Dernières actualités avec #arme


La Presse
2 days ago
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Cinq morts dans une fusillade dans un marché de Bangkok
Le suspect a ouvert le feu avec une « arme de type pistolet » au marché d'Or Tor Kor dans le district de Bang Sue à Bangkok à 12 h 31 (1 h 31 heure de l'Est), selon la police royale thaïlandaise, avant de se suicider. Cinq morts dans une fusillade dans un marché de Bangkok (Bangkok) Cinq agents de sécurité ont été tués et une autre personne blessée au cours d'une fusillade lundi sur un marché populaire de produits frais de la capitale thaïlandaise, a annoncé la police. Agence France-Presse Un précédent bilan faisait état de la mort de quatre agents de sécurité. Le suspect a ouvert le feu avec une « arme de type pistolet » au marché d'Or Tor Kor dans le district de Bang Sue à Bangkok à 12 h 31 (1 h 31 heure de l'Est), selon la police royale thaïlandaise, avant de se suicider. « La police enquête sur le motif de la fusillade. Pour l'instant, il s'agit d'une fusillade de masse », a déclaré à l'AFP Worapat Sukthai, chef adjoint de la police du district de Bang Sue. Il a précisé que la police s'efforçait d'identifier le tireur, tout en recherchant « un lien éventuel » avec les affrontements frontaliers actuels entre la Thaïlande et le Cambodge. Le chef de la police nationale Kitrat Phanphet a déclaré qu'une enquête avait été ordonnée, les policiers examinant les images de vidéosurveillance de l'attaque. L'attaque a eu lieu au marché d'Or Tor Kor, situé à proximité de celui de Chatuchak, une destination touristique majeure de Bangkok, très prisée chaque week-end. Les fusillades ne sont pas rares en Thaïlande, où il est relativement facile de se procurer des armes à feu en raison de l'application laxiste du contrôle des armes.


24 Heures
6 days ago
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Lutte contre les féminicides – Un homme violent n'a pas à avoir d'arme
Accueil | Opinion | Éditorial | Opinion Confisquer l'arme d'une personne agressive est une évidence. Ça devrait être automatique lors de séparations conflictuelles. Éditorial Publié aujourd'hui à 06h31 Une arme, c'est conçu pour tuer. Et c'est ce qu'elle fait. On peut ergoter sur son utilité pour se défendre. Mais l'objectif final est toujours le même. Neutraliser la personne à l'autre bout du canon. Dans un conflit, où l'objectif est d'éliminer le plus d'adversaires possible, on peut encore saisir l'intérêt de l'objet. Mais a-t-il sa place dans un foyer? Les partenaires d'un couple ne sont pas en guerre. Leur but n'est pas d'abattre l'autre. Ils n'ont pas besoin d'avoir une arme sous la main. Et pourtant… Les Suisses sont encore nombreux à avoir un pistolet dans le tiroir de leur table de nuit ou dissimulé derrière un livre sur une étagère. Voire plusieurs. La loi l'autorise. Ne la remettons pas en cause. Là où l'on peut questionner ce droit, c'est quand on a affaire à des hommes violents. Priver d'armes à feu ces hommes, qui insultent, harcèlent ou frappent les femmes, est même un devoir et une obligation. Car le résultat final est toujours le même. Un meurtre. Et plus précisément un féminicide. Rappelez-vous: une arme, c'est fait pour tuer. La mesure n'empêchera peut-être pas tous les féminicides par armes à feu. Mais elle les rendra beaucoup plus compliqués. L'auteur devra s'organiser. Il devra aller emprunter un pistolet à un voisin ou dérober le fusil de son père. Un contretemps qui pourrait bien en stopper plus d'un. Ce type de féminicides ont souvent lieu impulsivement. Et puis, l'entourage pourrait aussi refuser, étant au courant du conflit conjugal. L'actu sur les féminicides Delphine Gasche est correspondante parlementaire à Berne depuis mai 2023. Spécialisée en politique, elle couvre avant tout l'actualité fédérale. Auparavant, elle a travaillé pendant sept ans pour l'agence de presse nationale (Keystone-ATS) au sein des rubriques internationale, nationale et politique. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


Le Parisien
16-07-2025
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- Le Parisien
« Je ne sens plus mon bras » : 18 mois ferme pour avoir partiellement paralysé sa victime d'un coup de couteau
Me Guillaume Douilly est abasourdi. Son client, Sirima S., un habitant de Méru ( Oise ) de 33 ans, vient d'être reconnu coupable de « violence avec usage d'une arme suivie d'incapacité supérieure à 8 jours » par le tribunal correctionnel de Beauvais et condamné à 18 mois de prison ferme avec mandat de dépôt. Arrivé libre à l'audience, Sirima S. sera incarcéré. « Je vais faire appel, annonce l'avocat de la défense. Cela va me permettre de connaître les motivations de la condamnation de mon client. » À l'origine de cette affaire, un ancien contentieux qui aurait poussé Sirima S. à quitter Méru pour habiter Beauvais . Le lundi 31 mars, il revient dans la cité de la Nacre pour des raisons familiales. C'est là que la situation dégénère et que les versions entre les protagonistes diffèrent. Bilan : une victime partiellement paralysée après des coups de couteau portés par Sirima, et qui a perdu l'usage d'un bras.


Le Parisien
10-07-2025
- Le Parisien
« Ce soir-là, il aurait pu mourir » : à Mitry-Mory, un jeune homme balafré au visage à la sortie d'un bar
Une grande balafre sur chaque joue. Près de deux mois après avoir reçu des coups au visage ― peut-être avec un cutter ―, Bryan en porte encore les stigmates. C'était le 17 mai, vers 4 heures du matin, à Mitry-Mory , à l'extérieur d'un bar. Il a fallu quinze points de suture pour le recoudre : ses deux blessures de 13 et de 8 cm lui ont valu une ITT pénale (incapacité totale de travail) de 14 jours. Rayane et Jamil, deux frères de 24 et 27 ans originaires de Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), étaient jugés, mercredi 9 juillet, en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Meaux pour violence avec arme et en réunion. Ils étaient également poursuivis pour vol avec violence, l'oncle de la victime ayant été frappé, avant de voir son téléphone portable s'évaporer. L'enquête avait été confiée au commissariat de police de Villeparisis.


24 Heures
07-07-2025
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Un commissaire condamné pour avoir offert des armes de service
Un ancien chef de brigade a été condamné pour avoir détourné une arme appartenant à la police. Il l'avait offerte à un collègue sous forme de souvenir. Publié aujourd'hui à 19h44 Un pistolet SIG Sauer, de la même marque que celui sorti sans autorisation de l'inventaire de la police genevoise (image d'illustration). Madeleine Schoder En septembre 2023, la «Tribune de Genève» révélait d'importantes failles dans la gestion des armes de la police cantonale . L'affaire avait débuté par la vente, par un commissaire, d'un pistolet SIG Sauer provenant du stock de la brigade de police technique et scientifique (BPTS), qu'il avait dirigée auparavant. Visé par une enquête pénale, il avait affirmé avoir «confondu cette arme avec une autre, semblable, qui lui appartenait personnellement». L'enquête interne avait révélé un inventaire lacunaire, des armes non enregistrées et des armoires sécurisées laissées en libre accès. Des manquements jugés préoccupants par les autorités. Des armes de service offertes sans autorisation L'inspection révélait aussi qu'il avait offert un pistolet de service à un collègue, en guise de cadeau de départ. L'arme – un SIG Sauer défectueux, autrefois utilisé par un policier – avait été vissée sur une plaquette commémorative. Aucune demande d'autorisation d'acquisition n'avait été formulée, ni par le commissaire, ni par son collègue, comme l'exige la loi sur les armes. Dans cette première affaire, le commissaire avait écopé d'une amende de 500 francs pour détention imprudente d'un Glock à son domicile. Le reste des accusations, notamment celles liées au transfert de l'arme, avaient été classées. Mais peu après la parution de l'article, l'histoire du pistolet transformé en souvenir alerte un autre collègue, qui contacte sa hiérarchie. Il rapporte avoir reçu un cadeau similaire pour ses 50 ans. Son ancien supérieur lui avait assuré que l'arme était neutralisée. «Il m'a dit que l'arme n'était plus en état de tir», déclare-t-il. Une arme fonctionnelle L'Inspection générale des services se saisit à nouveau du dossier. L'analyse révèle que le pistolet SIG P220, fixé sur une planchette de bois, est parfaitement fonctionnel. Il figure toujours dans les bases officielles et n'a jamais été radié de l'inventaire de la brigade. Interrogé dans le cadre de cette nouvelle investigation, le commissaire affirme avoir cru que l'arme était destinée à la destruction. Il dit avoir voulu perpétuer une «tradition» d'hommage entre collègues. Il reconnaît une «négligence», mais conteste toute intention de nuire ou de tirer un bénéfice personnel. Pour le Ministère public, ces explications ne suffisent pas. Le Parquet pointe une «attention insuffisante» aux obligations légales et estime que, dans son rôle de chef de brigade, il aurait dû montrer l'exemple. Dans une ordonnance pénale rendue début juin et révélée par « Gotham City» , le commissaire est reconnu coupable d'infractions répétées à la loi fédérale sur les armes. Il écope de 100 jours-amende à 240 francs, avec sursis pendant 2 ans, ainsi que d'une amende ferme de 4800 francs. Armes et police Newsletter «La semaine genevoise» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton de Genève, chaque semaine dans votre boîte mail. Autres newsletters Marc Renfer est journaliste à la rubrique genevoise depuis début 2022. Auparavant, il a travaillé dix ans à la RTS, en partie comme datajournaliste. Plus d'infos @marcrenfer Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.