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Pourquoi Matthew McConaughey n'a-t-il pas obtenu le rôle de Jack dans Titanic?
Pourquoi Matthew McConaughey n'a-t-il pas obtenu le rôle de Jack dans Titanic?

Le Figaro

time2 days ago

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Pourquoi Matthew McConaughey n'a-t-il pas obtenu le rôle de Jack dans Titanic?

L'acteur originaire du Texas est fier de ses origines et l'a fait savoir à James Cameron, raconte le producteur Jon Landau, dans ses mémoires posthumes. Difficile d'imaginer Titanic sans le jeune Leonardo DiCaprio, dont la carrière a été propulsée grâce au film de James Cameron. Pourtant, il n'était, dans un premier temps, pas le favori pour interpréter Jack Dawson. Matthew McConaughey l'était. Mais l'acteur américain, aujourd'hui âgé de 55 ans, a vu le rôle lui échapper des mains en quelques secondes. S'il a déjà évoqué cette audition dans le passé, il n'a jamais expliqué pourquoi il n'avait pas obtenu le rôle. Aujourd'hui, c'est le producteur Jon Landau qui le raconte dans ses mémoires posthumes The Bigger Picture, à paraître en novembre, dont certains extraits ont été dévoilés par Puck News. Le producteur de Titanic et d'Avatar se rappelle que Matthew McConaughey avait réussi à séduire le jury et à tirer son épingle du jeu en se démarquant des autres comédiens. Ce qui lui avait permis d'aller plutôt loin dans le processus d'audition. Il a notamment été appelé pour réaliser un bout d'essai avec Kate Winslet, déjà sélectionnée pour jouer Rose. L'objectif était de mesurer l'alchimie des deux acteurs à l'écran et cela n'a pas loupé. L'actrice tombe sous le charme de son partenaire, raconte Jon Landeau, affirmant qu'elle était « séduite par son jeu ». James Cameron est un peu moins convaincu, quelque chose le tourmente. Publicité Comment perdre un rôle en dix secondes Le cinéaste demande donc à l'acteur de Comment se faire larguer en dix leçons de revenir passer une audition. Cette fois-ci, il a compris ce qui ne fonctionne pas et lui demande clairement : « Peux-tu me refaire la scène autrement, sans ton accent ? » L'accent texan très prononcé de Matthew McConaughey ne colle pas au personnage de Jack. L'acteur, fier de sa ville natale refuse de se plier à la demande du réalisateur. « Non. Je ne veux pas la refaire. C'était pas mal comme ça. Merci ». Une réponse qui lui a coûté son rôle en quelques secondes. « Ça en était fini pour McConaughey », écrit sobrement le producteur. La suite, on la connaît : le rôle est revenu à Leonardo DiCaprio, qui, avec Kate Winslet, a formé à l'écran l'un des couples les plus mythiques du septième art. De son côté, Matthew McConaughey a manqué de jouer dans l'un des plus gros succès de l'histoire du cinéma avec 2,2 milliards de dollars. Il s'est néanmoins rattrapé avec quelques autres succès comme Interstellar de Christopher Nolan et Le loup de Wall Street de Martin Scorsese.

Pour ou contre… le Titanic ?
Pour ou contre… le Titanic ?

La Presse

time7 days ago

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Pour ou contre… le Titanic ?

Le Titanic, et son tragique naufrage en 1912, fascine. Le film que James Cameron a consacré au drame est l'un des plus grands succès de l'histoire du cinéma. Et on ne compte plus les expositions consacrées au célèbre navire. Au point où certains se demandent si ce n'est pas trop. Judith Lachapelle et Vincent Brousseau-Pouliot en débattent. Judith Lachapelle : Eh, Vincent ! J'ai une petite devinette pour toi. Quel véhicule tout rouillé fait l'objet d'une fascination aussi morbide que racoleuse depuis plus d'un siècle ? Vincent Brousseau-Pouliot : Tu me prends de court, Judith. Je donne ma langue au chat… J.L. : Allez… Un p'tit effort… Il est énorme et repose dans le fond de l'océan… V.B-P. : Le Titanic ! J.L. : Bingo ! Tu vois, je n'ai même pas eu besoin de fredonner l'air de flûte de My Heart Will Go On pour que tu penses spontanément à ce rafiot dont on parle beaucoup trop. PHOTO ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Le 10 avril 1912, le RMS Titanic quitte Southampton, en Angleterre, pour son voyage inaugural en direction de New York. V.B-P. : Je devine que tu n'iras pas voir les deux expositions sur le Titanic présentées au Québec cet été et cet automne ? L'une est au Musée de la civilisation à Québec depuis juin, et c'est un grand succès. Il faut réserver ses billets, car on affiche souvent complet le jour même. L'autre exposition a commencé la semaine dernière à la Place Bonaventure, à Montréal. Pourquoi cette fascination pour le Titanic te dérange ? J.L. : Ça me dérange précisément pour les raisons que tu viens de donner. Ce ne sont pas seulement deux (deux !) expositions d'envergure qui se tiennent sur le Titanic cet été au Québec. C'est tout le reste qui va avec. Juste cette année, on a aussi eu droit à la comédie musicale Titanique, avec Véronique Claveau dans le rôle d'une Céline Dion qui raconte le naufrage à sa manière, et un nouveau documentaire offert entre autres sur Netflix et sur la disparition du Titan, ce sous-marin de l'entreprise OceanGate qui a implosé en descendant voir l'épave en juin 2023. Et puis, il y a aussi une autre grosse expo sur le Titanic en tournée mondiale qui s'est posée à Toronto cet été, avec ses artéfacts et reconstitutions de carton. C'est le même promoteur, RMS Titanic Inc., qui offre à Las Vegas une réplique à l'identique des intérieurs du navire que tu peux louer pour ton mariage pour prendre tes photos dans le grand escalier – avec toute la symbolique bizarre que ça peut vouloir dire sur l'avenir de ton couple… Un peu de sérieux, Vincent. A-t-on vraiment besoin d'une autre expo sur ce paquebot ? PHOTO TIRÉE DU SITE De jeunes mariés prennent la pose dans une réplique de l'intérieur du Titanic, à Las Vegas. V.B-P. : J'admets que se marier sur une réplique du Titanic, c'est un peu (pas mal) too much, comme disent les anglos. Mais s'il y a autant d'expositions, c'est parce que le naufrage du Titanic est un évènement qui a marqué les esprits, même plus de 100 ans plus tard. Beaucoup de gens sont fascinés par le Titanic. C'est la loi de l'offre et de la demande ! J.L. : Mais qu'on la diversifie, l'offre ! Ce ne sont pas les épopées maritimes dignes d'intérêt qui manquent ! Tiens, au lieu du Titanic, parle-moi de l'Empress of Ireland, qui a sombré en mai 1914, dans le fleuve Saint-Laurent, après une collision avec un charbonnier juste en face de Rimouski. Plus de 1000 victimes sur 1477 passagers, une proportion plus élevée que pour le Titanic. Son épave est difficile à explorer, et près d'une dizaine de plongeurs ont perdu la vie au fil des ans en tentant de l'atteindre. Ou parle-moi du Lusitania, un très chic paquebot lui aussi, coulé en 1915 par une torpille lancée par un sous-marin allemand, marquant un tournant dans la Première Guerre mondiale. Son naufrage a fait quelque 1200 morts sur 2000 passagers, dont une centaine d'enfants et quelques personnes « de la haute société », dont une Montréalaise, Frances Stephen, épouse d'un ministre libéral, qui aurait possédé à l'époque « la plus belle collection de bijoux du Canada », selon le témoignage de sa domestique 1. Et puis c'est quoi cette fascination pour le luxe des premières classes ? Parle-moi de ces bateaux négriers du XVIIe siècle utilisés pour la traite de millions de Noirs d'Afrique vers l'Amérique. Les esclaves étaient enchaînés et entassés dans l'entrepont. Quand on ne périssait pas dans un naufrage, on risquait de crever du scorbut et du typhus. Ou massacré par les pirates. Et pense à ces radeaux de migrants sur la Méditerranée, la Manche ou le golfe du Mexique. Un voyage immersif dans l'un de ces canots percés nous injecterait peut-être plus d'humanité que les breloques à gros caillou bleu qu'on se presse pour admirer derrière une vitrine, qui sait ? Trop loin de nous ? Trop collé sur l'actualité ? Alors, parle-moi de ces vaisseaux du roi Louis XIV qui ont participé à la colonisation de la Nouvelle-France. En 1667, les 25 « Filles du roi » qui ont voyagé à bord du Saint-Louis se sont plaintes à l'intendant Jean Talon du manque d'humanité des officiers du vaisseau et de la faim dont elles ont souffert. Non, Vincent, elles ne se plaignaient pas de ne pas pouvoir changer de robe avant le dîner ou que le repas ne comportait pas six services. V.B-P. : Très bon point, Judith. Je suis à court d'arguments. Au moins, pour l'expo au Musée de la civilisation à Québec, ils ont ajouté des références au naufrage du CGS Montmagny, un cargo à vapeur du gouvernement fédéral qui a servi entre autres à récupérer les cadavres du Titanic en 1912. Deux ans plus tard, au cours d'une mission de réapprovisionnement de phares, le CGS Montmagny entre en collision avec un autre bateau et coule en moins de cinq minutes. Quatorze des quarante-sept passagers ont perdu la vie 2. En tout cas, cette discussion ne me donne pas le goût de partir en croisière… Ce que je voulais dire à propos de l'offre et de la demande, c'est que comme tout le monde connaît le Titanic, ça intéresse plusieurs promoteurs d'expositions parce que c'est moins risqué financièrement de développer une exposition sur un sujet très populaire. C'est comme au cinéma. Les films coûtent tellement cher à produire et à promouvoir qu'Hollywood prend de moins en moins de risques. C'est entre autres pour cette raison qu'il y a beaucoup de films de superhéros comme Batman, Superman, Spider-Man, les Avengers : ils sont déjà très connus, les studios savent qu'il y a un public pour ça, et ce type de divertissement s'exporte très bien partout à travers le monde. D'ailleurs, qu'est-ce qui cartonne au box-office cet été ? Une énième adaptation de Superman et des Quatre Fantastiques. Judith : Es-tu en train de me dire qu'Hollywood devrait faire un remake de Titanic ? V.B-P. : Non. Mais le film Titanic de James Cameron arrive au 4e rang de l'histoire au box-office avec des recettes de 2,26 milliards de dollars. Le film avait coûté 200 millions à produire. Bref, il ne faut donc jamais dire jamais. J.L : Misère. Appel à tous Plus de 100 ans après son naufrage, le Titanic occupe-t-il selon vous trop de place dans nos esprits, dans les musées et la culture populaire ? Écrivez-nous ! Faites-nous part de votre point de vue 1. Lisez le récit de naufrage du Lusitania 2. Consultez la page de l'épave du CGS Montmagny sur le Répertoire du patrimoine culturel du Québec Qu'en pensez-vous ? Participez au dialogue

L'entreprise OceanGate est la « première » responsable, selon les gardes-côtes
L'entreprise OceanGate est la « première » responsable, selon les gardes-côtes

La Presse

time05-08-2025

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L'entreprise OceanGate est la « première » responsable, selon les gardes-côtes

L'implosion du submersible Titan, en 2023, a coûté la vie à cinq personnes. (Washington) Les multiples défaillances de l'entreprise OceanGate sont la cause principale de l'implosion du submersible privé Titan, qui a coûté la vie à cinq personnes lors d'une exploration de l'épave du Titanic en 2023, selon un rapport des gardes-côtes américains dévoilé mardi. Pierre HARDY Agence France-Presse Deux ans après cette catastrophe très médiatisée, le rapport d'enquête de 335 pages éreinte OceanGate Expeditions, société spécialisée dans les expéditions touristiques et scientifiques en milieux extrêmes, jugée coupable de nombreux manquements en matière de conception et d'entretien. Ces défaillances sont la « première cause » de l'accident, ont conclu les gardes-côtes. Le Titan, un petit submersible d'environ 6,5 mètres de long d'OceanGate, avait plongé le 18 juin 2023 pour aller observer l'épave du Titanic et devait refaire surface sept heures plus tard, mais le contact avait été perdu moins de deux heures après son départ. Une vaste opération de secours très médiatisée avait été engagée, mais le submersible avait été détruit peu après sa plongée par une « implosion catastrophique » tuant les cinq passagers sur le coup, dont le scientifique français de 77 ans Paul-Henri Nargeolet, surnommé « M. Titanic », et le patron d'OceanGate, Stockton Rush, 61 ans. PHOTO DAVID HISCOCK, ARCHIVES REUTERS Vue du navire Horizon Arctic, lors du retour des pièces récupérées du submersible Titan, dans le port de St. John's, à Terre-Neuve, le 28 juin 2023. Shahzada Dawood, un homme d'affaires pakistano-britannique de 48 ans et son fils de 19 ans, Suleman, ainsi qu'un explorateur britannique de 58 ans, Hamish Harding, ont également perdu la vie. Des polémiques sur des négligences avaient surgi très vite après l'accident. Les gardes-côtes américains avaient ouvert une enquête et mené, en septembre 2024, une série d'audiences publiques avec une vingtaine de témoins, dont des anciens employés d'OceanGate. « Tactiques d'intimidation » « Cet accident maritime et la perte de cinq vies humaines étaient évitables », a déclaré Jason Neubauer, le président de la commission d'enquête des gardes-côtes, dans un communiqué accompagnant la publication du rapport final. Ce dernier révèle qu'OceanGate a eu recours, « pendant plusieurs années avant l'accident », « à des tactiques d'intimidation, des dérogations accordées pour des opérations scientifiques, et a tiré profit de sa bonne réputation pour échapper à la surveillance des autorités de régulation ». L'entreprise « a finalement pu faire fonctionner le Titan en totale marge des protocoles établis pour les plongées en eaux profondes, lesquels avaient pourtant historiquement permis d'assurer un bon bilan de sécurité pour les submersibles commerciaux », ajoutent les gardes-côtes. Ils dénoncent également un « environnement de travail toxique », qui « dissuadait les employés et les sous-traitants d'exprimer leurs préoccupations en matière de sécurité ». Pendant les audiences publiques, en septembre 2024, Tony Nissen, un ingénieur licencié d'OceanGate en 2019, avait témoigné qu'il était sous pression du patron de l'entreprise pour mentir et affirmer que le submersible était sûr malgré des essais inquiétants. Un autre témoin avait raconté que le Titan avait connu un sérieux incident quelques jours avant l'accident fatal. OceanGate, qui faisait payer 250 000 dollars la place dans le submersible, a suspendu ses activités commerciales après le drame. La famille de l'explorateur français Paul-Henri Nargeolet a poursuivi l'entreprise en justice il y a un an et lui réclame 50 millions de dollars pour « négligence grave ».

Implosion du sous-marin Titan : l'entreprise OceanGate « première » responsable de l'accident, selon les garde-côtes américains
Implosion du sous-marin Titan : l'entreprise OceanGate « première » responsable de l'accident, selon les garde-côtes américains

Le Parisien

time05-08-2025

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Implosion du sous-marin Titan : l'entreprise OceanGate « première » responsable de l'accident, selon les garde-côtes américains

L'entreprise OceanGate, coupable de multiples défaillances, est la « première » responsable de l'implosion du submersible privé Titan, ont indiqué les garde-côtes américains dans un rapport mardi. Ce drame avait coûté la vie à cinq personnes lors d'une exploration de l'épave du Titanic en 2023. L'enquête des garde-côtes a conclu que « le non-respect par OceanGate des protocoles d'ingénierie établis en matière de sécurité, de tests et de maintenance de son submersible était la première cause (de l'accident) », selon le rapport. Le Titan, un petit submersible de 6,5 mètres de long, de l'entreprise américaine OceanGate Expeditions, avait plongé le 18 juin 2023 pour aller observer l'épave du Titanic et devait refaire surface sept heures plus tard, mais le contact avait été perdu moins de deux heures après son départ. Un scientifique français était mort Une vaste opération de secours très médiatisée avait été engagée, mais le submersible avait été détruit peu après sa plongée par une « implosion catastrophique » tuant les cinq passagers sur le coup, dont le scientifique français de 77 ans Pierre-Henri Nargeolet, surnommé « M. Titanic », et le patron d'OceanGate, Stockton Rush. Vidéo« C'était quoi ce bang ? » : ces nouvelles images montrent le moment où le Titan a implosé [2/4] Cécile Vallin, les secrets d'une disparition Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles. Écouter Des polémiques sur des négligences avaient surgi très vite après l'accident, notamment sur le hublot qui n'aurait pas pu techniquement résister à de telles profondeurs. Un fonctionnement « en marge des protocoles établis » « Pendant plusieurs années avant l'accident, OceanGate a eu recours à des tactiques d'intimidation, des dérogations accordées pour des opérations scientifiques, et a tiré profit de sa bonne réputation pour échapper à la surveillance des autorités de régulation », écrivent les garde-côtes dans leur rapport d'enquête. L'entreprise « a finalement pu faire fonctionner le Titan en totale marge des protocoles établis pour les plongées en eaux profondes, lesquels avaient pourtant historiquement permis d'assurer un bon bilan de sécurité pour les submersibles commerciaux », ajoutent-ils, dénonçant aussi un « environnement de travail toxique », qui « dissuadait les employés et les sous-traitants d'exprimer leurs préoccupations en matière de sécurité ».

L'entreprise OceanGate est la « première » responsable, selon les garde-côtes
L'entreprise OceanGate est la « première » responsable, selon les garde-côtes

La Presse

time05-08-2025

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L'entreprise OceanGate est la « première » responsable, selon les garde-côtes

L'implosion du submersible Titan, en 2023, a coûté la vie à cinq personnes. (Washington) L'entreprise OceanGate, coupable de multiples défaillances, est la « première » responsable de l'implosion du submersible privé Titan, qui a coûté la vie à cinq personnes lors d'une exploration de l'épave du Titanic en 2023, ont indiqué les garde-côtes américains dans un rapport mardi. Agence France-Presse L'enquête des garde-côtes a conclu que « le non-respect par OceanGate des protocoles d'ingénierie établis en matière de sécurité, de tests et de maintenance de son submersible était la première cause [de l'accident] », selon le rapport. Plus de détails à venir.

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