
Bruno Retailleau ne voit «pas de raison de quitter le gouvernement» malgré des tensions avec Emmanuel Macron
Sa place n'est pas à prendre. Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau «ne voit pas de raison de quitter» le gouvernement même s'il «n'abdiquera pas ses convictions» après la polémique créée par ses attaques contre le chef de l'État dans une interview à Valeurs Actuelles . «Tant que les décisions (du gouvernement) sont conformes à l'intérêt national, conformes à mes convictions, il n'y a pas de raison que je quitte le gouvernement», a déclaré jeudi le locataire de Beauvau en marge d'un déplacement dans un commissariat.
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Rumeur d'attouchements sur des bébés noirs : l'hôpital de Montreuil dément et engage des poursuites
La rumeur s'est propagée si vite qu'elle a contraint la direction de l'hôpital de Montreuil à la démentir dans les heures qui ont suivi. Ce mercredi, une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux Instagram et TikTok rapportait des faits de maltraitance et d'agressions sexuelles sur des bébés « dans un hôpital situé en Seine-Saint-Denis ». Un homme et une femme, qui travailleraient dans cet établissement, y sont accusés de divers abus sur des nourrissons. Certains actes auraient été filmés et diffusés sur les plateformes Snapchat et Telegram. Dans une autre vidéo, un homme précise que les victimes seraient « des enfants noirs ». « On a les messages, on a leurs photos, lance-t-il face caméra. Il est temps maintenant qu'on se déplace pour faire la justice de la rue. »


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«Sale juif», «sale race» : À Nice, l'auteur des injures antisémites en marge d'un rassemblement propalestinien rattrapé par la justice
Le parquet de Nice a annoncé jeudi le renvoi en correctionnelle d'un Niçois de 47 ans, qui s'était filmé proférant des propos haineux sur la promenade des Anglais le 22 juillet. Une semaine après la diffusion d'une vidéo sur les réseaux sociaux montrant un individu hurlant des insultes antisémites et homophobes sur la promenade des Anglais, la justice accélère. Selon un communiqué transmis jeudi par le parquet de Nice, l'auteur présumé des injures, un Niçois né en 1978, a été présenté dans la matinée devant le magistrat du parquet en vue d'une convocation par procès-verbal. Il sera jugé le 6 novembre prochain pour des faits «d'injures publiques à raison de la religion» et «d'injures publiques à raison de l'orientation sexuelle», des délits passibles d'un an de prison et de 45.000 euros d'amende. Se sachant activement recherché, l'intéressé s'est présenté de lui-même au commissariat mardi matin. Il a immédiatement été placé en garde à vue. Déjà condamné par le passé - la dernière fois en 2007, notamment pour des délits routiers -, il a reconnu les propos tenus dans la vidéo, tout en disant les «regretter». Il affirme avoir réagi à des propos racistes supposément tenus par un joggeur qu'il aurait croisé. Publicité À ce jour, la personne visée par les insultes n'a pas été identifiée et n'a pas déposé plainte. Les investigations ont permis de confirmer l'existence d'une altercation entre le prévenu et la victime des injures, sans toutefois pouvoir déterminer avec certitude la teneur des propos échangés ni les circonstances précises du différend. Le parquet précise par ailleurs que si un rassemblement de soutien aux Palestiniens se tenait à proximité du lieu des faits, l'homme mis en cause n'y participait pas et n'entretenait aucun lien avec celui-ci. Vague d'indignation La séquence, filmée le 23 juillet dernier sur «la Prom», avait provoqué une vague d'indignation sur la Côte d'Azur. On y entend l'individu vociférer des propos d'une extrême violence : «Sale juif», «Sale race», «Cours pédé», «Fils de p***». Une haine décomplexée qui a aussitôt suscité la réaction des autorités. Le maire (Horizons) de Nice Christian Estrosi avait dénoncé un «déchaînement de haine antisémite et homophobe», appelant le préfet à interdire les rassemblements autour du drapeau palestinien, devenu selon lui «l'étendard de l'islamofascisme». Plusieurs structures, dont le Crif, la Licra et la mairie de Nice, avaient dans la foulée déposé plainte. Le procureur de la République Damien Martinelli, saisi dès le lendemain des faits, avait ouvert une enquête pour «injure publique» et «provocation à la haine», confiée à la direction interdépartementale de la police nationale (DIPN). Dans l'attente de son procès, le parquet a requis le placement sous contrôle judiciaire du prévenu, avec plusieurs obligations : travail, pointage régulier au commissariat et participation à un stage de citoyenneté «visant à lutter contre les racismes, l'antisémitisme et les discriminations», animé par la Fondation du camp des Milles.


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