Dernières actualités avec #SégolèneRoyal
Le HuffPost France
21-07-2025
- Politics
- Le HuffPost France
Ségolène Royal déjà candidate en cas de primaire à gauche pour 2027
POLITIQUE - Paris, La Villette, 1er mai 2017. Ségolène Royal s'invite au meeting d'Emmanuel Macron, après avoir fait comprendre que le fondateur d'En Marche avait sa préférence face à Benoît Hamon. Huit ans plus tard, l'ancienne socialiste affirme vouloir se joindre au processus de désignation d'un candidat de gauche pour la présidentielle de 2027, promu notamment par l'ex-insoumis François Ruffin. « Je ne vais pas me dérober. Si la primaire prévue par les statuts est bien organisée et respectueuse, je serais candidate », affirme-t-elle au Figaro, à l'occasion d'un portrait qui lui est consacré. Dans ce même article, l'ancienne ministre de la Transition écologique semble toutefois consciente de l'effet que peut provoquer cette annonce. « Il est trop tôt pour parler… et me faire démolir ! », soutient-elle, affirmant ne pas être « une acharnée de la candidature ». Lire aussi La pétition contre la loi Duplomb dépasse le million de signatures, à quoi cela va-t-il mener ? Pourtant, et comme bien d'autres avant elle, l'ex-finaliste à la présidentielle de 2007 abat la carte (classique) d'une candidature obligée par les circonstances, à l'image de ce qu'elle avait esquissé au début du mois sur BFMTV. « Je ne veux pas qu'on puisse dire que j'ai fait partie des personnalités avec de l'expérience qui n'ont rien fait », justifie celle qui se pense capable de « conduire les électeurs vers la lumière ». Car Ségolène Royal en est visiblement persuadée : elle présidente, le pays irait beaucoup mieux. « Si j'avais été au pouvoir, la France serait une grande puissance écologique. Elle ne ressemblerait pas à ce qu'elle est aujourd'hui », affirme-t-elle. Depuis plusieurs semaines, Ségolène Royal tente d'influer sur le débat national. Elle fait notamment partie de ceux qui se mobilisent contre la Loi Duplomb et elle a publiquement tancé le budget présenté la semaine dernière par François Bayrou. En amont des élections européennes, l'ancienne présidente du Poitou avait fait acte de candidature pour mener une liste d'union de la gauche, comme défendue par les insoumis. Une offre de service applaudie sur l'intention, mais finalement déclinée, par LFI.
Le Figaro
21-07-2025
- Politics
- Le Figaro
«Je ne vais pas me dérober» : les ambitions intactes de Ségolène Royal pour 2027
Réservé aux abonnés PORTRAIT – Dix-huit ans après sa défaite face à Nicolas Sarkozy, l'ancienne ministre, qui a repris sa carte au PS, compte briguer l'investiture de son parti à la prochaine élection présidentielle. « Il est trop tôt pour parler… et me faire démolir ! » Pourtant, Ségolène Royal a des choses à dire. L'ancienne ministre de l'Écologie n'a renoncé à rien et se prépare à briguer l'investiture du Parti socialiste (PS) à l'élection présidentielle de 2027. « Je ne vais pas me dérober. Si la primaire prévue par les statuts est bien organisée et respectueuse, je serais candidate », affirme-t-elle sans ambages auprès du Figaro. Sa défaite face à Nicolas Sarkozy en 2007 et son échec dès le premier tour de la primaire socialiste en 2012 n'auront pas eu raison de sa détermination. « Je ne suis pas une acharnée de la candidature », tient toutefois à préciser l'ex-présidente de la région Poitou-Charentes. Pour mieux s'en convaincre ? Ces dernières années, Ségolène Royal a tenté de se faire élire sénatrice, proposé de conduire une liste d'union de la gauche aux élections européennes et fait part de sa disponibilité pour le poste de premier ministre. « Il y a un côté running…
