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Canicule : au moins 480 décès « en excès » pendant la première vague de chaleur de l'été, à quoi correspond ce nombre ?
Canicule : au moins 480 décès « en excès » pendant la première vague de chaleur de l'été, à quoi correspond ce nombre ?

Le Parisien

time3 hours ago

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  • Le Parisien

Canicule : au moins 480 décès « en excès » pendant la première vague de chaleur de l'été, à quoi correspond ce nombre ?

Une canicule, combien de morts ? Un premier élément de réponse est désormais connu. Au moins 480 décès « en excès » ont été recensés durant la première vague de chaleur de cet été, à cheval sur fin juin et début juillet, annonce Santé publique France ce mercredi 23 juillet. Cet épisode caniculaire, particulièrement précoce, a été le 3e le plus long et le 5e le plus sévère sur 50, depuis la Seconde Guerre mondiale. Comme chacun d'entre eux, il a eu des conséquences sur notre santé , en particulier chez les personnes âgées et les bébés qui sont les plus fragiles. Mais à quoi correspond vraiment ce décompte ? Il s'agit de la différence entre le nombre de décès constatés durant la canicule , et celui attendu à cette période de l'année (sur la base d'une moyenne sur les cinq années passées). C'est pour cela que l'on parle de mortalité « en excès » ― sous-entendu, en excès par rapport à la valeur escomptée si le thermomètre ne s'était pas affolé. À ce stade, aucun lien n'est donc établi, victime par victime, avec la canicule. Ce serait de toute façon impossible, les fortes chaleurs n'apparaissant pas forcément sur les certificats de décès, remplis par les médecins. « Ce qu'on leur demande surtout, c'est d'évoquer les causes médicales ou traumatiques de la mort. Or les médecins ne sont pas toujours en capacité de distinguer de manière claire et nette qui est décédé à cause de la canicule », nous indiquait en 2022 Grégoire Rey, directeur du Centre d'épidémiologie sur les causes médicales de décès (CepiDc) de l'Inserm . Depuis deux ans, Santé publique France calcule aussi une estimation beaucoup plus fine de la mortalité « attribuable à la chaleur » sur l'ensemble de l'été, du 1er juin au 15 septembre. Mais il faudra attendre plusieurs mois pour la connaître, le temps de mouliner toutes les données dans des algorithmes établis sur mesure.

La pandémie de Covid-19 n'a pas augmenté durablement l'anxiété des Français
La pandémie de Covid-19 n'a pas augmenté durablement l'anxiété des Français

Le Figaro

time2 days ago

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La pandémie de Covid-19 n'a pas augmenté durablement l'anxiété des Français

Celle-ci reste toutefois à des niveaux élevés, selon une étude menée par Santé publique France menée auprès d'adultes. Des confinements et des couvre-feux, des restrictions dans les déplacements et les activités, des écoles fermées et des salariés priés de télétravailler, avec toutes les conséquences sociales et financières qui en ont découlé... En France comme partout dans le monde, la pandémie de Covid-19 n'a épargné personne, même ceux qui n'ont jamais été malades. Entre autres conséquences : une hausse importante des troubles anxieux et dépressifs, de plus de 25 % en 2020 lors de la première année de la pandémie selon une étude sur plus de 200 pays publiée en octobre 2021 dans The Lancet. En France, la hausse des épisodes dépressifs a perduré : +3,5 points par rapport à 2017 chez l'ensemble des adultes de moins de 75 ans, et +9 points chez les 18-24 ans, selon le Baromètre de Santé publique France (SPF). Mais la hausse des niveaux d'anxiété a-t-elle également poursuivi sa course ? C'est ce qu'ont voulu investiguer des chercheurs de SPF et de l'Hôpital Henri-Mondor, à Créteil (AP-HP). Pour ce faire, ils se sont penchés sur les données issues du même Baromètre et ont comparé celles sur les troubles anxieux recueillies en 2021 auprès de 4829 personnes âgées de 18 à 85 ans, et en 2017 auprès de 6413 personnes âgées de 18 à 75 ans. Publicité Résultats : en 2021, 12,5% des personnes interrogées présentaient un état anxieux lors de l'enquête. Les femmes étaient trois fois plus touchées que les hommes (18,2% contre 6,4%), possiblement parce qu'elles sont davantage exposées à des facteurs de stress (contraintes familiales, difficultés financières, violence...) et que les hommes sont moins enclins à exprimer leurs émotions. Par ailleurs, les 25-64 ans étaient deux fois plus anxieux que leurs aînés (15% versus 7%). Quant aux jeunes adultes (18-24 ans), ils étaient 11,3% à souffrir d'anxiété, là encore les femmes plus que les hommes. Tendances stables La surprise portée par ces résultats est que, un an après le début de la pandémie, les tendances étaient stables par rapport à avant, et ont même fortement régressé chez les 65-75 ans (11,6 % en 2017 contre 7 % en 2021), même si les auteurs reconnaissent que le questionnaire choisi pourrait sous-évaluer l'anxiété dans cette tranche d'âge. « Nous avons pourtant l'impression de voir plus de cas d'anxiété, s'étonne le Pr Antoine Pelissolo, chef du service de psychiatrie à l'hôpital Henri-Mondor (Créteil). Il se peut que les personnes ayant des symptômes sévères soient un peu plus nombreuses, mais pas assez pour que cela apparaisse dans la population générale. » Les difficultés financières, un bas niveau d'éducation, et la présence d'une dépression ou de pensées suicidaires étaient les facteurs principaux associés à l'anxiété. En population générale, les enquêtes menées par SPF durant la pandémie avaient bien montré « des augmentations importantes en lien avec la dynamique épidémique et les mesures de contrôle ». Ainsi, l'enquête CoviPrev « estimait à 27 % la prévalence des états anxieux en mars 2020, puis une diminution de celle-ci avec la fin du premier confinement (environ 16% entre mai et juin 2020) », écrivent les auteurs. Mais contrairement à l'incidence de la dépression, ces hausses « ont pu être transitoires », comme l'ont montré plusieurs autres études. « Lorsque l'on commence une dépression, cela dure plusieurs mois, voire plusieurs années », explique Antoine Pelissolo. L'anxiété est davantage réactionnelle et liée au contexte, « c'est une projection dans l'avenir, et au début de la pandémie, il y avait des questions qui généraient beaucoup d'anxiété, sur le risque de mourir, les conséquences des confinements sur la vie sociale et professionnelle, etc... » Une hausse de l'anxiété bien plus ancienne que le Covid La prévalence des troubles anxieux estimée dans l'enquête CoviPrev a par ailleurs pu être surestimée, ajoutent les auteurs, à cause d'une différence dans la sélection des personnes interrogées. Et de fait, les chiffres avancés sur les données du Baromètre « sont cohérents avec ceux obtenus la même année dans d'autres enquêtes représentatives menées à l'international, notamment aux États-Unis (11,4%) 21, en Allemagne (13,4%) 22 ou en Espagne (11,8%) ». La hausse de ces troubles (qui regroupent plusieurs formes, en particulier l'anxiété généralisée, le trouble panique, l'anxiété sociale, l'agoraphobie, l'anxiété de séparation et les phobies) est en réalité bien plus ancienne que le Covid-19 : entre 1990 et 2019, « leur incidence a augmenté de près de 50 % », écrivent les auteurs du BEH. « Mais attention, met en garde Antoine Pelissolo : les études de 2017 et 2021 ont été faites avec les mêmes questionnaires. La comparaison sur un temps plus long est difficile car on a beaucoup changé d'outils d'évaluation, de définition des pathologies, etc. » Difficile donc de juger si la société est plus anxiogène qu'elle ne l'était, ou si les gens s'y adaptent moins. « Je penche plutôt pour cette seconde explication, glisse le psychiatre, car la vie n'était pas particulièrement plus facile auparavant. Les gens ont aussi tendance à admettre plus facilement que ça ne va pas bien. » Publicité Reste que les chiffres du Baromètre de SPF témoignent « d'une prévalence élevée [de l'anxiété] au sein de la population générale, avec des inégalités sociales marquées » et « l'existence d'une forte comorbidité avec les épisodes dépressifs caractérisés et les pensées suicidaires », insistent les auteurs du BEH. « C'est un véritable problème de santé publique, insiste Antoine Pelissolo. On parle de gens qui souffrent et qui ont besoin de soins. Faute de prise en charge, cela peut donner lieu à des arrêts de travail, à des prises de produits comme des benzodiazépines sans contrôle médical, à la consommation de tabac ou d'alcool... » De quoi, plaident les auteurs du BEH, inciter à « faciliter l'accès de toute la population, et notamment des plus défavorisés », à une meilleure information pour prévenir et prendre en charge les troubles anxieux.

Au moins 16 cas d'hépatite A à Nantes : l'ARS appelle à la vigilance
Au moins 16 cas d'hépatite A à Nantes : l'ARS appelle à la vigilance

Le Figaro

time5 days ago

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Au moins 16 cas d'hépatite A à Nantes : l'ARS appelle à la vigilance

Cette recrudescence de cas est « atypique » au regard de la situation habituelle dans la métropole nantaise, souligne l'ARS des Pays de la Loire ce jeudi. Depuis le mois de juin, « au moins 16 cas » d'infection au virus de l'hépatite A ont été recensés dans l'agglomération nantaise, rapporte l'ARS des Pays de la Loire dans un communiqué daté du 17 juillet. En dépit d'un contexte d'augmentation générale des cas en Europe, cette recrudescence en France, à l'échelle locale, reste « atypique au regard de la situation habituelle dans la région », souligne l'ARS des Pays de la Loire. Fin juin dernier, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) indiquait en effet une hausse inquiétante des cas d'hépatite A entre janvier et mai 2025 en Autriche, Tchéquie, Hongrie et Slovaquie, où 2097 cas ont été signalés au total. Bien que rares, ces infections ne sont pas non plus exceptionnelles en France : environ 1200 cas sont déclarés en moyenne chaque année dans l'Hexagone, selon Santé publique France. Après une nette diminution des cas durant la pandémie de Covid-19 (moins de voyages dans les pays où le virus est endémique, meilleure hygiène des mains notamment), le nombre de malades est reparti à la hausse dès 2023. L'an dernier, en mai 2024, plusieurs collégiens scolarisés dans un collège du Havre avaient ainsi été infectés. Publicité L'hépatite A est une pathologie du foie, causée par un virus présent dans les selles des personnes infectées. Si d'autres virus s'attaquant au foie se diffusent par voie sanguine ou sexuelle, le virus de l'hépatite A, lui, se transmet d'une personne à l'autre par l'intermédiaire des mains, d'objets, d'aliments ou d'eau contaminés par des matières fécales. Le germe se retrouve en effet en grandes quantités dans les selles des personnes malades. Vigilance en cas de voyages dans certains pays L'hépatite A ne circule pas de manière endémique en France. Elle est donc souvent amenée de l'étranger par des voyageurs en provenance de régions du monde où le virus est endémique : en Afrique, Amérique latine, Moyen-Orient, Asie centrale et Océanie. En cas de séjour dans ces régions, l'ARS recommande de solliciter un avis médical pour une éventuelle vaccination et d'adopter une hygiène rigoureuse sur place (eau potable, cuisson complète des aliments, lavage complet des mains). Mais une autre source fréquente de contamination provient également de la consommation de fruits de mer mal cuits ou crus, ajoute l'agence sanitaire. L'infection peut provoquer des symptômes digestifs (nausées, douleurs au ventre, perte d'appétit), une fatigue accrue, et dans certains cas, la jaunisse. Contrairement aux hépatites B et C, l'hépatite A n'entraîne pas de maladie chronique du foie. Il n'existe pas de traitement curatif, mais dans la majorité des cas, l'infection guérit spontanément et sans séquelles. Toutefois, elle peut évoluer vers une forme grave nécessitant une hospitalisation, surtout chez les personnes à risques (personnes âgées ou ayant déjà souffert d'une maladie du foie). Hygiène et vaccination L'ARS rappelle les gestes simples de prévention pour réduire efficacement le risque de contamination : se laver les mains régulièrement à l'eau et au savon, notamment avant les repas et après chaque passage aux toilettes ; laver les aliments avec une eau potable et non souillée ; éviter la consommation de fruits de mer crus ou peu cuits. Outre les voyageurs concernés par des séjours dans des pays où le virus circule de manière endémique, le vaccin est aussi indiqué aux enfants accueillis en collectivité, aux jeunes personnes handicapées, et aux personnes atteintes de mucoviscidose et de maladies du foie.

« Quand on ne sait pas nager, on panique » : contre les noyades, Grand Paris Sud offre des leçons gratuites
« Quand on ne sait pas nager, on panique » : contre les noyades, Grand Paris Sud offre des leçons gratuites

Le Parisien

time5 days ago

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  • Le Parisien

« Quand on ne sait pas nager, on panique » : contre les noyades, Grand Paris Sud offre des leçons gratuites

Se prémunir contre les risques de noyade , première cause de mortalité estivale en France. Depuis début juillet, l'agglomération Grand Paris Sud surfe sur la vague de la prévention. Pour éviter que de nouveaux drames viennent allonger la trop longue liste des victimes recensées en France cette année , la collectivité propose des cours d'aisance aquatique . Des séances gratuites qui s'adressent aussi bien aux enfants qu'aux adultes. « J'ai mis la tête sous l'eau et je n'ai même pas eu peur ! » Emmitouflée dans sa serviette, Karla, 5 ans, attend les dernières consignes des maîtres nageurs avant de retrouver sa maman. Ce jeudi matin, pendant près d'une heure, la petite nageuse en herbe a multiplié les sauts, mais aussi les exercices, dans l'un des grands bassins du centre nautique Gabriel-Menut de Corbeil-Essonnes . « J'ai même appris à avancer », ajoute-t-elle avec fierté. Si l'agglomération s'est emparée de la thématique, c'est que la noyade reste la première cause de décès par accident de la vie courante chez les moins de 25 ans. Et cette année, le pic de température enregistré fin juin et début juillet n'a rien arrangé. Selon l'agence Santé publique France, qui agit sous la tutelle du ministère de la Santé, 429 noyades, dont 109 suivies de décès , ont été recensées dans l'Hexagone entre le 1er juin et le 2 juillet. Un chiffre en nette augmentation par rapport à 2024 où, à la même période, 220 noyades et 69 décès avaient été enregistrés. « L'objectif de ces séances est de leur apprendre à flotter sans matériel et à pouvoir regagner le bord du bassin, décrypte David Mary, maître nageur et instructeur en aisance aquatique. Pour les enfants, le premier palier consiste à mettre la tête sous l'eau, à la sortir et à savoir avancer sur quelques mètres avec la tête sous l'eau. » Des fondamentaux qu'ils maîtrisent déjà tous avant même la fin du stage. « Avec mes lunettes, sous l'eau, je vois tout », se réjouit Alya, 4 ans, impatiente de revenir le lendemain. Dans les gradins, Josepha scrute avec attention les progrès de son fils bientôt âgé de 5 ans. « Je ne sais pas nager, confie-t-elle en esquissant un sourire. Je ne veux pas qu'il ait peur de l'eau lui aussi… Comme il manquait un peu de confiance en lui, je me suis dit que la natation serait une bonne chose car ce sport lui apprend à faire les choses par lui-même. Depuis tout à l'heure, je vois qu'il est courageux. Il entre et sort de l'eau sans crainte. » Si les 0-5 ans sont les plus exposés aux noyades , les adultes peuvent, eux aussi, avoir besoin de bons conseils. C'est le cas de Dany, 63 ans, heureux de pouvoir enfin tirer un trait sur son passé houleux avec le monde aquatique. « J'ai eu une rupture avec l'eau quand j'étais jeune, confie-t-il, lunettes de plongées remontées sur le front. Depuis, si je n'avais pas pied, ça n'allait pas. » Conseillé par le maître nageur, le retraité a su vaincre ses peurs. « J'ai repris confiance en moi, assure-t-il. Avec les exercices qu'on a faits, j'ai compris que le corps flottait et qu'on remontait à la surface sans effort grâce à la poussée d'Archimède. » À côté, Odette se risque à quelques longueurs de brasse. « Je fais de l'aquagym mais je ne sais pas nager, souffle-t-elle. La crainte de la noyade et de ne plus pouvoir respirer est réelle. En plus, quand on ne sait pas nager, on panique… » Après deux semaines de cours, ses craintes appartiennent désormais au passé. « On nous a tout de suite mis dans le grand bassin et sans ceinture, rigole-t-elle. Mais je n'ai pas paniqué. Aujourd'hui, je peux dire que je suis rassurée. » Les cours d'aisance aquatique sont dispensés gratuitement dans les neuf centres nautiques de l'agglomératio n. Les inscriptions se font par téléphone à l'accueil de chaque piscine.

Chikungunya : 12 foyers de transmission identifiés en métropole, 30 cas recensés au total
Chikungunya : 12 foyers de transmission identifiés en métropole, 30 cas recensés au total

Le Parisien

time7 days ago

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  • Le Parisien

Chikungunya : 12 foyers de transmission identifiés en métropole, 30 cas recensés au total

Douze foyers de transmission du chikungunya sont désormais recensés en métropole, pour trente cas au total, annonce ce mercredi Santé publique France , qui prévient que cette tendance à la hausse risque de se prolonger . « Le nombre de foyers de transmission illustre le risque important de transmission autochtone de ces virus en France hexagonale, prévient l'agence de santé publique dans un bilan hebdomadaire. D'autres cas seront vraisemblablement identifiés y compris en dehors des zones habituelles de transmission. » Pour l'heure, douze foyers de transmission du chikungunya, dont le virus se transmet via des piqûres de moustique-tigre et provoque de fortes fièvres ainsi que des douleurs musculaires, ont été signalés. « À Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône, ndlr), 13 cas ont été identifiés dont deux cas domiciliés dans les communes voisines de Grans et Lambesc, signale notamment Santé publique France. Il s'agit du foyer le plus étendu à ce stade. » Ce niveau, exceptionnellement élevé en métropole, aussi tôt dans l'été, s'explique notamment par une épidémie outre-mer qui a frappé La Réunion et Mayotte ces derniers mois. Les autorités sanitaires ont enregistré depuis le printemps plusieurs centaines de cas arrivés en métropole depuis La Réunion. À cela s'ajoute par ailleurs un cas autochtone de dengue , signalé début juillet en Auvergne-Rhône-Alpes. C'est pour l'heure le seul en métropole, cette maladie étant également transmise par le moustique-tigre. Le risque d'une transmission épidémique de ces virus en métropole est aussi accru par les fortes chaleurs : les températures élevées contribuent en effet à la circulation du moustique-tigre, un phénomène accentué par le réchauffement climatique.

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