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Le Figaro
37 minutes ago
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Autriche : un bébé de 10 semaines survit après une chute de 50 mètres dans les Alpes
Lors d'une promenade dans les Alpes autrichiennes, une mère de famille a malencontreusement lâché la poussette dans laquelle se trouvait son enfant qui s'en est sorti vivant malgré la chute. Un nourrisson âgé de moins de 3 mois a miraculeusement survécu après avoir fait une chute d'une cinquantaine de mètres ce lundi, dans les Alpes autrichiennes, a rapporté la station de radio Tyrol ORF . La mère de famille, âgée de 23 ans, se promenait avec son compagnon et leur bébé, à Fiss, une commune autrichienne située dans les montagnes. Elle a laissé la poussette sans surveillance quelques instants afin d'ouvrir une barrière. Dans ce laps de temps, la poussette, dont les freins n'avaient pas été activés, a bougé et a fini par chuter pendant 50 mètres. Après plusieurs tonneaux, l'enfant a été éjecté. Publicité Le pronostic vital du bébé n'est pas engagé Les membres de l'équipe de secours de Fiss, qui passaient dans les parages, lui ont immédiatement prodigué les premiers soins, puis l'ont emmené à l'hôpital de Zams. Les médecins ont finalement décidé de transférer en urgence le nourrisson à la clinique d'Innsbruck par hélicoptère. La clinique d'Innsbruck a communiqué ce mardi matin auprès de Tyrol ORF, et a assuré que le pronostic vital du bébé n'était pas engagé et que celui-ci se rétablirait. «Compte tenu de la gravité de l'accident, l'enfant a eu beaucoup de chance», a indiqué Johannes Schwamberger, le porte-parole de l'hôpital, à l'agence de presse autrichienne APA. Une enquête a été ouverte par la police autrichienne pour «négligence» des deux parents. Ces derniers n'ont pas pu être interrogés par les forces de l'ordre le jour de l'incident, car tous les deux étaient en état de choc.
Le Parisien
2 hours ago
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- Le Parisien
Un bébé de dix semaines survit à une chute de 50 m et à plusieurs tonneaux dans sa poussette lors d'une randonnée dans les Alpes
Un terrible moment d'inattention. Un bébé de dix semaines a fait une chute d'une cinquantaine de mètres dans les Alpes autrichiennes , lundi 14 juillet, après que sa mère, lors d'une randonnée, a lâché la poussette dans laquelle il se trouvait, rapporte la station de radio Tyrol ORF . La mère de famille de 23 ans, originaire de Leipzig (Allemagne), a garé la poussette pour ouvrir un portail sur le chemin de randonnée , dans la commune de Fiss aux alentours de midi, mais elle a oublié d'actionner les freins, selon les premières investigations. La poussette a alors commencé à dévaler la pente, puis a chuté d'une cinquantaine de mètres en effectuant plusieurs tonneaux. Le bébé a été éjecté de sa poussette et a atterri dans un pré, selon la police du Tyrol. Les secouristes de montagne, qui se trouvaient à proximité au moment des faits, ont pris en charge le nourrisson et l'ont ramené avec sa mère dans la vallée, avant qu'ils ne soient transportés par hélicoptère à l'hôpital du district de Zams, à l'hôpital universitaire d'Innsbruck. Mardi matin, l'hôpital a déclaré que le pronostic vital de l'enfant n'était pas engagé. « Compte tenu de la gravité de l'accident, l'enfant a eu beaucoup de chance », a indiqué Johannes Schwamberger, le porte-parole de l'hôpital, à l'agence de presse autrichienne APA. L'enfant est blessé, « mais il se rétablira », a-t-il précisé à Tyrol ORF. Le père de l'enfant était également présent lors de la randonnée . La police a ouvert une enquête pour coups et blessures infligés par négligence à un mineur et un rapport sera transmis au parquet. Les parents de l'enfant n'ont pas pu être interrogés le jour de l'incident, car ils étaient tous deux en état de choc, a précisé la police.
L'Équipe
3 days ago
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Place au « Sinal », le duel final en Grand Chelem entre Jannik Sinner et Carlos Alcaraz
L'Espagnol Carlos Alcaraz, qui vise le triplé dans le Temple, et l'Italien Jannik Sinner se retrouvent, ce dimanche à 17 heures, après leur formidable finale de Roland-Garros, pour perpétuer cette alléchante nouvelle rivalité entre deux frappeurs si différents. Une partie du monde qui avait tant souffert pour Jannik Sinner, passé trois fois d'affilée à un point du Graal terrien avant d'être battu par un Martien espagnol après 5 h 29' d'un match légendaire bouclé au super tie-break, se demandait combien de temps il faudrait au longiligne italien pour se remettre d'un tel K.-O. La réponse est vite arrivée : très peu, après quelques barbecues et quelques matches de ping-pong en famille dans le Tyrol. Les grands fauves sont ainsi bâtis que les plus terribles des désillusions les rendent encore plus forts. Sinon ils ne seraient pas des grands fauves. Sinner, qui a compartimenté dans un autre coin du cerveau tous les miasmes véhiculés par son contrôle positif rapidement résolu par les autorités (trois mois de suspension), met les oeillères quand se voile le court terme. S'il sourit bien moins que Carlos Alcaraz, et qu'il n'ira sans doute jamais à Ibiza entre deux tournois du Grand Chelem, il assume cette froideur baignée dans la rigueur. « Après Roland-Garros, je me suis entraîné dur, peut-être encore plus qu'avant. Et c'est ce que je ferai après (la finale de Wimbledon) quoi qu'il se passe. » Moins fun, tu ne peux pas. Plus efficace, ce n'est guère possible. À 23 ans et 318 jours, il est le plus jeune joueur de l'ère Open à atteindre quatre finales d'affilée en Majeur. Après le « Fedal », place au « Sinal » Où l'attend donc ce nouveau défi rapproché contre Alcaraz, pour un rendez-vous déjà configuré en affiche royale, à l'aube d'une rivalité de « Big 2 » new-look après les bombances du Big 3. Depuis les Federer-Nadal déjà si vite surannés de 2006, 2007, 2008 de Roland à Wimbledon, cet Alcaraz-Sinner est la première finale à l'identique de l'ocre à l'herbe. Le « Sinal » a succédé au « Fedal ». Après les retraites de Federer et Nadal, la gestion compliquée par Djokovic de ce corps sacré qui lui a tant donné avant de lui faire quelques misères ou la mise au diapason des malheureux coincés entre le marteau et l'enclume (Alexander Zverev, Daniil Medvedev, Stefanos Tsitsipas), et avant l'avènement de garnements encore plus puissants et plus brillants, deux maillots jaunes se sont nettement échappés en tête du peloton. Ils découragent la concurrence et se regardent droit dans les yeux dès lors qu'ils se retrouvent pour se lancer à la conquête du record de titres dans les tournois du Grand Chelem qui ne leur échappent plus depuis l'US Open 2023. « Il n'y a qu'Alcaraz pour prendre Sinner de vitesse, et il n'y a que Sinner pour prendre Alcaraz de vitesse » Gilles Cervara, entraîneur de Daniil Medvedev « Il n'y a qu'Alcaraz pour prendre Sinner de vitesse, et il n'y a que Sinner pour prendre Alcaraz de vitesse, raconte Gilles Cervara, l'entraîneur de Medvedev, pour résumer le choc des titans. Ce que j'avais dit à Daniil pour essayer de battre Alcaraz, et que Sinner fait très bien, c'est que dès qu'il y a une brèche dans l'échange, ou un coup plus exploitable, il faut y aller, quitte à rater. Car si tu n'y vas pas, eh bien derrière de toute manière, et sur n'importe quelle balle, Alcaraz peut te crucifier en un coup... » Et c'est la même analyse en renversant les rôles. Face à Sinner, qui pousse à la limite à chaque coup, il faut frapper chaque balle parfaitement pour rester en vie dans le point. Il devient de plus en plus difficile pour les autres de résoudre l'énigme. Depuis sa défaite face à David Goffin à Miami tandis qu'on craignait pour lui une espèce de relâchement, l'Espagnol n'a lâché qu'une fois en trente-quatre matches, tandis que Sinner n'a perdu que neuf fois depuis le début de la saison 2024. Mais cinq fois de suite face à... Alcaraz. On tient là sans doute LA clé du match, même s'il est sans doute hardi de parler de complexe italien. L'Espagnol, avec ses arabesques et sa palette de coups venimeux, a le facteur X qui sait faire fondre l'iceberg aux schémas monolithiques. Face au cyborg, jamais il ne cédera au moindre moment d'égarement qui noircit çà et là ses prestations enchanteresses. Matérialisée par son ratio XXL (35 victoires en 38 matches sur gazon) et ses deux trophées dans le Temple, sa classe verte, sur une surface encore plus adaptée aux showmen créatifs, est de nature à lui offrir un ascendant dans un match où il faudra d'abord s'appliquer à taper très fort au service. Il n'a jamais connu la défaite en cinq finales de Grand Chelem. Même s'il s'en est fallu d'un souffle à Paris... À lire aussi Comment Alcaraz est devenu redoutable au service Igargantuesque, un chef-d'oeuvre et un Grand Chelem personnel «Jannik peut gagner tous les Grands Chelems» Quand Alcaraz battait Sinner à seulement 15 ans
L'Équipe
4 days ago
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Vainqueur de la 4e étape, sa troisième de suite, Isaac del Toro s'offre aussi le maillot de leader du Tour d'Autriche
Isaac Del Toro (21 ans), récent 2e du Giro, a signé sa troisième victoire consécutive sur le Tour d'Autriche en s'imposant à l'issue de la 4e étape. Du même coup, il s'est emparé de la tunique de leader avec 29 secondes de marge sur son dauphin. Isaac Del Toro rafle tout. Déjà vainqueur des deux étapes précédentes, le Mexicain (UAE Emirates-XRG) a remporté la quatrième étape du Tour d'Autriche, ce samedi à la station de Kühtai dans le Tyrol. Déjà premier au classement par points, il prend le maillot de leader à son coéquipier Felix Grossschartner, qui a craqué dans l'avant-dernière ascension. Victorieuse de toutes les étapes, l'équipe UAE Emirates-XRG continue d'écraser la course. Même lorsque le porteur du maillot rouge de leader, Felix Grosschartner, a lâché prise à plus de dix kilomètres de l'arrivée, le rouleau compresseur ne s'est pas arrêté. L'équipier modèle et quasi-infaillible Rafal Majka a tracté Isaac Del Toro, étouffé les vaines attaques d'Esteban Chaves (EF Education-Easypost), et finalement lancé son partenaire mexicain vers le coup double. L'Irlandais Archie Ryan (EF Education-Easypost), battu pour quelques secondes dans les dernières pentes, prend la deuxième place du classement général, à 29 secondes du nouveau leader avant une dernière étape de moyenne montagne dimanche.
24 Heures
6 days ago
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Un agriculteur impose un péage sur un sentier alpin très fréquenté
Dans le Tyrol italien, un propriétaire a installé un tourniquet payant sur sa prairie. Une première qui soulève des questions sur la gestion des flux touristiques dans les Alpes. Publié aujourd'hui à 19h17 Des touristes américains et chinois ont accepté de payer pour prendre une photo, tandis que d'autres randonneurs ont préféré rebrousser chemin. Facebook/DR En bref: Un agriculteur italien a installé ce week-end une barrière payante sur un sentier de randonnée prisé dans le Tyrol du Sud, provoquant une vive controverse. Selon Carlo Alberto Zanella, le chef du Club alpin italien (CAI), ce serait la première fois qu'un droit d'entrée est exigé pour accéder à un sentier de randonnée dans cette région alpine. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Une barrière payante L'incident, dévoilé par RAI News et relayé par , s'est produit à Santa Cristina (Val Gardena) où l'agriculteur a mis en place un tourniquet avec un péage de 5 euros sur une prairie alpine près du Seceda, l'un des points de vue les plus photographiés du Tyrol du Sud. Des touristes américains et chinois ont accepté de payer pour prendre une photo, tandis que d'autres randonneurs ont préféré rebrousser chemin. L'agriculteur a précisé que cette installation n'était qu'une action de protestation et que le tourniquet n'a fonctionné que le samedi. «Tout le monde passe simplement en laissant des déchets, ou en faisant du feu. C'est tout simplement scandaleux», a-t-il déclaré, souhaitant attirer l'attention sur la dégradation de son alpage par des comportements irrespectueux. Le sentier en question traverse une parcelle privée de 50 mètres de long sur la montée vers le Seceda. Selon Ivan Runggaldier, président de la section Val Gardena du Club alpin italien (CAI), «chaque jour, jusqu'à 4000 touristes prennent le téléphérique pour se rendre à l'alpage, font quelques pas, puis font demi-tour». Le tourniquet au cœur d'un flou juridique Le maire de Santa Cristina a confirmé que le tourniquet avait été installé sans autorisation. Les autorités locales et la police ont été saisies afin de déterminer si une telle barrière était légalement autorisée, mais la clarification juridique n'a pas encore eu lieu. Face à cette situation, Cristian Olivo, président du Club alpin du Tyrol du Sud, a exprimé sa préoccupation à Rai News: «Nous comprenons bien sûr aussi le propriétaire du terrain et le droit de propriété. Mais le fait que nous commencions maintenant à fermer des sentiers pour demander de l'argent ne peut évidemment pas être la solution.» Un grand sentier de randonnée Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Claude Béda est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 heures. Licencié en sciences sociales et politiques, passionné par les sujets de société et la vie des gens d'ici, il a couvert plusieurs régions du canton, avant de rejoindre la rédaction lausannoise. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
