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Féminicide à Vevey, lieux «Adults only», taxe aérienne: l'essentiel de ce 16 juillet
Féminicide à Vevey, lieux «Adults only», taxe aérienne: l'essentiel de ce 16 juillet

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timean hour ago

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Féminicide à Vevey, lieux «Adults only», taxe aérienne: l'essentiel de ce 16 juillet

Accueil | L'essentiel du jour | Violence conjugale, procès pour féminicide Enfants interdits, l'essor des lieux réservés aux adultes fait débat Taxer les vols en avion pour faire prendre le train Publié aujourd'hui à 17h36 Un homme de 32 ans comparaît devant le Tribunal de Vevey pour avoir tué son épouse de 38 coups de couteau dans un parc à Montreux en août 2020. L'accusé avait été libéré sous condition seulement vingt-quatre jours avant le drame, malgré de nombreux signaux d'alerte sur sa dangerosité. L'expertise psychiatrique révèle un grave trouble mental sans irresponsabilité totale. Le Ministère public a requis 18 ans de prison et l'internement pour ce féminicide qui illustre les défaillances du système de prévention de la violence domestique. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Enfants interdits! L'essor des lieux réservés aux adultes fait débat La multiplication des espaces «Adults only» suscite l'inquiétude des spécialistes. Avec 1544 hôtels labellisés dans le monde en 2023, cette tendance s'étend aussi aux restaurants et autres établissements. Annamaria Colombo, professeure à la Haute École de travail social de Fribourg, met en garde contre cette privatisation croissante qui menace le principe du vivre-ensemble et exclut les mineurs d'espaces destinés au public. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Taxer les vols en avion pour nous faire prendre le train? Le débat est lancé Le Grand Conseil de Bâle-Ville relance le débat sur la taxation des vols courts remplaçables par le rail. Cette initiative, soutenue par 72% des Suisses selon un sondage, vise à limiter les nuisances environnementales et sonores des aéroports. Contrairement aux précédentes tentatives, le texte bâlois évite les seuils kilométriques précis et mise sur l'accessibilité ferroviaire «raisonnable». Le débat oppose le conseiller national PLR Olivier Feller, hostile à toute nouvelle taxe, et la présidente des Verts, Lisa Mazzone, favorable à cette mesure écologique. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Tour de France: «L'effaceur de zizis», ce personnage qui supprime les pénis des routes Patrick Dancoisne, 65 ans, a une mission insolite sur la grande boucle: effacer les dessins et messages inappropriés sur les routes. Muni de peinture blanche et d'un rouleau, cet ancien croque-mort transforme habilement les pénis en animaux (hiboux, lapins, papillons) tout en préservant les encouragements destinés aux coureurs. Sa franchise et sa bonne humeur en font une coqueluche du public. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Moscou et Kiev se retrouvent à Genève Une rencontre exceptionnelle aura lieu du 29 au 31 juillet à Genève lors de la Conférence mondiale des présidents de parlement. Pour la première fois depuis l'invasion de l'Ukraine, les présidents des parlements ukrainien et russe se croiseront au Palais des Nations. La Suisse devra lever temporairement ses sanctions contre plusieurs délégués russes, dont Valentina Matvienko et Piotr Tolstoï, pour permettre leur participation. Cette rencontre nécessitera un important dispositif de sécurité. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Aussi dans l'actu Jeux olympiques de Milan Cortina 2026: les médailles olympiques ont été dévoilées. KEYSTONE Le reste de l'essentiel de la semaine Leonardo Pescante est rédacteur en chef adjoint de 24heures depuis 2011. Après des études à l'Université de Lausanne en mathématiques et des cours supérieurs de management au CRPM, il a travaillé près de 15 ans à Radio Suisse internationale. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Libéré sous condition, il tue son épouse 24 jours après
Libéré sous condition, il tue son épouse 24 jours après

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time11 hours ago

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Libéré sous condition, il tue son épouse 24 jours après

L'accusé avait été en prison pour des coups sur sa femme en 2020. Le jour où il l'a poignardée 38 fois, il était astreint à un traitement contre la violence. Publié aujourd'hui à 08h09 Physiquement imposant et considéré comme dangereux, l'accusé était sous bonne escorte policière pour assister à son procès pour féminicide, mercredi au Tribunal criminel de Vevey. dr En bref: Les autorités renforcent les moyens de prévention et de lutte contre la violence domestique, faite aux femmes. Mardi, un procès criminel à Vevey pour féminicide rappelle qu'il y a encore beaucoup à faire. Avant de passer à l'acte, l'accusé avait déjà plusieurs fois sévi contre son épouse. Il avait aussi dévoilé des troubles psychologiques. Incarcéré début 2020, il est libéré le 31 juillet, à la condition de suivre une thérapie contre les violences et la toxicomanie. Moins d'un mois plus tard, le 24 août 2020, il tue sa femme de 38 coups de couteau dans un parc public, en plein jour à Montreux. Il a été arrêté sur place. «Dans cette affaire, tous les signaux étaient au rouge», a déploré Coralie Devaud. L'avocate des parties plaignantes a fait la liste des nombreuses alertes qui n'ont pas permis d'éviter l'issue fatale: interventions de la police, légèreté d'une expertise psychiatrique, manque de collaboration entre les cantons. Le jour du drame, le prévenu aurait dû assister à sa première consultation. De plus, il était toujours en contact avec la victime malgré la menace qui pesait sur elle. Violence domestique Ce procès n'est toutefois pas celui des pouvoirs publics. Mais celui d'un homme de 32 ans né à New York qui est arrivé en Suisse en 2017. Il avait rencontré sa future femme, une Suissesse alors âgée de 20 ans, lors d'un voyage au Japon. Le couple se marie dans la foulée au Danemark et décide de rentrer chez elle en Suisse romande, en Valais, puis sur Vaud. Rapidement, la personnalité violente de l'agresseur s'exprime. Sa consommation excessive de stupéfiants n'aide pas à le calmer. Au tribunal, l'accusé d'assassinat est entouré par deux gendarmes. Dans son dos, quatre policiers en civil, encagoulés. Et dans la salle, deux autres agents sont assis dans le public. Au premier coup d'œil, un terrible constat s'impose. Le prévenu au physique de taureau qui intimide les forces de l'ordre n'a laissé aucune chance à son épouse. «Il l'a littéralement massacrée», a dénoncé la procureure Camilla Masson. L'acharnement s'est déroulé en deux temps: il l'a frappée avec son arme blanche sur le cou, la poitrine et la tête. Puis il lui a tranché la gorge. Procès à Vevey «Oui, c'est bien moi», répond en anglais l'accusé au président du tribunal de l'Est vaudois Franz Moos qui lui demande s'il est bien l'auteur des coups mortels. «C'était une très grande erreur. Je n'arrête pas de me le répéter», se lamente-t-il. Des regrets, il y en a eu beaucoup. Mais aucune explication logique, le prévenu se perdant dans un récit paranoïaque confus. «C'est un crime de propriétaire. Elle voulait le quitter, il l'a tué. Le mobile est la propriété», a asséné la procureure. Ce que la défense conteste. Courageuse, la famille plaignante était dans la salle. La maman, elle, n'a pas eu la force de rester. C'est la sœur aînée de la victime qui s'est exprimée au nom de tous. Elle a expliqué que la vingtenaire ne se serait jamais doutée qu'il puisse s'en prendre à elle: «Malgré tout le mal qu'il lui a fait, elle lui a montré tellement d'amour. Elle avait plutôt peur qu'il se fasse du mal à lui-même.» Consciente de l'emprise dans laquelle elle se trouvait, la jeune Suissesse avait accepté de le rencontrer une dernière fois pour lui dire qu'elle n'en pouvait plus. Et que lui devait se ressaisir et se soigner. Psychiatrie légale Le cœur de cette affaire pénale est l'expertise psychiatrique. Le prévenu souffre d'un grave trouble mental. Au moment des faits, il dit avoir été persuadé que sa femme et d'autres tiers le menaçaient de mort. «Sa personnalité est fortement diminuée, mais il n'est pas irresponsable», a dit le docteur Philippe Delacrausaz. Ces délires ont existé, mais «cela n'en fait pas une explication totale.» Le spécialiste préconise une mesure thérapeutique institutionnelle en milieu fermé. Le Ministère public a requis 18 ans et le petit internement pour ce féminicide. Difficile à dire si l'accusé a bien compris l'enjeu de cette lourde peine qui risque de prolonger encore longtemps sa détention. Le trentenaire semblait en effet marqué par les neuroleptiques qu'il prend depuis le début de l'année, plissant régulièrement les yeux et contractant sa joue. À l'issue de l'audience, il a réussi à se lever pour déclarer: «Je m'excuse.» Verdict ce mercredi à Vevey. Les féminicides en procès Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Dominique Botti est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 Heures, spécialisé dans les enquêtes de terrain, les faits divers et l'actualité judiciaire. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Découvrez La Châ, buvette d'alpage en mode gastro qui se mérite
Découvrez La Châ, buvette d'alpage en mode gastro qui se mérite

24 Heures

time4 days ago

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Découvrez La Châ, buvette d'alpage en mode gastro qui se mérite

Logé derrière le sommet des Pléiades au-dessus de Vevey, le petit chalet-restaurant n'est accessible qu'à pied, mais récompense largement de l'effort. Publié aujourd'hui à 12h24 Les chefs Régis Rath et Yoann Rath-L'Horset au soleil de La Châ, non loin du sommet des Pléiades. Laurent de Senarclens En bref: Ambiance et tarifs conviviaux mais, dans les assiettes, cuisine locale et de saison quasi gastronomique. Voilà la recette du succès du Restaurant La Châ , qui affiche régulièrement «complet». Ce n'était pourtant pas gagné d'avance vu son emplacement. Cet établissement, dont le nom signifie «le champ» en patois vaudois ou fribourgeois (seule la prononciation change), est en effet blotti au pied d'une colline, au nord du terminus du train Vevey-Les Pléiades. Il faut compter une vingtaine de minutes de marche pour y accéder, sans aucun tronçon à plat et sur des chemins de cailloux roulant sous les chaussures! En plus, alors que de nombreux établissements de la région offrent une terrasse avec une vue sublime sur le Léman, La Châ doit se contenter d'une toute petite percée, mais aperçoit aussi le lac de Neuchâtel. La Châ a l'esprit de contradiction: sa terrasse ne regarde pas la plaine! ©Laurent de Senarclens «Venir ici, ça se mérite!» confirment Yoann Rath-L'Horset et Florian Paulus en nous accueillant sur la terrasse de ce petit chalet en bois foncé planté dans un décor bucolique en bordure d'un des nombreux circuits pédestres sillonnant le secteur. Le duo se connaît de longue date: le premier nommé, futur repreneur de l'établissement, est le fils de Régis Rath qui le tient depuis douze ans. Florian Paulus travaille à ses côtés depuis six ans. «Il y a une très bonne synergie entre nous, explique celui qui s'occupe de l'accueil et du service, suivi comme son ombre par le border collie Leuky . Quand j'ai des idées, Yoann a la technique pour les réaliser!» Pour le moins: avant de reprendre la cuisine de La Châ, Yoann Rath-L'Horset a effectué son apprentissage chez Carlo Crisci à Cossonay, avant de partir compléter sa formation au triplement étoilé Clos des Sens à Annecy (F). L'intérieur de La Châ, ancien Restaurant du Remonte-Pente ouvert en 1956. ©Laurent de Senarclens Cuisiner aux Pléiades demande toutefois quelques adaptations par rapport à ces grandes cuisines. «L'espace est minuscule ici. On ne travaille donc presque qu'avec des produits que je cuisine à l'avance, comme des viandes confites ou du poisson fumé sur place.» Pour trouver le reste des ingrédients, il n'y a qu'à se baisser autour du petit chalet-restaurant ouvert en 1956 sous le nom de Restaurant du Remonte-Pente. Un nom de circonstance, puisque l'établissement est frôlé par un télésiège et situé à quelques dizaines de mètres de l'arrivée d'un téléski. Le dressage des assiettes est digne d'un grand restaurant plus que d'une buvette. Sylvain Muller Mais revenons aux préparatifs des repas. «Les orties de votre soupe ont été cueillies ce matin, juste là-derrière», révèle Yoann Rath-L'Horset, qui vit sur place pendant les périodes d'exploitation. Au gré des saisons, le cuisinier récolte de la même manière les bourgeons de sapins, l'ail des ours ou l'aspérule odorante, dont il fait tantôt de la liqueur, tantôt du sorbet en suivant les recettes que son père lui a transmises. Et son collaborateur n'est pas en reste: «J'habite en plaine et viens en train. Ça me fait mon sport de monter le matin. Et en automne, j'en profite pour récolter sur mon chemin les champignons que l'on servira dans la journée.» Cette association d'ingrédients frais et de savoir-faire émerveille dans les assiettes. Les yeux, puis les papilles, se régalent de la truite fumée joliment décorée de petites fleurs et sublimée par une touche de crème au raifort (32 fr.). Idem pour le roulé de veau confit, tomates et basilic aux saveurs rappelant la cuisine des grands-mamans italiennes (34 fr.). Les desserts justifient, eux aussi, les efforts physiques consentis avec une prime spéciale pour l'Happy-culteur: un duo sorbet-tartelette au citron, accompagné d'une originale liqueur maison au thym et miel des Pléiades (16 fr.) L'Happy-culteur, pour une touche sucrée en fin de repas. Sylvain Muller Cuisine locale Le duo de La Châ n'en délaisse pas pour autant les plats plus simples, typiques des chalets d'alpage. Leurs fondues sont alors «twistées» aux morilles, à l'ail des ours ou aux bolets et éperviers. Des plats conviviaux pour lesquels des équipes n'hésitent pas à privatiser le restaurant et à planifier leur retour nocturne et à pied, puisque les soirées se prolongent souvent bien après le départ du dernier train. Des röstis et des pâtes fraîches figurent également sur la grande ardoise servant de carte, qui évolue très régulièrement en fonction des disponibilités des ingrédients. Les tartes maison aux fruits, et notamment aux myrtilles, sont aussi très appréciées des clients. Les habitués réservent leur part en passant commande pour leur repas, car à La Châ, il n'est pas possible de «vite» refaire une tarte. Restaurant de La Châ, En Ourtières à Saint-Légier-La Chiésaz, tél. 021 943 14 76. Ouvert du jeudi au dimanche de 10 h à 16 h 30 (ou le soir sur réservation dès 6 personnes) et tous les jours durant la saison des narcisses et celle de ski. Paiement en espèces. Infos sur Impossible d'évoquer le Restaurant de La Châ, sans évoquer les narcisses, qui blanchissent les pâturages tout autour chaque année au mois de mai. «Grâce au site une sorte de météo des narcisses, dès que ça commence, les Suisses-allemands arrivent», constatent, amusés, Yoann Rath et Florian Paulus. Le reste de la planète les rejoint ensuite. «Ça devient Disney Pléiades ici: on voit défiler le monde entier. Les jours de forte affluence, près de 2000 personnes passent devant notre terrasse!» La Châ est alors ouverte 7 jours sur 7, comme c'est le cas en hiver pour accueillir les skieurs, les randonneurs, les écoles de ski et les classes. Le reste du temps, le restaurant est ouvert du jeudi au dimanche, à l'exception des vacances annuelles en mars et de mi-novembre à mi-décembre. La Châ ouvre 7/7 durant deux saisons: celle d'hiver et celle des narcisses. ©Laurent de Senarclens D'autres buvettes d'alpage Newsletter «Gastronomie & Terroirs» «24 heures» suit depuis toujours l'actualité gastronomique et culinaire. Recevez, chaque vendredi, une sélection d'articles sur la restauration, la cuisine, les produits du terroir et le vin. Autres newsletters Sylvain Muller est journaliste à la rubrique Vaudoise depuis 2005. Il est responsable du bureau d'Echallens et couvre à ce titre l'actualité du district du Gros-de-Vaud. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Un supporter vaudois sanctionné après un derby lémanique explosif
Un supporter vaudois sanctionné après un derby lémanique explosif

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time7 days ago

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Un supporter vaudois sanctionné après un derby lémanique explosif

Un jeune Vaudois de 21 ans a été jugé mardi à Vevey, notamment pour émeute et infraction à la loi fédérale sur les explosifs. Publié aujourd'hui à 19h04 La partie avait été interrompue à plusieurs reprises à cause des fumigènes allumés par les deux camps. Pascal Muller/freshfocus En bref: Le Lausanne-Sport et Servette n'avaient pas réussi à se départager sur le terrain de la Tuilière, le 9 décembre 2023 (1-1). Un match tendu, interrompu à plusieurs reprises par les fumigènes des kops vaudois et genevois, qui s'est prolongé après le coup de sifflet final. Les supporters des deux camps ont dû être départagés par les forces de l'ordre au moment du retour des Servettiens vers la gare. Présent au stade, Alexandre* a été jugé ce mardi à Vevey , notamment pour émeute et infraction à la loi fédérale sur les explosifs. Le Ministère public affirme notamment que le prévenu «a récupéré des torches lancées par le groupe [servettien] et relancé ces engins de l'autre côté du mur, où se trouvaient d'autres personnes, sans les blesser». Alexandre* a également «fait usage, depuis les gradins, de trois torches qu'il avait achetées au préalable et introduites dans le stade, alors que ces engins sont interdits». Cet habitant de la Glâne fribourgeoise a reconnu les faits pour lesquels il a déjà écopé d'une interdiction de stade de 3 ans. «Les actions individuelles et ciblées contre les fauteurs de troubles fonctionnent, contrairement à la répression généralisée, explique Vincent Steinmann, président du Lausanne-Sport. Actuellement, une dizaine de supporters du LS sont bannis de notre enceinte.» Malgré sa présence dans la tribune, Alexandre* ne fréquentait que de manière épisodique le kop sud. «Fan de foot depuis tout petit, il a tout naturellement commencé à suivre des matches du Lausanne-Sport, explique la procureure Carole Delétra. Mais ce n'est pas un ultra au sens propre du terme. Il n'avait pas de rôle actif dans un groupe.» Les débordements de décembre 2023 à la Tuilière n'étaient qu'un seul des neuf autres délits reprochés à ce jeune homme de 21 ans. Des cas souvent graves qui n'avaient aucun lien avec le football. Le parquet a requis une peine globale de 3 ans et demi de prison ferme. Le verdict sera rendu par écrit dans la semaine. À lire sur cette affaire Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Ugo Imsand est journaliste à la rubrique sportive de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche. Ce trentenaire lausannois couvre en particulier le football suisse et international depuis une douzaine d'années. Il réalise aussi des articles plus magazine sur le sport en général et ses liens étroits avec le reste de la société. Plus d'infos @UgoCurty Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

C'est vous qui le dites le 9 juillet: Deal de rue, préserver la vie
C'est vous qui le dites le 9 juillet: Deal de rue, préserver la vie

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time09-07-2025

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C'est vous qui le dites le 9 juillet: Deal de rue, préserver la vie

Accueil | Opinion | Courrier des lecteurs | Opinion Retrouvez ici votre courrier des lecteurs du 9 juillet. 24 heures / lecteurs Publié aujourd'hui à 07h02 Les urnes ont parlé le 29 juin. Ce résultat est regrettable, vu l'ampleur du problème. J'ai de la peine à comprendre cette décision populaire. En votant non, l'insécurité et le deal de rue perdurent. Quelle solution immédiate pour éviter une dégradation de la situation? Comment avancer sans les caméras, alors que l'ensemble des mesures a été rejeté? Y revenir partiellement ne serait-il pas un contournement de la volonté populaire? Le oui aurait permis d'agir concrètement contre ce fléau. Je reste convaincue que la globalité de ces mesures étaient nécessaires et auraient été efficaces. Je déplore l'ambiance politique anti-sécuritaire qui règne actuellement à Vevey. Les seuls gagnants de ce vote, ce sont les dealers. La peur disproportionnée liée aux caméras a détourné le débat du véritable enjeu: la sécurité publique. De plus, le faible taux de participation à cette votation, sur un sujet aussi crucial, est aussi regrettable qu'inquiétant. Nous avons en Suisse le privilège de pouvoir voter: dommage de ne pas toujours l'utiliser pleinement. Le deal et l'insécurité n'ont pas leur place dans nos rues. Nous respectons le résultat, mais ne resterons pas les bras croisés. Nous continuerons à chercher des solutions efficaces et respectueuses de la volonté populaire pour améliorer la situation. Anna Iamartino-Sica, conseillère communale PLR, Vevey Société La question est d'une banalité affligeante, et pourtant… Après l'immense drame humain et matériel de la Seconde Guerre mondiale, l'Europe et bien d'autres pays dans le monde ont connu une période faste communément appelée «les Trente Glorieuses»; il s'est ensuivi une fin de XXe siècle remuante, marquée par d'importantes évolutions dans de nombreux domaines. Le XXIe siècle a démarré sur les chapeaux de roues avec, en toile de fond, une présence de plus en plus marquée des nationalismes et une violence omniprésente qui concerne tous les milieux, entre autres le couple, la famille, les femmes (avec le nouveau et terrible mot «féminicide»), l'école, les graves et sanglants conflits internationaux, etc. Comme si cela ne suffisait pas, les réseaux sociaux et le réchauffement climatique viennent pimenter le tout. De quoi être déboussolé, c'est certain. Paradoxalement, il y a cependant encore tant de belles choses à voir, à entendre, à lire, à faire, à vivre! Préserver la vie, sous toutes ses formes, c'est maintenant une difficile gageure, mission pourtant indispensable et urgente de la responsabilité non seulement des instances politiques mais aussi de nous tous… En sommes-nous capables? Probablement que oui; mais alors et surtout, en avons-nous vraiment la volonté? Michel Hangartner, Vallorbe Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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