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L'OPEP+ augmentera sa production de pétrole de 548 000 barils par jour
L'OPEP+ augmentera sa production de pétrole de 548 000 barils par jour

La Presse

timea day ago

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L'OPEP+ augmentera sa production de pétrole de 548 000 barils par jour

Les nouvelles mesures sont conformes à la décision prise en décembre de reporter la hausse de la production, mais de l'augmenter progressivement de 2,2 millions de barils par jour sur une période de 18 mois commençant en avril. (New York) Huit membres de l'alliance OPEP+, qui regroupe les pays exportateurs de pétrole, ont annoncé une augmentation de leur production de 548 000 barils par jour en août, une décision susceptible de réduire encore les prix du gaz cette année. Associated Press Le groupe, qui comprend l'Arabie saoudite et la Russie, a pris cette décision lors d'une réunion virtuelle samedi. Ils ont évoqué des « perspectives économiques mondiales stables » et de faibles stocks de pétrole. Les prix du pétrole ont fortement grimpé le mois dernier lors du conflit sanglant de 12 jours entre Israël et l'Iran, avant de retomber lorsque les États-Unis ont contribué à la négociation d'un accord de paix après le bombardement de trois sites nucléaires iraniens clés. L'Arabie saoudite exerce une influence significative au sein de l'OPEP+ en tant que membre dominant du cartel des producteurs de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). La Russie est le leader non membre de l'OPEP parmi les 22 pays de l'alliance. Outre l'Arabie saoudite et la Russie, le groupe qui s'est réuni samedi est composé de l'Irak, des Émirats arabes unis, du Koweït, du Kazakhstan, de l'Algérie et d'Oman. Les nouvelles mesures sont conformes à la décision prise en décembre de reporter la hausse de la production, mais de l'augmenter progressivement de 2,2 millions de barils par jour sur une période de 18 mois commençant en avril et se terminant à l'automne 2026, selon un communiqué. Ce retard reflète une demande plus faible que prévu et une production concurrente des pays non alliés.

Pétrole: L'Opep+ se dirige vers une nouvelle hausse importante de production
Pétrole: L'Opep+ se dirige vers une nouvelle hausse importante de production

Le Figaro

time2 days ago

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Pétrole: L'Opep+ se dirige vers une nouvelle hausse importante de production

Ryad, Moscou et six autres producteurs de pétrole de l'Opep+ se réunissent samedi avec à la clé une très probable nouvelle hausse des quotas de production pour le mois d'août. Depuis avril, ils «se concentrent davantage sur la reconquête des parts de marché que sur la stabilité des cours», souligne Ole Hansen de Saxo Bank qui, à l'instar de nombreux analystes, table sur «une augmentation de 411.000 barils par jour». Si elle se concrétise, ce serait la quatrième hausse consécutive après celles des mois de mai, juin et juillet qui ont marqué un changement de stratégie de la part de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses alliés. Publicité Afin de lutter contre l'érosion des prix, le groupe procédait depuis fin 2022 à une raréfaction de l'offre via plusieurs coupes de production. C'est l'une d'elles, de 2,2 millions de barils par jour consentie par l'Arabie saoudite, la Russie, l'Irak, les Émirats arabes unis, le Koweït, le Kazakhstan, l'Algérie et Oman qui est actuellement réintroduite sur le marché. Ces derniers mois, le cartel semble ainsi avoir fait le deuil de son objectif de cours autour de 80 euros. Le baril de Brent, qui s'échangeait autour des 75 dollars en début d'année, s'affiche désormais entre 65 et 70 dollars. Faire respecter les quotas L'Opep+ mettra en avant «la faiblesse des stocks et la solidité de la demande pour expliquer l'accélération de la production», selon Giovanni Staunovo d'UBS. Mais le non-respect des quotas de la part de certains pays membres, comme le Kazakhstan et l'Irak, «constitue un facteur de soutien à la décision», précise l'analyste à l'AFP. En ouvrant les vannes, l'Arabie saoudite, qui est le pays dont la voix compte le plus au sein du cartel, mettrait en fait la pression sur les membres qui dépassent leurs objectifs de production en faisant fondre les profits et en limitant la capacité de certains membres à produire plus que leurs quotas. Par conséquent, une hausse de 411.000 barils devrait en réalité ajouter «autour de 250.000 ou 300.000 barils par jour», chiffre Jorge Leon, chez Rystad Energy. En mai, selon une estimation de Bloomberg, la production du cartel n'a de fait augmenté que de 200.000 barils. Pas d'effet Iran Entre ce volume limité et le fait que la décision a été largement anticipée par le marché pétrolier, «les prix devraient se maintenir autour des niveaux actuels» même avec une nouvelle augmentation des quotas, estime M. Staunovo. Par ailleurs, en juin, la guerre de 12 jours entre l'Iran et Israël a bousculé l'or noir, faisant grimper brièvement le Brent au-delà de 80 dollars car le marché craignait une rupture d'approvisionnement en provenance du détroit d'Ormuz par lequel transite 20% du pétrole brut mondial. Une menace qui ne s'est finalement pas concrétisée. À la rigueur, la guerre conforterait plutôt l'Opep+ dans sa décision de procéder à l'augmentation de la production dans le cas improbable où la capacité de production et d'exportation de l'Iran serait perturbée", explique M. Hansen.

Vers une production céréalière mondiale record en 2025, selon la FAO
Vers une production céréalière mondiale record en 2025, selon la FAO

Le Figaro

time2 days ago

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Vers une production céréalière mondiale record en 2025, selon la FAO

La production mondiale de céréales pourrait atteindre 2,925 milliards de tonnes en 2025, un niveau record porté par les bonnes perspectives de rendement du maïs, du riz et du blé, selon un rapport de la FAO publié vendredi. «La production mondiale de céréales devrait atteindre un niveau record» cette année, en hausse de 2,3% par rapport à 2024, notamment du fait de «l'amélioration des perspectives pour le blé, le maïs et le riz», les trois principales céréales consommées dans le monde, selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). La production de blé, la céréale du pain, devrait atteindre «805,3 millions de tonnes (+0,9% sur un an), grâce à des rendements plus élevés que prévu en Inde et au Pakistan», de gros pays consommateurs. La production mondiale de maïs devrait également augmenter, «grâce à des conditions favorables au Brésil et à une superficie semée plus importante que prévu en Inde, compensant les réductions en Ukraine et dans l'Union européenne dues à un temps sec et à une diminution des surfaces emblavées», selon le rapport. Publicité Au total, la production de céréales dites «secondaires», comprenant maïs, orge et sorgho, est estimée à 1,564 milliard de tonnes, soit une augmentation de 3,5% par rapport à 2024. La production mondiale de riz devrait quant à elle atteindre «le niveau record de 555,6 millions de tonnes (+1%), grâce à l'amélioration des perspectives en Inde, au Bangladesh, au Pakistan et au Vietnam, et malgré les baisses attendues en Irak et aux États-Unis». L'agence onusienne prévient toutefois que «les prévisions de temps chaud et sec dans certaines régions productrices clés pourraient avoir un impact sur le potentiel de rendement, en particulier pour le maïs». À lire aussi Sous pression du Nutri-Score, Nestlé revoit la recette de ses céréales les plus vendues Viandes et huiles en hausse La FAO estime que l'utilisation globale des céréales (alimentation, chimie, carburants...) va aussi légèrement augmenter (+0,8%), notamment celle des céréales secondaires - au détriment du blé - et du riz. Plus particulièrement, «la consommation de riz devrait encore augmenter, stimulée par la hausse de la demande alimentaire et la production soutenue d'éthanol en Inde». Par ailleurs, la FAO constate une «légère augmentation» des prix des denrées alimentaires dans le monde en juin, tirés par une augmentation de ceux de la viande, des produits laitiers et des huiles végétales. L'indice mensuel des prix calculé par l'agence onusienne, qui suit la variation des prix internationaux d'un panier de produits de base, a augmenté de 0,5% en juin par rapport à mai. Par rapport à leur niveau de juin 2024, les prix alimentaires ont augmenté de 5,8% pour cent, mais restaient «bien en deçà du pic de mars 2022», consécutif à l'invasion russe de l'Ukraine. En juin 2025, la baisse des prix des céréales (-1,5%) et du sucre (-5,2%) a été largement compensée par la hausse des prix de la viande, des produits laitiers et des huiles végétales. En hausse de 2,1%, le prix de la viande a atteint «un nouveau record historique», toutes les viandes voyant leur coût augmenter à l'exception de la volaille, qui continue à baisser. Les produits laitiers ont eux légèrement augmenté (+0,5%), portés par un nouveau recours des prix du beurre, «en raison d'une tension sur les approvisionnements en Océanie et dans l'UE, conjuguée à une demande toujours forte en Asie». Les prix des huiles végétales, en nette augmentation (+2,3%), ont été notamment tirés en juin par ceux de l'huile de palme, qui ont grimpé de près de 5% dans un contexte de forte demande mondiale.

Fruits d'été véreux ou abîmés ? Voici comment éviter les mauvaises récoltes !
Fruits d'été véreux ou abîmés ? Voici comment éviter les mauvaises récoltes !

Le Parisien

time2 days ago

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Fruits d'été véreux ou abîmés ? Voici comment éviter les mauvaises récoltes !

Les fruits d'été sont particulièrement sensibles, leur peau fine est vulnérable aux chocs et peut facilement se fendre à cause d'un excès d'eau ou de chaleur. À cela s'ajoute la pression des ravageurs (guêpes, mouches, vers) et la possible surmaturité, le risque de pourriture est grand et la conservation compromise. Un fruit récolté à point, voire légèrement ferme, a bien moins de risques d'être abîmé. La couleur reste le meilleur indicateur pour identifier un fruit prêt pour la récolte. En vérifiant également le parfum, la souplesse de la chair ou encore la facilité avec laquelle le fruit se détache de l'arbre, vous ne devriez pas vous tromper. Vous pouvez également vous fier aux périodes optimales de récolte : Ce calendrier reste toutefois indicatif, car chaque variété, chaque terroir et chaque année peuvent légèrement décaler les dates. Une fois le fruit piqué, il est trop tard. La meilleure solution reste donc d'éloigner les insectes nuisibles dès la fin du printemps. L'entretien de l'arbre fruitier influe directement sur sa production. Un arbre stressé donne des fruits fragiles, plus sensibles aux maladies et aux attaques. En période estivale, les fruits mûrissent très vite, d'autant plus s'il fait chaud et humide. Il est important de surveiller et de récolter chaque jour , en utilisant un panier plutôt qu'un contenant mou afin de ne pas tasser les fruits. Allez-y en douceur, sans secouer les branches, ni tirer : un fruit mûr se détache aisément avec son pédoncule. Il suffit de le saisir dans la paume de la main et de le faire tourner délicatement. Si le pédoncule reste sur l'arbre, le fruit, privé de ce lien naturel, se déshydrate plus vite et pourrit rapidement. Une fois la récolte terminée, mettez de côté tous les fruits marqués (fissure, tache suspecte, ramollissement). Ils dégagent de l'éthylène qui accélère le mûrissement et cause la dégradation prématurée des fruits sains tout autour. Les fruits abîmés ne se garderont pas longtemps, destinez-les à une consommation ou une transformation rapide (confiture, coulis, compote, gâteaux). Déposez les fruits intacts dans des cagettes tapissées de papier journal, en une seule couche. Stockez-les dans une pièce fraîche et bien aérée.

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