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Le plus grand narcotrafiquant d'Équateur, «Fito», extradé vers les États-Unis

Le plus grand narcotrafiquant d'Équateur, «Fito», extradé vers les États-Unis

Le Figaro3 days ago
Arrêté fin juin après un an et demi de cavale, Adolfo Macias est accusé aux États-Unis de trafic de cocaïne et d'armes.
Le gouvernement équatorien a extradé dimanche vers les Etats-Unis Adolfo Macías, alias «Fito », le plus grand trafiquant de drogue d'Equateur, arrêté fin juin après un an et demi de cavale, a annoncé l'autorité pénitentiaire.
Le baron de la drogue «a quitté le Centre de privation de liberté La Roca», gardé par des policiers et des militaires, «dans le cadre d'un processus d'extradition», a déclaré l'autorité pénitentiaire (SNAI), dans un message envoyé aux journalistes. Il est accusé aux Etats-Unis de trafic de cocaïne et d'armes.
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Le Parisien

time30 minutes ago

  • Le Parisien

Municipales à Paris : « déni », « outrance »… Renvoyée en procès, Rachida Dati étrillée par ses rivaux

Son renvoi en correctionnelle prononcé ce mardi par les magistrats pour des faits présumés de corruption et de trafic d'influence semble, une fois de plus, ne pas l'inquiéter outre mesure. Rachida Dati, qui ne cesse de répéter qu'elle n'a « peur de rien ni de personne » assure qu'elle ne « renoncera sur rien » . Et surtout pas à la mairie de Paris. Tandis qu'Emmanuel Macron l'a rapidement assuré de son maintien à son fauteuil de ministre de la Culture et que Gérald Darmanin a déclaré qu'il souhaitait toujours « ardemment qu'elle soit maire de Paris », la candidate (encore non officielle) aux municipales de 2026 fait fi des accusations qui pèsent sur elle et sur sa campagne.

Le Japon maintient son mandat d'arrêt contre Paul Watson malgré la décision d'Interpol
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Le Figaro

time3 hours ago

  • Le Figaro

Le Japon maintient son mandat d'arrêt contre Paul Watson malgré la décision d'Interpol

Un jour après la levée par Interpol de la notice rouge qui visait l'emblématique défenseur des baleines, le gouvernement japonais a affirmé que les poursuites à son encontre restaient valides. Le Japon a dénoncé mercredi 23 juillet la levée de la notice rouge d'Interpol qui visait le militant écologiste américano-canadien Paul Watson, figure de la défense des baleines, et affirmé que son mandat d'arrêt reste valide. La levée de cette notice est «extrêmement regrettable», a déclaré un porte-parole du gouvernement japonais lors d'un point de presse régulier. «L'annulation ne change pas le fait que le mandat d'arrêt du Japon à son encontre reste valide», a-t-il ajouté. «Notre position reste inchangée: nous continuerons d'appeler les parties concernées à procéder à son extradition», a-t-il encore affirmé. Le Japon accuse Paul Watson d'être coresponsable de dommages et blessures à bord d'un navire baleinier japonais en 2010 dans le cadre d'une campagne menée par l'ONG Sea Shepherd. Publicité Notice rouge annulée par Interpol mardi «Notice rouge annulée! Les baleiniers japonais ont été sur mon dos pendant 14 ans et depuis ma première arrestation à Francfort (Allemagne), en mai 2012», a écrit mardi Paul Watson sur le site internet de sa fondation en faveur des océans, qui porte son nom. Un porte-parole d'Interpol, l'organisation internationale de police criminelle, a confirmé à l'AFP que la commission de contrôle des fichiers (CCF) avait «décidé d'effacer» cette notice rouge. «Ce n'est pas un jugement sur le fond du dossier, ou sur ces événements qui ont eu lieu en 2010, mais une décision basée sur les règles d'Interpol en matière de gestion des données», a expliqué ce porte-parole. Interpol émet des notices rouges, qui constituent des demandes de localiser une personne suspecte et de procéder à son arrestation provisoire dans l'attente de son extradition, mais celles-ci n'ont pas le statut de mandat d'arrêt. Paul Watson, 74 ans, a été détenu au Groenland pendant cinq mois, avant que le Danemark ne rejette une demande d'extradition du Japon. Il a pu rentrer à Paris, où il vit depuis 10 ans, le 20 décembre 2024.

«Je ne pense pas que le gamin aurait survécu» : aux États-Unis, un enfant de 4 ans mordu par un puma et sauvé par son père
«Je ne pense pas que le gamin aurait survécu» : aux États-Unis, un enfant de 4 ans mordu par un puma et sauvé par son père

Le Figaro

time6 hours ago

  • Le Figaro

«Je ne pense pas que le gamin aurait survécu» : aux États-Unis, un enfant de 4 ans mordu par un puma et sauvé par son père

Après cette attaque survenue ce dimanche 20 juillet dans un parc national de l'État de Washington, le félin a été euthanasié. «L'une des créatures les plus solitaires, insaisissables et furtives des forêts.» C'est ainsi qu'est décrit le puma sur le site internet du parc national Olympique de l'État de Washington. Venue se promener un beau dimanche de juillet dans cet espace naturel d'exception, une famille d'Américains ne s'attendait donc certainement pas à faire une telle rencontre. Et encore moins à subir une attaque. Un enfant de 4 ans a été grièvement blessé par une morsure du félin, rapporte le média américain CBS News. Selon un communiqué du National Park Service publié ce lundi 21 juillet, les gardes forestiers ont été informés d'une attaque vers 15h15 la veille. Ils ont appris qu'un puma portant un collier avait mordu un enfant qui se promenait sur un sentier avec sa famille. Les ambulanciers et le personnel du parc, rapidement envoyés sur place, ont transféré l'enfant vers un centre médical de Seattle, spécialisé dans la traumatologie. Publicité «C'est un héros» Selon CBS News, Steve Murrow, un témoin situé non loin de la zone au même moment, a entendu «comme les cris d'un jeune enfant». Il s'est approché et a vu une mère tenant son fils, tous deux entourés d'un groupe qui tentait de les rassurer. Certains auraient raconté à Murrow que c'est le père qui est intervenu pour éloigner l'animal. «Je ne pense pas que le gamin aurait survécu sans son intervention», poursuit cet homme, avant de conclure : «c'est un héros». Après cet accident, le puma auteur de l'attaque a été recherché par les gardes forestiers ainsi qu'une équipe canine. Il n'a été retrouvé que lundi matin et a ensuite été euthanasié, comme l'ont indiqué les responsables du parc. Ces derniers invitent les visiteurs à leur signaler toute rencontre de l'animal. «Bien que la population de pumas soit incertaine, son existence est attestée», écrivent-ils, indiquant la présence de «traces et d'empreintes» de pas dans certaines zones reculées du parc. Si l'observation du puma est rare de façon générale, une attaque de sa part sur un être humain l'est encore plus. Selon des données rapportées par le New York Times, seules quelques dizaines d'attaques mortelles ont été recensées aux États-Unis et au Canada au cours des 150 dernières années. Sur le site du service américain de la pêche et de la faune sauvage, il est déconseillé de courir en présence d'un puma ou de s'accroupir. Il faut, au contraire, agiter ses bras, parler lentement et fort pour «décourager tout comportement prédateur».

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