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14-Juillet : tout savoir sur le «Comand Car», le véhicule à bord duquel le Président remonte les Champs-Élysées
14-Juillet : tout savoir sur le «Comand Car», le véhicule à bord duquel le Président remonte les Champs-Élysées

Le Figaro

time3 days ago

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14-Juillet : tout savoir sur le «Comand Car», le véhicule à bord duquel le Président remonte les Champs-Élysées

Le Président défile chaque année sur les Champs-Élysées à bord du VLRA Command Car d'ACMAT. Adapté spécialement pour la cérémonie du 14 Juillet, ce 4x4 robuste symbolise la continuité de la République française. Cette année, lors du défilé du 14-Juillet sur les Champs-Élysées, le Président de la République Emmanuel Macron descendra l'avenue la plus célèbre du monde à bord d'un véhicule militaire emblématique : le VLRA Command Car d'ACMAT. Une tradition qui perdure depuis l'époque de Valéry Giscard d'Estaing qui pilota le premier ACMAT Command Car dans les années 1970 pour les défilés du 14 juillet. Tous les présidents de la Ve République sont ensuite à bord de ce même véhicule mythique, avec la même immatriculation : 682 0733. Le Command Car est aujourd'hui un véritable symbole de la République française. Véhicule militaire oblige, le moteur Perkins du Command Car est un diesel 6 cylindres qui développe entre 120 et 145 chevaux selon les versions, pouvant propulser ce 4x4 de 4300 kg à vide jusqu'à 100 km/h sur route. Sa capacité d'emport atteint 6800 kg en charge, tandis que son autonomie avec un seul plein peut aller jusqu'à 1000 km selon les configurations. Publicité Les dimensions imposantes du véhicule - 5,35 à 6 mètres de longueur pour 2,07 mètres de largeur - lui confèrent une présence majestueuse lors des défilés. Ses capacités tout-terrain impressionnent : il franchit des pentes de 60 à 65% et traverse des gués de 0,90 mètre sans préparation particulière. Pas sûr que cela soit utile sur les Champs-Élysées. C'est pourquoi les ingénieurs d'ACMAT adaptent spécifiquement le véhicule pour les besoins protocolaires présidentiels. Ils installent une main courante sur toute la largeur du compartiment arrière, permettant au Président de se tenir debout pour saluer les troupes et le public. Des supports de fanions d'identification ornent les ailes avant, ajoutant à la solennité de l'ensemble. Le succès industriel du Command Car D'un point de vue industriel, ACMAT (Ateliers de Construction Mécanique de l'Atlantique) est aujourd'hui intégré dans le groupe Arquus, et fabrique ces véhicules exceptionnels dans ses usines de Saint-Nazaire. La robustesse et la fiabilité du VLRA séduisent bien au-delà des frontières françaises. ACMAT a exporté plus de 12.000 exemplaires dans plus de 50 pays, où ils servent dans les forces armées mais aussi comme véhicules d'apparat pour d'autres chefs d'État. Cette diffusion internationale fait du Command Car français un ambassadeur du savoir-faire militaire national. L'armée française déploie environ 800 VLRA, principalement au sein des forces spéciales qui apprécient leur simplicité mécanique et leur grande autonomie. La conception modulaire du véhicule permet de l'adapter à de multiples usages : transport de troupes, ambulance, poste de commandement mobile. Mais le Command Car transcende sa fonction de simple véhicule militaire et devient le 14-Juillet un témoin motorisé de la continuité républicaine et de la grandeur du pays.

Macron et Bayrou en légère remontée, mais 42 % des Français souhaitent une nouvelle dissolution
Macron et Bayrou en légère remontée, mais 42 % des Français souhaitent une nouvelle dissolution

Le Figaro

time3 days ago

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Macron et Bayrou en légère remontée, mais 42 % des Français souhaitent une nouvelle dissolution

Le président et son premier ministre connaissent un léger mieux dans le baromètre Ipsos-La Tribune Dimanche de juillet, avec respectivement trois et deux points de hausse. Mais leur popularité reste faible, sur fond de défiance persistante envers l'exécutif. Emmanuel Macron et François Bayrou grappillent respectivement trois et deux points de mieux concernant leur action en juillet, même si le niveau de satisfaction à leur endroit reste faible, selon un sondage Ipsos pour La Tribune Dimanche . Avec 24% d'opinions favorables, le chef de l'État regagne un peu d'oxygène dans ce baromètre mensuel, même si sa cote végète dans des étiages similaires à ceux de la crise des gilets jaunes fin 2018. Un regain attribuable notamment à une popularité en hausse chez les sympathisants écologistes (+15%) selon cette enquête, alors que le chef de l'État a fait la promotion ces dernières semaines de son bilan vert. Publicité À quelques jours de présenter ses orientations budgétaires, marquées par un net tour de vis pour tenter de redresser les comptes, François Bayrou reprend aussi quelques couleurs, après un printemps en chute libre. Mais avec 19% d'opinions favorables, il pâtit toujours d'une popularité bien inférieure à celle de tous ses prédécesseurs sous la Ve République. Le RN en tête Si Bruno Retailleau reste le ministre le plus apprécié - 36% des sondés jugent que le locataire de Beauvau est le meilleur du gouvernement - sa cote de présidentiable recule de quatre points par rapport à juin. Ils ne sont plus que 25% des personnes interrogées à se dire satisfaites en cas d'élection de l'actuel ministre de l'Intérieur en 2027, contre 27% à Édouard Philippe, et 33% au duo à la tête du Rassemblement national, Marine Le Pen et Jordan Bardella. Enfin, un an après la précédente, 42% des sondés se disent favorables à une nouvelle dissolution, et 31% contre - le reste n'ayant pas d'avis sur le sujet. Parmi les plus allants à un chamboulement au Palais Bourbon : les sympathisants RN, qui plaident à 51% pour... quand bien même leur chef de file Marine Le Pen serait interdite de se représenter par la justice. Ce sondage a été réalisé en ligne du 9 au 10 juillet 2025 sur un échantillon de 1000 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur entre 0,6 et 3,1 points.

Face aux perquisitions, le RN réduit à verser dans la rhétorique complotiste
Face aux perquisitions, le RN réduit à verser dans la rhétorique complotiste

Le HuffPost France

time7 days ago

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Face aux perquisitions, le RN réduit à verser dans la rhétorique complotiste

POLITIQUE - « Le Rassemblement national n'a rien à cacher, et se tient à la disposition de la justice pour faire la lumière sur les faits qui l'intéressent ». Non, cette phrase n'a jamais été produite par le RN en marge des perquisitions menées à son siège ce mercredi 9 juillet. Et pour cause, Jordan Bardella a d'emblée dénoncé une machination à visée purement politique, renouant ainsi avec le réflexe complotiste de la formation d'extrême droite. « Cette opération, spectaculaire et inédite, s'inscrit clairement dans une nouvelle opération de harcèlement. C'est une atteinte grave au pluralisme et à l'alternance démocratique. Jamais un parti d'opposition n'a subi un tel acharnement sous la Ve République », s'est enflammé sur le réseau social X le président du parti lepéniste. Ce champ lexical, que Marine Le Pen avait déjà martelé après sa condamnation pour détournement de fonds publics dans l'affaire des assistants fictifs, est pourtant loin de convaincre les Français. Malgré tout, rebelote ce mardi. « Un an après avoir volé les élections par ses magouilles et ses mensonges, le Système sombre dans les basses œuvres », a renchéri sur X le député RN de la Somme Jean-Philippe Tanguy, établissant un parallèle entre le front républicain, issu d'accords électoraux au cas par cas visant à faire barrage au RN lors des dernières législatives, et une décision judiciaire. « Les institutions sont dévoyées par des bandes qui veulent garder le pouvoir à tout prix ! », a-t-il poursuivi, sans préciser qui sont les personnes visées par son accusation. Le « système » dans le viseur Ce discours vilipendant une organisation obscure et 100 % tournée vers les entraves au RN n'est pas marginal au sein du parti lepéniste. « Le système à bout de souffle, tire ses dernières cartouches contre le premier parti de France, la démocratie vacille mais les Français ne sont pas dupe s », a réagi l'eurodéputée RN Mélanie Disdier. « Incapable désormais de nous empêcher d'arriver au pouvoir, le système sombre dans les manœuvres sordides de harcèlement judiciaire spectacle », dénonce pour sa part Sébastien Chenu. Détail intéressant, tous ces messages dessinant un vaste complot judiciaro-politique fomenté contre le peuple (qui serait uniquement représenté par le RN) sont repostés par le compte officiel du Rassemblement national. Preuve s'il en est que cette défense un brin paranoïaque qui a l'avantage d'esquiver le fond du dossier est destinée à être répliquée à échelle industrielle. À noter que ce n'est pas la première fois que des perquisitions menées dans le cadre d'une enquête judiciaire s'invitent dans le monde politique. Celles-ci peuvent viser des personnes en particulier (comme Rachida Dati ou Sébastien Delogu par exemple) ou des partis, à l'image de la France insoumise en 2018, dont l'affaire a par la suite était classée. En 2014, c'est le siège de l'UMP qui avait été perquisitionné dans le cadre de l'affaire Bygmalion. Concernant le RN, la perquisition fait suite à l'ouverture d'une information judiciaire en juillet 2024 pour des soupçons de financement illicite des campagnes du RN aux élections présidentielle de 2022 et européennes de 2024. Et ce, sur la base de signalements effectués par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP). En parallèle, le RN fait également l'objet d'une enquête du parquet européen. Cette fois, le parti d'extrême droite est soupçonné, avec ses alliés européens, d'avoir « indûment dépensé » plus de 4,3 millions d'euros entre 2019 et 2024. Une affaire qui s'ajoute à celle des attachés parlementaires fictifs, pour laquelle Marine Le Pen a déjà été condamnée pour « détournement de fonds publics », écopant d'une peine d'inéligibilité avec exécution immédiate. À l'inverse de la moitié des condamnés dans ce dossier, la cheffe du RN a fait appel de cette décision.

Jordan Bardella annonce une perquisition en cours du siège du RN et dénonce du « harcèlement » et « un acharnement »
Jordan Bardella annonce une perquisition en cours du siège du RN et dénonce du « harcèlement » et « un acharnement »

Le Parisien

time7 days ago

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Jordan Bardella annonce une perquisition en cours du siège du RN et dénonce du « harcèlement » et « un acharnement »

Il dénonce un « acharnement » inédit sous la Ve République et du « harcèlement ». Le président du Rassemblement national (RN) Jordan Bardella a affirmé ce mercredi sur le réseau social X que le siège du parti était visé par une perquisition depuis « 8h50 ce matin ». Celle-ci serait, selon lui, « menée par une vingtaine de policiers de la Brigade financière, armés et en gilets pare-balles, accompagnés de deux juges d'instruction ». « Tous les mails, documents et éléments de comptabilité du premier parti d'opposition sont saisis, sans que nous sachions à ce stade quels sont précisément les griefs qui en sont le fondement », a ajouté le député européen. Selon ce dernier, « l'intégralité des dossiers qui concernent les dernières campagnes régionales, présidentielles, législatives et européennes - soit toute l'activité électorale du parti - est aujourd'hui entre les mains de la justice ». « Cette opération, spectaculaire et inédite, s'inscrit clairement dans une nouvelle opération de harcèlement. C'est une atteinte grave au pluralisme et à l'alternance démocratique. Jamais un parti d'opposition n'a subi un tel acharnement sous la Ve République », conclut Jordan Bardella. >>> Plus d'informations à suivre sur

Présidentielle 2027 : popularité et intentions de vote, deux critères sondagiers à ne pas confondre
Présidentielle 2027 : popularité et intentions de vote, deux critères sondagiers à ne pas confondre

Le Figaro

time7 days ago

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Présidentielle 2027 : popularité et intentions de vote, deux critères sondagiers à ne pas confondre

Réservé aux abonnés ANALYSE - L'histoire de la Ve République est jalonnée de figures politiques jouissant d'une image très positive dans l'opinion mais qui au final n'ont pas connu de grands succès dans les urnes. À moins de deux ans de l'échéance élyséenne, les spéculations vont bon train et les pronostics les plus audacieux circulent. Si la composition du futur casting présidentiel reste encore incertaine, chaque camp s'emploie, tant bien que mal, à se trouver un champion en vue de 2027, alimentant ainsi la prolifération des rumeurs de candidatures. Une effervescence dont fait son miel le microcosme politique, où les conversations à ce sujet reposent, le plus souvent sur ce qui est perçu comme le seul thermomètre fiable et scientifique de l'opinion : les sondages. Bien que ces enquêtes, publiées chaque semaine, ne sauraient avoir de valeur prédictive, elles offrent néanmoins un reflet nuancé de l'état d'esprit des Français - qu'il s'agisse de baromètres de popularité, de cotes d'avenir, ou d'intentions de vote - et exigent, à cet égard, une lecture rigoureuse, sous peine de générer confusion et erreurs d'interprétation à l'approche du scrutin. Peut-être est-ce cette confusion ambiante qui explique…

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