
Sambre-Avesnois repêché en Ligue Butagaz Energie après la rétrogradation administrative de Mérignac
Une bonne nouvelle pointe le bout de son nez pour Sambre-Avesnois. Relégué sportivement en D2F à l'issue de la saison 2024-2025, le club nordiste a été repêché en Ligue Butagaz Energie à la suite de la décision de la Commission Nationale de Contrôle de Gestion (CNCG) de rétrograder Mérignac en N1 (3e Division) pour des irrégularités financières. Promu en Première Division la saison dernière, Sambre-Avesnois pourrait ainsi enchaîner une deuxième saison dans l'élite.
Cette décision n'est cependant pas tout à fait définitive, puisque Mérignac - 9e la saison dernière - a fait appel. En proie à des difficultés similaires en 2023, le club avait déjà été relégué administrativement, mais avait finalement gagné en appel très tardivement pour sauver sa place dans l'élite. Un scénario qui pourrait - ou pas - se répéter en 2025.

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Le coup de gueule d'Alejandro Davidovich Fokina contre l'ATP : « Ils promettent toujours des choses, mais rien ne change jamais »
Dans un message publié sur X, le joueur de tennis espagnol Alejandro Davidovich Fokina s'en est violemment pris à l'ATP, qui a refusé de déprogrammer son troisième tour au Masters 1000 de Toronto, jugé trop matinal par le 19e joueur mondial. Alejandro Davidovich Fokina n'a pas mâché ses mots. À la veille de son troisième tour au Masters 1000 de Toronto, l'Espagnol s'est fendu d'un message virulent sur les réseaux sociaux pour dénoncer la programmation de son match, fixé à 11h vendredi (17h en France), soit une heure et demie plus tôt que tous les autres. « Aujourd'hui, je souhaite partager ma déception et ma frustration envers l'ATP », a-t-il écrit sur X. En cause : un réveil bien trop matinal pour un joueur logé à une heure du site. « Cela signifie que nous devons nous lever extrêmement tôt pour arriver dans de bonnes conditions », poursuit le récent finaliste de l'ATP 500 de Washington, battu malgré trois balles de match. L'actuel 19e mondial assure avoir tenté de faire bouger les choses, sans succès. « Nous avons demandé un changement, mais la réponse a été que tout était déjà vendu : les billets, les droits TV, etc. Une fois de plus, il est évident que les joueurs ne sont pas pris en considération », déplore-t-il, pointant du doigt un manque d'écoute récurrent des instances vis-à-vis des joueurs. « Aujourd'hui, cela est arrivé à d'autres, demain c'est moi, et à partir de demain, tous les matches recommencent à 12h30. Il y a pourtant plein de courts disponibles, et pourtant, nous sommes les seuls à jouer à 11h. » « Quand on est à l'intérieur, on se rend compte que ce n'est pas aussi beau que ça en a l'air de l'extérieur. » Alejandro Davidovich Fokina Très critique envers l'organisation, Davidovich Fokina s'en prend frontalement à l'ATP, qu'il accuse de ne pas tenir ses engagements. « L'ATP promet toujours qu'ils vont arranger les choses, mais rien ne change jamais », lance-t-il. Et de conclure, amer : « Ce n'est pas la première fois que cela arrive, et quand on est à l'intérieur, on se rend compte que ce n'est pas aussi beau que ça en a l'air de l'extérieur. »

L'Équipe
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Verstappen fidèle et Vasseur prolongé : la fin des rumeurs incessantes dans le paddock
Depuis plusieurs semaines, des rumeurs pas toujours fondées annonçaient Max Verstappen chez Mercedes et Frédéric Vasseur non conservé par Ferrari. Finalement, les deux resteront à leur place l'an prochain. Tous les jeudis de Grands Prix, depuis le début de la saison ou presque, Max Verstappen avait droit aux mêmes questions sur son avenir à court terme. Auxquelles il répondait toujours de manière laconique, se contentant de répéter qu'il était bien là où il est. En l'occurrence Red Bull, sa deuxième famille, celle avec laquelle il a glané tant de succès (44 poles, 65 victoires, 4 titres mondiaux). Une équipe avec laquelle il est sous contrat jusqu'en 2028, ce qui aurait dû empêcher tout questionnement, mais les nombreuses clauses de sortie annuelles de ce type d'accord autorisent toujours la naissance de rumeurs ou de fantasmes. Le premier semestre cataclysmique du clan autrichien a contribué à les renforcer. Red Bull est entré dans une nouvelle ère après Horner... et Max Verstappen le vit bien Il y a d'abord eu le scandale dans lequel s'est retrouvé empêtré en début d'année l'emblématique patron de Red Bull Christian Horner, visé par une enquête interne pour comportement inapproprié envers l'une de ses assistantes avant d'être blanchi et maintenu dans ses fonctions. Mais Jos Verstappen, le père de Max, n'avait pas manqué l'occasion pour dire tout le mal qu'il pensait d'Horner et de la situation, craignant de voir l'équipe de son fils déstabilisée. Le début de saison n'a rien arrangé puisque le champion en titre s'est vite retrouvé, malgré son talent intact et son engagement total en piste, sous la domination des McLaren de Piastri et de Norris. De quoi l'imaginer avoir des envies d'ailleurs, notamment du côté de Mercedes puisque George Russell avait lui-même fini par lâcher que l'éventuelle prolongation de son contrat avec la marque allemande traînait du fait des discussions en cours entre Toto Wolff et Max Verstappen. « Il est temps de mettre fin à toutes ces rumeurs » Max Verstappen Le patron de Mercedes, toujours habile dans les parties de poker menteur et les négociations, ne niait d'ailleurs pas. La rumeur continuait donc de faire son chemin et chacun y trouvait sans doute son intérêt. Jeudi, le Néerlandais a sifflé la fin des débats en tout genre. « Je n'ai jamais vraiment parlé de ça parce que j'étais concentré sur les discussions avec l'équipe pour améliorer nos performances et réfléchir à des idées pour l'année prochaine, a-t-il annoncé lors du point presse d'avant GP organisé par Red Bull. Je pense qu'il est temps de mettre fin à toutes ces rumeurs, il a toujours été assez clair pour moi que je resterais. » Une clause de sortie de contrat devenue caduque ou l'éviction brutale de Christian Horner, remplacé il y a trois semaines par Laurent Mekies, sont peut-être à l'origine de cette prise de parole plus ferme que les précédentes. Et surtout définitive. « Radio Paddock » devra donc trouver d'autres idées pour animer la pause estivale. Vasseur prolongé Lorsqu'il est entré dans le paddock flambant neuf du Hungaroring, il avait le sourire. Non pas devant les travaux pharaonesques que le circuit magyar a entrepris pour célébrer son quarantième anniversaire. Et encore moins pour la prolongation de son contrat qui avait été officialisé dès potron-minet. Fred Vasseur était tout sourire parce qu'il avait battu son adjoint Jérôme d'Ambrosio au padel et le chambrait tranquillement. Car pour son avenir à Maranello, le Français n'a jamais tremblé. Sans doute s'est-il un peu agacé, ces dernières semaines, d'improbables rumeurs l'envoyant au chômage. Il s'en était amusé avant que cela ne l'énerve quelque peu, au Canada. Depuis, il était passé à autre chose, s'occupant de ce que pourquoi la Scuderia l'a prolongé de « plusieurs années ». À savoir la voiture et la compétition. Parce qu'à Maranello, ni John Elkkan, l'administrateur de Ferrari, ni Benedetto Vigna, le président de la marque ne pouvaient se permettre de changer de tête à six mois du grand changement réglementaire programmé pour l'an prochain. « Franchement, ce n'est pas une surprise sauf pour ceux qui colportent des rumeurs » Charles Leclerc, sur la prolongation de Vasseur Les deux Italiens, comme le monde de la Formule 1, savent que les changements prennent du temps, beaucoup de temps. Et qu'en deux années, le Français a déjà enclenché beaucoup de choses sans en récolter, encore, tous les fruits. 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