Dernières actualités avec #ministre


Le Figaro
6 days ago
- Politics
- Le Figaro
Bruno Retailleau ne voit «pas de raison de quitter le gouvernement» malgré des tensions avec Emmanuel Macron
Le président de la République s'en est pris à son ministre de l'Intérieur, mercredi, dans le huis clos du Conseil des ministres. Sa place n'est pas à prendre. Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau «ne voit pas de raison de quitter» le gouvernement même s'il «n'abdiquera pas ses convictions» après la polémique créée par ses attaques contre le chef de l'État dans une interview à Valeurs Actuelles . «Tant que les décisions (du gouvernement) sont conformes à l'intérêt national, conformes à mes convictions, il n'y a pas de raison que je quitte le gouvernement», a déclaré jeudi le locataire de Beauvau en marge d'un déplacement dans un commissariat. Plus d'informations à venir...


Le Parisien
6 days ago
- Business
- Le Parisien
« Le retour sur investissement est évident » : et si faire la sieste au bureau devenait la norme ?
C'est une situation récurrente pour de nombreux employés de bureau. Il vous reste une trentaine de minutes avant la fin de votre pause déjeuner et, malgré l'expresso que vous avez avalé après votre repas, vous avez de sérieux doutes sur votre capacité à tenir jusqu'à la fin de l'après-midi. Le ministre de la Santé, Yannick Neuder, s'est dit mardi « très favorable à la sieste de façon générale » lors de la présentation d'une feuille de route interministérielle. Sans aller jusqu'à une obligation, le ministre a encouragé les employeurs, dans la mesure du possible, à « aménager des espaces calmes qui permettent aux salariés de faire des micro-siestes ».


Le Parisien
20-07-2025
- Politics
- Le Parisien
Législative partielle à Paris : Dati, Barnier, Chappaz… Les électeurs ont « du mal à suivre »
Dimanche 20 juillet, place Monge, dans le Ve arrondissement de Paris. Comme chaque semaine, c'est jour de marché. Entre les dédales des stands, profitant d'une courte accalmie de la pluie, une invitée surprise se faufile avec panache. Tenue noire, lunettes sur les yeux, quelques conseillers à ses côtés… Aucun doute : « C'est Rachida Dati ! » reconnaît un passant. Poignée de mains, sourire aux lèvres et salutations : en une quinzaine de minutes, le passage de la ministre de la Culture aura suffi à faire tourner les têtes, sans pour autant parler de politique.


Le Figaro
18-07-2025
- Science
- Le Figaro
Au brevet, un taux de réussite qui monte en flèche et un record de mentions
Les derniers résultats du brevet tombent ce jeudi 10 juillet dans plusieurs académies, comme Lyon, Aix-Marseille, ou Nantes. Cette année, la plupart des 865.881 candidats inscrits aux épreuves décrocheront leur examen, et avec mention. Concernant le taux de réussite, les premières tendances devraient tomber en fin de semaine, quand tous les résultats auront été publiés. Une baisse historique avait été enregistrée l'année dernière, avec un taux de réussite de 85,6%, soit une chute de 3,5 points par rapport à 2023. Pour cause Gabriel Attal, alors ministre de l'Éducation nationale, avait reconnu le gonflage artificiel des notes et annoncé mettre fin à ces méthodes. Si le taux de réussite 2025 est comparable à celui de l'année dernière, cela signifie que ce changement voulu par l'ancien résident de la rue de Grenelle a été entériné par ses successeurs. Mais en prenant un peu de hauteur, que nous enseignent les chiffres du brevet de ces dernières décennies ? Aujourd'hui, comme pour le bac, tout le monde ou presque réussit l'examen. Ainsi, de 1990 à 2024, le taux de réussite au brevet est passé de 73% à 85,6%, soit une hausse de plus de 12 points. Un chiffre d'autant plus étonnant que le (mauvais) niveau des élèves français fait régulièrement l'actualité. En 2020, l'année du Covid, le taux de réussite dépasse même la barre des 90% ! Quand moins de trois candidats sur quatre obtenaient le précieux sésame trente ans plus tôt. Parmi les causes de cette inflation, la prise en compte à partir de 2017 de «l'évaluation des compétences du socle commun» en lieu et place du contrôle continu. En clair, avant 2017, la moitié de la note du brevet dépendait des notes obtenues pendant l'année. Aujourd'hui, ces 50% de la note finale dépendent d'une évaluation des professeurs qui sanctionne l'acquisition de compétences globales indépendamment des notes obtenues pendant l'année. Ces méthodes pourraient-elles avoir poussé les professeurs à surévaluer leurs élèves et à faire grimper le taux de réussite ? Difficile à affirmer, dans la mesure où le taux de réussite rencontre un pic en 2017 (89,2%) avant une trajectoire en dents de scie jusqu'en 2024. Par ailleurs, il ressort que la réussite au brevet est plutôt homogène sur l'ensemble du territoire métropolitain. En 2024, mention spéciale aux territoires à forte identité régionale, puisque les Corses, les Bretons, ou les Vendéens ont réussi à plus de 90%. Sans oublier la Haute-Loire, la Lozère, l'Aveyron, le Lot, les Landes et les Pyrénées-Atlantiques qui affichent eux aussi les meilleurs résultats, toutes filières confondues. Si l'on s'en tient à l'évolution du taux de mentions, force est de constater que la mention est devenue la règle. En effet, si de 2013 à 2024, le taux de réussite est globalement stable (autour de 85%), le taux de mentions est, lui, passé d'environ 50% à plus de 70%. Pour cause notamment, la part des deux mentions les plus prestigieuses a augmenté. Celle des mentions «très bien», par exemple, a plus que doublé : d'environ 10% en 2013, elle est de plus de 25% en 2024. À noter que la mention «très bien avec félicitations du jury» est une innovation du brevet 2025. Dans le même temps, la part des brevetés sans mention a diminué. Environ un tiers des collégiens étaient dans ce cas en 2013 ; ils ne sont moins d'un sur cinq en 2024. Enfin, les candidats issus de milieux «très favorisés» et «favorisés» obtiennent à plus de 90% leur brevet depuis 2018. À l'inverse, ce taux peine à franchir la barre des 80% pour les collégiens défavorisés et tourne autour des 90% pour les élèves de classe moyenne.


Le Figaro
11-07-2025
- Politics
- Le Figaro
Circulaire Darmanin : la comparution immédiate doit être privilégiée en cas «d'actes graves»
Réservé aux abonnés RÉCIT - Le ministre de la Justice oscille entre fermeté affichée et communication nécessaire pour éviter un procès en laxisme. On ne l'y reprendra pas. Gérald Darmanin avait dû avaler bien des critiques lors des débordements qui avaient suivi la finale de la Coupe des Champions, le 31 mai dernier. Il s'était insurgé contre des décisions de justice que beaucoup avaient alors trouvées insuffisantes au regard des violences et exactions commises, largement relayées par les chaînes d'info et les réseaux sociaux. Cette fois-ci, le garde des Sceaux a pris les devants : il a publié, jeudi, à l'usage des parquets, une circulaire qui exige la fermeté dans la réponse pénale à apporter en cas d'exactions « graves » pendant le 14 Juillet. « En cas de commission d'actes graves, la voie du défèrement, aux fins de comparution immédiate ou à délai différé ou, le cas échéant, de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, devra être privilégiée », demande-t-il aux parquets. Insuffisance des preuves Nonobstant la surpopulation carcérale qui l'inquiète beaucoup, le ministre de la Justice affiche l'intransigeance : « Le prononcé…