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British Open : Scheffler en mode «Tiger»
British Open : Scheffler en mode «Tiger»

Le Figaro

time3 days ago

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British Open : Scheffler en mode «Tiger»

Déjà vainqueur de trois Majeurs, l'Américain numéro un mondial se dit «impatient de relever le défi de dimanche» sur le Dunluce Links du Royal Portrush. Les neuf dernières fois que l'Américain Scottie Scheffler a mené après 54 trous sur le PGA Tour, il a conclu par la victoire et il semble n'y avoir aucune raison de penser que ce sera différent à l'Open britannique, ce dimanche. À découvrir Le classement mondial des meilleurs joueurs de Golf Le numéro un mondial de 29 ans a étendu son avance samedi d'un à quatre coups, avec un tour calme et serein (67) sans bogey sur le parcours parfait du Royal Portrush. À l'exception d'un eagle sur le par 5 du trou n°7, il a laissé le groupe de poursuivants faire le job, tout en affichant le genre de concentration zen autrefois associée à Tiger Woods, 15 Majeurs au compteur. Publicité «Impatient de relever le défi de dimanche» Scheffler était également en tête après 54 trous lors de ses trois victoires majeures et même s'il ne prendra rien pour acquis dimanche, quelqu'un devra sûrement faire quelque chose de spécial pour l'arrêter. « Votre avis est aussi bon que le mien », a déclaré Scheffler, le premier numéro un mondial à mener l'Open à mi-parcours depuis Woods en 2006, lorsqu'on lui a demandé pourquoi il était devenu un si bon finisseur. «J'aime être ici en compétition. C'est pour cela que nous travaillons si dur : pour avoir des opportunités comme celle-ci, et je suis impatient de relever le défi de demain. Gagner des championnats majeurs n'est pas chose facile, et je me suis mis en bonne position.» Ajoutant : « Demain, je vais m'avancer au premier tee et essayer d'envoyer la balle sur le fairway, et au deuxième coup, j'essaierai de la mettre sur le green. Il n'y a pas grand-chose d'autre à faire. » « Il joue comme Scottie. » Rory McIlroy Ce simple mantra a fait des merveilles sur le Dunluce Links de Portrush. Il n'a commis que trois bogeys en trois tours, un chiffre égalé uniquement par le Chinois Li Haotong, son plus proche adversaire avant la finale de dimanche sur la côte d'Antrim. Après le majestueux tour de vendredi avec un score de sept sous le par (64), le plus bas de la semaine, il s'agissait samedi de s'assurer de consolider la base solide qu'il avait construite. Scheffler, dont la septième place ex æquo l'année dernière à Troon était son précédent meilleur résultat à l'Open, sait qu'il reste encore beaucoup de travail à faire, mais il semble inébranlable. Le favori local Rory McIlroy, qui débutera à six coups de retard à égalité pour la quatrième place, a déclaré qu'il n'était pas surpris par la performance de Scheffler jusqu'à présent. « Il joue comme Scottie. Tout le monde a vu comment il a joué ces deux ou trois dernières années. Il est tellement solide. Il ne fait jamais d'erreurs », a déclaré McIlroy. « Il est incroyablement impressionnant. »

« Envie de profiter et de donner le meilleur de moi-même »  : Romain Langasque confiant avant le British Open
« Envie de profiter et de donner le meilleur de moi-même »  : Romain Langasque confiant avant le British Open

L'Équipe

time7 days ago

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« Envie de profiter et de donner le meilleur de moi-même » : Romain Langasque confiant avant le British Open

Romain Langasque dispute cette semaine son sixième British Open. Le Français s'est confié à l'issue de sa dernière partie d'entraînement mercredi. « Romain, dernière journée d'entraînement ce mercredi au British Open, comment vous sentez-vous ?J'ai fait une très bonne reco hier (mardi), une très bonne reco aujourd'hui (mercredi). Mon jeu monte en puissance et je me sens vraiment très bien, sincèrement. C'était top dans des conditions parfaites. Justement, quelle valeur ont des parties d'entraînement dans les conditions parfaites quand on sait que le temps va changer les prochains jours ?C'est vrai que là, ce n'est pas vraiment la réalité. Il fait très beau, il y a très peu de vent. Même celle d'hier, c'était un vent opposé dès deux premiers jours. Demain (jeudi), ce sera un parcours qui va vraiment être différent de ce que j'aurais vu pendant les recos mais on prend des infos et on essaye d'avoir des repères. On regarde un peu les roughs, les tours de green, on essaye des coups, les bunkers pour voir quels clubs peuvent passer ou non. C'est vraiment de l'observation plus que du jeu. Mais c'est aussi très agréable de travailler dans ces conditions-là. Ça permet de prendre le temps et de ne pas être en train de batailler avec la pluie. « Ce sont des joueurs du PGA Tour qui jouent très bien aux Etats-Unis. Pour moi, ça me fait juste réaliser qu'ils ont deux bras, deux jambes et qu'ils ne sont pas forcément meilleurs que nous » Vous avez fait votre partie d'entraînement avec Martin Couvra mais aussi Sahith Theegala. C'est bien d'avoir des joueurs comme lui dans une partie ?Ce sont des joueurs du PGA Tour qui jouent très bien aux États-Unis. Pour moi, ça me fait juste réaliser qu'ils ont deux bras, deux jambes et qu'ils ne sont pas forcément meilleurs que nous. Martin et moi, on joue largement aussi bien, peut-être même mieux que beaucoup de mecs là-bas. Encore une fois c'était sympa de voir autre chose que ce qu'on voit en Europe. Le plus impressionnant ou plutôt la plus grosse différence qu'on a entre eux et nous, c'est le détachement. Ils tapent des coups, ils jouent, ils sont tranquilles. Je trouve que ça, c'est une vraie différence, un peu à l'image d'un Dustin Johnson. Même si lui, c'est un peu l'extrême, mais voilà, c'est tranquille. Il est arrivé, il tape ses coups. S'il est mauvais il en retape un. Il n'y a pas de drame, il y a pas stress, C'est ça que je retiens le plus, dans l'attitude des Américains. ils sont très détachés, chill. Vous êtes de retour au British avec une petite revanche à prendre sur l'an passé où vous aviez dû abandonner ?C'est vrai que l'année dernière, je crois que je n'ai jamais eu d'émotions aussi hautes et aussi basses en 15 jours. Je fais 3e au Scotch Open (Écosse), qui est sûrement une de mes plus belles performances en carrière vu le champ de joueur qu'il y avait. La semaine d'après, je dois abandonner après 8 trous au British Open qui est pour moi le plus beau tournoi du monde. Il y a une atmosphère et une énergie incroyable et c'est un type de jeu qui me convient très bien. Il faut manier la balle, il faut créer, imaginer. C'est un golf qui me parle. Une revanche ? je ne sais pas mais en tout cas, il y a beaucoup d'envie de profiter et de donner le meilleur de moi-même. On vous a vu à côté d'un jeune supporter, dans les cordes. c'est Henry, un petit qui me suit avec son papa depuis 3 ans, à chaque British. Ils sont adorables et pas du tout envahissants. Hier (mardi), je l'ai pris avec moi pendant 3 trous, il était comme un fou et ce matin je l'ai fait putter sur un green. Il s'en souviendra toute sa vie. Et je me dis que si j'avais été à sa place, j'aurais kiffé pouvoir vivre un moment comme ça. »

Chris Gotterup résiste à Rory McIlroy pour remporter l'Open d'Écosse
Chris Gotterup résiste à Rory McIlroy pour remporter l'Open d'Écosse

L'Équipe

time13-07-2025

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Chris Gotterup résiste à Rory McIlroy pour remporter l'Open d'Écosse

L'Américain Chris Gotterup (-15) a remporté dimanche son deuxième trophée sur le PGA Tour en résistant à Rory McIlroy et Marco Penge (-13) sur l'Open d'Écosse, à une semaine du British Open. Antoine Rozner (22e, -5) a été le meilleur Français. Quand Chris Gotterup est allé à la faute au 15 pour laisser Rory McIlroy revenir à un coup, avec 3 trous à jouer, on a cru que le Nord-Irlandais allait au moins arracher le play-off, et très possiblement le trophée, avant de mettre le cap sur Portrush, chez lui en Irlande du Nord, où se déroulera le British Open la semaine prochaine. Sauf qu'il n'y a pas eu de 19e trou, et encore moins de crème renversée. L'Américain n'a pas craqué et le n°2 mondial - 68 ce dimanche, avec 10 trous dans le par pour finir ! -, qui termine à hauteur de Marco Penge (-13), ne s'est pas donné les moyens de le faire céder, même s'il retrouve son meilleur niveau à un moment de la saison où il va être très attendu, Augusta semblant définitivement digéré. Gotterup (25 ans) s'offre donc son deuxième sacre sur le circuit PGA, après le Myrtle Beach Classic l'an dernier, puisque cet Open d'Écosse était co-sanctionné par le Tour européen et le circuit américain. Le 158e joueur mondial (-15) a résisté à un champ royal, s'appuyant sur son 61 de vendredi (record du parcours égalé). Il a aussi pris le meilleur sur Hojgaard, Fitzpatrick, Rose, Straka, Schauffele, Scheffler, Aberg, qui ont tous fini dans le top 10. En s'imposant sur ce Rolex Series, Gotterup valide évidemment son billet pour le British, qui débutera jeudi prochain. Les Bleus trop justes ce dimanche Du côté français, ce dernier tour n'a pas été à la hauteur des espérances. Alors qu'il s'était élancé en 7e position, Antoine Rozner n'a pu faire mieux que 22e (-5) après un 72 peu en adéquation avec ce dont il rêvait. Ugo Coussaud et Victor Perez, qui ne disputera donc pas le British, ont fini ensemble (43e, -3). Romain Langasque a bouclé sa semaine dans le par total (55e), et Martin Couvra a fermé la marche tricolore (73e, + 4). Rozner, Couvra et Langasque seront en Irlande du Nord dès jeudi, accompagnés de Saddier, Guerrier et Pavon.

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