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« Orelsan m'a dit qu'il avait dormi avec ses rollers tellement il se sentait bien dedans » : René Borel, l'homme qui a déposé plus de 80 brevets sportifs
Inventeur prolifique, René Borel a oeuvré pour Salomon et Wilson avant de retrouver sa liberté créative au côté de la star du trail Kilian Jornet chez NNormal. « J'ai grandi dans une ferme des Hautes-Alpes, dans une famille de paysans. On n'avait pas d'argent, alors on fabriquait tout nous-mêmes. À l'école, c'était compliqué. J'étais dyslexique, je peinais à lire et à comprendre comme les autres. Et à la maison, il y avait la violence, les humiliations. J'étais obligé de travailler dès que je rentrais ; aider à la ferme, construire des remorques, réparer des outils pour les champs ou s'occuper des animaux. Plus tard, j'ai pu par chance intégrer une école d'ingénieur. Je touche, je casse, je démonte, je recommence Je suis un homme de terrain. Je touche, je casse, je démonte, je recommence. L'échec fait partie du processus. Pour une invention qui marche, il y en a des dizaines qui échouent. Mais c'est souvent dans ces ratés que naissent mes meilleures idées. Ma plus grande force, c'est ma sensibilité. Elle m'a souvent posé problème, mais elle m'a aussi permis de capter ce que d'autres ne voient pas. J'observe, j'écoute profondément les gens, je regarde comment ils bougent, comment ils vivent. Et j'essaie de transformer leurs besoins en solutions concrètes. Quand je suis arrivé chez Salomon, en 1985, j'étais encore un gamin maladroit, mais j'avais de l'énergie. J'y suis resté quarante ans. Avec eux, on a tout inventé : les chaussures de ski, de randonnée, de trail, et les rollers. Cette période du roller a été intense, surtout aux États-Unis. J'ai passé des semaines entières à travailler jour et nuit avec des riders passionnés. Pendant dix ans, on est devenus les meilleurs du monde. Avec le roller, le problème était le confort. Les riders avaient accepté l'idée que pratiquer ce sport, c'était forcément avoir mal aux pieds. Moi, j'ai refusé cette fatalité. Sur le papier, ça paraît simple : on rend la chaussure plus confortable, on ajoute de la mousse, et c'est réglé. Mais non. Il fallait préserver la performance, garder les sensations de glisse tout en réinventant le confort. Trouver cet équilibre a pris des années. À l'époque, tous les rollers étaient conçus avec des "lames" et un talon très haut. Si bien que lors des sauts, à la réception sur le goudron ou le béton, le calcaneum (le plus volumineux des os du talon) frappait directement la coque dure, provoquant des douleurs importantes. Ce décalage entre l'avant du pied et le talon rendait par ailleurs les appuis instables pour se poser en toute sécurité lors des grinds sur les barres. Pour résoudre ces contraintes, j'ai complètement repensé la conception. J'ai dessiné une coque plus large et plate. La hauteur gagnée sous le talon m'a permis d'intégrer un pad en mousse issu de la technologie des chaussons de ski, d'environ 2,5 centimètres d'épaisseur. Cet insert jouait le rôle d'amortisseur et protégeait ainsi le calcaneum des chocs répétés. « La chaussure avec la languette qu'on tire pour serrer ses lacets est devenue la plus vendue chez Salomon » En 2020, le chanteur Orelsan m'a confié qu'il avait dormi avec ses rollers la première nuit, tellement il se sentait bien dedans. Ce genre de témoignage me touche profondément. Quand quelqu'un te dit qu'il aime marcher ou bouger grâce à ce que tu as créé, c'est la vraie récompense. J'ai déposé plus de 80 brevets. Beaucoup sont des idées simples, comme cette languette qu'on tire pour serrer les lacets. La chaussure qui a bénéficié de cette invention est devenue la plus vendue chez Salomon. C'est bête, n'est-ce pas ? Et pourtant, c'est là que j'ai réussi mon travail d'ingénieur : quand on se pose la question "Pourquoi personne n'y a pensé avant ?". Ma méthode est toujours la même : partir d'un problème concret, le reformuler, le déconstruire, puis chercher une solution. En tennis, par exemple, les surfaces dures abîmaient les articulations. La marque Wilson nous a sollicités. J'ai pensé aux matériaux utilisés dans le ski pour créer une semelle qui glisse sans perdre l'accroche. Je vous le raconte de manière raccourcie mais ça a pris beaucoup de temps. On a essayé des dizaines de modèles avant que ça fonctionne. J'ai fait le tour des grands joueurs aux quatre coins du monde. Comme toute nouvelle invention, on a essuyé beaucoup de critiques. Les joueurs étaient très sceptiques, alors que maintenant, ces chaussures sont devenues une évidence. C'est ça qui est beau dans l'invention. C'est long, c'est difficile, mais quand ça marche et que les gens l'adoptent, c'est magique. Surtout, ça prouve qu'il ne faut jamais lâcher, même quand tout le monde doute de toi. « C'est ça qui est beau dans l'invention. C'est long, c'est difficile, mais quand ça marche et que les gens l'adoptent, c'est magique. » Tout ça a un prix. Après quarante ans chez Salomon, j'ai craqué et fait un burn-out. Pendant deux ans, ma vie s'est écroulée, je ne croyais plus en rien. Mes deux filles ont failli mourir. J'ai passé six ans dans les hôpitaux. Puis j'ai eu un cancer. Tout s'est enchaîné. C'est là que j'ai compris que cette sensibilité que je croyais être une faiblesse pouvait devenir une force. J'ai suivi de multiples formations, appris à comprendre le sens de la vie. Je me suis même formé aux médecines alternatives, qui sont une autre manière de comprendre le monde. Et ça m'a sauvé. Aujourd'hui, je prends le temps. Je médite. J'ai compris que mes sens m'ont toujours plus aidé que mon cerveau. Je n'avais pas conscience de ce que j'avais pu accomplir, car j'étais pris dans une machine qui me détruisait de l'intérieur. L'avenir, c'est le recyclage Je vis entre Annecy, la station de ski de mon enfance, et le monde. Je suis encore moniteur de ski, après quarante ans. Je crée toujours, mais autrement. Avec NNormal, la marque lancée (en 2022) par Kilian Jornet, j'ai retrouvé ma liberté. Je travaille avec quelqu'un qui peut me guider, me conseiller, me donner toute son expérience de la marche, de la performance, pour que je puisse l'aider en retour. Et, à travers lui, aider le plus de monde possible. Je peux pousser mes idées, même les plus folles. Je crois que l'avenir, c'est le recyclage. Fabriquer des chaussures qu'on peut démonter au lieu de jeter. C'est un combat, mais j'y crois. Je veux qu'on invente mieux, qu'on invente utile. Aujourd'hui, je n'ai plus envie de compromis. Je souhaite que ce que je fais serve vraiment. Et tant que j'aurai un souffle, je continuerai à inventer. »
L'Équipe
a day ago
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3 claquettes de récupération à adopter pour cet été
Découvrez notre sélection de 3 claquettes de récupération idéales pour l'été. Confort, amorti et soutien musculaire après l'effort : New Balance, Hoka, Salomon... faites le bon choix ! La rédaction de L'Equipe n'a pas participé à l'écriture de cet article. Après une séance de sport, une course longue ou une randonnée intense, vos muscles et vos articulations ont besoin de repos. Et vos pieds en premier lieu. Cet été, ne négligez pas l'étape cruciale de la récupération : adoptez des claquettes techniques, spécialement conçues pour soulager vos appuis, détendre vos muscles et améliorer la régénération post-effort. On vous présente 3 modèles de claquettes de récupération ultra confortables à enfiler sans attendre dès la fin de vos activités sportives. Sommaire des claquettes présentées : - New Balance Fresh Foam RCVRY Slide V1 : légèreté et détente après l'effort - Hoka One One Ora Athletic Slide : confort extrême et soutien musculaire - Salomon Reelax Break 6.0 : maintien, amorti et adhérence optimisée New Balance Fresh Foam RCVRY Slide V1 : la légèreté au service de la récupération La Fresh Foam RCVRY Slide V1 de New Balance est la claquette idéale pour les sportives à la recherche de confort au quotidien. Dotée de la mousse Fresh Foam signature de la marque, elle offre un excellent amorti pour soulager les pieds après l'effort. Son design aéré favorise une bonne respirabilité, idéale en été. La semelle extérieure adhérente permet de la porter aussi bien en intérieur qu'en extérieur, sans perdre en stabilité. Facile à enfiler, ultra légère, elle devient un compagnon incontournable de votre routine post-sport. Caractéristiques : - Prix : 40,00 €. - Drop : 4 mm. - Amorti : Très bon. - Dynamisme : Bon. - Amorti moelleux grâce à la mousse Fresh Foam. - Conception respirante et légère. - Semelle relaxante idéale après l'effort. - Pas adaptée à la marche prolongée. - Maintien latéral un peu limité pour les pieds fins. Hoka One One Ora Athletic Slide : le confort ultime pour vos muscles Reconnue pour ses chaussures à l'amorti généreux, Hoka One One propose avec l'Ora Athletic Slide une claquette technique pensée pour la récupération musculaire. La semelle intermédiaire en EVA double densité procure un confort instantané dès l'enfilage, tout en réduisant les tensions sur les jambes fatiguées. Elle est idéale pour les athlètes réguliers, les coureurs et tous ceux qui souhaitent offrir à leurs pieds un véritable moment de relâchement. Avec son design moderne, elle se porte aussi bien à la maison qu'à l'extérieur. Caractéristiques : - Prix : 45,00 €. - Drop : 6 mm. - Amorti : Très bon. - Dynamisme : Moyen. - Semelle épaisse et ultra amortissante. - Confort enveloppant et soutien musculaire. - Look graphique moderne. - Moins adaptée à ceux recherchant un maintien rigide. - Un peu lourde pour une claquette (216g). Salomon Reelax Break 6.0 : maintien précis et récupération active Pensée pour les sportives exigeantes, la Salomon Reelax Break 6.0 est une référence en matière de claquette technique. Elle intègre une semelle intermédiaire EnergyCell, qui absorbe efficacement les chocs tout en favorisant une légère propulsion. Son maintien est renforcé par une sangle sans coutures en EVA moulé, qui évite les frottements. Et grâce à sa semelle extérieure Contagrip, elle assure une excellente adhérence, même sur sols mouillés. Une valeur sûre pour vos phases de récupération estivales, après une sortie trail ou une rando intense. - Prix : 49,00 €. - Drop : 6 mm. - Amorti : Très bon. - Dynamisme : Bon. - Très bonne stabilité et confort ajusté. - Semelle Contagrip pour une accroche optimale. - Légèreté remarquable (169g). - Peut tailler légèrement petit. - Look plus sportif, moins urbain. Pourquoi porter des claquettes de récupération après une séance de sport ? Après un entraînement intense ou une compétition, vos pieds, vos articulations et vos muscles ont été sollicités au maximum. Porter des claquettes de récupération permet de soulager immédiatement la pression exercée sur la voûte plantaire, tout en facilitant la détente musculaire. Grâce à leur amorti renforcé, elles absorbent les chocs résiduels et réduisent les tensions au niveau des tendons, notamment après une sortie longue ou un effort en impact (course à pied, trail, randonnée, cross-training...). Elles contribuent également à améliorer la circulation sanguine, limitent la surchauffe plantaire et permettent à vos pieds de respirer après avoir été confinés dans des chaussures de sport. Résultat : vous récupérez plus vite, plus confortablement _ un détail qui fait la différence dans la régularité et la qualité de vos entraînements. Que vous soyez coureur, randonneur ou simplement sportif régulier, les claquettes de récupération sont un must-have dans votre routine estivale. New Balance, Hoka ou Salomon proposent chacune leur vision du confort post-effort, avec des caractéristiques techniques à la hauteur de vos attentes. Prenez soin de vos pieds : ils sont votre premier moteur. FAQ : tout savoir sur les claquettes de récupération Oui, tant que l'usage est léger et que vous ne marchez pas sur de longues distances. Elles sont parfaites pour les phases de repos ou à la maison. Certaines claquettes (comme celles en EVA) sont adaptées à un environnement humide, mais attention aux modèles avec tissus respirants qui pourraient s'abîmer. Les claquettes de récupération sont conçues pour absorber les chocs, soutenir la voûte plantaire et limiter les douleurs post-effort. Les tongs, elles, n'ont généralement aucun amorti ni soutien structuré. Contenu sponsorisé. Certains liens de cet article sont trackés et peuvent générer une commission pour L'Equipe. Les prix mentionnés le sont à titre indicatif et sont susceptibles d'évoluer.
L'Équipe
7 days ago
- Sport
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Simon Paccard premier à poser une référence record de la traversée des Aravis
Le trailer français Simon Paccard a traversé les Aravis (50 km, 6 138 m de dénivelé positif), ce vendredi, en 8h59. C'est la première marque masculine de ce FKT (Fastest Known Time). Éminent spécialiste des trails courts avec dernièrement une belle 2e place sur le 23 km du Marathon du Mont-Blanc, Simon Paccard s'est lancé ce vendredi, date de son anniversaire (25 ans), dans le FKT (Fastest Known Time, temps de référence) de la traversée des Aravis, chaîne de montagnes à cheval entre la Haute-Savoie et la Savoie. Aucune référence masculine sur cette trace très technique, alors que l'ultra-traileuse Anne-Lise Rousset avait mis 10h36'25 il y a 5 ans jour pour jour pour venir à bout de ce 50 km et ses 6 110 m de dénivelé positif. Installé depuis octobre proche du Grand-Bornand, Paccard a entamé son périple ce vendredi à 6h du matin de la station Romme-sur-Cluses. Après avoir franchi les cols de la Tête de la Sallaz, de l'Oulettaz, de la Pointe percée, du Trou de la mouche, des Aravis, de l'Étale et de Charvin, l'athlète du team Salomon est arrivé au Bouchet-Mont-Charvin à 14h59, signant ainsi un chrono de 8h59, record à battre. « Je suis très content, nous a confié Simon Paccard, quelques minutes après son arrivée. Car au-delà du défi, ce que je voulais, c'était partager ce défi avec mes proches. Là, nous sommes une trentaine au bar à festoyer. C'était une journée hyper intense. J'étais dans un très bon jour, des défis comme ça, ça m'anime et ça se passe généralement très bien. C'était mon premier effort aussi long. Je sais que j'ai encore de la marge, c'est positif pour la suite ». « Par moments, il n'y a aucun chemin, mentalement c'est très difficile » Simon Paccard, traileur « Comme j'étais le premier homme à tenter ce FKT, je n'avais pas vraiment de référence mais j'ai appelé Anne-Lise (Rousset) et elle m'a donné quelques conseils. Car c'est vraiment très technique. Par moments, il n'y a aucun chemin, on passe à travers des combes, mentalement c'est très difficile. Il faut faire attention où on met les pieds, sous peine de dévaler la pente. » Dans un mois, le 29 août, Simon Paccard sera au départ de la CCC, le 101 km (6 050 m D +) de l'UTMB Mont-Blanc à Chamonix. Sa préparation a bien commencé.
Le Figaro
20-07-2025
- Politics
- Le Figaro
L'épave d'un destroyer japonais de la Seconde Guerre mondiale découvert aux îles Salomon
Une équipe de scientifiques américains a identifié l'épave du navire de guerre Teruzuki, coulé dans l'océan Pacifique par des torpilleurs américains lors de la bataille de Guadalcanal, en 1942. De nombreux vestiges de la Seconde Guerre Mondiale dorment encore dans les eaux de l'Océan Pacifique. Gisant à 800 mètres de profondeur, l'épave du destroyer japonais Teruzuki a été localisée dans le détroit d'Iron Bottom, au large des îles Salomon a annoncé le 12 juillet, l'équipe de scientifiques américaine de l'Ocean Exploration Trust (OET). Coulé le 12 décembre 1942 par des torpilleurs américains, le navire de guerre a été identifié à l'aide du navire océanographique E/V Nautilus et de deux véhicules sous-marins télécommandés (ROV). Les spécialistes l'ont reconnu grâce à son armement, sa taille et ses impacts causés par les torpilles américaines. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Contrairement à d'autres épaves, le Teruzuki est relativement bien conservé : il dispose encore de ses tourelles, de traces de peinture rouge et même de plusieurs grenades sous-marines. Mais son état risque de se dégrader à cause de la corrosion : « Cela doit être une préoccupation mondiale. Un certain nombre de navires de guerre coulés pendant la Seconde Guerre mondiale sont en danger et menacés d'effondrement » avertit le scientifique japonais et chercheur auprès de l'expédition sous-marine, Jun Kimura. Le Teruzuki a coulé au détroit d'Ironbottom Sound, au nord de l'île de Guadalcanal. Ocean Exploration Trust Publicité Un rôle clé dans la bataille de Guadalcanal Mis à flot en novembre 1941, le Teruzuki (en français, « lune brillante » ou « lune illuminée ») est un destroyer de classe Akizuki. Principalement armé de quatre canons de 100 mm et d'un quadruple tube lance-torpilles de 610 mm, le navire avait pour mission principale d'escorter les porte-avions. Sous les ordres du contre-amiral Raizo Tanaka, le Teruzuki a participé à plusieurs batailles comme celle de Guadalcanal, qui commence en août 1942. Au cours de cet affrontement, les Américains délogent les Japonais de l'île, empêchant ainsi la construction d'un aérodrome qui aurait pu menacer leurs lignes de communications. Le navire a joué un rôle notable lors de cette bataille, puisqu'il a protégé un convoi de ravitaillement à destination de l'île de Guadalcanal. Mais le 12 décembre, le Teruzuki est attaqué par plusieurs avions et torpilleurs américains et coule lorsque deux torpilles incendient son réservoir à pétrole. Neuf membres de l'équipage seront tués, tandis qu'une centaine de matelots seront sauvés par les vaisseaux japonais naviguant à proximité. Le détroit d'Iron Bottom a été le théâtre de cinq batailles navales majeures entre août et décembre 1942, se soldant par la perte de plus de 20 000 vies humaines, 111 navires et 1 450 avions, souligne le site de l'Ocean Exploration Trust, qui poursuit ses explorations, dans les îles Salomon, jusqu'au 25 juillet.
L'Équipe
18-07-2025
- Business
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Quelles sont les meilleures chaussures de running Salomon à choisir en 2025 ?
Du confort quotidien à la performance pure, Salomon propose en 2025 une gamme de chaussures de running taillée pour tous les objectifs. Que vous prépariez un marathon ou cherchiez une paire stable pour vos sorties régulières, nous avons sélectionné les meilleurs modèles à essayer cette saison. Suivez le guide ! La rédaction de L'Equipe n'a pas participé à l'écriture de cet article. Forte de son expertise en matière d'amorti, de stabilité et de dynamisme développée en terrain montagneux, la marque française Salon propose aujourd'hui une gamme complète de chaussures de running pensées pour le bitume. Que vous soyez coureur débutant ou expérimenté, à la recherche de vitesse, de confort longue distance ou d'un modèle polyvalent pour l'entraînement, Salomon conçoit des modèles adaptés à chaque foulée et à chaque objectif. Notre sélection des meilleures chaussures de running Salomon en 2025 - Salomon Phantasm : pour les amateurs de vitesse sur route - Salomon DRX Bliss : confort et stabilité pour courir longtemps - Salomon Aero Glide 3 : pour l'endurance sur route - Salomon Aero Blaze : le parfait compromis pour l'entraînement urbain - Salomon Spectur 2 : fluidité et propulsion au quotidien - Salomon Index 03 : un modèle polyvalent écoresponsable Salomon Phantasm : pour les coureurs qui veulent aller vite, très vite La Phantasm a été conçue pour celles et ceux qui cherchent la performance pure sur route. Ultra dynamique grâce à la plaque Energy Blade et à une mousse légère, elle se distingue par sa souplesse et son répondant. Idéale pour les sessions tempo ou les compétitions jusqu'au semi-marathon. Profil recommandé : coureurs de moins de 85 kg à la recherche de vitesse, foulée neutre, entraînements rapides ou compétitions. Points forts : - Dynamisme exceptionnel - Amorti performant malgré la légèreté (234 g) - Bon confort même à allure soutenue Point faible : - Moins adaptée aux longues distances type marathon pour les coureurs lourds Salomon DRX Bliss : pour les runners exigeants en quête de stabilité et de confort La DRX Bliss se démarque par son châssis actif, qui favorise un excellent maintien du pied. Grâce à son amorti souple et son drop modéré (8 mm), elle est parfaite pour les coureurs ayant besoin d'un soutien renforcé, notamment lors des longues sorties sur bitume. Profil recommandé : coureurs réguliers, légèrement pronateurs, souhaitant de la sécurité et un bon maintien. - Stabilité renforcée idéale pour les foulées pronatrices - Maintien précis et rassurant - Amorti moelleux mais réactif - Design plus massif, moins dynamique que d'autres modèles légers Salomon Aero Glide 3 : la référence pour l'endurance sur route, en toute légèreté Avec son amorti Energy Surge et sa conception pensée pour les longues distances, l'Aero Glide 3 assure un excellent confort kilomètre après kilomètre. Elle conserve une très bonne stabilité tout en étant plus légère que sa version précédente. Profil recommandé : coureurs réguliers à intensifs, jusqu'à 85 kg, cherchant une chaussure fiable pour l'entraînement long. - Confort longue distance - Bonne absorption des chocs - Légèreté accrue par rapport à la version précédente - Moins dynamique que des modèles plus agressifs Salomon Aero Blaze : la chaussure d'entraînement polyvalente par excellence Taillée pour les séances quotidiennes, l'Aero Blaze propose un très bon compromis entre amorti, légèreté et dynamisme. Sa tige respirante en mesh technique améliore le confort lors des sorties urbaines, et son poids plume la rend agréable à porter tous les jours. Profil recommandé : coureurs réguliers en ville, cherchant une chaussure tout-terrain pour les séances d'entraînement. - Légèreté remarquable (242 g) - Bonne réactivité au sol - Très bon rapport qualité/prix pour un usage fréquent - Moins adaptée aux trails ou aux surfaces irrégulières Salomon Spectur 2 : l'agilité et la fluidité au service de la vitesse quotidienne Grâce à l'association de la technologie Energy Blade et de la mousse EnergyFoam, la Spectur 2 offre une sensation de fluidité et de propulsion sur chaque foulée. Idéale pour ceux qui veulent améliorer leur cadence sur route ou chemins plats. Profil recommandé : coureurs réguliers à la recherche d'une chaussure fluide et nerveuse pour progresser. - Très bon dynamisme - Bonne transition talon-avant-pied - Convient aussi pour les chemins stables - Un peu plus lourde (279 g) que d'autres modèles Salomon Salomon Index 03 : la chaussure écoresponsable pour les runs tranquilles Pensée pour un usage plus occasionnel ou loisir, la Salomon Index 03 mise sur la légèreté, le confort, et une construction durable. Conçue pour être démontable et recyclée, elle répond aux attentes des runners sensibles à l'environnement sans faire l'impasse sur les sensations de course. Profil recommandé : coureurs occasionnels ou éco-conscients, cherchant une paire confortable et stylée. - Chaussure écoresponsable recyclable - Polyvalente et confortable - Bon grip sur surfaces variées - Moins de répondant pour les séances rapides ou longues distances Quelle Salomon choisir pour la compétition ? La Phantasm (ou S/LAB Phantasm avec plaque carbone) est idéale pour les coureurs à la recherche de vitesse et de propulsion en course. Quelle est la meilleure Salomon pour débuter ? L'Aero Blaze offre un excellent compromis entre confort, amorti et polyvalence pour les entraînements urbains. Quelle Salomon privilégier pour les longues distances ? L'Aero Glide 3 est particulièrement recommandée pour sa légèreté et son confort sur marathon ou semi. Y a-t-il une Salomon adaptée à la pronation ? La DRX Bliss propose un châssis actif et une stabilité renforcée, idéale pour les foulées pronatrices. Existe-t-il une Salomon écoresponsable ? Oui, la Index 03 est conçue pour être démontée et recyclée en fin de vie. Les chaussures Salomon séduisent par leur technicité, leur confort et leur dynamisme, mais elles ne sont pas les seules à performer sur le bitume. Si vous souhaitez explorer d'autres marques de référence, notamment axées sur le confort maximal ou les longues distances, n'hésitez pas à consulter notre guide dédié aux meilleures chaussures de running de la marque Hoka . Contenu sponsorisé. Certains liens de cet article sont trackés et peuvent générer une commission pour L'Equipe. Les prix mentionnés le sont à titre indicatif et sont susceptibles d'évoluer.
