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Rugby - Tournée des Lions britanniques : Les Lions britanniques et irlandais enchaînent face aux Brumbies
Rugby - Tournée des Lions britanniques : Les Lions britanniques et irlandais enchaînent face aux Brumbies

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time4 days ago

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Rugby - Tournée des Lions britanniques : Les Lions britanniques et irlandais enchaînent face aux Brumbies

Les Lions ont conclu leur série de rencontres face aux franchises australiennes du Super Rugby avec une victoire à Canberra contre les Brumbies mercredi (24-36). À voir sur L'Équipe Barlot : « C'est une belle fierté » Le replay de Italie - Géorgie (MT2) Le résumé de France-Argentine en vidéo Laborde : « On a montré du caractère » Le résumé de Géorgie - Italie Le résumé de Nouvelle-Zélande - Irlande en vidéo Les Bleuets battent l'Argentine et filent en demi-finales Le replay de France - Argentine (MT2) Le résumé de Angleterre - Australie Le replay de Italie - Géorgie (MT1) Le replay de France - Argentine (MT1) Le replay de Australie - Angleterre (MT2) Le résumé d'Afrique du Sud-Ecosse en vidéo Le résumé de Pays de Galles - Espagne Edwards : « Je m'attends à ce que la Nouvelle-Zélande progresse »

« Être talonneur, c'est allier force et finesse » : Codie Taylor, cadre des All Blacks, devrait enchaîner une 98e sélection face aux Bleus
« Être talonneur, c'est allier force et finesse » : Codie Taylor, cadre des All Blacks, devrait enchaîner une 98e sélection face aux Bleus

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time7 days ago

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« Être talonneur, c'est allier force et finesse » : Codie Taylor, cadre des All Blacks, devrait enchaîner une 98e sélection face aux Bleus

Leader de terrain et du vestiaire, le champion du monde 2015 est toujours à la pointe du combat au sein des All Blacks avec lesquels il devrait enchaîner une 98e sélection samedi face aux quinze de France. Codie Taylor est une légende vivante à la longévité impressionnante. À 34 ans, le talonneur a remporté son 6e titre de Super Rugby, dix ans après avoir remporté la Coupe du monde 2015. Aussi discret et tranquille à la ville qu'intenable leader de combat, ce solide maori s'apprête à enchaîner une 98e sélection face aux Bleus, samedi à Wellington, non loin de Levin, ville de 17 000 âmes où il est né, à 90 kilomètres plus au nord. Taylor est aussi porteur d'une histoire : il est le All Black numéro 1143e et honore l'héritage de son arrière-arrière-grand-père Walter Pringle qui était le 30e joueur all black lorsqu'il a porté ce maillot en 1893. Cet aïeul, issu du milieu agricole, était décrit comme un meneur d'hommes, connu pour sa vitesse et sa ténacité, infatigable chasseur de ballon dont il n'était jamais loin. Exactement les qualités que Codie Taylor a encore montrées samedi face aux Bleus. Après avoir guidé le Haka avec beaucoup de « mana » (terme maori qui désigne l'aura), il a été très présent sur le terrain, solide au contact, précieux dans l'avancée, souverain dans ses lancers en touche et dans la récupération avec un turnover précieux en fin de première mi-temps. « L'année dernière, vous avez pris un congé sabbatique en faisant une pause avec les Crusaders et les All Blacks. On dirait que ça vous a fait le plus grand que je me suis fixé comme ambition d'aller jusqu'à la prochaine Coupe du monde (en 2027 en Australie), il m'a semblé que faire une pause était opportun pour préparer au mieux mon corps à cet objectif et aussi me régénérer mentalement. C'est très important. Vous auriez pu négocier un fructueux contrat avec un club japonais, comme font la plupart de vos coéquipiers All Blacks. Mais vous avez fait le choix de rester ici en famille. Pourquoi ?Je mentirais si je disais que je n'ai pas étudié les propositions du Japon. Mais nos enfants vont à l'école ici, ils s'y sentent bien et sont très attachés à leur environnement. Il nous fallait prendre ça en compte. Mes parents sont des gens humbles qui ont su me transmettre une grande richesse : la famille passe avant tout. J'ai vu cette pause comme une opportunité de passer du temps avec les miens. Ce que l'on vit au présent avec nos enfants, nos parents, ça ne se remplace jamais plus tard. Ma famille est une bénédiction dont j'avais à coeur de profiter. C'est particulier le poste de talonneur : pousser avec force et fureur en mêlée puis basculer dans un geste calme et précis pour lancer en touche. Ça fait de vous un mec à part dans la vie ?C'est sûr que c'est un réel défi personnel. Être talonneur, c'est allier force et finesse, devoir développer beaucoup de puissance et de dureté pour les phases de mêlée sans rien perdre de sa précision pour lancer précisément le ballon en touche. Ce qui n'est jamais simple quand tu viens de batailler dans un ruck. Pour bien lancer, il faut savoir revenir au calme alors que le reste du jeu réclame d'être plus sur les nerfs, tranchant physiquement et très alerte mentalement. Si tu n'aimes pas ça, cette fonction devient un poids. Moi je considère que le poste de talonneur est un privilège. Et son ambivalence, on se doit de la perfectionner en permanence. Je m'y attache au quotidien. On n'y parvient pas à tous les coups et il faut l'accepter, sans jamais se démobiliser toujours continuer à bosser. C'est comme un artisan qui perfectionne son métier. Il paraît que vous êtes charpentier ?Disons que j'ai planté quelques clous mais je ne suis pas charpentier diplômé. Comment le rugby est entré dans votre vie ?Mon père a joué mais a été blessé assez jeune, du coup il n'a jamais pu tenter sa chance sérieusement. Il bossait en usine, conduisait des chariots élévateurs. Son père, mon grand-père, travaillait dans les chemins de fer où il réparait les voies ferrées en plus de son travail à la ferme. On a baigné avec la passion du rugby et du XIII auquel j'ai joué jusqu'à 12 ans en Australie. Quand j'ai eu le rêve de devenir rugbyman, mes parents m'ont soutenu. Ils conduisaient toute l'équipe dans leur van pour les matches. Mon fils de sept ans a cette même passion il regarde tout ce qui se passe sur YouTube. « Peato Mauvaka est incroyable, capable de jouer troisième ligne pendant un match » Être talonneur c'est un état d'esprit à part, rien à voir avec un ouvreur ou un arrière...J'aime voir ce poste comme un quatrième troisième-ligne. Pour moi un talonneur se doit d'avoir un gros volume de jeu, d'être apte à bien porter le ballon et d'avoir les compétences techniques d'un trois-quart centre. C'est un poste qui évolue beaucoup, surtout en France. Peato Mauvaka est incroyable, il est capable de jouer troisième-ligne pendant un match. Pour moi, c'est ça un bon talonneur. Pour vous, Mauvaka est une menace ou une motivation en vue de la prochaine Coupe du monde ?Je vous ai cité Peato Mauvaka mais j'aurais pu parler de Julien Marchand. Tous deux représentent un gros défi physique avec des qualités techniques différentes. Marchand, lui, est très fort dans les rucks. Se mesurer à eux, c'est très particulier. Si vous aviez dix ans de moins, vous voudriez ressembler auquel ?Bonne question... Franchement j'aime bien la façon dont Mauvaka joue avec confiance pour pouvoir exprimer toutes ses qualités dans le jeu. « Dane Coles m'a révélé ce qu'un talonneur pouvait être : un joueur rapide, très mobile et extrêmement tenace » La Nouvelle-Zélande possède une belle tradition de talonneurs : il y a eu Sean Fitzpatrick, champion du monde en 1987, plus tard Anton Oliver, puis Andrew Hore, Keven Mealamu ou plus récemment Dane me suis construit en m'inspirant de trois joueurs d'exception : Corey Flynn (17 sélections) m'a pris sous son aile, au sein des Crusaders j'étais comme son apprenti. Plus tard chez les All Blacks, j'ai appris de Keven Mealamu (132 sélections). Il savait rester extraordinairement humble et délicat dans la vie alors que c'était un mâle dominant sur le terrain. Et puis Dane Coles m'a révélé ce qu'un talonneur pouvait être : un joueur rapide, très mobile et extrêmement tenace. C'est Braeden Whitelock, le père de Sam (153 sélections) et de Luke, troisième-ligne de la section paloise, qui a fait de vous un talonneur dans le quinze de la Feilding High School ?Oui, j'avais joué pilier gauche et un peu troisième-ligne aile aussi. Mais je n'étais pas très grand (1m83 pour 108 kg). Être interne dans ce lycée était une bonne préparation à la vie professionnelle : j'y ai appris la discipline, savoir ce que c'est que se lever tôt, s'entraîner, faire ses devoirs, puis retourner s'entraîner. Vous êtes All Black depuis dix ans, vous avez connu trois sélectionneurs différents : Steve Hansen (2012-2019), Ian Foster (2020-2023) et Scott Robertson depuis sont trois hommes très différents. Steve savait comment te pousser à donner le meilleur de toi-même, parfois même de façon intimidante. "Fozzy" (Foster) était plus doux, souvent blagueur mais toujours exigeant. "Razor" (Robertson), lui, est très fort pour créer une culture d'équipe et un environnement motivant. Il est honnête, et, au final, c'est ce que veulent les joueurs. Le truc c'est de comprendre ce qu'un coach attend de toi. Steve te mettait sous pression pour que tu sois prêt en match. Fozzy, lui, me donnait confiance. Razor, je le connais depuis les Crusaders, donc je sais ce qu'il veut. Il attend beaucoup de mon travail sans ballon, que je puisse exprimer mes compétences sur le terrain et dans le leadership. » À lire aussi Galthié devrait tout changer à Wellington Un an après les affaires, comment les Bleus vivent-ils la tournée ? Attissogbe se fait une place Patat : «J'ai montré que je pouvais avoir plusieurs casquettes »

Les Lions britanniques et irlandais enchaînent face aux Brumbies
Les Lions britanniques et irlandais enchaînent face aux Brumbies

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time7 days ago

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Les Lions britanniques et irlandais enchaînent face aux Brumbies

Les Lions ont conclu leur série de rencontres face aux franchises australiennes du Super Rugby avec une victoire à Canberra contre les Brumbies, ce mercredi (24-36). Quatrième match face aux franchises australiennes du Super Rugby et quatrième victoire pour les Lions britanniques et irlandais. Après la Western Force (7-54), les Reds (12-52) et les Waratahs (10-21), ce sont les Brumbies qui ont cédé, ce mercredi à Canberra (24-36). Les hommes de Stephen Larkham, légende des Wallabies, ont fait bonne figure une bonne partie de la première période, efficaces pour aplatir par le numéro 8 Tuaina Taii Tualima (5-0, 5e) et l'ailier Corey Toole (10-12, 37e). Blair Kinghorn touché au genou gauche en début de match Maladroits en début de partie, les Lions ont néanmoins bien réagi avec des essais d'Ollie Chessum, aligné en troisième-ligne aile sur ce match (5-5, 15e) et de leur ailier James Lowe (5-12, 30e). La première période a surtout été marquée par la sortie sur blessure de l'arrière toulousain Blair Kinghorn, sans que l'on sache encore si le souci était sérieux. Il a été remplacé poste pour poste par Marcus Smith, qui a marqué le troisième essai des Lions avant la pause, bien servi par un offload de Tom Curry (10-19, 40e + 2). L'ouvreur ou arrière anglais s'est encore distingué au retour des vestiaires, servant parfaitement au pied le centre irlandais Garry Ringrose pour le quatrième essai des visiteurs, celui du break (10-26, 48e). Si les Brumbies ont répondu par Hudson Creighton (17-26, 52e), ils ont logiquement cédé face à la force de frappe des Lions et notamment de leur banc. Après s'être vu refuser un essai sur maul (58e), le troisième ligne irlandais Josh van der Flier a converti une nouvelle avancée sur ballon porté (17-36, 29e). Liam Bowron a sauvé l'honneur des Brumbies en fin de match (24-36, 76e). Les troupes d'Andy Farrell défieront samedi (12 heures) à Adelaïde une sélection australo - néo-zélandaise avant de se tourner vers leur premier test face à l'Australie, le 19 juillet à Brisbane.

Le Toulousain Blair Kinghorn aligné avec les Lions à l'arrière face aux Brumbies
Le Toulousain Blair Kinghorn aligné avec les Lions à l'arrière face aux Brumbies

L'Équipe

time09-07-2025

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Le Toulousain Blair Kinghorn aligné avec les Lions à l'arrière face aux Brumbies

Le Toulousain Blair Kinghorn va enchaîner une deuxième titularisation d'affilée, cette fois à l'arrière, avec les Lions britanniques et irlandais pour défier les Brumbies mercredi (12 heures, en direct sur la chaine L'Équipe). Andy Farrell a sorti l'artillerie lourde pour ce match. Le premier test face à l'Australie se rapproche - c'est pour le samedi 19 juillet - et les Lions britanniques et irlandais continuent leur préparation à l'autre bout du monde. Après avoir disposé de la Western Force (7-54), des Reds (12-52) puis des Waratahs (10-21), la prestigieuse sélection pilotée par Andy Farrell conclut ses rencontres face aux franchises australiennes du Super Rugby avec un match contre les Brumbies mercredi à Canberra (12 heures, en direct sur la chaîne L'Équipe). Farrell a effectué de nombreux changements, logiques vu le court délai entre les matches, mais a dégainé ce qui devrait se rapprocher, selon de nombreux confrères britanniques, à l'équipe qui ouvrira la série de tests face aux Wallabies. Titulaire à l'aile samedi dernier, le Toulousain Blair Kinghorn sera cette fois aligné à l'arrière, son poste de prédilection, au sein d'un XV de départ où huit Irlandais sont présents. Garry Ringrose et Bundee Aki sont notamment associés au centre, tandis que Jamison Gibson-Park est aligné à la mêlée, associé à la charnière à l'Écossais Finn Russell. Devant, le polyvalent joueur anglais Ollie Chessum est cette fois titularisé en troisième-ligne aile, tandis que Joe McCarthy débutera en 5 - lui qui a surtout l'habitude de jouer en 4 - associé au capitaine Maro Itoje. Il y a du lourd également sur le banc, où apparaît le troisième ligne Henry Pollock, forfait de dernière minute face aux Waratahs le week-end dernier.

« Il reste encore du travail » avant qu'une Coupe du monde des clubs voie le jour, estime la Fédération néo-zélandaise
« Il reste encore du travail » avant qu'une Coupe du monde des clubs voie le jour, estime la Fédération néo-zélandaise

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time08-07-2025

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« Il reste encore du travail » avant qu'une Coupe du monde des clubs voie le jour, estime la Fédération néo-zélandaise

Mark Robinson, le directeur général de la Fédération néo-zélandaise de rugby, a indiqué dans un entretien accordé mardi à l'AFP que la création d'une Coupe du monde des clubs à l'horizon 2028 n'était pas encore actée, contrairement à ce que l'EPCR a annoncé fin mai. Fin mai, l'European Professional Club Rugby, l'organisme qui gère l'organisation de la Coupe des champions et le Challenge, annonçait que la création d'une Coupe du monde des clubs avait été « approuvée à l'unanimité » par les sept Fédérations représentées au sein de l'EPCR. « Nous avons été un peu surpris par l'annonce qui a été faite récemment (juste avant la finale des deux Coupes européennes), a avoué Mark Robinson, le directeur général de la Fédération néo-zélandaise, dans un entretien accordé mardi à l'AFP. Je pense qu'il y a déjà eu des idées générales sur la structure de la compétition, sur son fonctionnement et sur certains aspects commerciaux, mais il reste encore du travail à faire. » Ce Mondial des clubs devrait réunir en fin de saison 2027-2028 un total de seize équipes : sept venant du Super Rugby, le Championnat australien et néo-zélandais, une du Japon, ainsi que huit équipes jouant dans l'hémisphère nord, ce qui inclut les franchises sud-africaines qui jouent en URC. Ces huit dernières seraient qualifiées via la Coupe des champions. « Nous pensons que cela va dans le bon sens », a tout de même estimé Robinson.

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