). «S'il ne gagne pas, il y a un problème. Il a tout fait», a insisté le dirigeant, en référence à l'influence prépondérante du joueur sur les champions d'Europe, avec notamment 33 buts et 15 passes décisives. «C'est sûr que c'est important pour le club. Mais le plus important c'est que tout le monde joue pour l'équipe», a ajouté M. Al-Khelaïfi. Les joueurs, le coach, tout le monde est motivé. Nasser Al-Khelaïfi Publicité Interrogé sur le Mondial des clubs nouveau format et sur le calendrier surchargé des joueurs, le président du PSG a assuré: «C'est sûr que quand vous organisez une compétition comme ça, il y a des choses de pas top, mais en général c'est magnifique, un nouveau marché pour le foot, pour la marque, tout le club. Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition, avant les clubs et les joueurs ne jouaient jamais de Coupe du monde, (...) il faut penser de manière positive», a-t-il dit. «Il y a beaucoup de challenges financiers dans le foot», a souligné Nasser Al-Khelaïfi. «Les joueurs, le coach, tout le monde est motivé, on prend match par match pour aller le plus loin possible», a-t-il relaté.

Luis Enrique avant PSG-Bayern : «Je n'ai aucun sentiment de revanche, c'est un test excitant pour nous»
Luis Enrique avant PSG-Bayern : «Je n'ai aucun sentiment de revanche, c'est un test excitant pour nous»

Le Figaro

time8 hours ago

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Luis Enrique avant PSG-Bayern : «Je n'ai aucun sentiment de revanche, c'est un test excitant pour nous»

En français la plupart du temps, Luis Enrique a répondu aux questions des journalistes vendredi, à la veille du quart de finale du Mondial des clubs, samedi, contre le Bayern. Le sentiment de revanche évoqué par les joueurs après la défaite en novembre à Munich : «Pour moi, c'est un peu différent. Je n'ai aucun sentiment de revanche. Revanche de quoi ? D'un match en phase de ligue ? Pas de revanche pour moi. C'est un match motivant parce que c'est un quart de finale d'une nouvelle compétition. Et c'est suffisant pour être motivé. Pas de revanche pour moi.» La défaite contre le Bayern en forme de déclic : «J'ai dit cela ? Je ne m'en souviens pas (rires). Je parle beaucoup avec vous (sourire). C'est facile de dire où je pense qu'il y a peut-être eu un déclic, mais pendant toute la saison, on a vu l'amélioration de l'équipe. En début de saison, il y avait un manque d'efficacité, surtout en Ligue des champions. On a vu l'amélioration. Je ne sais pas où a été le déclic mais je suis content de la saison et de la performance de l'équipe tout au long de la campagne.» À lire aussi Coupe du monde des clubs : «Je suis à 100% pour débuter», martèle Dembélé avant PSG-Bayern Publicité Ousmane Dembélé prêt à débuter : «Il a fait toute la semaine d'entraînement avec le groupe. Ces séances me donnent beaucoup d'informations et je suis content de voir Ousmane avec l'équipe. On verra. Ce n'est pas le moment de donner des informations à l'adversaire. On verra demain.» S'il a eu besoin de motiver les joueurs après cette longue semaine : «Ça a été très long (depuis le dernier match) pour être honnête. Il y a six jours, c'est beaucoup, surtout à ce moment de la saison, mais on a fait une très bonne semaine d'entraînement, on a bien fait le boulot, et je pense que l'équipe est prête à combattre. Ce sera un match difficile contre le Bayern, l'une des meilleures équipes d'Europe et de cette compétition. On peut voir un très beau match.» La mort de Diogo Jota : «C'est la pire nouvelle qu'on peut recevoir. Tout le monde du football est affecté. Je ne peux pas imaginer ce que ses proches et sa famille peuvent ressentir. On veut simplement leur transmettre notre soutien, mais il n'y a rien qui peut adoucir la peine. Il n'y a que le temps pour guérir cela. Évidemment, on est très tristes pour les joueurs portugais qui ont joué avec lui et ses coéquipiers. C'est la vie, il faut l'accepter, c'est dur.» Je ne pense pas qu'on aura autant le contrôle que d'habitude. Luis Enrique La clé du match : «On verra demain. On connaît très bien le Bayern, pas seulement parce qu'on les a joués, mais on connaît leur profil, leur coach, les joueurs… Ils sont similaires à nous en tant qu'équipe pour ce qui est de la volonté d'avoir le ballon et le comportement à la perte. Ce sera un match ouvert. Je ne pense pas qu'on aura autant le contrôle que d'habitude. Donc ce sera un match plus ouvert et potentiellement intéressant à suivre. C'est un test excitant pour nous. On veut le passer, avancer dans la compétition et on est motivés pour cela. On est conscients de leur niveau. On est sur une bonne dynamique sur les derniers mois et on veut continuer dans cette voie.» L'équilibre entre plaisir et efforts : «C'est facile et compliqué à la fois. En tant que coach, je transmets une idée formidable, que ce soit en club ou en sélection, je demande toujours un jeu basé sur le spectacle. Les gens ne vont pas au cinéma ou au théâtre pour s'ennuyer. Ils veulent s'amuser. Et dans le football, le basket ou les autres sports, on peut offrir un divertissement et du spectacle aussi. Il est donc question de savoir ce qu'on attend des uns et des autres. On démarre toutes les séances d'entraînement avec la même idée. 90% du temps, on s'entraîne avec le ballon. Évidemment, il y a le travail défensif, ce n'est pas aussi attractif. Mais chaque coach doit le faire en fonction de ses intérêts. Je suis de l'école barcelonaise, où tout tourne autour de la possession. C'est donc ce que j'essaie de transmettre. Toutes les équipes que j'ai entraînées depuis 10 ans ont essayé de faire la même chose. Certains managent leur équipe mieux que d'autres. Mais la clé a toujours été de gagner en jouant un bon football.» À lire aussi Coupe du monde des clubs : «Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition», souffle le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi Publicité La pelouse : «Pire que le match contre l'Inter Miami (qui s'est disputée dans le même stade, NDLR). J'espère que demain (samedi), ça peut s'améliorer avec l'arrosage. On verra.» Marquer l'histoire : «On veut tous aller le plus loin possible dans la compétition et être en position de soulever le trophée. Mais on n'est qu'en quarts de finale, on rencontre une équipe de notre niveau. On est sûrs d'être prêts. Ce sera aussi dur pour les deux équipes.» Il faut être imprévisible pour l'adversaire et prévisible pour toi-même. Luis Enrique Si le système actuel peut permettre au PSG de continuer à gagner : «Ce n'est pas une question de système. Ce n'est pas comme si on déterminait une formation et voilà, ça marche. Ce n'est pas ça. Il faut être imprévisible pour l'adversaire et prévisible pour toi-même. Ce n'est pas un système mais une idée collective de jeu. C'est plus compliqué que ça. On trouve notre motivation dans l'idée d'être imprévisibles. C'est ça la clé.» Bradley Barcola qui serait courtisé par le Bayern : «Qui sait ce qui peut arriver au mercato… Évidemment, on aime le fait que d'autres équipes apprécient nos joueurs, mais on s'appuie sur de jeunes joueurs, en particulier les joueurs français. Bradley Barcola a été un joueur clé pour nous cette saison. Il a été beaucoup critiqué à Paris. C'est sa deuxième saison au club. C'est arrivé à d'autres jeunes joueurs. Ça fait partie du processus de progression individuelle. Bien sûr, j'espère qu'il va rester à Paris pour de longues années. Et c'est ce qu'il veut aussi, je n'ai pas de doute là-dessus.» Propos recueillis en conférence de presse

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