Dernières actualités avec #exclusion


L'Équipe
10 hours ago
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Adrien Rabiot et Jonathan Rowe encore absents ce mardi à l'entraînement de l'OM
Sanctionnés lundi après-midi après leur bagarre vendredi à Rennes, Adrien Rabiot et Jonathan Rowe avaient été privés de la séance d'entraînement dans la foulée. Le milieu et l'ailier marseillais étaient encore absents ce mardi. Acteurs centraux de l'après-match sous tension à Rennes (0-1, vendredi dernier) et des échauffourées dans le vestiaire, Adrien Rabiot et Jonathan Rowe ont été sanctionnés lundi après-midi par leur club, qui les a exclus des activités d'entraînement sans leur communiquer de date de retour. Si un transfert du second est plus que jamais dans les tuyaux, le statut du premier est très différent mais les deux joueurs étaient encore absents de l'entraînement à la Commanderie, ce mardi. L'Olympique de Marseille prépare la réception du Paris FC, samedi (17 heures), pour la deuxième journée de L1.


24 Heures
a day ago
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À Genève, des familles recourent en justice contre l'exclusion des élèves frontaliers
Un collectif composé de 48 familles dépose deux recours contre la décision d'exclure les non-résidents des écoles genevoises dès 2026. Publié aujourd'hui à 16h52 Genève, le 18 août 2025. Conférence de presse au Café du Grütli du collectif «École pour tous», pour présenter les recours contre l'exclusion des enfants non résidents des écoles genevoises dès 2026. Avec de gauche à droite: Anthony Lehmann, Arwen Conod et Rudi Berli. Magali Girardin En bref: L'exclusion des élèves frontaliers du système scolaire genevois est attaquée en justice. Le collectif «École pour tous», qui regroupe 48 familles concernées par la décision du Conseil d'État dévoilée le 11 juin , annonce qu'il déposera deux recours auprès de la Chambre constitutionnelle. Selon ces parents, d'autres recours, en dehors des leurs, sont à attendre. Le Conseil d'État a annoncé que, dès la rentrée 2026, l'école genevoise n'accueillerait plus de nouveaux élèves résidant hors du canton. En 2018, cette mesure avait déjà été prise pour l'école primaire et le Cycle d'orientation (CO), sans viser les élèves déjà dans le cursus et les membres de leur fratrie. Le Conseil d'État met donc fin à cette «mesure transitoire», tout en étendant l'exclusion des non-résidents au secondaire II – à l'exception de l'apprentissage dual. Les élèves déjà dans le cursus pourront toutefois terminer le cycle dans lequel ils se trouvent (1P-4P; 5P-8P, CO, diplôme du secondaire II). Ainsi, environ 1000 élèves ne pourront terminer leur parcours à Genève sur les 2500 non-résidents scolarisés l'an passé dans le canton. Révoltés «Cette décision nous a révoltés, elle nous met dans une situation très difficile et va déraciner nos enfants», déplore Anthony Lehmann, au nom du collectif. Toutefois, signe d'une confiance relative dans les chances de succès en justice, «nos avocats nous ont conseillé d'agir aussi sur le plan politique». Le collectif a donc envoyé un argumentaire à tous les députés pour les convaincre de soutenir une motion socialiste qui pourrait être débattue la semaine prochaine en séance plénière . Elle demande de permettre aux enfants déjà engagés dans le système scolaire genevois d'y terminer leur scolarité, y compris secondaire. C'est ce que demande, a minima, le collectif de parents, qui combat toutefois le principe même d'exclure les non-résidents. Il dénonce une violation du principe de l'enseignement de base gratuit ou encore la disproportion de la mesure. Selon ces parents, les bénéfices seront «dérisoires» pour des répercussions «énormes» sur l'organisation des familles et la scolarité d'environ 1000 élèves. Revirement En effet, selon le collectif, les 28 millions d'économies attendues seront bien moindres si ces ménages reviennent vivre à Genève. En outre, quelques élèves en moins dans une école ne permettront pas de fermer des classes. Et encore moins de résoudre la pénurie de bâtiments scolaires. Le principal argument vise toutefois le «revirement» par rapport à la décision de 2018. «Des familles ont déménagé en ayant en tête qu'elles pourraient scolariser leurs enfants à Genève, quelle confiance avoir dans des autorités qui changent les règles en cours de route?» demande Anthony Lehmann. Mère de trois enfants, Arwen Conod affirme que la plupart des familles «seraient restées dans de petits appartements à Genève» si elles avaient su que les règles changeraient. Elle-même écarte l'idée que ses enfants rebondissent dans le système scolaire français, qu'elle juge très problématique. Elle pointe les conséquences d'un déracinement. Outre le risque de décrochage scolaire, les enfants seront coupés de leurs amis, camarades, enseignants. «Mes enfants, depuis huit ans au club de foot de Laconnex, ne pourront plus y jouer s'ils vont à l'école à Saint-Genis-Pouilly.» Un troisième parent, le maraîcher Rudi Berli, donne l'exemple de sa fille qui veut devenir vétérinaire, ce qui implique d'étudier l'allemand… Crise du logement Ces familles chercheraient presque toutes à revenir à Genève, mais elles peinent à y trouver un logement. «Certains imaginent même de divorcer pour qu'un conjoint reprenne une adresse à Genève, commente Anthony Lehmann. Mais on nous a fait comprendre que de pseudo-adresses ne fonctionneraient pas.» «Nous contribuons massivement à la prospérité de Genève», complète Rudi Berli. Pour lui, Genève se tire une balle dans le pied en excluant une partie de sa future main-d'œuvre. Ces familles dénoncent encore une «injustice fiscale» puisqu'elles sont désormais privées d'une prestation payée par leurs impôts (pris à la source). Elles déplorent enfin une mesure qui «attise la haine des frontaliers». «Nous ne lirons pas les commentaires sous vos articles», anticipe Anthony Lehmann. Newsletter «La semaine genevoise» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton de Genève, chaque semaine dans votre boîte mail. Autres newsletters Rachad Armanios est journaliste à la rubrique genevoise depuis août 2022 et couvre en particulier la politique cantonale. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


L'Équipe
4 days ago
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Arrivé en retard au rassemblement, le défenseur de Rennes Mikayil Faye écarté du groupe pour le match contre l'OM
Arrivé en retard au rassemblement ce vendredi matin, le jeune défenseur Mikayil Faye a été écarté du groupe rennais par Habib Beye, comme annoncé par Ici Armorique. Le joueur, qui était pressenti pour être titulaire, ne sera pas présent contre l'OM ce vendredi soir. Une saison 2025-2026 en faux départ pour Mikayil Faye. Comme annoncé par Ici Armorique, le défenseur sénégalais de 21 ans a été écarté du groupe du Stade Rennais en vue de la réception de l'OM ce vendredi soir (20h45), dans le cadre de la 1re journée de Ligue 1. Selon les informations du média local breton, Faye serait arrivé en retard ce vendredi matin au rassemblement prévu pour tous les joueurs. Après avoir rejoint le reste de ses coéquipiers par ses propres moyens ce midi, le défenseur a été prié de quitter l'hôtel et le groupe. Pressenti pour être titulaire, il sera donc absent sur la pelouse du Roazhon Park contre l'OM. La place vacante devrait se disputer entre le Camerounais Christopher Wooh (23 ans) et le Marocain Abdelhamid Aït-Boudlal (19 ans).


L'Équipe
5 days ago
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Le FC93 a saisi le comex de la FFF pour demander son intégration en National
Le club de région parisienne a adressé ce jeudi une saisine au comex de la FFF afin d'intégrer le National, à la suite de l'exclusion de l'AC Ajaccio. Meilleur deuxième de National 2 la saison dernière, et potentiellement premier « repêchable », le FC 93 a adressé ce jeudi une saisine auprès du comex de la FFF (Fédération française de football). Le club de la région parisienne souhaite intégrer le National, qui se dispute actuellement à 17 après l'exclusion de l'AC Ajaccio. Le FC93 demande au comex de statuer de manière urgente et pourrait s'orienter vers un boycott de la reprise du Championnat de National 2. Une tactique qui n'avait pas vraiment souri au GOAL FC, dans une situation similaire la saison dernière, puisque le club de la région lyonnaise n'avait pas été réintégré en National et avait démarré sa saison de N2 par une défaite sur tapis vert. À l'époque, la FFF s'était appuyée, dans son jugement, sur la date butoir du 17 juillet pour la constitution des groupes issue des règlements généraux. La règle n'a pas changé depuis. Mais, dans cette configuration avec un nouveau Championnat impair qui se dessine (17 clubs, comme la saison dernière, et un exempt lors de la dernière journée qui peut être décisive), le National s'offre une publicité peu enviable, à seulement un an du grand lancement de la Ligue 3.


Le Parisien
6 days ago
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« On a laissé le temps à Ajaccio de rouler tout le monde dans la farine » : la colère du FC 93 Bobigny
Comme prévu, l'AC Ajaccio a été incapable de présenter un budget pour le National et a été logiquement exclu des championnats nationaux par la DNCG. Le club corse qui compte près de 15 millions de dettes, a cherché à gagner du temps ces dernières semaines, en étirant jusqu'au bout les procédures, alors qu'il n'avait pas nouveaux éléments financiers à présenter. Pire, ses dirigeants auraient menti avec un virement de 2,5 millions d'euros qui n'est jamais arrivé, et présenté des faux documents à l'en-tête d'une banque avec un mauvais logo… Le paradoxe dans cette histoire qui n'en finit plus de traîner, c'est que l'AC Ajaccio a encore la possibilité de faire appel. Mais le National devrait se jouer à 17 équipes. La FFF se réfugie derrière son règlement, qui indique qu'aucun repêchage ne peut avoir lieu après le 17 juillet, date de publication des groupes. Une situation très mal vécue du côté du FC 93 Bobigny, meilleur 2e des trois groupes de National 2, et qui était donc le premier repêchable. Le président Mamadou Niakaté se bat depuis plusieurs semaines pour faire intégrer son club au National. « On a laissé le temps à l'AC Ajaccio de rouler tout le monde dans la farine depuis des mois en les laissant repousser jusqu'au bout les délais alors que tout prouve qu'ils ne sont pas de bons gestionnaires et on n'écoute pas un club comme nous qui a sa place sportivement et financièrement en National ? », s'agace le président du FC 93 Bobigny qui a saisi le tribunal administratif pour faire valoir ses droits. « Pour pouvoir faire un référé-suspension, il fallait avoir une décision, elle est tombée, donc on va pouvoir aller sur le terrain juridique », explique-t-il. À voir aussi Le FC 93 Bobigny avait aussi menacé de boycotter le championnat de National 2. Il est quasiment acquis qu'il ne jouera pas contre Toulon ce samedi lors de la 1ère journée. « J'ai eu un membre du Comex de la FFF, il m'a dit d'envoyer un mail pour demander le report, poursuit Mamadou Niakaté. À un moment, c'est à la Fédération de prendre ses responsabilités. Quand on est élu, il faut être capable de prendre ses responsabilités dans l'intérêt du football. Ce n'est pas de notre faute si cela a pris du temps pour l'AC Ajaccio. Ils n'ont pas les moyens d'être en National alors que le FC 93 il y a toute sa place. Quand les règlements ne sont pas bons, il faut les changer. Les règlements ne sont pas adaptés à une logique sportive. Ce qui se passe avec nous est déjà arrivé l'an dernier avec le GOAL FC. Comment on a pu en arriver là sans rien changer ? » Le président du FC 93 Bobigny ne veut pas lâcher le combat. « On a des clubs derrière nous, la Ligue de Paris, le district de 93, des politiques, beaucoup de gens nous soutiennent. Je ne veux pas abandonner. Je crois encore à la justice et à l'intérêt du football… »