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Le Parisien
6 days ago
- Le Parisien
Voici le robot tondeuse que tous les jardiniers s'arrachent et il est à moins de 300 euros sur Electro Dépôt
Les beaux jours sont là et avec eux, l'envie de profiter de votre jardin. Grâce au robot tondeuse GRO20V20WIFI-2A de Gardeo , votre gazon est tondu à la perfection sans que vous ayez à faire le moindre effort. Ce modèle performant prend en charge jusqu'à 800 m² de pelouse et ne néglige aucun recoin avec sa fonction coupe-bordure. Pratique, vous pouvez le programmer et le contrôler depuis votre smartphone via son application dédiée. Choisissez les heures d'activité, les paramètres de tonte et laissez-le travailler à votre place. Doté de 3 lames tranchantes et de capteurs anti collisions, il assure une coupe nette sur des surfaces irrégulières jusqu'à 35 %. Actuellement, le robot tondeuse GRO20V20WIFI-2A Gardeo est à 298,97 euros sur Electro Dépôt. Découvrez toutes les offres du nouvel arrivage Électro Dépôt Doté de 60 minutes d'autonomie, le robot tondeuse GRO20V20WIFI-2A de la marque Gardeo se recharge entièrement en 50 minutes. Son niveau sonore réduit de 70 dB vous permet de l'utiliser à tout moment de la journée sans déranger vos voisins. Avec un indice de réparabilité de 8,6/10 et 5 ans de garantie commerciale, il est conçu pour durer dans le temps et traverser les saisons. Retrouvez ce robot tondeuse signé Gardeo parmi les nouveautés disponibles sur Electro Dépôt. Ne tardez pas à passer commande et profitez de la livraison à domicile ou du retrait en magasin. Dans le cadre de cet achat, l'enseigne vous propose de récupérer gratuitement votre ancien appareil afin de contribuer concrètement à son recyclage. Cliquez ici pour profiter de l'offre sur Electro Dépôt robot tondeuse Les autres offres à saisir chez Électro Dépôt :


L'Équipe
13-07-2025
- Sport
- L'Équipe
« La marge est infime » : Jannik Sinner s'exprime sur sa rivalité avec Carlos Alcaraz après son titre à Wimbledon
Tout à son bonheur d'avoir soulevé le trophée de Wimbledon, Jannik Sinner est revenu sur l'importance de sa rivalité avec Carlos Alcaraz et sur la façon dont il a rebondi après sa défaite en finale de Roland-Garros. « Vous êtes champion de Wimbledon, qu'est-ce que ça représente ?C'est incroyable. J'ai toujours rêvé, ne serait-ce que de disputer ce tournoi et là, je suis assis à côté du trophée. C'est... incroyable (sourire). Est-ce que vous avez toujours su que le gazon pouvait convenir à votre jeu ?Quand vous êtes jeune, vous essayez de jouer le plus de matches possibles, vous essayez de comprendre le jeu sur ce court. À l'époque, si vous m'aviez posé cette même question, j'aurais probablement répondu non. Mais chaque année, je me sentais de mieux en mieux ici. Cette année, c'était bien différent par rapport à l'an dernier. J'avais gagné à Halle et je suis arrivé en pleine confiance, en jouant un bon tennis, mais j'ai perdu en quarts. Cette année, je me sentais bien sur le court. Je crois qu'on a bien vu que je me déplaçais de mieux en mieux au fil des matches. Ma meilleure surface est évidemment le dur. Mais j'ai toujours pensé que je pouvais aussi bien jouer sur d'autres surfaces, notamment sur gazon parce que je frappe plutôt à plat. Sur terre battue, j'avais des doutes sur mon physique. Mais cette année, ça allait et j'ai pu jouer cinq heures et demie face à Carlos. C'était super physique. C'est un bon progrès. Il y avait beaucoup d'émotion à la fin du match. Vos parents étaient là. À quel point était-ce important pour vous ?Oui, même si je n'ai pas pleuré, il y avait beaucoup d'émotion. Car il n'y a que moi et mes proches qui savent exactement par quoi il a fallu en passer sur le court et en dehors. Ce fut tout sauf facile. On a essayé d'y aller à fond sur chaque entraînement, même quand je n'étais pas au mieux mentalement. Je pense que ça m'a aidé car, lorsque je suis en match, je peux déconnecter et juste jouer au tennis. Partager ce moment avec ma famille, toute ma famille, c'est ce qui pouvait m'arriver de plus exceptionnel. À Paris, il n'y avait que ma mère et c'était déjà un sentiment super. Ici, il y avait aussi mon père et mon frère. Et toute mon équipe. Pas juste les coaches, mais tous les gens qui travaillent avec moi. C'était... Oui, quelque chose d'exceptionnel. « Je m'inspire toujours de Carlos car j'ai le sentiment qu'il y a quelques secteurs où il est meilleur que moi. » Jannik Sinner Qu'est-ce que cette victoire représente dans votre rivalité avec Carlos Alcaraz ?C'est important, parce que quand vous perdez souvent contre quelqu'un (Alcaraz avait remporté leurs cinq derniers duels), ça complique les choses. Mais, même dans les défaites, j'avais l'impression d'être assez proche. À Pékin, je perds 7-6 au troisième. À Rome, j'ai la balle de set dans le premier. Et puis, il y a eu Paris et ce qui s'est passé là-bas. Mais j'avais l'impression d'être au contact. Je m'inspire toujours de Carlos car j'ai le sentiment qu'il y a quelques secteurs où il est meilleur que moi. Donc on va travailler dessus et se préparer parce qu'il ne va pas en rester là et il va continuer à venir nous chercher. Et c'est valable pour tout le monde, pas seulement Carlos. Nous avons une grosse cible dans le dos, donc nous devons être prêts. Mais Carlos fait de moi un meilleur joueur. Quand vous avez quelqu'un de si jeune qui gagne presque tout, il faut être prêt si vous voulez rester au contact. C'est important d'avoir un joueur comme lui pour toujours trouver la motivation de pousser les entraînements à fond. Est-ce que le niveau que vous avez montré depuis votre retour de suspension vous a surpris ? Si on vous avait dit en février que vous seriez en finale de Roland-Garros et que vous gagneriez Wimbledon, qu'auriez-vous répondu ?Je ne l'aurais pas cru parce que c'est tellement difficile d'arriver dans les derniers matches des Grands Chelems. Si vous n'êtes pas en forme et que vous n'avez pas la meilleure préparation, c'est très difficile. Être en finale de Roland-Garros, après la déception, j'ai compris que c'était quelque chose de grand car ce n'est vraiment pas facile d'y arriver. Et remporter Wimbledon, c'est juste incroyable. En même temps, j'ai toujours essayé de croire en moi et d'accepter ce qui devait arriver. Il n'y a qu'une façon de devenir un meilleur joueur. Si vous faites ce qu'il faut, les chances que vous gagniez des matches augmentent car ce sera le résultat de vos efforts quotidiens. C'est exactement ce que nous avons fait. Et nous allons encore en remettre une couche car il va y avoir un paquet de joueurs qui vont venir pour nous battre. Il faut être prêt. « La différence entre nous était petite. Très petite. Ca a juste tourné en ma faveur. » Jannik Sinner à propos de Carlos Alcaraz Un peu plus tôt, Carlos Alcaraz estimait que votre seconde balle a été la clef du match. Vous êtes d'accord ?La marge est infime. Cette fois, j'ai eu l'impression d'avoir un peu de chance, j'ai touché quelques lignes. Ces petites choses qui avaient tourné en sa faveur à Paris ont penché de mon côté à Wimbledon. La marge est infime. Au début, j'avais l'impression que nous ne servions pas bien tous les deux. Mais comme nous étions en difficulté sur nos retours de seconde balle... Par la suite, j'ai trouvé un bon rythme au service, surtout sur seconde balle et encore plus dans le troisième set. Dans le quatrième, c'était plus irrégulier. Mais c'est normal, on ne peut pas toujours jouer de la même façon pendant deux, trois ou quatre heures. Pour être honnête, la différence entre nous était petite. Très petite. Ça a juste tourné en ma faveur. Darren Cahill disait qu'il n'aurait pas eu la force mentale pour rebondir aussi vite après la défaite en finale de Roland-Garros.Ça, je pense que c'est une des choses dont je suis le plus fier parce que ce n'était pas facile. J'essaie toujours d'être honnête avec moi-même et je me disais « Et si... ? ». Les choses arrivent. Perdre une finale de Grand Chelem comme celle de Paris, c'est moins pire que de se faire détruire et de ne marquer que deux jeux. Et puis vous vous remettez au travail. J'ai mis beaucoup d'intensité dans tous mes entraînements car je sentais que je pouvais très bien jouer. C'est pour ça que j'ai dit après Roland-Garros que je ne pouvais pas lever le pied, parce qu'un autre Grand Chelem approchait. Et j'y ai fait quelque chose d'incroyable. »


L'Équipe
13-07-2025
- Sport
- L'Équipe
Jannik Sinner renverse Carlos Alcaraz et remporte son premier Wimbledon
Il n'y aura pas de passe de trois pour Carlos Alcaraz à Wimbledon. L'Espagnol a été renversé par Jannik Sinner (4-6, 6-4, 6-4, 6-4) qui remporte son premier Grand Chelem sur gazon et conforte un peu plus sa place de n°1 mondial. Jannik Sinner a remporté son premier Wimbledon malgré la perte du premier set face à Carlos Alcaraz, double tenant du titre. L'Italien a su neutraliser le génie de son adversaire en prenant un maximum de risques. Il conforte un peu plus sa place de n°1 mondial.


Le Figaro
13-07-2025
- Sport
- Le Figaro
Wimbledon : sacrée pour la première fois à Londres, Swiatek inflige à Anisimova une correction historique
Iga Swiatek était pressée, très pressée. En 57 minutes, l'ancienne numéro 1 mondiale a humilié l'Américaine Amanda Anismova (6-0, 6-0), totalement crispée. Du jamais vu dans l'histoire du tournoi… depuis 1911. En 1911, Dorothea Lambert-Chambers avait humilié sur le gazon britannique Dora Boothby avec une double bulle. 114 ans plus tard, Iga Swiatek a réussi cette performance rare sur le Centre Court ce samedi, face à la surprise Amanda Anisimova. Terrible épilogue pour l'Américaine, écrasée en 57 minutes. Plus récemment, la finale dames de l'édition 1988 entre Steffi Graff et Natasha Zvereva à Roland-Garros avait connu scénario identique. Revenue sur le circuit en janvier 2024 après huit mois de pause « pour se ressourcer mentalement» où elle s'est réfugiée notamment dans la peinture, Anisimova, s'était inclinée… au dernier tour des qualifications de Wimbledon il y a tout juste un an. L'Américaine, qui avait débuté son tournoi en écrasant… 6-0, 6-0 Putintseva, avait barré jeudi à la route de la numéro 1 mondiale Aryna Sabalenka (6-4, 4-6, 6-4). Mais ce samedi, la belle histoire a viré au cauchemar. Publicité Anisimova craque sous la pression Rattrapée par la pression d'une première à ce stade de la compétition, la néophyte a pris l'eau. Et l'expérimentée et impitoyable Swiatek en a profité. La Polonaise s'adjuge son sixième tournoi du Grand Chelem lors de sa sixième finale. Une performance rare également. Reine de la terre battue avec déjà quatre sacres à Roland-Garros, à seulement 24 ans, elle avait été longtemps allergique au gazon. Mais ça, c'était avant. Dans son élément, comme sur le Philippe-Chatrier de la Porte d'Auteuil, en mode rouleau compresseur, elle a humilié la pauvre Américaine, qui avait déjà les larmes aux yeux, après la perte du premier set. Et qui n'a pas caché son désarroi lors de la remise des trophées. En perdition sur le court central le plus prestigieux au monde, l'Américaine a multiplié les fautes directes (28 à 11) et a été notamment plombée par son très faible pourcentage de premières balles (45% et 34% de points gagnés seulement derrière ses premières). Gazon béni Sans forcer son talent, face à son adversaire pétrifiée par l'enjeu, Iga Swiatek (72% de points gagnés derrière ses premières) a déroulé son tennis et a empoché le premier acte en 25 minutes. Même scénario dans le deuxième set. L'Américaine, ne parvenant toujours pas à rentrer dans sa finale, a été rapidement menée 3-0. Avant de subir la même correction. Swiatek succède à Barbora Krejcikova au palmarès. La Polonaise, retombée à la 4e place au classement WTA et en manque de résultats depuis un an, n'avait plus remporté un titre depuis Roland-Garros 2024. Très à l'aise sur une herbe plus lente et plus bondissante que d'ordinaire, elle a retrouvé ses meilleures sensations au meilleur des moments. Du gazon maudit au gazon béni.


L'Équipe
12-07-2025
- Sport
- L'Équipe
« Je reviendrai plus forte après ça » : malgré sa cuisante défaite en finale de Wimbledon, Amanda Anisimova veut retenir le positif
Laminée par Iga Swiatek en moins d'une heure (6-0, 6-0), en finale de Wimbledon samedi, Amanda Anisimova admettait avoir subi l'évènement, mais voulait aussi retenir tout le positif de ces deux semaines sur gazon. Bien sûr, c'est un jour qui va lui faire mal quelque temps encore. Pour sa première finale en Grand Chelem, Amanda Anisimova n'avait pas envisagé de se faire broyer ainsi sur le Centre Court de Wimbledon, en 57 minutes, par Iga Swiatek (6-0, 6-0). Mais au-delà du grand vide du jour, l'Américaine voulait retenir tout le positif de ces quinze jours. En conférence de presse, 1 h 30 après une finale dans laquelle elle n'a pas existé, l'émotion était retombée, les larmes étaient séchées et la joueuse de 23 ans voulait maintenant se tourner vers d'autres défis. Pouvez-vous nous décrire ce que c'est que de défier Iga Swiatek quand elle joue comme ça ?Elle a effectivement très bien joué tout de suite. Tout le mérite lui revient. Elle a pu jouer le jeu qu'elle voulait, je pense. De mon côté, je pense que j'étais un peu tétanisée nerveusement. Peut-être aussi un peu fatiguée par ces deux dernières semaines. Elle m'a rendu la tâche très difficile. C'est une joueuse incroyable, comme je l'ai dit à plusieurs reprises. Elle mérite cette victoire. Votre carrière est le parcours d'une combattante. Pouvez-vous nous raconter ce que vous avez vécu ces dernières heures ?C'était un peu difficile à digérer, pendant le match et juste après. Ce n'est pas comme ça que j'aurais voulu que ma première finale de Grand Chelem se déroule. Je pense que j'étais aussi un peu sous le choc après. Mais je me suis dit que je reviendrai plus forte après ça. Ce n'est pas facile de perdre 0-0 dans une finale de Grand Chelem. Mais je peux considérer cela comme un point positif et une source de motivation pour l'avenir (sourire). Il y a évidemment beaucoup de choses que je dois faire pour progresser. Quand je suis rentrée au vestiaire, je me suis dit : « Tu sais quoi, c'est probablement ce qui va te rendre plus forte à la fin, et il ne faut pas que je m'enfonce ou que je me rabaisse, il faut que j'essaie de me concentrer sur la façon dont je peux ressortir plus forte après ça. » « C'est surtout sur mon physique que je dois travailler. Dans quelle mesure avez-vous ressenti cette nervosité, pendant la préparation du match, au tout début du match ?J'étais nerveuse, mais ce n'était pas quelque chose d'insensé. En fait, j'étais plus excitée à l'idée de jouer ce match. Je ne me suis pas entraînée hier. Je pense que j'étais vraiment fatiguée. Je l'ai également senti lors de mon échauffement ce matin. Je devais faire une pause après chaque rallye lors de mon échauffement. C'est surtout sur mon physique que je dois travailler. Être capable de tenir deux semaines dans un tournoi du Grand Chelem, c'est vraiment quelque chose sur lequel il faut beaucoup travailler. Ce n'est pas facile. Il y a une grande marge de progression, je pense. En tout cas, c'est une expérience sur la façon de gérer le trac. C'était ma première finale en Chelem, maintenant, j'ai cette expérience au moins. Votre discours d'après match a été très émouvant. Qu'avez-vous ressenti à ce moment-là ?J'étais submergée par l'émotion. Je pense que j'essayais juste de me retenir, honnêtement. C'était un moment tellement intense. J'essayais de me rappeler que c'était un moment incroyable, de ne pas le laisser passer et de ne pas me laisser submerger par tous les sentiments que je ressentais. J'ai donc essayé de rester calme, de ravaler mes larmes et de parler avec mon coeur. Il y avait beaucoup de choses que je voulais dire. J'ai eu l'impression que mon discours était assez long. Je voulais juste profiter de ce moment pour essayer d'oublier ce qui s'était passé l'heure précédente et me focaliser sur tout ce que j'avais fait ces deux dernières semaines et toutes les personnes qui m'avaient aidée à y arriver. Vous étiez notamment très émue lorsque vous avez mentionné votre mère ?Ma mère a fait tellement de sacrifices. C'est pour cela que j'étais si émue, parce qu'elle a littéralement fait tout ce qu'elle pouvait, et même plus, pour que j'arrive à ce stade de ma vie. Tout comme pour ma soeur. Elle ferait n'importe quoi pour ses enfants. C'est la personne la plus altruiste que j'ai rencontrée. J'ai beaucoup de chance de l'avoir dans ma vie.