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Législative partielle à Paris : « Je serai quoi qu'il arrive candidate »… Dati, prête à entrer en dissidence
Législative partielle à Paris : « Je serai quoi qu'il arrive candidate »… Dati, prête à entrer en dissidence

Le Parisien

timea day ago

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Législative partielle à Paris : « Je serai quoi qu'il arrive candidate »… Dati, prête à entrer en dissidence

Ira, ira pas ? Ces dernières heures, l'hypothèse d'un retrait de Rachida Dati de la bataille pour briguer la 2e circonscription de Paris circulait dans les états-majors de LR. Un retrait stratégique, pour laisser la place à Michel Barnier , lui aussi sur les rangs, et la garantie pour elle de pouvoir défendre sa propre candidature aux municipales de 2026 dans la capitale ? Il n'en est rien… Alors que la commission nationale d'investiture du parti (CNI) se réunit ce lundi 28 juillet, à partir de 17 heures, pour trancher sur cet épineux dossier, la ministre de la Culture et maire du VIIe arrondissement confie au Parisien - Aujourd'hui en France que, coûte que coûte, elle défendra ses chances dans la législative partielle programmée, au plus tard, début octobre, après l'invalidation des comptes de campagne du député sortant, Jean Lassuq (Renaissance).

Unesco, OMS, accord de Paris sur le climat…Visualisez les retraits des États-Unis des instances internationales
Unesco, OMS, accord de Paris sur le climat…Visualisez les retraits des États-Unis des instances internationales

Le Figaro

time22-07-2025

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Unesco, OMS, accord de Paris sur le climat…Visualisez les retraits des États-Unis des instances internationales

INFOGRAPHIE - Les États-Unis se retirent une nouvelle fois de l'Unesco, dernier épisode en date d'une série de ruptures avec les institutions internationales. Washington claque à nouveau la porte de l'Unesco. Les États-Unis ont annoncé, mardi 22 juillet, leur retrait de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture. Cette décision, officiellement motivée par des biais jugés «anti-israéliens», marque la deuxième sortie américaine de l'institution sous l'impulsion de Donald Trump, après un premier retrait en 2018 pour des raisons similaires. À l'époque, Israël avait quitté l'organisation au même moment, dénonçant également une ligne trop critique à son encontre. Cette nouvelle rupture s'ajoute à une longue liste de désengagements internationaux opérés par Washington sous l'administration Trump. Publicité Dès son arrivée à la Maison-Blanche en janvier 2025, le président Trump avait annoncé le retrait des États-Unis de l'accord de Paris sur le climat, conclu sous l'égide de l'ONU. Sous le premier mandat du républicain, le pays avait déjà quitté brièvement cet accord, avant que Joe Biden n'acte un retour. Ce traité majeur, signé par près de 200 pays, vise à limiter le réchauffement climatique en réduisant les émissions de gaz à effet de serre. Le retrait américain avait alors suscité une onde de choc mondiale, alignant les États-Unis sur une position commune à quelques rares pays comme l'Iran, la Libye ou le Yémen. En janvier dernier, c'est l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui est visée: quelques heures seulement après son investiture, lundi 20 janvier, le président américain, Donald Trump, a signé un décret visant à retirer les États-Unis de l'OMS. Le républicain cite plusieurs raisons pour justifier ce retrait, notamment « la mauvaise gestion de la pandémie de Covid-19 » par l'OMS et « l'incapacité à adopter les réformes urgentes nécessaires ». Il a déclaré que l'agence exigeait des États-Unis des « paiements injustement onéreux » et s'est plaint que la Chine payait moins. La décision s'accompagne d'un gel du financement américain, alors même que les États-Unis étaient l'un de ses principaux contributeurs. Le désengagement américain ne s'arrête pas là. En février, Donald Trump signe un décret pour retirer les États-Unis de plusieurs instances de l'ONU : le Conseil des droits de l'homme, instance dans laquelle Washington siégeait comme observateur. Le décret présidentiel prolonge également la suspension du financement de l'UNRWA, l'agence onusienne d'aide aux réfugiés palestiniens, déjà ciblée par l'administration Trump en 2018. Ce même décret annonçait un réexamen de la participation américaine à l'Unesco.

Donald Trump retirera à nouveau les États-Unis de l'UNESCO
Donald Trump retirera à nouveau les États-Unis de l'UNESCO

La Presse

time22-07-2025

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Donald Trump retirera à nouveau les États-Unis de l'UNESCO

(Paris) Les États-Unis ont annoncé mardi qu'ils se retiraient à nouveau de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) en raison de ce que Washington considère comme son parti pris anti-israélien. Associated Press Il s'agit de la troisième fois que les États-Unis quittent l'UNESCO, dont le siège est à Paris, et de la deuxième fois pendant que Donald Trump est au pouvoir. Le président Trump avait déjà retiré les États-Unis de l'UNESCO lors de son premier mandat, mais le pays avait réintégré l'agence en 2023 pendant la présidence de Joe Biden. Cette décision prendra effet à la fin du mois de décembre 2026. Dans une déclaration transmise au New York Post, la porte-parole adjointe de la Maison-Blanche, Anna Kelly, a plaidé que l'UNESCO « soutient des causes culturelles et sociales 'wokes', qui divisent et qui sont totalement en décalage avec les politiques de bon sens pour lesquelles les Américains ont voté en novembre ».

Retrait des 700 Marines américains déployés à Los Angeles
Retrait des 700 Marines américains déployés à Los Angeles

Le Figaro

time21-07-2025

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Retrait des 700 Marines américains déployés à Los Angeles

Le ministère américain de la Défense a annoncé lundi 21 juillet le retrait des 700 Marines déployés à Los Angeles durant les manifestations du mois dernier contre la politique migratoire du président Donald Trump. Le président américain avait ordonné en juin la mobilisation de 700 Marines, corps d'active des forces armées d'ordinaire déployée à l'étranger, face aux manifestations contre des arrestations d'immigrés par la police fédérale de l'immigration (ICE). Ils venaient en renfort de militaires de la Garde nationale également déployés, contre l'avis des autorités californiennes, durant ces manifestations largement pacifiques mais dont certaines ont dégénéré. Le ministre de la Défense, Pete Hegseth a ordonné «le redéploiement des 700 Marines dont la présence avait envoyé un message clair: le non-respect de la loi ne sera pas toléré», a déclaré Sean Parnell, le porte-parole du Pentagone, dans un communiqué. «Leur réponse rapide, discipline implacable et présence indéniable ont contribué à rétablir l'ordre et faire respecter l'État de droit», a-t-il ajouté. La situation s'est depuis largement calmée dans la deuxième ville du pays, où le couvre-feu nocturne a notamment été levé le 17 juin. Publicité «Nouvelle victoire» pour la ville La maire de Los Angeles, Karen Bass s'est félicitée de ce retrait dans une publication sur le réseau social X, le qualifiant de «nouvelle victoire» pour la ville. Le Pentagone avait déjà annoncé la semaine dernière le retrait d'environ la moitié des quelque 4.000 militaires de la Garde nationale déployés à Los Angeles. Le déploiement de la Garde nationale sans l'approbation du gouverneur de l'État - qui a aussi autorité sur ce corps militaire de réserve - était une première depuis 1965 aux États-Unis. Los Angeles est dans le collimateur de Donald Trump, qu'il accuse de protéger les migrants sans statut légal de l'intervention de la police fédérale de l'immigration. Le président américain a fait de la lutte contre l'immigration clandestine une priorité absolue, évoquant une «invasion» des États-Unis par des «criminels venus de l'étranger» et communiquant abondamment sur les expulsions d'immigrés.

George Clooney responsable du retrait de Joe Biden de la présidentielle ? Son fils Hunter l'accuse
George Clooney responsable du retrait de Joe Biden de la présidentielle ? Son fils Hunter l'accuse

Le HuffPost France

time21-07-2025

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George Clooney responsable du retrait de Joe Biden de la présidentielle ? Son fils Hunter l'accuse

INTERNATIONAL - « George Clooney n'est pas un putain d'acteur, (...) c'est une marque. » Hunter Biden a vertement critiqué ce lundi 21 juillet l'acteur George Clooney pour avoir appelé son père Joe Biden à se retirer de la course à la présidentielle de 2024, lors d'interviews parues le jour anniversaire de l'abandon du démocrate. « Qu'il aille se faire foutre, et tous ceux autour de lui », a lancé le fils cadet de Joe Biden dans un entretien de plus de trois heures au journaliste Andrew Callaghan, qui compte plus de 3 millions d'abonnés sur YouTube. « Vraiment, vous pensez que dans l'Amérique moyenne, cette électrice à Green Bay, dans le Wisconsin, elle en a quelque chose à battre de ce que George Clooney pense qu'elle devrait voter ? », a aussi lancé Hunter Biden sur le podcast de Jaime Harrison, ancien chef du Parti démocrate. « Il nous faut un autre candidat » L'acteur avait été le 10 juillet 2024 l'un des premiers grands soutiens des démocrates à appeler Joe Biden à se retirer de la course à la présidentielle. Joe Biden avait finalement renoncé le 21 juillet 2024. Le président démocrate faisait alors face à des doutes croissants dans son propre camp sur son état de santé, après un débat calamiteux face à Donald Trump une dizaine de jours plus tôt. George Clooney avait écrit une tribune publiée par le New York Times et intitulée : « J'aime Joe Biden. Mais il nous faut un autre candidat ». L'acteur et producteur oscarisé racontait avoir vu lors d'un gala le mois précédent un Joe Biden affaibli, loin du candidat qu'il était en 2020. « Je le considère comme un ami et je crois en lui. Je crois en son caractère, sa morale », avait écrit George Clooney, avant d'ajouter : « Mais la seule bataille qu'il ne peut pas gagner, c'est celle contre le temps. » Dans les interviews de lundi, Hunter Biden est revenu sur cet épisode. « Pourquoi est-ce que je devrais t'écouter ? Quel droit as-tu d'écraser un homme qui a donné 52 ans de sa putain de vie au service de ce pays, et de décider que toi, George Clooney, tu vas en somme acheter une pleine page de pub dans le putain de New York Times ? », a-t-il lancé dans celle donnée à Andrew Callaghan. En proie pendant plusieurs années à des démêlés avec la justice et à des addictions, Hunter Biden avait été l'une des cibles privilégiées de la droite dure américaine, qui le considéraient comme le talon d'Achille de son père président.

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