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Audiences : LCI devance CNews et BFMTV avec le sommet Trump-Zelensky
Audiences : LCI devance CNews et BFMTV avec le sommet Trump-Zelensky

Le Figaro

time3 hours ago

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Audiences : LCI devance CNews et BFMTV avec le sommet Trump-Zelensky

VIDÉO - Ce lundi 18 août, la chaîne du groupe TF1 a devancé toutes ses concurrentes à l'occasion de la rencontre entre les deux dirigeants et a réalisé sa deuxième meilleure journée historique. Les yeux du monde entier étaient rivés sur Washington... Et les caméras de LCI aussi. Ce lundi 18 août, la couverture de la rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, réunis pour envisager un cessez-le-feu dans le conflit entre la Russie et l'Ukraine, aura valu à la chaîne d'information du groupe TF1 la première place des audiences. Pour LCI, c'est une première. La chaîne - qui occupe désormais le canal 15 - a devancé ses concurrentes BFMTV, CNews et franceinfo. LCI a atteint les 3,6% de part d'audience hier, et a également réalisé sa deuxième meilleure journée historique après le 24 juin 2023, où elle avait amassé 4,9% de part d'audience. Dans le détail, LCI arrive à la deuxième place sur les 25-49 ans (2,4 % de part d'audience) et s'offre un score de 3 % de part d'audience sur les CSP+ (Catégorie Socio-Professionnelle supérieure, comprendre cadres, professions libérales, chefs d'entreprise). À lire aussi «Son départ va me faire quelque chose» : Xavier de Moulins réagit au passage de M6 à LCI de son épouse Anaïs Bouton Publicité Sa concurrente CNews s'est contentée de 3,5% du public âgé de 4 ans et plus, tandis que BFMTV atteignait les 3,2%. LCI est également la sixième chaîne nationale, derrière TF1 (20,4 %), France 2 (13,7 %), M6 (9,4 %), France 3 (8,7 %) et France 5 (3,7 %). Dès 7 heures, la chaîne peut se targuer d'avoir proposé un long extrait de l'entretien exclusif d'Emmanuel Macron accordé à Darius Rochebin. Le président de la République française était convié à la rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, tout comme plusieurs autres dirigeants européens alliés de Kiev ou encore la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Invité sur le plateau du «Buzz TV» sur Le Figaro TV le 6 juin dernier, Guillaume Debré, le directeur de LCI, évoquait le changement de fréquence de la chaîne comme une bonne chose. «C'est une renaissance pour une chaîne historique, elle s'est relookée, elle a plus de pulsion», assurait l'homme de télévision. «On a à cœur de faire découvrir ce qu'est LCI à un nouveau public, puisqu'on est maintenant collés à tous nos concurrents, et nous sommes maintenant à armes égales.» C'est chose faite pour la chaîne d'information du groupe TF1, ce lundi 18 août.

« On comprend la colère des agents de bord »
« On comprend la colère des agents de bord »

La Presse

time8 hours ago

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« On comprend la colère des agents de bord »

« On comprend la colère des agents de bord » À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand fait le point sur la situation entourant le conflit à Air Canada. Video Player is loading. Play Video Play Skip Backward Skip Forward Mute Current Time 0:00 / Duration -:- Loaded : 0% Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Fullscreen This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. Écouter l'épisode 24 min Au moment d'écrire ces lignes, les agents de bord du transporteur aérien maintiennent leur refus de retourner au travail. En grève depuis samedi, le syndicat a décidé d'ignorer la décision d'Ottawa qui a ordonné la reprise des activités, dimanche. Devant ce refus, Air Canada n'a eu d'autres choix que de repousser son plan de reprise de vols, plongeant de nombreux voyageurs dans l'incertitude. Les passagers sont passés par toute la gamme des émotions en fin de semaine [...] déception, anxiété [...] et cette frustration de se sentir abandonnés par Air Canada [...] Et en même temps, je pense qu'on comprend la colère des agents de bord, des employés, de ne pas être payés pour toutes les heures travaillées. En 2025, ça n'a aucun sens. Air Canada, historiquement, se démarque, se distingue, comme un mauvais employeur, une compagnie aérienne qui protège ses profits au détriment d'un service à la clientèle de qualité [...] Des agents de bord qui travaillent et qui vont chercher 30 000-40 000 $ par année, ça n'a aucun sens. Paul Arcand Autres sujets abordés Ukraine : le président Zelensky débarque à la Maison-Blanche flanqué de ses alliés européens ; Santé : les projets informatiques dérapent ; ça coûte plus cher et les délais s'accumulent ; Le vouvoiement à l'école : n'allons pas trop vite, disent les directions d'école. Une collaboration La Presse et Cogeco Média

Guerre en Ukraine: «Je suis loin de crier victoire», affirme Emmanuel Macron tiraillé entre les doutes et les espoirs
Guerre en Ukraine: «Je suis loin de crier victoire», affirme Emmanuel Macron tiraillé entre les doutes et les espoirs

Le Figaro

time17 hours ago

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Guerre en Ukraine: «Je suis loin de crier victoire», affirme Emmanuel Macron tiraillé entre les doutes et les espoirs

S'il souligne que la réunion de Washington «marquera de manière certaine l'évolution de ce conflit», le président français reste sceptique sur «la volonté de paix» de Vladimir Poutine. Avant de reprendre son avion, après une journée passée à Washington pour négocier avec Donald Trump, Volodymyr Zelensky et ses partenaires européens, le chemin d'une paix en Ukraine, Emmanuel Macron semble tiraillé entre l'espoir et la prudence. Cette journée «marquera de manière certaine l'évolution de ce conflit», explique-t-il devant la résidence de l'ambassadeur de France. Dans le jardin, une réplique de la statue de la liberté a été enveloppée d'un drapeau ukrainien. Le conflit dure depuis trois ans et demi mais, en l'espace de quelques jours, l'agenda diplomatique s'est accéléré. «Je suis loin de crier victoire», dit-il aussi, dans une tonalité bien différente du triomphalisme et de l'optimisme affiché par Donald Trump au fil de ses rendez-vous. Après avoir reçu le président ukrainien Volodymyr Zelensky puis une délégation de six leaders européens, Donald Trump s'est entretenu pendant 40 minutes avec le président russe Vladimir Poutine. Une rencontre russo-ukrainienne pourrait intervenir dans les prochains jours et un sommet trilatéral réunissant Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky et Donald Trump d'ici deux à trois semaines. Publicité Des sanctions en cas d'échec «J'ai les plus grands doutes sur la volonté de paix de Vladimir Poutine», tempère Emmanuel Macron. «Aussi longtemps qu'il pense qu'il pourra gagner [quelque chose] avec la guerre, il la fera», poursuit-il en réclamant, comme ses pairs européens mais contrairement à Donald Trump, un cessez-le-feu sur le terrain. «Le président Trump croit en sa capacité à obtenir un accord», souligne cependant le président français. Mais en cas d'échec, «il faudra augmenter les sanctions». À condition que les Américains suivent… La convergence affichée lundi entre les États-Unis et l'Europe demeure fragile. DIRECT - Guerre en Ukraine : une rencontre Poutine-Zelensky «en préparation» d'ici deux semaines, selon Donald Trump Malgré ses réserves, le président de la République a pris acte d'une évolution majeure : alors que Washington renvoyait la responsabilité de possibles «garanties de sécurité» pour l'Ukraine aux Européens, Donald Trump a assuré que son pays était désormais prêt à s'impliquer. Cette perspective est un préalable pour les Ukrainiens qui ne veulent pas engager des discussions avec Moscou sans assurance concrète d'être défendus en cas de nouvelle offensive. Mais au-delà de l'annonce, le niveau d'implication américain restait encore à définir, comme en a convenu le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte… La formule de garanties «sur le modèle de l'article 5» de l'Otan a laissé Emmanuel Macron dubitatif, laissant entrevoir des divergences entre Européens. L'idée est notamment portée par l'Italie. «Le sujet n'est pas juridique mais militaire», a-t-il dit. «Une armée ukrainienne robuste» «Nous allons commencer le travail», a souligné Emmanuel Macron en se félicitant d'avoir engagé le mécanisme avec la mise en place, en février avec le Royaume-Uni, de la «coalition des volontaires». «Nous [les Européens] sommes des fournisseurs de garanties de sécurité», a-t-il expliqué en évoquant des forces de réassurance dans les airs, sur les mers ou sur terre. Ces forces ne contrôleraient pas une ligne de front mais pourraient éviter des nouvelles intrusions. Dans la journée, le président américain Donald Trump s'est contenté de parler d'une «coordination» avec les Européens. Tout reste à préciser alors que la plupart des armées européennes sont incapables d'envisager un déploiement militaire sans soutien américain. «La première garantie de sécurité, c'est d'abord une armée ukrainienne robuste qui puisse résister» face à la Russie, a poursuivi Emmanuel Macron. Cette armée «de plusieurs centaines de milliers d'hommes» et «sans limitation de nombre» devra être «équipée», a-t-il ajouté comme pour refuser par avance toute condition posée par la Russie. Il n'a pas non plus commenté démenti ou confirmé, l'information du Financial Times selon laquelle les Européens pourraient acheter pour 100 milliards de dollars de matériels militaires aux États-Unis au profit de l'Ukraine. Avec Donald Trump, chaque deal a un prix.

Iran : la guerre avec Israël pourrait reprendre «à tout moment», selon le premier vice-président
Iran : la guerre avec Israël pourrait reprendre «à tout moment», selon le premier vice-président

Le Figaro

timea day ago

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Iran : la guerre avec Israël pourrait reprendre «à tout moment», selon le premier vice-président

Cet avertissement intervient deux mois après le conflit meurtrier ayant opposé l'Iran et Israël, au cours duquel Tsahal a visé de nombreux sites militaires et nucléaires iraniens. Le premier vice-président iranien, Mohammad Reza Aref, a averti ce lundi 18 août qu'une nouvelle guerre avec Israël pourrait éclater «à tout moment», plus de deux mois après un conflit meurtrier entre les deux pays ennemis. «Nous devons être prêts à tout moment à la confrontation. Aujourd'hui, nous ne sommes même pas dans une situation de cessez-le-feu, il y a plutôt une cessation des hostilités», a-t-il déclaré. Depuis le cessez-le-feu, responsables et commandants militaires iraniens affirment que le pays est prêt à une nouvelle confrontation, sans pour autant chercher la guerre. L'Iran «prépare des plans pour le pire scénario», avait auparavant affirmé Yahya Rahim Safavi, conseiller militaire du guide suprême iranien Ali Khamenei, cité dimanche par le quotidien Shargh. «Il n'y a pas actuellement un véritable cessez-le-feu, nous sommes en phase de guerre, et celle-ci peut éclater à tout moment. Il n'existe aucun protocole, aucune réglementation, aucun accord entre nous et les Israéliens, ni entre nous et les Américains», avait-il relevé. Publicité Le 13 juin, Israël a lancé une attaque surprise contre le territoire iranien, où il a mené des centaines de frappes visant notamment des sites militaires et nucléaires, et tué des scientifiques liés au programme nucléaire iranien ainsi que des hauts gradés. L'Iran a riposté avec des tirs de missiles et de drones sur Israël et visé la plus importante base américaine du Moyen-Orient au Qatar. Les États-Unis, qui ont aussi bombardé le 22 juin des sites nucléaires en Iran, ont annoncé une cessation des hostilités le 24 juin. Plus d'un millier de personnes ont été tuées en Iran durant le conflit de juin, selon les autorités iraniennes. Israël a pour sa part fait état de 28 morts. Les puissances occidentales et Israël accusent l'Iran, qui dément, de chercher à se doter de l'arme nucléaire.

Zelensky et Trump présentent des visions très éloignées
Zelensky et Trump présentent des visions très éloignées

La Presse

timea day ago

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Zelensky et Trump présentent des visions très éloignées

Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos (Washington) À quelques heures d'une rencontre cruciale, Donald Trump et Volodymyr Zelensky ont exposé lundi des visions très éloignées sur une possible issue au conflit en Ukraine, où la Russie a continué ses frappes meurtrières. Aurelia END avec les bureaux de l'AFP Agence France-Presse Ce qu'il faut savoir Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, rencontrera son homologue américain, Donald Trump, à la Maison-Blanche lundi après-midi ; Une réunion incluant divers dirigeants européens aura aussi lieu lundi ; Donald Trump soutient un plan visant à mettre fin à la guerre en cédant des territoires ukrainiens à la Russie et en empêchant Kyiv de joindre l'OTAN ; Moscou a tiré quelque 140 drones et quatre missiles balistiques dans la nuit de dimanche à lundi, l'une des frappes faisant sept morts à Kharkiv. Assistera-t-on dans le bureau Ovale à une humiliation publique du président ukrainien comme lors de sa dernière visite le 28 février ? Ou les deux hommes parviendront-ils à trouver un terrain d'entente, sous la pression des dirigeants européens qui se déplacent également à Washington ? Volodymyr Zelensky s'est réuni en matinée avec plusieurs d'entre eux et se rendra ensuite à la Maison-Blanche, où il est attendu à 13 h. Il a redit lundi qu'il ne fallait pas que la Russie soit « récompensée » pour avoir envahi son pays en février 2022. Mais il en a aussi appelé à l'autorité du président américain, très sensible à ce genre de langage, en écrivant sur X : « Seule la force peut contraindre la Russie à la paix, et le président Trump dispose de cette force ». Le président ukrainien a jugé que « le plus important » était d'évoquer de futures garanties de sécurité pour l'Ukraine. « Je sais exactement ce que je fais » Le président américain, qui n'a jamais désigné la Russie comme responsable du conflit, a lui écrit sur son réseau Truth Social que Volodymyr Zelensky « pouvait mettre fin à la guerre avec la Russie presque immédiatement s'il le voulait ». CAPTURE D'ÉCRAN TIRÉE DU COMPTE TRUTH SOCIAL DE DONALD TRUMP Piqué au vif par les critiques de ses opposants sur la rencontre vendredi avec Vladimir Poutine, lors de laquelle il n'a obtenu ni cessez-le-feu ni concessions publiques, Donald Trump a répliqué sur un ton rageur. « Je sais exactement ce que je fais », a-t-il écrit lundi sur Truth Social. PHOTO SERGEI BULKIN, ASSOCIATED PRESS Donald Trump serre la main de Vladimir Poutine lors de leur sommet en Alaska, le 15 août 2025. Le milliardaire républicain, très vague sur ce qu'il attend de Moscou, a dit publiquement ce qu'il voulait de Kyiv : renoncer à la Crimée occupée par la Russie depuis 2014 ainsi qu'à une adhésion à l'OTAN. Dans une démonstration de solidarité inédite, Volodymyr Zelensky sera rejoint dans la capitale américaine par le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, la première ministre italienne Giorgia Meloni, le premier ministre britannique Keir Starmer, le président finlandais Alexander Stubb, le chef de l'OTAN Mark Rutte et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Keir Starmer a appelé à établir les conditions d'une paix « durable et juste » tandis que Giorgia Meloni a salué « l'ouverture d'une petite fenêtre de dialogue ». Les dirigeants européens doivent se joindre au chef d'État ukrainien et à Donald Trump après leur rencontre bilatérale pour une réunion élargie. Costume Certains médias spéculent déjà sur la tenue de Volodymyr Zelensky, très critiqué dans le camp trumpiste la dernière fois pour avoir porté son habituelle tenue d'inspiration militaire plutôt qu'un costume. Donald Trump n'a pas décroché comme il l'espérait un cessez-le-feu pendant sa rencontre en Alaska avec le président russe, et lundi les combats continuaient, avec des tirs de drones et de missiles. Une frappe de drone russe a fait sept morts et des blessés à Kharkiv, dans l'est de l'Ukraine, selon les autorités locales. Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Dans la région méridionale de Zaporijjia, trois personnes ont été tuées et 30 blessées dans les bombardements, selon le gouverneur régional Ivan Fedorov. Un autre frappe russe a fait quatre morts et sept blessés dans la région de Donetsk, dans l'est de l'Ukraine, où se déroule l'essentiel des combats, a indiqué le parquet régional. La réunion à Washington doit permettre d'aborder de possibles concessions territoriales et des garanties de sécurité, pour mettre fin au conflit le plus sanglant en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale. « Abandonner sa patrie » Outre la question de la Crimée, un responsable au courant d'échanges téléphoniques samedi entre le président américain et des dirigeants européens a affirmé à l'AFP que Donald Trump soutenait une proposition russe selon laquelle Kyiv céderait les régions de Donetsk et Louhansk (Est), et le front serait gelé dans celles de Kherson et Zaporijjia (Sud). « Dois-je simplement tirer un trait sur toute ma vie là-bas ? Comment peut-on abandonner sa patrie ? », se désole Lioudmyla Bondareva, originaire de Bakhmout, opposée à la cession de sa région de Donetsk aujourd'hui rasée et occupée par les troupes de Moscou. En rentrant d'Alaska, Donald Trump a évoqué la piste d'une clause de sécurité collective inspirée de l'article 5 de l'OTAN, en dehors toutefois du cadre de l'Alliance atlantique, considérée par Moscou comme une menace existentielle. Si « tout marche bien » lundi, le milliardaire républicain a laissé entrevoir un sommet tripartite avec MM. Poutine et Zelensky.

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