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Combien de m² peut-on louer en gagnant 2735 euros par mois ?
Combien de m² peut-on louer en gagnant 2735 euros par mois ?

Le Figaro

time12 hours ago

  • Business
  • Le Figaro

Combien de m² peut-on louer en gagnant 2735 euros par mois ?

Avec un salaire moyen qui a augmenté de 3,8% en 2025, on peut se dire que le sort du locataire moyen a progressé. Mais ce n'est pas systématiquement le cas à en croire une étude menée par l'agence immobilière en ligne Manda qui a évalué les surfaces auxquelles on peut prétendre dans les principales métropoles françaises en percevant ce salaire net moyen, à savoir 2735 euros. Un résultat obtenu en évaluant les loyers sur la base de 20.000 annonces et en admettant que les locataires peuvent payer jusqu'à 35% de leurs revenus en loyer. Il en ressort que si la situation s'améliore dans la plupart des cas, le pouvoir locatif recule légèrement à Bordeaux (-2 m² en un an) et très fortement à Lyon où les locataires doivent renoncer à 13 m², perdant une pièce au passage pour troquer leur T3 contre un T2. Une situation qui s'explique par le niveau élevé des loyers, dopé par la rareté de l'offre dans les villes les plus recherchées. À Paris, lanterne rouge de ce classement puisque les locataires doivent s'y contenter de 23 m², la situation est restée parfaitement stable. Une nouvelle illustration de la spécificité du marché de la capitale: très tendu, particulièrement coûteux mais aussi peu sensible aux fluctuations de revenus. Quant aux autres villes de cette étude, elles offrent une situation qui s'améliore pour les locataires: Toulouse gagne 5 m² pour offrir 75 m², notamment grâce à l'arrivée de nouveaux logements liés à la construction de la ligne C du métro. De son côté, Lille grimpe de 8 m² pour passer à 61 m² tandis qu'à Nantes, le bond est de 10 m² permet aux locataires de gagner une pièce, passant d'un T2 à un T3. Une situation qui s'expliquerait par la baisse de la tension locative dans certains quartiers. Au-delà des contrastes géographiques, l'étude rappelle que la situation est vécue très différemment selon les catégories socioprofessionnelles (avec les différents salaires moyens qui vont avec). Les cadres tirent bien leur épingle du jeu avec un salaire moyen de 3375 euros, soit 125 euros de mieux qu'en 2024. Ce n'est qu'à Lyon (- 5 m²) et à Bordeaux (- 3 m² ) que la situation se détériore. Les cadres sont les seuls à pouvoir prétendre à près de 70 m² dans toutes les grandes villes. Seule exception, Paris, où il faut se contenter de 35 m², soit 12 m² de plus que ce que peut espérer un employé. Quant aux employés, il voit leur situation progresser très légèrement en province (globalement + 2 m²), ils doivent encore céder 1 m² dans la capitale pour se contenter d'un studio de 17 m². Étonnamment, malgré des salaires globalement stables, l'étude montre que les ouvriers bénéficient de gains de surface généralisés, de 1 m² à 3 m², en dehors de Paris où la situation reste stable. Une tendance qui pourrait s'expliquer, selon Manda, par un rééquilibrage de l'offre ou par un accès facilité à certains logements. Dernière catégorie étudiée, les fonctionnaires ou du moins les personnes travaillant dans la fonction publique. Avec un salaire moyen intermédiaire mais très hétérogène, la situation de la fonction publique est très variable d'une ville à l'autre: entre bond de 8 m² à Lyon, gain de 2 à 3 m² dans la plupart des autres villes et recul de 1 m² à Paris.

Les investissements étrangers toujours au rendez-vous à Montréal malgré l'instabilité
Les investissements étrangers toujours au rendez-vous à Montréal malgré l'instabilité

La Presse

time11-07-2025

  • Politics
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Les investissements étrangers toujours au rendez-vous à Montréal malgré l'instabilité

Montréal International a accompagné 29 projets dans la grande région métropolitaine, qui ont permis la création de 1866 emplois avec un salaire moyen de 101 000 $, selon ses données préliminaires publiées vendredi. (Montréal) Les entreprises étrangères ont investi plus d'argent dans la grande région de Montréal, malgré les menaces de Donald Trump. Le président américain n'est d'ailleurs plus la principale préoccupation des investisseurs. C'est plutôt le va-et-vient des politiques canadiennes et québécoises en immigration qui les chicote, selon le patron de Montréal International. Stéphane Rolland La Presse Canadienne Stéphane Paquet a admis qu'il aurait été surpris si on lui avait dit cet hiver, au plus fort des menaces du président républicain contre le Canada, que l'organisme sans but lucratif aurait accompagné pour 1,69 milliard en investissements étrangers au cours de la première moitié de l'année. « Je ne vous aurais pas cru et je vous aurais peut-être même dit que vous en aviez fumé du bon », a lancé à la blague le PDG de Montréal International, en entrevue pour discuter des résultats des six premiers mois de l'année. Montréal International a accompagné 29 projets dans la grande région métropolitaine, qui ont permis la création de 1866 emplois avec un salaire moyen de 101 000 $, selon ses données préliminaires publiées vendredi. La valeur des investissements a ainsi progressé de 55 % par rapport à 1,09 milliard, réparti sur 32 projets, à la même période l'an dernier. « On a eu un peu moins de projets cette année, mais la valeur moyenne est plus grande », a résumé M. Paquet. La métropole a bien tiré son épingle du jeu dans le secteur des technologies, comme l'intelligence artificielle et la cybersécurité, ainsi que dans le secteur manufacturier, notamment l'aérospatiale, l'ingénierie et les services environnementaux. Malgré les frictions diplomatiques, les entreprises américaines sont toujours au rendez-vous, avec 46 % des investissements accompagnés. « Au Texas, en Californie, à New York, les gens s'excusent à nos démarcheurs, a raconté le vice-président, investissements étrangers, de Montréal International, Mark Maclean. Les gens nous disent que les commentaires du gouvernement ne les représentent pas. Il y a toujours un intérêt. » Les entreprises prennent leur temps Si le pire semble évité, M. Paquet a prévenu que rien ne garantit que le rythme puisse être maintenu pour le reste de l'année. Il a souligné que l'administration Trump demeure imprévisible. L'incertitude économique refroidit également les entreprises. Durant la première moitié de l'année, il a fallu attendre 694 jours en moyenne, soit près de 2 ans, entre la première rencontre et la confirmation d'un investissement. À la même période l'an dernier, ce délai était de 517 jours, environ un an et demi. « Ce qui veut dire que oui, les tarifs ont eu un impact, a répondu M. Paquet. Les gens prennent plus de temps. » Montréal International doit aussi composer avec une plus petite équipe. En janvier 2024, l'organisme avait procédé à des mises à pied, car son financement ne suivait pas l'inflation. Ayant moins de professionnels « qui cognent aux portes » des entreprises étrangères, la croissance est plus difficile à atteindre pour Montréal International. « On a beau vouloir être plus productif, vouloir en faire plus avec moins, à un moment donné, ça va nous rattraper », a prévenu le PDG. Immigration : des changements qui inquiètent Si on lui parle moins de M. Trump, M. Paquet constate que le resserrement des politiques d'immigration au Canada et au Québec préoccupe les investisseurs étrangers. « On a besoin de plus de stabilité sur les différentes politiques d'immigration », a-t-il plaidé. Montréal a besoin de sang neuf. Parmi les postes à pourvoir au Québec, trois sur cinq sont dans la région métropolitaine, a souligné M. Paquet. Le mécontentement du milieu des affaires n'est pas qu'un phénomène montréalais. Au début du mois de juin, des chambres de commerce de plusieurs régions du Québec ont demandé un moratoire sur les restrictions du gouvernement fédéral visant à réduire le nombre de travailleurs étrangers temporaires. De nombreuses entreprises affirment être incapables de pourvoir tous leurs postes localement. Ce ne sont pas tant les cibles d'immigration qui posent problème, que les changements trop nombreux et soudains, selon M. Paquet. « Peu importe le résultat final, les gens vont finir par s'y faire, s'y habituer », a-t-il avancé. « Entendez-vous sur quelque chose [le fédéral et Québec] et assurez-vous que le système fonctionne, que ça ne prenne pas [plusieurs mois] de plus au Québec qu'en Ontario pour avoir une résidence permanente », a-t-il déploré.

Sous-payées malgré leurs compétences? Près de la moitié des femmes le pensent
Sous-payées malgré leurs compétences? Près de la moitié des femmes le pensent

24 Heures

time10-07-2025

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Sous-payées malgré leurs compétences? Près de la moitié des femmes le pensent

La plupart des Suisses jugent leur revenu satisfaisant, mais ce sentiment est bien plus répandu chez les hommes. Publié aujourd'hui à 17h01 Les femmes sont plus nombreuses à estimer ne pas être payées à la hauteur de leurs compétences. Unsplash Ne pas être assez payé pour le travail qu'on fournit? C'est ce qu'estiment plus d'un tiers des Suisses (36%), selon une enquête de «Blick» en collaboration avec le MIS Trend. Ce sondage, réalisé entre le 10 et le 19 juin 2025, indique que la majorité (64%) des actifs sont satisfaits de leur rémunération… mais le diable se cache dans les détails. L'analyse des résultats révèle des inégalités importantes, surtout en fonction du genre. Les femmes sont plus nombreuses à se dire insatisfaites que leurs homologues masculins: 43% jugent leur salaire inadéquat, contre seulement 28% des hommes. Les femmes parmi les plus précaires En Suisse, les femmes représentent 60 à 70% des personnes gagnant moins de 4000 francs par mois, selon l'Office fédéral de la statistique . Cette surreprésentation dans les bas salaires explique en partie pourquoi les femmes sont plus nombreuses à se sentir sous-payées: les deux catégories les plus insatisfaites – les bas salaires et les femmes – se chevauchent largement. Trop de gains pour toucher des aides Autre constat: ceux qui gagnent entre 3000 et 4000 francs sont souvent plus mécontents que ceux qui touchent moins de 3000 francs. Paradoxal? Pas vraiment, note «Blick»: ces salariés dépassent souvent (de justesse) les seuils pour toucher des aides sociales ou des allègements fiscaux, ce qui nourrit un sentiment d'injustice. En lire davantage sur les salaires Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

NBA : Phoenix offre le plus gros salaire de l'histoire à sa star Booker, qui dépasse Gilgeous-Alexander
NBA : Phoenix offre le plus gros salaire de l'histoire à sa star Booker, qui dépasse Gilgeous-Alexander

Le Figaro

time10-07-2025

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NBA : Phoenix offre le plus gros salaire de l'histoire à sa star Booker, qui dépasse Gilgeous-Alexander

Les Phoenix Suns ont mis le paquet pour prolonger leur tête d'affiche Devin Booker. Un contrat total de 316 millions de dollars sur 5 ans, dont 145 sur les deux dernières saisons. 145 millions de dollars pour deux ans de contrat. C'est le plus gros salaire de l'histoire de la NBA et les Phoenix Suns ont décidé de le donner à leur star Devin Booker, présent au sein de la franchise depuis 2015 et devenu un joueur clé. La prolongation de contrat s'étale sur cinq ans, les deux dernières saisons sont les mieux payées pour inciter Booker à rester. Ses émoluments vont donc atteindre 72,5 millions de dollars annuels. Le record de Shai Gilgeous-Alexander et ses 71,3 millions de dollars par an aux Thunders d'Oklahoma City est battu. Publicité Un immense contrat pour relever l'équipe Devin Booker s'inscrit dans la durée chez les Suns, il a déclaré en avoir «déjà parlé à de nombreuses reprises, et je suis sûr que les gens en ont assez d'entendre mon histoire d'amour avec Phoenix, mais je m'enracine profondément dans cette communauté». L'arrière de 28 ans veut redorer le blason de la franchise : «une fois que nous serons de retour au niveau d'un prétendant au titre, je pourrai montrer aux gens que les choses peuvent changer très rapidement». Avec ce salaire, la pression ne sera jamais aussi haute sur les épaules du nouveau leader de Phoenix. L'arrière de 28 ans et ses coéquipiers devront faire mieux que leur triste bilan de 36-46 de la saison passée.

Devin Booker décroche le salaire le plus élevé de l'histoire de la NBA avec les Phoenix Suns
Devin Booker décroche le salaire le plus élevé de l'histoire de la NBA avec les Phoenix Suns

L'Équipe

time10-07-2025

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Devin Booker décroche le salaire le plus élevé de l'histoire de la NBA avec les Phoenix Suns

Déjà sous contrat jusqu'en 2028, Devin Booker a ajouté deux années à son bail avec les Phoenix Suns, jeudi, et est désormais lié à la franchise jusqu'en 2030. Cette prolongation lui permettra de toucher le salaire annuel le plus élevé de l'histoire de la NBA. Devin Booker s'inscrit un peu plus dans la durée avec les Suns. Déjà sous contrat jusqu'en 2028, l'arrière a signé ce jeudi une prolongation de contrat qui rajoute deux années à son bail et le lie à Phoenix jusqu'en 2030. Sur cette période, il touchera 145 millions de dollars, soit 72,5 millions de dollars par an pour les saisons 2028-2029 et 2029-2030. Ce salaire annuel sera le plus élevé de l'histoire de la NBA, devançant les 71,25 millions de dollars par an de la prolongation signée par Shai Gilgeous-Alexander avec le Thunder début juillet. Booker (28 ans) s'assure ainsi de rester dans l'Arizona jusqu'à ses 33 ans et aura alors disputé quinze saisons avec les Suns. Meilleur scoreur de l'histoire de la franchise, il est toujours en quête d'un premier titre avec Phoenix. Il sort d'une saison individuellement et collectivement ratée, manquant le All-Star Game et ne disputant pas les play-offs pour la première fois depuis 2020.

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