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Tour de France 2025  : parcours, profil et horaire de la 6e étape entre Bayeux et Vire Normandie

Tour de France 2025 : parcours, profil et horaire de la 6e étape entre Bayeux et Vire Normandie

L'Équipe2 days ago
Sixième étape du Tour de France 2025, longue de 201,5 km entre Bayeux et Vire. Avec plus de 3 500 m de dénivelé, ce jeudi 10 juillet pourrait sourire aux puncheurs et baroudeurs costauds.
Avec ses 201,5 km et 3 500 m de dénivelé, cette sixième étape est l'une des plus vallonnées de l'histoire récente du Tour pour un parcours de plaine. Après un départ à Bayeux, les coureurs traverseront le Bessin avant d'enchaîner les côtes dans la « Suisse normande » puis le bocage virois. Une étape usante, au profil proche d'une classique comme Liège-Bastogne-Liège, avec des ascensions plus courtes mais plus fréquentes.
Ce type de terrain pourrait convenir à des baroudeurs ambitieux, mais les leaders du général auront aussi tout intérêt à rester aux avant-postes pour ne pas céder de précieuses secondes. Kévin Vauquelin, natif de la ville de Bayeux, pourrait être porté par l'envie de briller à domicile. L'arrivée se joue après une dernière montée raide (700m à 10,2 %, dont une rampe à 14 %), suivie d'une courte ligne droite finale de 100 mètres à vue, sur l'avenue d'Atlacomulco. Une conclusion explosive taillée pour puncheurs.
Départ réel à 12h45, pour une arrivée prévue à 17h30
Le profil de la 6e étape :
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Brillants sur les sprints longs comme celui attendu ce samedi à Laval, Tim Merlier et Jonathan Milan se distinguent par leur morphologie et leur discipline d'origine. L'explosivité et la finesse du cyclo crossman belge contrastent avec la brutalité et la résistance du pistard italien. Un pneu entre eux, un vélo avec le reste du monde. C'est la différence de niveau observée lundi sur la troisième étape du Tour de France entre Tim Merlier (Soudal-Quickstep), Jonathan Milan (Lidl-Trek) et les autres coureurs de leur espèce dans un sprint qui a testé leur puissance et leur résistance sur plus de 13 secondes. Avantage au Belge, pour l'instant, vainqueur face au vent du nord dunkerquois, mais un nouveau duel avec l'Italien se profile à Laval, ce samedi. L'arrivée de la 8e étape en faux plat montant favorisera encore les deux plus rapides du monde sur les longs sprints, une qualité qui les confond alors que tout le reste les oppose. À commencer par leur personnalité, Merlier le timide face au tempétueux Milan, et leur parcours : une consécration tardive pour le Belge de 32 ans quand l'Italien de 24 ans découvre le Tour en prodige attendu. Mais aussi leur train, leur morphologie, leur expérience en dehors de la route, et donc leurs qualités au sprint. Puissance : avantage au robuste Milan De loin le plus massif du peloton, Milan (Lidl-Trek) est un golgoth d'une autre époque. 1,96 m pour 87 kg, il dépasse en gabarit l'ancien sprinteur Marcel Kittel (1,88 m, 82 kg) et se rapproche de la puissance max de l'Allemand, aux alentours des 2000 watts. « Physiquement, il est actuellement celui qui peut fournir la plus grande puissance dans un sprint », évalue Erik Zabel (six maillots verts de 1996 à 2001). Une force générée par sa musculature impressionnante et un style brutal détonnant : dressé sur sa monture, le buste relevé et le regard à l'horizon, l'Italien secoue sa tête verticalement de façon spasmodique. Mais ce qu'il gagne en puissance, il le perd en coefficient de traînée. « Milan a vraiment besoin de son équipe pour le protéger parce qu'il est très costaud, il ne peut pas faire d'effort dans le vent, ça l'épuiserait », explique Kittel. Aérodynamisme : avantage au svelte Merlier Grand, mais élancé (1,88 m pour 76 kg), Merlier tranche avec l'allure de son rival. « Je le sous-estime encore parce que quand je le regarde... Il ne semble pas si musclé, il ne ressemble pas à un sprinteur, poursuit le vainqueur de 14 étapes du Tour de France. Pourtant, il est le plus rapide du monde. » Au-delà d'une surface frontale à son avantage, le sprinteur de l'équipe Soudal-QuickStep a une position plus aérodynamique, le dos à plat, les yeux sur son guidon. C'est sûrement ce qui a fait la différence sur la ligne à Dunkerque, en plus « du sens tactique qu'utilise Merlier depuis des années » (Kittel) : esseulé dans le final, le Belge a subi moins de vent en parvenant à prendre la roue de Milan avant de le dépasser. Le tout dans un timing idéal. Explosivité et technique : avantage au cyclo crossman Merlier « Il est très technique et il a une telle vista parce qu'il vient du cyclo-cross, analyse Steve Chainel, champion de France en 2018 de la discipline. C'est un sprinteur ''démerde'', qui se débrouille tout seul dans le final comme (Biniam) Girmay l'an dernier. » Le Belge tient aussi des labourés une explosivité exceptionnelle, qui lui permet justement de se servir de ses adversaires comme lanceurs avant de les déboîter. « Généralement, un sprinteur capable de lancer à 300 m et de maintenir une grosse puissance n'a pas le jump d'un (Robbie) McEwen ou (Caleb) Ewan, poursuit Chainel. Mais Merlier a ces deux qualités : il peut lancer de loin et mettre encore un coup de reins pour sauter quelqu'un sur la ligne. » Moteur : avantage au pistard Milan Milan n'a pas cette giclette mais compense par un « double kick », une deuxième accélération en milieu de sprint, propre à son très gros moteur. « Je n'ai jamais constaté de puissances aussi élevées sur quinze secondes ! racontait en juin Mattias Reck, son entraîneur, à Vélo Magazine. Sur douze oui, mais quinze, non. » Champion et recordman du monde de la poursuite, l'Italien excelle dans les sprints modernes grâce à ses qualités de pistard. « Maintenant, il y a de moins en moins de sprints faciles, explique Émilien Jeannière (TotalEnergies). À l'approche du final, on fait toujours des efforts à PMA (Puissance Maximale Aérobie). » Cette puissance moyenne développée sur 5 minutes est très élevée chez Milan, qui a aussi une grande durabilité, une résistance à la fatigue qui lui permet de conserver un haut niveau de puissance à l'arrivée d'une course en plaine très intense. Où cela peut parfois se jouer à un pneu près. À lire aussi Vauquelin, au près des grands Pogacar, maître du jaune Pogacar à l'économie «Vous êtes des fous furieux» : immersion au coeur du Mûr breton

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