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Abus sexuels sur des bébés à Montreuil : pourquoi le couple mis en examen évite à nouveau la détention provisoire
Abus sexuels sur des bébés à Montreuil : pourquoi le couple mis en examen évite à nouveau la détention provisoire

Le Parisien

time5 days ago

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Abus sexuels sur des bébés à Montreuil : pourquoi le couple mis en examen évite à nouveau la détention provisoire

Ce jeudi, l'avocate générale avait également demandé l'incarcération de ce duo car « cette affaire est grave. Ce sont des agressions sexuelles sur des nourrissons. Des êtres incapables de parole et sans défense ». Pour appuyer ses propos, la magistrate a également mis en avant le profil « inquiétant » et « instable » des mis en cause. Elle évoque « la vulnérabilité » de l'infirmière qui a « déjà subi des violences dans son enfance et avec son ex-conjoint. C'est un terrain fertile pour recommencer. A-t-elle réalisé deux ou trois agressions sur d'autres nourrissons, on ne peut pas savoir ? Seule l'exploitation du matériel informatique nous le dira ».

Féminicide en Bretagne : la femme tuée par son ex-conjoint avait porté plainte à deux reprises
Féminicide en Bretagne : la femme tuée par son ex-conjoint avait porté plainte à deux reprises

Le Figaro

time6 days ago

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Féminicide en Bretagne : la femme tuée par son ex-conjoint avait porté plainte à deux reprises

La victime, tuée dans la nuit de vendredi à samedi près de Saint-Malo, dénonçait notamment le harcèlement que son ancien concubin lui faisait subir depuis leur séparation. Une femme, tuée par son ex-conjoint de 38 ans dans la nuit de vendredi à samedi à Saint-Jouan-des-Guérets (Ille-et-Vilaine) qui avait pris la fuite avant d'être abattu par un gendarme, avait porté plainte contre son ancien concubin, a indiqué le procureur de la République de Saint-Malo. «La victime de l'assassinat avait déposé plainte à deux reprises contre son ancien concubin», une première fois mi-juillet pour dire qu'il «lui envoyait de nombreux messages, tentait de la joindre fréquemment par téléphone et se présentait régulièrement à son domicile» après leur séparation, et une seconde fois le 2 août car elle «suspectait son ancien concubin d'avoir dégradé son véhicule», selon le communiqué du procureur. Publicité Dans sa première plainte, elle «affirmait ne jamais avoir été victime de violences physiques, verbale ou sexuelle ni de menace de mort de la part de l'intéressé». «Attitude très menaçante» L'homme avait agressé son ex-compagne de 39 ans à l'arme blanche dans la rue, dans la nuit de vendredi à samedi. Il avait été ensuite localisé à son domicile. Lorsque les gendarmes avaient tenté de l'interpeller, il les avait menacés avec une machette et avait eu «une attitude active très menaçante à l'égard des militaires de la gendarmerie», selon le communiqué. Après avoir tenté de le repousser avec un taser, un gendarme avait fait usage de son arme. En 2023, 96 femmes ont été victimes de féminicide conjugal en France, un chiffre en baisse de 19% par rapport à 2022, selon le dernier bilan du ministère de l'Intérieur publié fin novembre 2024.

Féminicides : pourquoi les violences faites aux femmes augmentent pendant la canicule
Féminicides : pourquoi les violences faites aux femmes augmentent pendant la canicule

Le Parisien

time12-08-2025

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Féminicides : pourquoi les violences faites aux femmes augmentent pendant la canicule

Dans la nuit du 8 au 9 août, une femme de 36 ans a été égorgée par son ex-conjoint à Saint-Jouan-des-Guérets (Ille-et-Vilaine). Deux jours avant, une femme de 45 ans a été tuée par arme à feu par son compagnon, à Panazol (Haute-Vienne). Le dimanche précédent, le 3 août, c'est une femme de 43 ans qui est morte après avoir été rouée de coups de pied dans le ventre par son compagnon à Martigues (Bouches-du-Rhône).

« Elle aimait ses enfants plus que tout » : qui était Tatiana, 36 ans, tuée par son ex-conjoint en Bretagne ?
« Elle aimait ses enfants plus que tout » : qui était Tatiana, 36 ans, tuée par son ex-conjoint en Bretagne ?

Le Parisien

time10-08-2025

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« Elle aimait ses enfants plus que tout » : qui était Tatiana, 36 ans, tuée par son ex-conjoint en Bretagne ?

Un nouveau féminicide qui vient s'ajouter à une liste déjà très longue. Derrière ces sordides faits divers se cachent des visages : dans la nuit de vendredi à samedi, c'est celui de Tatiana Mevel qui a disparu à jamais. Cette mère de famille de 36 ans a été tuée par son ex-conjoint à Saint-Jouan-des-Guérets (Ille-et-Vilaine). Lors d'une dispute, l'homme de 38 ans a frappé son ancienne compagne avec un couteau, l'atteignant mortellement au cou. Les faits se sont déroulés dans la rue, alors que les deux filles de Tatiana, âgées de 15 et 17 ans, étaient présentes dans le logement. Le trentenaire a pris la fuite avant d'être abattu dans les Côtes-d'Armor. Tatiana était également mère d'un garçon de 8 ans, issu d'une autre union, qui n'était pas présent au moment du drame. Auprès de la presse locale, proches et voisins décrivent une femme rayonnante. « C'était une de nos clientes, nous avons eu ses enfants en stage. Elle avait toujours le sourire », confie auprès de Ouest-France Noémie, gérante d'une boulangerie située à proximité de la petite résidence HLM ou vivait la défunte. Des disputes très fréquentes « Tatiana aimait vivre, elle aimait faire la fête », s'épanche pour sa part une voisine au micro d'Ici Armorique, assurant que Tatiana « aimait ses enfants plus que tout ». D'après Ouest-France, la trentenaire était employée à la mairie de la commune et s'occupait du ménage dans le centre de loisirs d'une école. [3/4] Cécile Vallin, les secrets d'une disparition Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles. Écouter Toujours selon la presse locale, la victime habitait Saint-Jouan-des-Guérets depuis une petite dizaine d'années. Des voisins expliquent que le couple s'était séparé il y a deux mois. Depuis, le trentenaire harcelait quotidiennement son ancienne conjointe. « Depuis un mois, ça avait empiré. Il lui a crevé un pneu et lui a cassé la vitre de sa voiture. Elle se sentait de plus en plus en danger, elle vivait dans la peur », relate une voisine auprès d'Ici. Selon une autre habitante interrogée par Ouest-France, la victime avait « porté plainte à la gendarmerie, y compris la veille du drame ». La maire de la commune, Marie-France Ferret, a dit auprès de France 3 être « sidérée, atterrée, que des faits de ce genre puissent encore avoir lieu au XXIe siècle. On se sent impuissant ». Deux enquêtes ouvertes Peu après les faits, une enquête avait été ouverte en flagrance du chef d'assassinat visant le suspect. Le parquet de Saint-Malo a également prescrit l'ouverture d'une seconde enquête de flagrance, du chef de violences avec usage d'une arme ayant entraîné la mort sans l'intention de la donner, à l'encontre du gendarme qui a ouvert le feu (c'est la procédure lorsqu'un membre des forces de l'ordre fait usage de son arme). Cette seconde enquête a été confiée à l'Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) et le militaire ayant fait usage de son arme de service a été placé en garde à vue. Les autopsies des corps des deux personnes décédées doivent être pratiquées lundi, a précisé le parquet. En 2023, 96 femmes ont été victimes de féminicide conjugal en France, un chiffre en baisse de 19 % par rapport à 2022, selon le dernier bilan du ministère de l'Intérieur publié fin novembre 2024.

Gironde : une femme tuée par balle retrouvée sur le bord de la route, son ex-compagnon mis en examen
Gironde : une femme tuée par balle retrouvée sur le bord de la route, son ex-compagnon mis en examen

Le Figaro

time11-07-2025

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Gironde : une femme tuée par balle retrouvée sur le bord de la route, son ex-compagnon mis en examen

Une femme de 43 ans a été retrouvée agonisante, sur le bord de la route, dans la nuit du 8 au 9 juillet, en Gironde. Son ex-conjoint a avoué les faits en garde à vue, et parle d'un acte accidentel. D'après une information du journal Sud-Ouest confirmée au Figaro ce vendredi matin, le corps d'une femme de 43 ans a été découvert dans la nuit de mardi à mercredi, peu après 1h du matin, en bord de route, à Moulis-en-Médoc (Gironde). L'alerte avait été donnée par un automobiliste de passage. Grièvement blessée par arme à feu, la victime n'a pas pu être sauvée par les secours. L'ancien compagnon de la victime a été mis en examen pour homicide volontaire aggravé et placé en détention provisoire ce jeudi. Cet ouvrier viticole, âgé de 36 ans, a été interpellé une heure plus tard, à Ludon-Médoc, alors qu'il circulait en voiture, en possession d'un fusil. Il a reconnu les faits lors de sa garde à vue et évoque un acte accidentel. L'homme était déjà connu de la justice pour des faits de violences conjugales répétées. Publicité La victime est une habitante de Castelnau-de-Médoc. Elle est mère de trois enfants, deux filles âgées de 25 et 17 ans, et un garçon de 6 ans. Selon les premiers éléments de l'enquête, confiée à la gendarmerie, elle avait quitté cet homme en raison de précédentes violences, qu'elle n'avait pas portées à la connaissance de la justice.

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