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En Ukraine, face aux salves de missiles et de drones russes, l'urgence absolue de la défense aérienne

En Ukraine, face aux salves de missiles et de drones russes, l'urgence absolue de la défense aérienne

Le Figaroa day ago
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DÉCRYPTAGE - Dix-sept systèmes Patriot payés par les Européens et livrés par les États-Unis pourraient être fournis à l'Ukraine.
Si l'Ukraine reçoit les armes promises par les États-Unis, à la faveur d'un deal avec les Européens, le cours de la guerre risque de ne pas changer, sans victoire militaire d'un camp contre un autre. Pour Kiev, qui lutte contre l'horloge, ce sera déjà un succès, et pour Vladimir Poutine, qui était persuadé que le temps jouerait en sa faveur, ce sera un revers. En permettant aux Ukrainiens de tenir, grâce à des systèmes de défense antiaériens Patriot, des missiles de longue portée et d'autres munitions, les Occidentaux espèrent décourager Moscou de poursuivre la guerre que la Russie livre depuis près de trois ans et demi.
L'Allemagne, le Royaume-Uni, la Finlande, le Danemark, la Suède, la Norvège, les Pays-Bas et le Canada pourraient « participer » à l'initiative annoncée par Donald Trump, a assuré lundi le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte. Mardi, certains confirmaient déjà. La France, faute de marge de manœuvre économique et faute d'avoir des Patriot, ne fait pas partie de la…
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Brest : trois agents de la brigade de tranquillité urbaine poursuivis pour violence avec arme
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Le Parisien

time2 hours ago

  • Le Parisien

Brest : trois agents de la brigade de tranquillité urbaine poursuivis pour violence avec arme

Trois agents de la brigade de tranquillité urbaine (BTU) de la ville de Brest, soupçonnés d'avoir agressé une personne sans domicile, seront jugés en correctionnelle pour violence avec arme en réunion, a indiqué le parquet mercredi. Le 30 juin, trois agents de cette unité censée lutter contre les incivilités en favorisant l'échange avec les citoyens. sont soupçonnés d'avoir agressé la victime avec une bombe lacrymogène, plusieurs heures après une intervention s'étant mal passé, selon le quotidien Le Télégramme qui a révélé l'affaire. Les trois agent ont été placés en garde à vue le 9 juillet et sont convoqués devant le tribunal correctionnel le 24 novembre, où ils seront également jugés pour faux en écriture, a confirmé le parquet à l'AFP. En attendant leur procès, les agents ont été placés sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer leur profession. La ville de Brest a précisé avoir pris « un arrêté de suspension de fonctions des agents en cause à titre conservatoire, en attente des conclusions judiciaires » dès qu'elle a eu « connaissance de l'information relative à la convocation au commissariat ». « A l'issue de la décision du tribunal, en cas de culpabilité de l'un ou plusieurs de ces agents, la ville de Brest engagera immédiatement une procédure disciplinaire conformément aux règles de la fonction publique », a-t-elle ajouté dans un communiqué transmis à l'AFP. Seule grande ville française dépourvue de police municipale, la municipalité PS de Brest qui n'en voulait pas avait lancé en novembre 2022 cette brigade de tranquillité urbaine aux pouvoirs limités. Les missions de la BTU sont « la dissuasion des incivilités à travers une présence active sur les espaces publics, une présence rassurante pour lutter contre le sentiment d'insécurité et en créant un lien renforcé avec les habitants et les commerçants », avait décrit la responsable du service stationnement et tranquillité urbaine de la ville de Brest lors de la création de la brigade.

Marine Le Pen dénonce un budget «indigne» et menace de «censure»
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Le Figaro

time2 hours ago

  • Le Figaro

Marine Le Pen dénonce un budget «indigne» et menace de «censure»

La cheffe de file du parti nationaliste a jugé «déséquilibré», «inefficace» et «indigne» le projet de budget de François Bayrou, menaçant de déposer une motion de censure si le gouvernement ne revoit pas sa copie. Le ton est ferme, la posture offensive. Au lendemain de la présentation du plan d'économies de François Bayrou, Marine Le Pen a de nouveau agité la menace de la censure. «En l'état, il est impossible pour le RN de ne pas censurer ce gouvernement», a-t-elle prévenu dans Le Parisien, ce mercredi. La présidente des députés Rassemblement national juge le budget présenté par le premier ministre à la fois injuste et inefficace : «Il faudrait que François Bayrou inverse quasiment totalement les grandes masses qu'il a annoncées. J'y crois peu.» L'élue du Pas-de-Calais étrille un projet selon elle déséquilibré. «Les augmentations d'impôts, ou devrais-je plutôt dire les réductions d'avantages, représentent peu ou prou 20 milliards d'euros, tandis que les économies sur le fonctionnement de l'État plafonnent à 1,8 milliard. C'est dérisoire. C'est même indigne!», accuse-t-elle. Le gouvernement prévoit notamment la fin de l'abattement de 10 % pour les retraités et la suppression de deux jours fériés, mesures jugées «choquantes» par Marine Le Pen : «En quoi le fait de priver les Français de deux jours fériés fait faire des économies à l'État? C'est un effort financier supplémentaire demandé à ceux qui travaillent. Ce n'est pas exactement la même chose. C'est un leurre.» Publicité L'immigration dans le viseur Dans sa ligne de mire : une fiscalité jugée trop concentrée sur les classes moyennes et les retraités, et des économies qu'elle estime inexistantes sur des postes pourtant prioritaires selon elle, comme l'immigration ou les énergies renouvelables. «On nous dit que tout le monde doit faire un effort, mais pas l'immigration? Je considère qu'un pays, dans la situation où il est, ne peut plus accueillir 500.000 personnes par an.» Quant à la perspective d'une dissolution de l'Assemblée nationale, l'ancienne candidate à l'Élysée l'envisage sans ciller : malgré la peine d'inéligibilité de cinq ans prononcée contre elle en première instance dans l'affaire des assistants parlementaires, elle entend bien se présenter. «Je me présenterai et j'irai défendre ma candidature auprès des instances chargées de la valider», affirme-t-elle. Elle prévoit notamment de déposer une question prioritaire de constitutionnalité au Conseil constitutionnel pour contester l'exécution immédiate de sa condamnation. «L'autorité constitutionnelle pourrait enfin analyser la validité de cette exécution provisoire de l'inéligibilité. (...) J'avais dit que j'utiliserai tous les recours possibles, je le ferai.»

Marine Le Pen explique comment elle compte concourir aux législatives en cas de dissolution
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Marine Le Pen explique comment elle compte concourir aux législatives en cas de dissolution

POLITIQUE - Un plan déjà bien précis en tête. Dans une interview donnée au Parisien, publiée ce mercredi 16 juillet, Marine Le Pen affirme croire « peu » à une version du budget de François Bayrou qui ne soit pas censurée par le Rassemblement national. Et se dit décidée, en cas de dissolution, à concourir aux législatives. Malgré sa peine d'inéligibilité. « Il faudrait que François Bayrou inverse quasiment totalement les grandes masses qu'il a annoncées. J'y crois peu », a résumé la patronne des députés RN au lendemain des annonces budgétaires du Premier ministre. « En l'état, il est impossible pour le RN de ne pas censurer ce gouvernement », a-t-elle répété. Lire aussi Interrogée ensuite sur son propre cas, dans l'hypothèse d'une nouvelle dissolution de l'Assemblée, la députée du Pas-de-Calais a répondu : « Je me présenterai et j'irai défendre ma candidature auprès des instances chargées de la valider (le tribunal administratif puis le Conseil d'État ndlr). » « J'utiliserai tous les recours possibles » Marine Le Pen déposerait dans ce cas une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) au Conseil constitutionnel sur le sujet de l'exécution immédiate d'une peine d'inéligibilité. « L'autorité constitutionnelle pourrait enfin analyser la validité de cette exécution provisoire de l'inéligibilité (...) J'avais dit que j'utiliserai tous les recours possibles, je le ferai », a-t-elle précisé. Marine Le Pen a été condamnée en première instance dans l'affaire des assistants d'eurodéputés FN (devenu RN) à une peine de cinq ans d'inéligibilité dont l'exécution est immédiate dans ce genre d'affaires, qui l'empêche à ce stade de concourir à la prochaine présidentielle ou à de nouvelles législatives, et ce même si elle a fait appel.

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