
« Un faux défenseur de l'environnement » : une star du documentaire « Tiger King » condamné à un an de prison pour trafic d'animaux
personnage phare de la troisième saison
, a été condamné à un an d'emprisonnement et 55 000 dollars d'amende pour trafic d'animaux.
Comme le rapporte
CBS News
, l'homme de 65 ans avait plaidé coupable en novembre 2023 de trafic sur trois chimpanzés et de blanchiment d'argent.
« Doc Antle se présentait comme
un faux défenseur de l'environnement
. En réalité, il était un acteur clé du commerce illégal de chimpanzés et a blanchi plus d'un demi-million de dollars grâce à un réseau complexe de tromperies », a déclaré le procureur fédéral Bryan Stirling pour le district de Caroline du Sud dans un communiqué.
La star de Netflix, apparue dans la première saison,
l'une des plus regardés à son lancement dans l'histoire de la plate-forme aux États-Unis
, blanchissait de l'argent utilisé dans un réseau de trafic d'êtres humains, car il avait besoin rapidement d'importantes sommes d'argent pour acheter des animaux comme des chimpanzés, des lions, des tigres, des guépards et d'autres créatures. La vente de ces animaux est illégale car ils sont considérés comme menacés.
« Il les vendait sciemment et illégalement dans le cadre d'un marché noir qui alimente un autre marché noir de braconnage et de contrebande », a déclaré un deuxième procureur au tribunal ce mardi. « J'ai commis une erreur, j'ai fait des choses stupides », a tenté de se défendre l'accusé.
La saga « Tiger King » n'en est pas à son coup d'essai en termes d'ennuis judiciaires.
La star de la saison 1 Joe Exotic
, de son vrai nom Joseph Maldonado, purge actuellement une peine de 21 ans de prison fédérale pour avoir tenté d'engager deux hommes différents pour tuer un autre personnage de la série, Carole Baskin.
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Avant de voir « Mercredi » saison 2 sur Netflix, voici ce dont il faut se souvenir de la saison 1
SÉRIES TÉLÉ - Dans la famille Adams, je demande la fille. Deuxième série la plus regardée sur Netflix après Squid Game, Mercredi a fait son retour sur la plateforme de streaming, ce mercredi 6 août, à l'occasion de la mise en ligne des quatre premiers épisodes de cette nouvelle saison, près de trois ans après le raz-de-marée de la précédente. La petite gothique au teint pâle incarnée par Jenna Ortega n'a pas changé d'un iota. Elle est toujours coiffée des mêmes tresses, porte les mêmes habits noirs, et ne sourit toujours pas. Rebelote : Mercredi reprend le chemin de Nevermore, cette académie pour « marginaux » où ses parents ont craqué l'un pour l'autre des décennies plus tôt. Sirènes, loups-garous, gorgones et autres ados atypiques s'y croisent. L'aînée de la famille Addams est, elle, dotée d'un don de voyance qui, comme lors de la première saison de cette série à mi-chemin entre Veronica Mars et Les nouvelles aventures de Sabrina, va lui être bien utile pour résoudre de nouvelles enquêtes. Mercredi vs. Laurel Gates Quid des précédentes ? Les avez-vous encore en tête ? Et où l'intrigue nous a-t-elle laissés en 2022 ? Petit rafraîchissement de mémoire. À son arrivée à Nevermore, Mercredi fait une découverte tragique : un de ses camarades est tué devant ses yeux par un monstre en pleine forêt. Il ne sera pas le seul, plusieurs élèves de l'école vont connaître pareil destin. Plus décidée à mettre son nez là où il ne faut pas plutôt qu'à suivre les cours (ou se faire des amis), Mercredi se lance à la recherche du tueur, contre l'avis du shérif ou de sa proviseure. Grâce aux connaissances de son oncle Fétide, la jeune femme apprend alors l'existence des Hyde, de dangereuses créatures libérées par hypnose, et découvre que son crush (un « normi » du nom de Tyler) en est une. Ce que Mercredi découvre aussi, c'est que sa prof de botanique Marilyn Thornhill contrôle le jeune garçon de café, et le fait se transformer en monstre pour s'attaquer aux étudiants. Car contrairement aux apparences, Marilyn Thornhill n'a rien de sympathique et les méprise. Son vrai nom ? Laurel Gates. Elle est la descendante du terrible Joseph Crackstone. « Je te surveille » Le Pilgrim n'a pas seulement fondé Jericho, la ville la plus proche de Nevermore, il y a surtout institué une culture de haine à l'égard des marginaux depuis le début du XVIIe siècle. Assassiné par Goody Addams, une ancêtre de Mercredi avec qui elle entretient une connexion psychique, il va renaître de ses cendres sous l'impulsion de Laurel Gates à l'aide d'une magie noire, et ainsi donné lieu à un affrontement sans merci avec notre héroïne. Grâce à ses nouveaux amis, Mercredi sort victorieuse de ce combat. Le mort-vivant finit en cendres, et celle qui l'a ressuscitée attaquée par un essaim d'abeilles. Mais l'adolescente n'est pas pour autant sortie d'affaires. Les dernières images montrent le Hyde, que sa coloc Enid avait permis de capturer, se libérer de ses chaînes, et Mercredi recevoir un texto inquiétant : « Je te surveille ». « Mon premier harceleur, souffle-t-elle à la lecture du message. Ces vacances risquent d'être plus intéressantes que prévu. Contrairement à mon roman, il reste des questions en suspens. Des secrets planent encore sur Jericho. Laurel Gates et Tyler n'étaient-ils que des pions ? » Il est l'heure des réponses, et de mettre la deuxième saison sur « play ».


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Lady Gaga, Les Oiseaux, relation mère-fille, satire... Tout ce qu'il faut savoir sur la saison 2 de Mercredi
RENCONTRE - De passage à Paris, les scénaristes de la série à succès de Netflix, Alfred Gough et Miles Millar, reviennent sur leurs sources d'inspiration. Routiers de la télévision, Alfred Gough et Miles Millar sont les têtes pensantes derrière la série Smallville, qui imaginait l'adolescence de Superman. La saga a duré dix saisons. Cette idée de revenir sur la jeunesse d'un personnage mythique de la pop culture leur a, à nouveau, porté chance avec la série Mercredi, qui retrace la scolarité semée d'embûches et de complots de Mercredi Addams, la fille de la Famille Addams. Plus gros succès de Netflix en 2022, la série est enfin revenue sur les écrans, ce mercredi. Quatre épisodes inédits avant une nouvelle salve en septembre prochain. De passage à Paris, Alfred Gough et Miles Millar sont revenus, pour TV Magazine, sur leurs sources d'inspiration. 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L'autre envie qui a présidé à ces nouveaux épisodes est celle d'accorder une plus grande place aux autres membres de la famille Addams et de les plonger dans l'environnement de Nevermore. La mythologie de La Famille Addams n'a jamais été très structurée. Leur créateur Charles Addams était plus intéressé par la satire de la famille américaine parfaite de l'après-guerre que de donner un prénom à ses personnages. Ils n'ont été baptisés que dans les Sixties. Cela nous a donné une grande liberté ! La Famille Addams va avoir un rôle plus proéminent cette saison. HELEN SLOAN/NETFLIX Publicité Miles MILLAR. - Nous avions carte blanche pour créer des histoires, imaginer les liens entre les personnages. C'est exaltant car très rare pour une propriété intellectuelle de cette ampleur. Avec ces nouveaux volets, nous avons voulu aussi rendre hommage aux classiques du genre tels que Les Oiseaux de Hitchcock, Frankenstein et Shock Corridor. Dans ce film noir, un journaliste infiltre un hôpital psychiatrique, où il se fait interner. AG.- Les films de Barry Sonnenfeld avec Anjelica Huston et Christina Ricci nous ont aussi inspirés. Notre second épisode se déroulant dans un camp de colonie de vacances est un clin d'œil aux Valeurs de la famille Addams. Cette seconde saison est également dominée par la relation tendue entre mercredi et sa mère Morticia. AG.- Miles et moi, nous avons quatre filles, et sommes donc aux premières loges pour la relation mère-fille. Mercredi a intégré Nevermore à reculons car elle craignait de rester dans l'ombre de sa mère. Le fait que sa mère s'installe dans un cottage de l'établissement est un cauchemar ! Nous voulions aussi montrer Morticia sous un autre jour. Quel genre de mère est-elle avec Mercredi ? Quel genre de fille est-elle avec sa propre mère honnie Hester ? Comment vit-elle la complicité entre Mercredi et Hester, incarnée par la géniale Joanna Lumley d'Absolutely Fabulous ? MM.- Grâce à la présence de Tim Burton derrière la caméra, nous avons la chance de pouvoir convaincre des seconds rôles de rêve comme Joanna ou Lady Gaga que vous découvrirez dans la vague d'épisodes qui seront mis en ligne, mercredi 3 septembre. AG.- Nous avons aussi voulu donner son heure de gloire au petit frère de Mercredi Pugsley, qui est le grand oublié du clan. Il mérite d'avoir ses propres épreuves et c'était une joie d'imaginer sa complicité avec son père. Contrairement à nombre de familles qui semblent normales et sont dysfonctionnelles, les Addams sont unis. Alfred Gouth Publicité Comment expliquez-vous la popularité de la Famille Addams, toujours aussi plébiscitée par le public 87 ans après sa création ? AG.- Lorsque Charles Addams imagine la Famille Addams, c'est sous la forme d'une satire de la famille américaine nucléaire idéale telle qu'on la conçoit au vingtième siècle puis dans l'Amérique de l'après Seconde Guerre mondiale. La Famille Addams nous touche car elle met en scène une famille d'êtres bizarres et excentriques qui s'adorent. Ils s'apprécient parce qu'ils sont différents. Il n'y a pas d'ostracisme chez eux. ils sont très ouverts. Contrairement à nombre de familles qui semblent normales et sont dysfonctionnelles, eux sont unis. Cet aspect satirique leur donne aussi une qualité intemporelle. MM.- Ce que nous a appris le succès de la série, c'est que tous les spectateurs se reconnaissent dans ces écoliers à la marge, scolarisés à Nevermore. Chacun d'entre nous se considère comme un outsider. Nous avons essayé de conserver cette pointe de satire. Prenez le proviseur Dort, joué par Steve Buscemi, c'est un optimiste de l'extrême ! Comment vous est venue l'idée de faire une nouvelle série sur la Famille Addams ? AG.- Nous étions en 2018 et nous venions de boucler deux séries SF d'ampleur : The Shannara Chronicles et Into the Badlands . Nous rêvions d'un projet à taille plus humaine. Nous aimons beaucoup le personnage de Mercredi Addams et nous avons eu envie de raconter une histoire de pension. Dans les dessins de Charles Addams, Mercredi est toujours une gamine de dix ans, pleine de bons mots, qui a les meilleures répliques. On s'est demandé : que donnerait Mercredi au lycée ? Elle n'y résisterait pas plus de 5 minutes ce qui est effectivement le cas lors de la scène d'ouverture de la série. Dans les vignettes, Charles Addams dessinait des petits monstres, cela nous a donné l'idée d'inventer une école de parias. MM.- La Famille Addams étant très populaire, on n'a pas anticipé à quel point le projet peinerait à décoller. Seul Netflix éprouvait de l'intérêt mais à ce moment-là, la plateforme n'était pas en mesure de nous proposer un contrat. Le studio MGM nous a financé une salle d'écriture. Signe du destin que ne renierait pas Mercredi Addams, nos travaux ont commencé la première semaine du confinement de 2020 ! AG.- Il nous fallait un coup de pouce. Les scripts ne suffisaient pas. C'est comme ça qu'on a eu l'idée de contacter Tim Burton. Il était notre premier et seul choix. Nous étions assez pessimistes car il n'avait jamais travaillé pour la télévision. Mais qui ne demande rien n'a rien. On a tenté. Quatre jours plus tard, on n'en revenait pas. Son agent nous rappelait. Tim, en plus, voulait faire plus qu'un seul épisode ! Il voulait participer à toute la série ! Publicité MM.- Il nous a aidés à donner une vraie dimension cinématographique à notre série. Chaque épisode est son propre mini-film. Comme dans ses longs-métrages, Tim nous a poussés à miser sur les trucages pratiques plutôt que des écrans verts et effets spéciaux pour rester plus authentiques et émotionnellement ancrées. Cette seconde saison fait un peu plus peur. Comment dosez-vous l'horreur ? MM.- Ce n'est pas de l'horreur pure. Même quand c'est un peu dur et brutal, comme dans l'épisode 4. Mercredi n'est pas un film gore de slasher. 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«Hollywood s'est complètement retourné contre moi» : un ancien acteur de Desperate Housewives raconte son calvaire
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