Dernières actualités avec #arrestations


La Presse
7 days ago
- La Presse
Environ 2000 arrestations en lien avec les arnaques en ligne
Cette image publiée par l'Agence Kampuchea Presse vendredi montre des policiers et du matériel informatique saisi lors d'un raid contre un centre de cyberarnaques, dans la province de Kandal. Environ 2000 arrestations en lien avec les arnaques en ligne (Phnom Penh) Les autorités cambodgiennes ont arrêté 2000 personnes depuis que le premier ministre a ordonné lundi le renforcement de la lutte contre les centres de cyberarnaques, a indiqué vendredi un ministre à l'AFP. Agence France-Presse « Jusque-là, quelque 2000 suspects ont été arrêtés », a déclaré le ministre khmer de l'Information Neth Pheaktra, par ailleurs membre du comité spécialement constitué sur les escroqueries en ligne. « Le Cambodge va démanteler tous les réseaux d'arnaqueurs, qu'importe où ils se cachent », a-t-il insisté. La police a effectué des descentes dans des sites soupçonnés d'abriter ces activités illégales dans neuf provinces, dont la capitale Phnom Penh, a précisé le responsable. PHOTO AGENCE KAMPUCHEA PRESS, FOURNIE PAR ASSOCIATED PRESS Personnes arrêtées dans un immeuble de la province de Sihanoukville Parmi les personnes ciblées, se trouvent notamment des Chinois, des Vietnamiens, des Indonésiens et des Indiens. Au moins 226 Chinois ont été arrêtés, selon un rapport des forces de l'ordre. Certaines têtes pensantes de ces réseaux seront poursuivies au Cambodge, alors que beaucoup d'autres suspects seront bientôt expulsés du pays, a écrit la police. Le premier ministre Hun Manet a appelé les responsables politiques et les forces de l'ordre à « éradiquer toutes les activités de fraudes sur l'internet » dans leur juridiction, sous peine de les limoger. Les fermes à arnaques numériques ont pullulé en Asie du Sud-Est ces dernières années, générant des dizaines de milliards de dollars de revenus par an pour les réseaux criminels internationaux. Amnistie internationale a recensé plus de 50 centres au Cambodge, dans un rapport publié en juin. L'ONG a accusé le gouvernement khmer de fermer les yeux sur les atteintes aux droits de l'homme incluant l'esclavage, la traite des êtres humains, le travail des enfants et la torture.


Le Figaro
18-07-2025
- Politics
- Le Figaro
Turquie : 153 membres présumés de l'État Islamique arrêtés à travers le pays
Cent cinquante-trois personnes suspectées d'appartenir ou d'être proches de l'organisation État islamique (EI) ont été arrêtées à travers le territoire de la Turquie, a annoncé vendredi le ministre de l'Intérieur Ali Yerlikaya. «Au cours des opérations menées par notre gendarmerie contre l'organisation terroriste EI dans 28 provinces au cours des deux dernières semaines, nous avons capturé 153 membres présumés de l'organisation terroriste», indique le ministère sur X. Les suspects interpellés «sont membres d'une organisation terroriste, ont fourni des fonds à des organisations affiliées» à l'EI, sont accusés de «propagande au profit de l'organisation terroriste via leurs comptes de médias sociaux» précise-t-il. Publicité Coopération internationale Selon la liste des provinces concernées, ces interpellations ont eu lieu à travers tout le pays, d'Izmir (ouest) à Hatay et Mardin (sud-est), de Samsun sur la Mer noire (nord) à Mugla (sud-ouest). Le ministre précise avoir agi grâce aux renseignements turcs et à la coopération internationale. La Turquie partage plus de 800 km de frontière avec la Syrie, où sévit toujours l'EI, qui avait revendiqué en mai une attaque contre les nouvelles forces gouvernementales syriennes dans le sud du pays. En revanche, c'est un groupuscule extrémiste sunnite peu connu qui avait revendiqué l'attentat-suicide perpétré en juin contre une église de Damas.


Le Figaro
17-07-2025
- Politics
- Le Figaro
«On ne sait pas ce que les gens deviennent une fois arrêtés» : en Syrie, un système judiciaire partial et opaque
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Tandis que les arrestations arbitraires se multiplient, la commission d'enquête sur les massacres ayant visé la communauté alaouite en mars reste silencieuse. « Ils nous ont ligoté les mains avec une ceinture serrée, et ils nous ont emmenés pour nous interroger dans une ambulance transformée en salle d'interrogatoire. Deux d'entre nous avaient les yeux bandés. Nous avons été frappés et avons reçu des insultes sectaires », raconte Laith. Le jeune homme originaire de Homs a été arrêté à bord d'un van sur la route d'Athriya, en direction de la ville de Raqqa. Au total, il a été détenu trois mois par les autorités syriennes, accusé de vouloir rejoindre les rangs des forces armées kurdes, qui contrôlent le nord-est du territoire. Il poursuit : « Après l'interrogatoire, quelqu'un nous a visé avec un fusil alors que nous étions alignés. J'ai vraiment cru que j'allais mourir. Mais nous avons finalement été conduits à la prison de Hama, où nous avons été placés dans une cellule d'environ 14 mètres carrés, à 56 détenus. » Laith, dont le prénom a été changé, témoigne anonymement par téléphone. « À notre libération, nous avons été formellement avertis…


Le Parisien
17-07-2025
- Sport
- Le Parisien
La Garenne-Colombes : coups de couteau en marge d'un match de foot, six ados interpellés
Deux blessés et six arrestations. C'est le score extra-sportif du match de foot qui s'est disputé mercredi soir à La Garenne-Colombes entre des équipes de Colombes et Courbevoie. On ignore ce qui a mis le feu aux poudres, mais la situation s'est envenimée aux abords du stade Marcel-Payen, rue Veuve-Lacroix. Deux groupes de jeunes, voire de très jeunes, en sont venus aux mains. L'un d'eux a alors sorti une arme blanche faisant basculer ce qui n'était encore qu'une simple bagarre. Deux protagonistes, âgés d'une quinzaine d'années se sont alors effondrés. Le plus gravement blessé a reçu un coup de couteau au bas du dos. Il a été transféré en urgence absolue et sous escorte motorisée sur l'hôpital Robert-Debré, à Paris. L'autre, touché à l'abdomen, a quant à lui été emmené à l'hôpital Louis-Mourier, à Colombes, mais son état inspirait moins d'inquiétude. Quelques minutes après les faits, les policiers dépêchés sur place, notamment pour éviter que la soirée ne dérape un peu plus, ont découvert un petit groupe d'adolescents qui s'étaient cachés dans un hall d'immeuble proche du lieu de la bagarre. La fouille de leur sac à ados a permis de récupérer quelques objets pas franchement adaptés à leur jeune âge : une clé à molette, une bombe lacrymogène, un tournevis cruciforme et un couteau. gés eux aussi de 15 ans, ils ont fini la soirée au poste.


Le Parisien
13-07-2025
- Politics
- Le Parisien
Épinglée par la justice, l'administration Trump défend sa stratégie agressive d'arrestations de migrants
De hauts responsables du gouvernement de Donald Trump ont défendu dimanche le recours à des tactiques musclées de contrôles et arrestations de migrants et fustigé la décision d'une juge fédérale leur interdisant les contrôles au faciès à Los Angeles . « Cette juge est ridicule d'avoir pris une telle décision. Nous ferons appel et nous gagnerons », a assuré sur Fox News la ministre de la Sécurité intérieure Kristi Noem , en réfutant que les agents de la police de l'immigration (ICE) arrêtent des personnes uniquement sur leur apparence physique. Vendredi, une juge fédérale de Californie a interdit à cette force de police fédérale de procéder à des arrestations sans motif valable en se basant seulement sur l'origine ethnique ou le fait de parler espagnol, dans le contexte d'une hausse des raids de l'ICE qui ont provoqué des tensions et des affrontements avec la population à Los Angeles et sa région. « Nous avons toujours bâti nos opérations et nos enquêtes sur des cas concrets, sur la connaissance des individus que nous devions cibler parce qu'ils sont des criminels », a assuré Kristi Noem. Interrogé sur CNN, le responsable du programme d'expulsions massives de migrants promis par Donald Trump, Tom Homan , a aussi indiqué que « la description physique ne peut être le seul motif de détention et d'interrogation d'une personne », mais qu'« il y a une myriade de facteurs » et que l'apparence physique peut en être un. Il a aussi reconnu qu'il pouvait y avoir des « arrestations collatérales » lors d'opérations de la police. Ces déclarations ont lieu au lendemain de l'annonce par sa famille de la mort d'un ouvrier agricole âgé de 57 ans. Il avait été grièvement blessé jeudi lors d'une chute durant une opération d'arrestations dans une ferme de cannabis légale en Californie. « Mon oncle Jaime était juste un agriculteur innocent et travailleur », a écrit un membre de sa famille sur la page d'une collecte de fonds . « Il a été poursuivi par des agents de la police de l'immigration, et on nous a dit qu'il était tombé de 30 pieds (9 m) », précise-t-il. « Nos cœurs sont lourds pour la famille en deuil de Jaime Alanis, décédé des suites de blessures subies lors d'un raid jeudi », écrit sur X ce dimanche l'Union de travailleurs agricoles. Environ 200 migrants avaient été arrêtés et des affrontements avaient eu lieu. Tom Homan a qualifié cette mort de « triste », mais a assuré que la victime n'était pas en état d'arrestation au moment de sa chute. Dirigée par la maire progressiste Karen Bass , Los Angeles est depuis des semaines dans le viseur de l'administration Trump qui conteste son statut de « ville sanctuaire » limitant la collaboration des forces de l'ordre locales avec la police fédérale pour protéger les migrants sans-papiers. Après que des opérations de l'ICE ont provoqué des manifestations parfois émaillées d'incidents, Donald Trump y a dépêché la Garde nationale.