Dernières actualités avec #puncheurs


L'Équipe
2 days ago
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La 7e étape du Tour de France 2025, « une belle occasion » pour Romain Grégoire, puncheur de la Groupama-FDJ
Toujours bien placé dans les arrivées pour puncheurs depuis le début du Tour de France 2025, Romain Grégoire espère bien avoir un rôle à jouer ce vendredi lors de la 7e étape. Le jeune Français de l'équipe Groupama-FDJ sera l'un des outsiders du jour entre Saint-Malo et Mûr-de-Bretagne. Romain Grégoire (Groupama-FDJ), avant le départ de la 7e étape du Tour de France 2025 entre Saint-Malo et Mûr-de-Bretagne : « Je suis forcément un peu fatigué après l'étape d'hier (jeudi, entre Bayeux et Vire Normandie), ça a été exigeant, vu que du départ à l'arrivée, on a roulé à fond. J'avais un peu mal aux pattes hier soir mais je suis quand même motivé pour aujourd'hui (ce vendredi). Je ne l'ai pas spécialement cochée plus qu'hier ; après hier, je n'ai pas réussi à prendre l'échappée mais c'est sûr qu'il reste une belle occasion aujourd'hui. Je ne connais pas l'arrivée à Mûr-de-Bretagne mais ça a l'air d'être une belle arrivée pour puncheurs. C'est une arrivée exigeante avec de forts pourcentages au pied et la pente qui s'adoucit un peu en haut, mais c'est quand même un effort de 4 minutes donc vraiment une arrivée de puncheurs par excellence. »


Le Parisien
2 days ago
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Tour de France : à quelle heure, sur quelle chaîne TV voir la 7e étape Saint-Malo - Mûr-de-Bretagne ?
Les baroudeurs auront encore la part belle, ce vendredi. Au lendemain d'un tracé Bayeux-Vire Normandie casse-pattes, cette 7e étape du Tour de France 2025 aura encore de quoi régaler les puncheurs dans les Côtes-d'Armor. Au programme : un départ de Saint-Malo, une première depuis douze ans, et une arrivée au sommet de l'incontournable Alpe-d'Huez bretonne, à 292 mètres d'altitude. Après un tracé relativement plat, c'est dans la côte du Menez Hiez (2 km à 6,9%, pentes à 15%) que tout se jouera pour le peloton. L'arrivée prévisionnelle, au bout des 197 kilomètres à avaler, est planifiée pour 16h39. La 7e étape Saint-Malo - Mûr-de-Bretagne Guerlédan ce vendredi 11 juillet sera à suivre à partir de 12h10 (départ fictif) sur les antennes de France Télévisions (France 2 et France 3) et Eurosport 1 ainsi qu'en direct commenté sur notre site

L'Équipe
2 days ago
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À Mûr-de-Bretagne, la promesse d'un troisième duel entre Van der Poel et Pogacar
Sur la 7e étape du Tour de France, Mathieu Van der Poel et Tadej Pogacar se retrouvent ce vendredi pour un troisième duel de puncheurs, cette fois au sommet de Mûr-de-Bretagne. Le raid entre costauds poinçonné par Mathieu Van der Poel, jeudi, dans le mini Liège-Bastogne-Liège normand n'est pas une invitation au duel parfait avec Tadej Pogacar, ce vendredi à Mûr-de-Bretagne. Dommage, car la double ascension du raidard breton (2 km à 6,9 %) était l'endroit rêvé pour une explication entre les deux meilleurs puncheurs du peloton. Elle avait eu lieu jusque-là sur les Monuments et les classiques du printemps, mais ce Tour de France les réunit au sommet des bosses. À Boulogne-sur-Mer (Van der Poel 1er, Pogacar 2e), à Rouen (Pogacar 1er, Van der Poel 2e), mais pas jeudi à Vire puisque Van der Poel avait pris la poudre d'escampette, et de nouveau ce vendredi. Puncheurs, ils se ressemblent autant qu'ils se différencient. Ce qui les réunit Leur terrain de jeu déjà, du Tour des Flandres à Paris-Roubaix, en passant par les étapes à final en bosse sur le Tour de France, ou même Liège-Bastogne-Liège ou l'Amstel Gold Race. « Ce sont deux coureurs avec un très gros punch qui sont avant tout des coureurs qui aiment l'offensive, passer à l'attaque. On les retrouve très souvent ensemble. Sur les efforts de deux ou trois minutes, ils sont très similaires », note Philippe Gilbert, un ancien puncheur d'exception. « Les deux ont de l'explosivité, de la puissance et de la résistance. Van der Poel est un puncheur qui sait sprinter, Pogacar un coureur complet qui sait être puncheur, c'est pour ça qu'ils sont à l'aise sur ce type d'arrivée », remarque Alexis Vuillermoz, qui avait gagné il y a dix ans à Mûr-de-Bretagne sur le Tour. Comme « MVDP » en 2021. Les deux possèdent un démarrage impressionnant - dans un style différent - capable de faire de gros dégâts pour les adversaires juste derrière. « Ils ont un sprint en résistance impressionnant », ajoute Gilbert, cinq Monuments au compteur, quatre Amstel Gold Race, une Flèche Wallonne ou encore un titre de champion du monde en 2012. « Visuellement, ils sont différents, mais ils ont une même grosse capacité d'accélération, analyse Vuillermoz. Il faut de la force pure pour rivaliser et ils l'ont. » Ce qui les éloigne Leur gabarit n'est pas comparable. Le Néerlandais (1,84 m, 75 kg) est puissant, vorace sur l'asphalte, quand Pogacar (1,76 m, 66 kg) est forcément plus aérien et léger, même s'il dégage une puissance de vrai puncheur. « C'est sur leurs qualités intrinsèques qu'ils vont se départager, sur ce qu'on appelle la durabilité, la capacité à tenir sur un effort long, observe Sébastien Joly, directeur de la stratégie chez Decathlon-AG2R La Mondiale. Sur une étape comme à Rouen, les mecs sont au seuil pendant une heure et, pour Pogacar, c'est comme s'il faisait un col très long. Lui garde encore de la fraîcheur pour prendre l'ascendant. » « Sa pointe de vitesse ne baisse pas, que ce soit après 180 kilomètres de course facile ou 6h30'de difficulté, pointe Gilbert à propos de Pogacar. « Mais une arrivée sèche, c'est avantage Van der Poel, car il pourra faire parler toute son explosivité sur un effort court », ajoute Joly. « Sur un sprint lancé, sa vitesse de pointe sera toujours meilleure, appuie Vuillermoz. C'est pour ça que Pogacar a besoin de faire rouler ses coéquipiers avant, pour durcir, rendre le final usant. Van der Poel va devoir déployer beaucoup d'énergie avant, et il sera forcément moins dispo pour sprinter. » Gilbert pointe une autre différence, à cause de l'expérience acquise ou non acquise sur les sprints : « Van der Poel, qui sprinte depuis très très longtemps, a toujours le braquet très juste pour un final de puncheur, alors que Pogacar, qui a l'habitude d'arriver seul pour la victoire, se fait parfois avoir sur les premières secondes du sprint, et souvent ça compte beaucoup. » À lire aussi Pogacar, des dégâts mais un Vingegaard toujours là Healy, une « méthode dans la folie » Une journée dans l'intimité de l'équipe Picnic-PostNL Une féroce bataille de Normandie et un début de renoncement ?


L'Équipe
2 days ago
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Tour de France 2025 : parcours, profil et horaire de la 7e étape entre Saint-Malo et Mûr-de-Bretagne Guerlédan
Place à la septième étape du Tour de France 2025, longue de 187 km, entre Saint-Malo et Mûr-de-Bretagne. Ce vendredi, les puncheurs devraient se livrer bataille au sommet de Mûr-de-Bretagne. Cette étape est longue de 187 km à travers l'Ille-et-Vilaine et les Côtes-d'Armor, avec un final taillé pour puncheurs. Le peloton rendra hommage à Bernard Hinault avec un passage à Calorguen, où il réside, au 51e kilomètre, puis à Yffiniac, son village natal. Cette étape rappelle aussi la performance de Mathieu Van der Poel, qui en 2021, avait levé les bras et pris le maillot jaune à Mûr-de-Bretagne. Vers la fin d'étape, les coureurs franchiront d'abord la côte du village de Mûr-de-Bretagne (1,6 km à 4,1 %), avant un premier passage sur la ligne d'arrivée, situé au sommet d'une montée plus raide (2 km à 6,9 %). S'en suivra un tour de circuit, avant une ultime ascension de cette même côte finale pour une arrivée jugée au sommet, au terme d'une ligne droite de 300 mètres. Le scénario pourrait sourire à un puncheur ou à une échappé solide si les favoris temporisent. Départ réel à 12h25, pour une arrivée prévue à 16h50 Le profil de la 7e étape :


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3 days ago
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Tour de France 2025 : parcours, profil et horaire de la 6e étape entre Bayeux et Vire Normandie
Sixième étape du Tour de France 2025, longue de 201,5 km entre Bayeux et Vire. Avec plus de 3 500 m de dénivelé, ce jeudi 10 juillet pourrait sourire aux puncheurs et baroudeurs costauds. Avec ses 201,5 km et 3 500 m de dénivelé, cette sixième étape est l'une des plus vallonnées de l'histoire récente du Tour pour un parcours de plaine. Après un départ à Bayeux, les coureurs traverseront le Bessin avant d'enchaîner les côtes dans la « Suisse normande » puis le bocage virois. Une étape usante, au profil proche d'une classique comme Liège-Bastogne-Liège, avec des ascensions plus courtes mais plus fréquentes. Ce type de terrain pourrait convenir à des baroudeurs ambitieux, mais les leaders du général auront aussi tout intérêt à rester aux avant-postes pour ne pas céder de précieuses secondes. Kévin Vauquelin, natif de la ville de Bayeux, pourrait être porté par l'envie de briller à domicile. L'arrivée se joue après une dernière montée raide (700m à 10,2 %, dont une rampe à 14 %), suivie d'une courte ligne droite finale de 100 mètres à vue, sur l'avenue d'Atlacomulco. Une conclusion explosive taillée pour puncheurs. Départ réel à 12h45, pour une arrivée prévue à 17h30 Le profil de la 6e étape :