
« Une formidable publicité pour le foot » : Ousmane Dembélé, le joueur en or qui met tout le monde d'accord
Série
Épisode 2
L'international français, candidat crédible au Ballon d'or, incarne le renouveau du football tricolore. Sa popularité et ses performances contribuent à revaloriser l'image de la Ligue 1 sur la scène européenne.
Par Stéphane Bianchi
Le 11 août 2025 à 12h00, modifié le 11 août 2025 à 12h00
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30 minutes ago
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Ligue des champions : Nice, un miracle sinon rien face à Benfica
Battus 0-2 sur leurs terres à l'aller, les Aiglons sont condamnés à l'exploit ce mardi, à Lisbonne, pour se hisser en barrages de la Coupe aux grandes oreilles. Plombé par sa défaite au match aller mercredi à l'Allianz Arena (0-2), Nice se retrouve dos au mur, condamné au miracle ce mardi soir, à l'Estadio de la Luz contre le Benfica Lisbonne, pour espérer arracher une place en barrages de la Ligue des champions. Le scénario est mince, très mince. Juste après la défaite contre Benfica mercredi soir, Franck Haise était d'ailleurs lucide. En deux phrases, il a résumé la différence entre un grand d'Europe et un club qui aspire à rester dans le Top 7 français cette saison, malgré de fortes restrictions budgétaires. Publicité Même si Benfica a disputé, jusque tard dans la saison, la Coupe du monde des clubs aux États-Unis, avec moins de préparation que les Aiglons, «ils sont plus forts que nous, on n'est pas dans la même catégorie», a reconnu l'entraîneur niçois. Il a surtout acté ne pas pouvoir faire mieux. «On est obligé de constater qu'on a donné le meilleur qu'on pouvait dans les circonstances du moment et avec les événements du match», a-t-il signifié, comme pour accepter le futur. Sans ses six blessés, ses trois défenseurs centraux Ndayishimiye (genou), Bombito (tibia) et Abdelmonem (genou), son latéral Abdi (pubalgie), son milieu Ndombélé (pubalgie) et son attaquant Cho (convalescence), mais aussi sans Evann Guessand, alors en partance pour Aston Villa, Nice ne pouvait guère faire mieux. Sanson et Dante out Depuis, la situation ne s'est pas améliorée. Guessand a quitté le club pour l'Angleterre et un chèque de 35 millions d'euros, bonus compris. Morgan Sanson, lui, sorti dès la demi-heure à l'Allianz, souffre d'une déchirure à une cuisse et ne sera pas disponible. Dante, sorti à la pause mercredi et touché au genou droit, est, lui, insuffisamment remis pour ce déplacement. Enfin, Pablo Rosario, «en instance de départ, ne souhaite pas participer au match», a indiqué son entraîneur. Pourtant, Nice rêve «d'exploit». Pour disputer les barrages contre le vainqueur de Feyenoord-Fenerbahçe (2-1 à l'aller), l'équipe devra «rester en vie» le plus longtemps possible. Nice, orphelin de Guessand et Laborde, ses deux meilleurs buteurs de la saison dernière, se reposera sur Terem Moffi, titulaire pour la première fois depuis 15 mois en compétition à l'aller, et encore en phase de développement. «On sait qu'il y a besoin de certains renforts», reconnaît Haise, à ce sujet. Mais en attendant, Haise compte sur ce match pour préparer la réception de Toulouse, samedi, en ouverture de la L1. «Le discours sera de continuer à apprendre, lutter et chercher à faire un résultat», indique-t-il, avant de conclure: «Certes, c'est à l'extérieur, ils mènent 2-0, mais ces matches doivent nous faire grandir.»


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Mercato PSG : Paris plus que jamais prêt à tourner la page Donnarumma
C'est un geste fort et loin d'être anecdotique qui acte encore un peu plus la position du PSG au sujet du cas Gianluigi Donnarumma. Un dossier très symbolique qui s'annonce brûlant et qui va rythmer la fin du mercato parisien. Trois jours seulement après l'officialisation de la signature de Lucas Chevalier, le club de la capitale a pris la décision ce lundi de ne pas convoquer le portier italien dans le groupe amené à affronter Tottenham mercredi soir (21 heures) lors de la Supercoupe d'Europe organisée à Udine. Si l'on savait que la venue de l'ancien dernier rempart du Losc, arrivé dans le costume de numéro 1, rapprocherait inévitablement Donnarumma (26 ans) de la sortie, cette tendance s'est fortement confirmée avec ce choix fort effectué par Luis Enrique en personne à 48 heures du premier match de la saison. En décidant de laisser à quai le gardien transalpin et ne le conviant pas à ce déplacement en Italie, le coach espagnol envoie un message clair et précis : l'un des héros de la dernière campagne de Ligue des champions est plus que jamais prié de trouver un nouveau point de chute cet été. Donnarumma n'a pas non plus totalement dû tomber de sa chaise en apprenant la nouvelle puisqu'il n'avait pas participé aux oppositions lors de l'entraînement du jour, quelques heures plus tôt à Poissy, contrairement à Lucas Chevalier, Matvey Safonov et Renato Marin. Pour autant, cette non-convocation témoigne de la volonté du club de ne pas faire cohabiter le Français et l'Italien pendant une saison complète. Et rappelle que le PSG ne veut pas voir partir libre Donnarumma, sous contrat jusqu'en 2026. À voir aussi Des courtisans en Angleterre Si l'ancien portier de l'AC Milan a maintes fois répété son envie de poursuivre sa carrière dans la capitale, il n'est jamais parvenu à trouver un accord avec la direction parisienne pour prolonger son bail, refusant les conditions proposées avec un salaire fixe complété par une part variable. Le dossier était sur la table des négociations depuis pratiquement un an mais celui-ci n'a jamais connu d'avancée majeure, malgré les exploits répétés de Donnarumma en Ligue des champions. Dans l'entourage du Transalpin, on a longtemps diffusé l'idée que le joueur pouvait rester à Paris jusqu'à la fin de son contrat. Mais son absence dans le groupe du PSG démontre bien qu'un futur en rouge et bleu s'annonce difficile à imaginer. Alors qu'un départ pourrait être facilité par la direction sportive, tout le défi des vingt prochains jours consistera à trouver un nouveau projet à la hauteur de l'un des meilleurs gardiens de la planète qui possède quelques courtisans du côté de l'Angleterre et de la Premier League.


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Rugby : les joueuses porteront des protège-dents lumineux pour signaler les chocs à la tête au Mondial 2025
Les joueuses qui disputeront la Coupe du monde de rugby en Angleterre, du 22 août au 27 septembre, porteront des protège-dents connectés qui s'illumineront en cas de choc important à la tête, a annoncé lundi World Rugby. Le protège-dents s'allumera en rouge si une joueuse subit un choc suffisamment violent pour potentiellement causer une commotion cérébrale. Le flash lumineux permettra aux joueuses, au corps arbitral mais aussi aux spectateurs de déceler les impacts violents à la tête. L'arbitre devra alors arrêter le match et la joueuse concernée quittera le terrain pour subir un examen médical dans le cadre du protocole commotion. Un système destiné à être généralisé L'objectif est d'introduire ce système dans toutes les compétitions de rugby de haut niveau, ont précisé les représentants de World Rugby lors d'une conférence de presse à Londres. À voir aussi Toutes les joueuses de la Coupe du monde féminine porteront ces protège-dents, à l'exception de deux d'entre elles qui portent un appareil dentaire, a précisé Eanna Falvey, médecin en chef de World Rugby. Selon une statistique World Rugby, dans le rugby masculin, environ 85 % des joueurs portent des protège-dents connectés, qui ne sont pas pour l'heure obligatoires.