Dernières actualités avec #traditions


Le Figaro
16 hours ago
- Entertainment
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15 octobre 879 : le roi de Provence face aux descendants de Charlemagne
Réservé aux abonnés Maître de la quasi-totalité des vallées du Rhône, de la Saône et de la Provence, Boson est élu roi de Provence. Il s'émancipe des Carolingiens. Cet article est extrait du Figaro Hors-Série « Provence éternelle, la Toscane française », retrouvez l'histoire de cette région, ses traditions, son art de vivre et ses écrivains dans un numéro magnifiquement illustré de 162 pages. « Provence éternelle, la Toscane française ». Le Figaro Hors-Série Il galope à bride abattue vers Lyon. Boson, fils du comte Bivin de Gorze, vient d'apprendre qu'il a été élu roi de Provence par l'assemblée des prélats et seigneurs qui s'étaient réunis dans le château de Mantaille. L'issue de cette réunion n'était pas douteuse car la noblesse et les évêques voulaient à tout prix éviter de retomber sous la coupe de l'un ou l'autre des Carolingiens qui, depuis la mort de Charlemagne, se partagent son empire, ou plus souvent se le disputent. Le grand empereur avait eu la sagesse de maintenir une large autonomie aux comtés, aux diocèses. Sa descendance est moins habile. Boson a longtemps été attaché à l'un des petits-fils de Charlemagne, Charles le Chauve, qui avait épousé en secondes noces sa sœur Richilde. Devenu son beau-frère…


L'Équipe
14-07-2025
- Sport
- L'Équipe
Jannik Sinner et Iga Swiatek partagent une danse lors de la cérémonie de clôture de Wimbledon
Comme chaque année, les vainqueurs des tournois masculin et féminin de Wimbledon ont dansé ensemble sur scène lors du dîner des champions dimanche soir. Wimbledon ne manque pas de traditions. Parmi les nombreuses coutumes du célèbre All England Lawn Tennis & Croquet Club, les vainqueurs des tournois masculin et féminin de simple doivent danser ensemble lors de la cérémonie de clôture. Une perspective qui n'enchantait pas vraiment Jannik Sinner, vainqueur pour la première fois à Londres dimanche et pas vraiment connu pour son excentricité. Après sa victoire, il avait admis : « C'est un problème. Je ne suis pas très doué en danse. Mais bon... Je peux m'en sortir. » L'Italien et Iga Swiatek, elle aussi victorieuse pour la première fois à Wimbledon, ont finalement bien honoré la tradition sur scène, lors du dîner des champions.


Le Figaro
09-07-2025
- Politics
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Ne passez pas pour un touriste ! Comment bien profiter des ferias du Sud-Ouest
Fêtes, ferias, hestes… Peu importe le nom, l'essentiel reste le même : se rassembler, chanter, danser, bien manger et vivre au rythme du Sud-Ouest. Que vous soyez néo-festayre ou habitué des férias, suivez ce guide pour ne pas passer pour un touriste. La saison des ferias a démarré dans le Sud-Ouest ! Notre guide pour en profiter pleinement. Le dress code Tenue banche et foulard rouge, ici à Bayonne. Pierre-Alex Barcoïsbide Respecter la tenue blanche, haut et bas, accompagnée du foulard rouge, est bien plus qu'un simple code vestimentaire : c'est un signe d'attachement aux traditions. Attention cependant à ne pas arborer ce foulard avant l'ouverture officielle des fêtes. Il symbolise le lancement de l'événement et doit rester soigneusement plié jusqu'au signal. «Les hommes complètent généralement la tenue avec une ceinture rouge, appelée cinta, nouée autour de la taille, pans sur le côté gauche», précise Henri Lauqué, président de la Commission extra-municipale des fêtes à Bayonne. Un clin d'œil à la tenue historique des danseurs basques. Publicité Côté féminin, certaines optent pour un vernis rouge et blanc sur les ongles, une fantaisie festive qui reste dans l'esprit. À l'inverse, rien de plus mal vu que le touriste torse nu en short rouge, armé d'une bouteille en plastique remplie d'un breuvage douteux. Les tongs sont à proscrire : les rues animées exigent des chaussures fermées, solides et confortables. Particularité notable à Dax, où le foulard rouge cède la place à un foulard bleu. Assister aux rituels officiels Impossible d'entrer pleinement dans l'esprit des fêtes sans assister aux rituels d'ouverture. Parmi eux, la remise des clés de la ville de Bayonne est l'un des moments les plus symboliques. Depuis 1947, le maire remet aux habitants les trois clés de la cité, un geste fort, accompagné de bandas et de folklore local. Ces clés sont lancées depuis le balcon de la mairie par des personnalités invitées. Ceux qui parviennent à les attraper peuvent les garder comme trophée. Pour ne pas être largué au milieu des chants, apprenez quelques classiques, à commencer par le fameux refrain de Peña Baiona. Rejoignez les groupes qui entonnent les airs traditionnels, et surtout, ne manquez pas la clôture des fêtes, le dimanche à minuit, marquée par le chant Pobre de Mí (« pauvre de moi »), un adieu mélancolique. Se rendre dans une peña ? Une peña à Bayonne. CDT 64 Le mot peña, d'origine espagnole, signifie littéralement «groupe d'amis fidèles». Mais ici, il désigne des associations festives, souvent musicales, animées par des passionnés de fête, de musique, de gastronomie, de tauromachie ou de rugby. Elles sont au cœur de l'esprit des ferias. Composées en majorité de locaux, ces structures jouent un rôle associatif toute l'année, mais deviennent essentielles pendant les fêtes, créant l'ambiance à travers chants, animations, déambulations. À Bayonne, pas moins de 76 peñas sont ouvertes au public. Certaines, comme la Peña Orkonpon ou Pottoroak, sont devenues emblématiques. À Dax, on en compte 17, réparties entre centre-ville et périphérie. Les peñas taurines, à l'image du Club Taurin Dacquois, gravitent autour des spectacles organisés dans la plaza dacquoise. On y prolonge les corridas par de longues tertulias, ces débats passionnés sur les corridas. À Mont-de-Marsan, la peña Los Pechos jouit d'une belle renommée. Publicité Qu'est-ce qu'on y mange ? Pendant les fêtes, les restaurants proposent souvent un menu unique : melon et jambon de Bayonne, axoa (ragoût de veau épicé) et gâteau basque. Pour une expérience plus authentique, poussez la porte du Comptoir Paysan à Bayonne : les producteurs y servent eux-mêmes leurs spécialités, dans une ambiance conviviale. Dans les Landes, le canard est à toutes les sauces. Tranches de magret grillé, pommes de terre ou pain en accompagnement. Autre incontournable : le sandwich à la ventrèche grillée, poitrine de porc marinée, saisie à la plancha, servie dans un pain croustillant. En dessert, laissez-vous tenter par le Pastis landais, cette brioche parfumée à l'anis ou à la fleur d'oranger. Fête ou féria ? Le mot «feria», d'origine espagnole, signifie à l'origine «foire». En France, il désigne désormais ces grandes fêtes populaires du Sud, mêlant musique, traditions et souvent tauromachie, comme à Nîmes, Dax ou Pampelune. Mais attention aux nuances. À Bayonne, et dans la plupart des villages du Pays basque, on préfère parler de fêtes, la tauromachie n'occupant pas la même place centrale qu'ailleurs. À Mont-de-Marsan, d'ailleurs, on ne parle pas de «fête», mais de «heste», prononcé à la gasconne. Je tente la course de vachettes ? Entrer dans l'arène et se mesurer à une vachette, une attraction locale. Landes attractivité À Bayonne, c'est une tradition bien ancrée. Le principe : entrer dans l'arène pour se mesurer à une vachette devant 6 000 spectateurs. Les cornes sont emboulées (protégées), mais le risque reste réel. Avant de pénétrer dans l'arène, les participants doivent signer une décharge de responsabilité. Certains habitués, quasi-professionnels, offrent un véritable spectacle. À savoir Privilégiez les transports en commun. Dans les Landes, pensez au bus des Férias ; à Bayonne, utilisez le réseau Txik Txak et son bus des fêtes. Repérez les 'Lieux Refuge', signalés par un logo dédié. Ils regroupent des peñas partenaires du protocole Safe Toki et des établissements participant au dispositif Angela, qui protègent les personnes en danger selon des procédures clairement définies. Infos pratiques Publicité ; ;


24 Heures
07-07-2025
- Politics
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Faute de bateau CGN, des malins louent un ancien cargo
Privée pour la première fois en cinquante ans d'un navire de la CGN, en mal avec ses bateaux, l'abbaye de Saint-Sulpice a loué «Le Venoge» pour sa fête triennale. Publié aujourd'hui à 19h32 La fête triennale de l'abbaye de Saint-Sulpice s'est déroulée avec beaucoup de succès, en partie grâce à des croisières sur le bateau «Le Venoge». Florian Cella / Tamedia La fête triennale de l'abbaye de Saint-Sulpice s'est déroulée avec beaucoup de succès ces 5, 6 et 7 juillet. Mais avec une nouveauté qui n'est pas passée inaperçue loin à la ronde: le point fort de la journée de lundi, entre le banquet familial à midi et le repas du soir avec son bal de clôture, était constitué d'une croisière à bord du Venoge , qui fut le dernier bateau marchandise de la Compagnie générale de navigation (CGN). «Le Venoge» fut le dernier bateau marchandise de la CGN, et le premier au monde à être doté d'un moteur diesel. Florian Cella L'abbaye, centenaire, active dans le tir et les traditions, avait appris avec beaucoup de déception que pour la première fois depuis plus de cinquante ans, la CGN ne pouvait pas lui mettre à disposition un bateau, toute location hors service horaire n'étant pas possible en 2025, en raison de la défection de nombreuses unités. Le bateau «Le Venoge», ce centenaire C'était toutefois sans compter l'ingéniosité du conseil de l'abbaye, qui a trouvé cette plaisante alternative avec Le Venoge – construit en 1905 et premier bateau au monde à être doté d'un moteur diesel – pour ne pas déroger à la tradition. Ce navire servait encore jusqu'en 2004 à l'entretien hivernal des débarcadères pour remplacer les pieux d'amarrage défectueux. Puis il avait été acquis par l'association privée Sauvegarde bateau Le Venoge à Perroy pour le sauver de la démolition en le restaurant et le transformant en unité à vocation évènementielle. Le tour en bateau du lundi a été un peu différent cette année. Quatre croisières ont été organisées à bord du Venoge . Pour obtenir leur sésame, il a suffi aux invités d'acheter un ticket pour le poulet à la broche du lundi soir. Numéroté, il donnait l'accès au bateau et à la dégustation du poulet au retour de la croisière. Les quatre croisières d'une heure chacune ont affiché complet. À bord, les passagers ont écouté, sous l'orage, l'ensemble de cuivres de Froideville, avec le président du Grand Conseil sortant Jean-François Thuillard à l'euphonium. Les membres de l'abbaye se réjouissent toutefois de retrouver avec leurs invités et amis le bateau CGN Lausanne lors de la prochaine fête triennale en 2028. Actuellement, le Lausanne est engagé sur les lignes transfrontières et sur le Haut-Lac pour remplacer, respectivement, les Naviexpress et les bateaux Belle Époque en travaux. Il ne peut donc pas être mis à disposition pour des croisières privées. Les croisières en veilleuse Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Claude Béda est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 heures. Licencié en sciences sociales et politiques, passionné par les sujets de société et la vie des gens d'ici, il a couvert plusieurs régions du canton, avant de rejoindre la rédaction lausannoise. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
05-07-2025
- Entertainment
- 24 Heures
Autour de Lioson, une buvette d'alpage entre rando et régal
Au départ des Mosses, une randonnée satisfait papilles et pupilles. La bonne chère fait le lien entre nature et traditions alpestres. Flavienne Wahli Di Matteo Publié aujourd'hui à 11h04 En grimpant en direction des Petits Lacs, la vue plongeante sur le lac Lioson est époustouflante. À droite, le restaurant et sa terrasse. CHANTAL DERVEY En bref: En partant à l'assaut du «Tour des Lacs» depuis Les Mosses, les gastronomes seront ravis d'apprendre qu'ils n'ont besoin que d'une gourde dans le sac à dos. En choisissant l'option «balade gourmande» , il est possible d'enfiler en une randonnée plusieurs perles de patrimoine paysager, architectural et gastronomique. Trois buvettes et autant d'assiettes et godets attendent les promeneurs le long d'une balade qui totalise trois heures et demie de marche. Mais il faut compter la journée pour profiter de ces haltes qui sont autant de rencontres avec des figures attachées à faire connaître les traditions du Pays-d'Enhaut et des Ormonts . Tout un patchwork où se mêlent destins individuels et épopée régionale. Une expérience totale. Sur le parking du col des Mosses , on commence par chausser des souliers à mêmes d'affronter pente, terre et caillasse. Le parcours est classé en difficulté moyenne et il est conseillé de démarrer vers 9 h 15, histoire d'être à l'heure pour l'apéro. Sur le hérisson de panneaux jaunes désignant les sommets, choisir d'abord la direction Lioson. Mais à la première bifurcation, prendre à gauche vers Pra Cornet . Des pâturages sonorisés aux grillons et à la sonnaille conduisent par une route encore carrossable jusqu'à la première halte, la buvette des Charmilles. Le tour des lacs, au départ du Col des Mosses. ISABELLE CAUDULLO Apéro à la buvette des Charmilles Sur le seuil, la blondeur rieuse d'Alice Isoz flamboie dans les rayons du matin. T-shirt de la fromagerie de L'Étivaz (on est en plein périmètre de production), tablier rouge, celle qui s'est investie des décennies dans la restauration et l'aérostation au Pays-d'Enhaut est attachée comme à sa propre maison à ce lieu, propriété de Julie et Norbert Chabloz, réputés eux aussi pour leur investissement dans l'agritourisme. La terrasse s'ouvre sur l'alpage de Pra Cornet. Tout en surveillant son dîner, la tenancière se fait fort de renseigner sur ce chalet construit en 1711, dont l'ancienne étable, tout en longueur, est reconvertie en restaurant. Plafond bas, murs sablés, sol vernissé par des siècles de sabots et de godillots, un autre temps respire ici. Sur la planchette: des salaisons, de la tomme et du «fricasson». Quésaco? Avec sa consistance sablonneuse et son goût de noisette, cette spécialité du coin mêle beurre, farine et sucre. À l'origine, les forestiers emportaient cet en-cas petit mais costaud pour avoir leur content de calories, sans trop de poids dans la besace. Désaltéré au jus de pomme artisanal ou au blanc, le promeneur repart mi-pesant mi-alerte à l'assaut de la grande montée vers Lioson. Bordée par la Gummfluh et les Arpilles, la traversée offre tous les charmes des Préalpes: pâturages, épicéas, torrents et prairies fleuries où prospèrent notamment les beaux et rares lis martagons. Plat au restaurant de Lioson Au haut de la pente se dévoile le joyau de la balade: le lac Lioson. Le plan d'eau s'étale dans un écrin de roche et d'herbages presque fluorescents où tout un peuple cohabite. Pêcheurs à la ligne, baigneurs, enfants sages et ados turbulents se partagent une eau à 16 degrés. Au bout du sentier qui enlace le lac, une grande terrasse de bois fait trait d'union entre le restaurant et l'eau. Attablés devant des thés froids maison, les randonneurs échangent dans toutes les langues. Fondue, jambon à l'os, croûtes au fromage, le plat de résistance proposé dans le forfait est tiré d'une carte traditionnelle. La cuisine généreuse de Paul-François Mermod, alias Pollux, colle bien au site, occupé de début juin à début octobre (lire encadré) . L'iconique personnage, que l'on croise l'hiver aux commandes de la dameuse, propose aussi des spécialités, sur commande: ardoise ou bourguignonne de bœuf ou de cheval (ou les deux). Jambon à l'os, frites, salade, l'une des assiettes proposée dans le forfait «balade gourmande». Une cuisine traditionnelle, généreuse et goûtue. CHANTAL DERVEY Dessert à la buvette des Petits Lacs Après le café, on repart sur un sentier rocailleux où même les jeunes marcheurs oublient de se plaindre, fascinés par les chèvres et moutons nains, la vue plongeante sur le lac, les sommets étalés sur 360 degrés. Sur l'autre versant, une descente à travers un pierrier conduit à la confidentielle buvette des Petits Lacs . Le cadre est plus rustique, cela sent le bois fraîchement coupé, l'heure est à la contemplation. Ancien bûcheron et vigneron, Jérémy Schütz étrenne sa première saison. Mélisse, verveine ou menthe, une infusion bio confectionnée par sa sœur Nathalie accompagne une part de tarte aux abricots. On finit la journée en quasi-lévitation, dévalant vers la station le soulier ailé, papilles et pupilles comblées. Lioson, un destin montagnard Thérèse et Pollux, (Paul-François Mermod), tenanciers du Restaurant Lac Lioson entament leur 25e été. CHANTAL DERVEY L'alpage de Lioson partage son destin tourmenté avec celui de sa région. Encore ceint de son tablier, en fin de service, «Pollux» – qui vient de mettre la clé sous le paillasson de sa buvette d'hiver à L'Arsat – égraine les dates par cœur: terminé en 1906, le rural de pierre actuel a remplacé le chalet ancestral bâti de l'autre côté du lac. «Il a été ramassé par une avalanche en 1896. Il avait été décidé de ne pas le reconstruire à cet endroit exposé.» Sur ce site où on a de tout temps offert à boire aux marcheurs, la partie restauration s'est développée en 1962, avec la construction de la télécabine du pic Chaussy. «Je m'en souviens bien, j'étais gamin et mon oncle tenait la buvette. Plus tard, en 1988, mon cousin s'y est installé, au moment de la fermeture des installations . Il est décédé en 2001 et c'est nous qui avons repris. Cet endroit, c'est comme un hommage qu'on lui rend tous les jours.» À ses côtés, Thérèse s'active du lever au coucher pour choyer des hôtes qui peuvent aussi choisir l'option dodo et petit-déj' maison. Cinquante-quatre lits sont disponibles. L'ancienne assistante sociale espère se rire de la retraite encore longtemps: «Vivre son rêve plus de vingt-cinq ans, je souhaite ça à tout le monde!» Notre série buvettes d'alpage Newsletter «Gastronomie & Terroirs» «24 heures» suit depuis toujours l'actualité gastronomique et culinaire. Recevez, chaque vendredi, une sélection d'articles sur la restauration, la cuisine, les produits du terroir et le vin. Autres newsletters Flavienne Wahli Di Matteo est chroniqueuse judiciaire au sein de la rubrique Vaud et régions de 24 heures, qu'elle a intégrée en 2012. Avant cela, elle a travaillé dans les rubriques locales de plusieurs médias en presse écrite, radio et télévision. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.