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L'écart de revenu a atteint un niveau record au premier trimestre
L'écart de revenu a atteint un niveau record au premier trimestre

La Presse

timean hour ago

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L'écart de revenu a atteint un niveau record au premier trimestre

Les ménages les 20 % les plus pauvres ont connu la plus faible croissance de leur revenu disponible au premier trimestre, soit 3,2 % par rapport à l'année précédente, leur salaire moyen ayant légèrement diminué de 0,7 %. (Ottawa) Statistique Canada indique mercredi que l'écart de revenu entre les ménages les plus riches et les ménages les plus pauvres du pays a atteint un niveau record au premier trimestre de 2025. La Presse Canadienne Selon les données de l'organisme fédéral, l'écart de la part du revenu disponible des ménages entre les 40 % les plus riches et les 40 % les plus pauvres s'est creusé à 49 points de pourcentage au cours des trois premiers mois de l'année. Cet écart a grimpé chaque année depuis le début de la pandémie de COVID-19, affirme Statistique Canada. Pour le premier trimestre de 2025, l'augmentation est survenue alors que les ménages les plus riches ont profité des placements, tandis que les ménages les plus pauvres ont vu leurs salaires diminuer. Les ménages les 20 % les plus pauvres ont connu la plus faible croissance de leur revenu disponible au premier trimestre, soit 3,2 % par rapport à l'année précédente, leur salaire moyen ayant légèrement diminué de 0,7 %. Le revenu disponible moyen des personnes appartenant aux 20 % les plus riches a augmenté au rythme le plus rapide de toutes les tranches de revenu au premier trimestre de 2025, bénéficiant d'une hausse de 7,7 % par rapport à l'année précédente.

Les recettes des impôts locaux ont augmenté de plus de 3 milliards l'an dernier
Les recettes des impôts locaux ont augmenté de plus de 3 milliards l'an dernier

Le Figaro

time5 days ago

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Les recettes des impôts locaux ont augmenté de plus de 3 milliards l'an dernier

En tout, les collectivités territoriales ont reçu 68,5 milliards d'euros de leurs contribuables en 2024. Alors que les propriétaires ont achevé il y a quelques jours de remplir leur déclaration de biens immobiliers à l'administration, on connaît désormais le montant de la « facture fiscale » dont se sont acquittés les ménages et les entreprises au profit de leur commune, de leur département et des autres régions en 2024. Au total, les collectivités territoriales ont reçu 68,5 milliards d'euros de recettes directes grâce aux impôts locaux, selon un rapport publié ce vendredi par la Direction générale des collectivités locales. Ce chiffre enregistre ainsi une hausse de 5 % (+3,2 milliards d'euros) sur un an, après une baisse de 3,2 % enregistrée entre 2022 et 2023. En valeur, ce sont les ménages qui ont le plus contribué à cette hausse. En effet, les taxes locales qui pèsent sur eux représentent une large part du total : 47,9 milliards d'euros en 2024, en progression de 4,8 %. Depuis 2023, année qui a marqué la finalisation de la suppression de la taxe d'habitation pour les résidences principales, la taxe foncière constitue la taxe locale la plus importante (61 % des recettes directes). En 2024, elle a rapporté 41,9 milliards aux élus qui la perçoivent, ce qui correspond à une augmentation de 5,3 % sur un an. À lire aussi Ces villes qui parviennent à faire baisser les impôts locaux Publicité Cet alourdissement de la «facture» pour les propriétaires est, bien sûr, en partie dû aux choix des maires eux-mêmes, qui peuvent faire varier le taux de taxe foncière sur leur territoire. Mais, selon le rapport, ces choix politiques ont beaucoup moins contribué à la hausse que l'évolution des « bases locatives ». Ces bases, qui servent à calculer le montant de la taxe foncière, sont normalement revalorisées chaque année en fonction de l'inflation. L'année dernière, elles ont ainsi connu une hausse de 3,9 %. En 2025, en raison du ralentissement de la dynamique des prix, l'augmentation des bases ne sera « que » de 1,7 %. En 2026, elle pourrait même être égale à zéro. Non pas du fait de l'inflation, mais parce que le gouvernement, en quête d'économies, pourrait choisir, comme l'ont proposé certains sénateurs, de geler en partie cette recette pour contraindre les maires à couper dans leurs dépenses. Du côté des entreprises, après une chute en 2023 due à une baisse de la CVAE - une taxe locale sur les entreprises -, le poids des impôts locaux progresse également avec +5,8 % sur l'année, portant le produit de 10,4 milliards d'euros à 10,9 milliards d'euros pour les collectivités. À noter qu'en plus des recettes des impôts locaux qu'elles perçoivent directement, les collectivités reçoivent également une fraction des produits de la TVA. En 2024, ce transfert représentait en tout 40 % de leurs recettes, soit un peu moins de 50 milliards d'euros.

Chambres vides, grandes surfaces… Un quart des ménages vivent dans un logement sous-occupé
Chambres vides, grandes surfaces… Un quart des ménages vivent dans un logement sous-occupé

Le Parisien

time09-07-2025

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Chambres vides, grandes surfaces… Un quart des ménages vivent dans un logement sous-occupé

Des chambres qui restent vides après le départ des enfants, des surfaces importantes… Selon une étude de l'Insee publiée mardi, un quart des ménages français vivent dans un logement considéré comme largement sous-occupé, c'est-à-dire avec au moins trois pièces de plus que nécessaire. Ce phénomène concerne 7,6 millions de résidences principales, qui sont pour 93 % des maisons individuelles. Trois quarts de ces logements largement sous-occupés ont une superficie d'au moins 100 m². Alors que les Français peinent à se loger dans de nombreuses villes et zones tendues, l'Insee calcule ainsi que 41 % des maisons et 4 % des appartements sont largement sous-occupés. Les habitants de ces résidences principales en partie vides sont majoritairement des personnes âgées de 60 ans et plus et occupant ce logement depuis plus de vingt ans. « Leurs logements ont pu devenir trop grands avec le départ des enfants du domicile familial », analyse l'Insee. Le taux de résidences principales largement sous-occupées est passé de 22 % en 2006 à 25 % en 2022, affirme l'institut qui lie cette évolution au vieillissement de la population. « Parmi les ménages en activité, les agriculteurs, qui vivent presque exclusivement en maison individuelle, sont les plus concernés par la sous-occupation très accentuée (44 %) », explique l'Insee dans son étude. « Pour les autres, le taux va de 16 % pour les ouvriers et les employés, à 27 % pour les cadres et 28 % pour les artisans, commerçants et chefs d'entreprise. Sur le champ des maisons individuelles, celles habitées par des cadres sont encore plus souvent largement sous-occupées que celles habitées par des agriculteurs », détaille l'institut de statistiques. La Bretagne est la région la plus concernée par la sous-occupation, où près de la moitié des logements disposent d'au moins cinq pièces , note l'Insee, qui ajoute que la sous-occupation est plus répandue dans les couronnes des villes. Seuls 36 % des ménages habitant un logement largement sous-occupé considèrent que le nombre de pièces est effectivement supérieur à leurs besoins et une très large majorité d'entre eux est satisfaite de leurs conditions de logement. Uniquement 9 % souhaitent déménager. L'Insee définit une résidence principale largement sous-occupée comme un logement comportant au moins cinq pièces d'habitation pour une personne seule ou un couple sans enfant, six pièces pour ménages avec un enfant.

«Sans le crédit d'impôt, je n'en ai plus les moyens» : ces Français inquiets d'un coup de rabot sur l'emploi à domicile
«Sans le crédit d'impôt, je n'en ai plus les moyens» : ces Français inquiets d'un coup de rabot sur l'emploi à domicile

Le Figaro

time09-07-2025

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«Sans le crédit d'impôt, je n'en ai plus les moyens» : ces Français inquiets d'un coup de rabot sur l'emploi à domicile

Réservé aux abonnés TÉMOIGNAGES - Bercy réfléchit à réduire cette niche fiscale dont bénéficient plus de 4 millions de foyers par an. Si la garde d'enfants et l'accompagnement des personnes âgées ne devraient pas être pas concernés, les plans de l'exécutif font douter de nombreux ménages. «Je suis très remonté (...) Ils ne peuvent pas changer ces règles du jour au lendemain sans préavis, c'est honteux», lâche Victor. Ce trentenaire parisien voit avec méfiance, voire colère, la piste examinée par le gouvernement d'un remaniement du crédit d'impôt lié à l'emploi à domicile. Une perspective inquiétante, pour ce père de deux bambins, qui fait travailler chez lui une jeune femme pour garder ses enfants et faire le ménage. Un soutien indispensable à la reprise du travail de son épouse après son congé maternité, et dont la famille devrait se passer si elle n'était pas aidée financièrement. «Les gens rentrent ça dans leur équation financière, si l'État retire ses aides, ça ne passe plus», dénonce-t-il, inquiet de voir la facture s'envoler.

Un quart des ménages vivent dans un logement largement sous-occupé, selon une étude de l'Insee
Un quart des ménages vivent dans un logement largement sous-occupé, selon une étude de l'Insee

Le Figaro

time08-07-2025

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Un quart des ménages vivent dans un logement largement sous-occupé, selon une étude de l'Insee

Les habitants de ces résidences principales en partie vides sont majoritairement des personnes âgées de 60 ans et plus et occupant ce logement depuis plus de vingt ans. Des chambres qui restent vides après le départ des enfants : un quart des ménages français vivent dans un logement considéré comme largement sous-occupé, c'est-à-dire avec au moins trois pièces de plus que nécessaire, selon une étude de l'Insee parue mardi. Ce phénomène concerne 7,6 millions de résidences principales, qui sont pour 93% des maisons individuelles. Trois quarts de ces logements largement sous-occupés ont une superficie d'au moins 100 m². Alors que les Français peinent à se loger dans de nombreuses villes et zones tendues, l'Insee calcule ainsi que 41% des maisons et 4% des appartements sont largement sous-occupés. Les habitants de ces résidences principales en partie vides sont majoritairement des personnes âgées de 60 ans et plus et occupant ce logement depuis plus de vingt ans. «Leurs logements ont pu devenir trop grands avec le départ des enfants du domicile familial», analyse l'Insee. Publicité Le taux de résidences principales largement sous-occupées est passé de 22% en 2006 à 25% en 2022, affirme l'institut qui lie cette évolution au vieillissement de la population. «Parmi les ménages en activité, les agriculteurs, qui vivent presque exclusivement en maison individuelle, sont les plus concernés par la sous-occupation très accentuée (44%)», explique l'Insee dans son étude. La Bretagne en haut du podium «Pour les autres, le taux va de 16% pour les ouvriers et les employés, à 27% pour les cadres et 28% pour les artisans, commerçants et chefs d'entreprise. Sur le champ des maisons individuelles, celles habitées par des cadres sont encore plus souvent largement sous-occupées que celles habitées par des agriculteurs», détaille l'institut de statistiques. La Bretagne est la région la plus concernée par la sous-occupation, où près de la moitié des logements disposent d'au moins cinq pièces, note l'Insee, qui ajoute que la sous-occupation est plus répandue dans les couronnes des villes. Seulement 36% des ménages habitant un logement largement sous-occupé considèrent que le nombre de pièces est effectivement supérieur à leurs besoins et une très large majorité d'entre eux est satisfaite de leurs conditions de logement. Uniquement 9% souhaitent déménager. L'Insee définit une résidence principale largement sous-occupée comme un logement comportant au moins cinq pièces d'habitation pour une personne seule ou un couple sans enfant, six pièces pour ménages avec un enfant, etc.

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