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Un sandwich fait une victime et neuf hospitalisations en Calabre
Un sandwich fait une victime et neuf hospitalisations en Calabre

24 Heures

time08-08-2025

  • Science
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Un sandwich fait une victime et neuf hospitalisations en Calabre

Accueil | Monde | Faits divers | Une personne est décédée et neuf autres ont été hospitalisées après avoir consommé un sandwich à la saucisse. Les autorités soupçonnent une intoxication botulique provenant d'un food truck. Publié aujourd'hui à 12h34 La victime, un Napolitain de 52 ans, est décédée lors de son transport vers l'hôpital San Giovanni, à Lagonegro. (Photo d'illustration) Marco BERTORELLO/AFP Un drame alimentaire secoue la région de Cosenza, en Calabre. Après avoir consommé un sandwich à la saucisse, une personne a perdu la vie et neuf autres ont été hospitalisées selon une information du journal italien «Corriere della Sera» . La victime, un Napolitain de 52 ans, est décédée lors de son transport vers l'hôpital San Giovanni, à Lagonegro, en raison de symptômes sévères suggérant une intoxication botulique, notamment des vomissements et une vision trouble. Les personnes touchées avaient toutes acheté leur repas dans un food truck de la ville de Diamante. Selon les informations recueillies par l' agence italienne ANSA , il y aurait, parmi les malades, plusieurs personnes dont deux adolescents de 17 ans, dont l'état préoccupant nécessitait une prise en charge en soins intensifs. À la suite de la découverte de cette possible intoxication, deux patients ont déjà reçu une injection de sérum antitoxine botulique. Afin d'anticiper de nouveaux cas, sept doses supplémentaires ont été acheminées depuis Rome. L'affaire de Cosenza en rappelle une autre L'affaire a déclenché une série de mesures préventives, tant au niveau municipal qu'hospitalier. Le maire de Diamante a tenté de rassurer la population en rejetant tout lien définitif avec le food truck, tandis que l'Autorité sanitaire provinciale de Cosenza a procédé à des inspections rigoureuses. L'entreprise alimentaire concernée a été temporairement mise sous confinement sanitaire dans l'attente des résultats. Cette crise sanitaire rappelle un incident similaire ayant eu lieu à Cagliari fin juillet, où huit personnes avaient subi une intoxication semblable, dont un garçon de 11 ans actuellement en soins intensifs. Les autorités locales soupçonnent un lien avec le festival local Fiesta Latina. Une enquête est en cours en Sardaigne, menée par le parquet. Face à ces cas d'intoxication botulique, les autorités appellent à la vigilance, soulignant l'importance de la coopération entre les services de santé et les résidents pour contenir le risque d'une épidémie plus vaste. D'autres affaires d'intoxication Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Leonardo Pescante est rédacteur en chef adjoint de 24heures depuis 2011. Après des études à l'Université de Lausanne en mathématiques et des cours supérieurs de management au CRPM, il a travaillé près de 15 ans à Radio Suisse internationale. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

« Pour nous, ce n'est pas seulement un bar » : dans l'Eure, le Bistrot FMR trace sa route
« Pour nous, ce n'est pas seulement un bar » : dans l'Eure, le Bistrot FMR trace sa route

Le Parisien

time08-08-2025

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  • Le Parisien

« Pour nous, ce n'est pas seulement un bar » : dans l'Eure, le Bistrot FMR trace sa route

Derrière la mairie de Neaufles-Saint-Martin (Eure), à quelques encablures de Gisors, le Bistrot FMR vient de poser tables et chaises. Au comptoir, Clara Marquet, 27 ans, celle qui a lancé au printemps dernier son bar itinérant sur les routes de l'est du département dont elle est originaire. Tout comme la majorité des produits et des boissons qu'elle sert. « Ce n'est un secret pour personne, les villes et les villages ruraux manquent de commerce, d'animations, de lieux pour se retrouver », analyse celle qui se destinait au tourisme et à l'événementiel, avant d'entamer une formation de barmaid pendant la période du Covid. Aménagée dans l'une des fameuses camionnettes « tube » de Citroën pour la touche vintage, sa remorque n'a besoin que d'une prise électrique pour fonctionner. Et de nombreuses petites communes sont prêtes à la fournir. « Je tourne sur une dizaine de villages avec un rendez-vous mensuel. Sur quelques marchés aussi. Et ça fonctionne déjà bien », assure Clara Marquet. Avant de se lancer, elle a tout de même dû prendre son bâton de pèlerin pour convaincre les élus de lui accorder leur confiance et une autorisation pour s'installer. « Mais aujourd'hui, je suis contactée par d'autres qui souhaiteraient que je vienne chez eux aussi », sourit-elle. Lors des soirées, qui durent jusqu'aux alentours de 22 heures, il n'est pas rare qu'un food truck vienne compléter l'offre de petite restauration qu'elle propose. Pour cette soirée à Neaufles-Saint-Martin, ce seront les saveurs antillaises de la Bonne Poz', un traiteur lui aussi itinérant installé dans le secteur. Si tout va bien, sa première saison devrait s'étirer jusqu'en décembre, date du premier bilan. Des clients de 30 à 50 ans, principalement Dans son bureau dont les fenêtres donnent directement sur le Bistrot FMR, Sonia Mikolajczyk, la maire de Neaufles-Saint-Martin, a elle été convaincue par l'enthousiasme de la jeune entrepreneuse. « Une initiative comme celle-là est toujours bienvenue. Pour nous, ce n'est pas seulement un bar, mais un endroit de convivialité, de rencontres », confirme l'élue, qui a prévu d'aller y boire un verre un peu plus tard dans la soirée. Certains conseils municipaux, comme celui de Ménilles, ont même accordé une subvention pour soutenir le projet. À Neaufles, c'est l'accès gratuit à la salle des fêtes en cas d'intempéries et le prêt d'un peu de matériel qui est à chaque fois prévu. « Le village a compté jusqu'à une dizaine de bars. Aujourd'hui, il n'y a plus qu'une boulangerie », regrette Sonia Mikolajczyk, qui avoue avoir eu quelques doutes au départ. Avant de constater que le Bistrot FMR répondait visiblement à une attente de ses administrés. « Je pensais avoir pas mal de jeunes », renchérit Clara Marquet qui a investi autour de 30 000 euros dans cette création. « Mais en fait, ce sont plutôt des gens entre 30 et 50 ans qui constituent la plus grosse partie de ma clientèle. »

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