
Des implants en titane, en silicone ou en... ciment médical : alerte sur la mode des mâchoires carrées
La tendance de la « jawline », contours du visage taillés à la serpe, explose dans les années 2020. Les jeunes raffolent des injections à l'acide hyaluronique, capable de redessiner les bas du visage, sans chirurgie. Brice boude la technique : « Ça ne dure pas ! Il faut sortir 600 euros tous les six mois ! Je voulais une solution définitive. » Durant des années, Internet ne lui propose rien. Jusqu'à cette découverte récente sur le site du docteur Nicolas Lari, chirurgien esthétique marseillais : « implants en titane. »
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Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Pourquoi il faut aller au Joy, le bar à cocktails à l'ancienne du Fouquet's
Planquée à l'étage du Fouquet's, cette terrasse est le nouveau royaume de Barbara Migliaccio Spina, mixologue de haut vol. Le Fouquet's, au croisement des Champs-Élysées et de l'avenue George-V, sait créer des ambiances uniques, déconnectées de l'atmosphère brouillonne du quartier. Ainsi, le visiteur monte quelques marches d'un escalier bordé de tissus plissés rouges dignes d'un film de David Lynch et se retrouve dans un jardin arboré, au paradis donc. Notons au passage que tous les établissements parisiens de luxe rivalisent de moyens pour mettre en valeur leurs espaces verts. Ici, le poumon de respiration est la terrasse du Joy, le bar à cocktails de l'établissement. Ce soir-là une chanteuse y reprend des vieux standards de jazz. L'endroit n'obéit pas aux modes. Ce pourrait être un lieu des années 2000, des années 1980, voir d'avant. C'est bien ainsi. Le Joy est une parenthèse intemporelle où des serveurs rapides et discrets virevoltent entre des groupes de jeunes femmes vingtenaires, des quadras professionnels de la publicité, des couples d'amoureux, des tennismen après l'entraînement. C'est un résumé de décennies d'art de vivre à la parisienne. Le Joy, bar à cocktails du Fouquet's. Mickael A. Bandassak/SDP Barbara Migliaccio Spina est arrivée il y a quelques semaines en qualité de directrice de la mixologie de l'hôtel. Les initiés avaient déjà croisé la dottoressa du shaker à l'Hotel Splendide Royal à Rome, à l'hôtel Bvlgari et à La Réserve. Elle vient de signer une carte aussi courte qu'efficace. Connaissant son inclinaison pour les eaux-de-vie mexicaines, il s'agit de déguster le Tommy's margarita (tequila, jus de citron vert, sirop d'agave) ou le Martinez mezcal (mezcal, vermouth, bitter citron noir), deux réinterprétations de classiques, puissantes, onctueuses, équilibrées. On se laisse bercer par le dirty Martini (vodka, vermouth sec Noilly Prat, saumure d'olive), relaxant comme une sieste dans un champ d'oliviers. À lire aussi On a testé l'American Bar, le nouveau bar à cocktails parisien dont tout le monde parle Publicité Des sans alcools tout aussi soignés Les sans alcools sont tout aussi soignés, avec un Gariguette aux arômes de rhubarbe et fraise, et un Floride qui joue la carte du pamplemousse. Les heures passent, rythmées par une petite restauration – mini burgers, foccacia – basique mais adaptée. Il y est possible de dîner plus sérieusement puisque l'endroit fait aussi restaurant avec une carte signée par le chef Pierre Gagnaire. Le Joy, c'est Deauville à Paris, un endroit idéal pour un apéritif, une fin de soirée, un peu n'importe quand en fait.


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Ce livre qu'Erri de Luca emporte en vacances : «Je choisis toujours des écrivains d'un autre pays et traitant d'autres siècles que le mien»
LIVRE D'ÉTÉ 6/9. - Dans ma valise, je mets un roman talisman, un auteur fétiche, le plein d'émotions… Neuf personnalités se racontent entre les lignes en révélant quel ouvrage elles emportent en vacances. Aujourd'hui, l'écrivain nous parle du livre Quentin Durward, de Walter Scott. «Ces temps-ci, je suis sous le charme des romans de Walter Scott. Je suis fasciné par la façon dont il nous entraîne dans les péripéties de ses héros, en l'occurrence un Écossais qui fuit son pays et devient archer du roi Louis XI. Mon admiration pour Scott tient aussi au genre dans lequel il s'est spécialisé : les romans historiques me permettent d'être sur place, de suivre les événements à hauteur de personnages, quand des dates ou des chroniques échouent à incarner les choses. Je choisis toujours des écrivains d'un autre pays que le mien, traitant d'autres siècles que le mien. Et comme j'oublie tout ce que je lis, je pourrai reprendre Quentin Durward dans ma valise pour l'année prochaine…» Erri de Luca publie aux Éditions Gallimard Récits de saveurs familières, coll. Blanche (256 p., 18 €), et le recueil Récolte à la lumière du jour, précédé d'Œuvre sur l'eau (176 p., 20,50 €), traduits de l'italien par Danièle Valin.


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Dans un bar, peut-on vraiment commander un cocktail qui n'est pas à la carte ?
Il arrive parfois de se confronter à une carte des cocktails dont les propositions ne nous offrent pas entière satisfaction… Mais alors, peut-on demander un cocktail qui n'est pas proposé ? Plus dur encore, le peut-on sans obtenir la palme du client le plus rasant du bar ? En matière de cocktails, rien n'est impossible. Alors, bien que le bar ne soit pas tenu de répondre favorablement à toutes vos exigences, demander votre chouchou absent de la carte ou un assemblage sur-mesure peut tout à fait être envisageable. Voici nos conseils pour amener votre demande sans paraître trop exigeant ou impoli. Nous distinguerons deux types de commandes hors carte, un classique ou une création sur-mesure. Dans le premier cas, si vous ne trouvez pas votre fidèle spritz à la carte du bar dans lequel vous avez élu domicile et que, ce n'est pas ce soir que vous le trahirez car vous avez une folle envie d'oranges. Pas de panique ! La majorité des bars ont les capacités techniques pour réaliser les grands classiques. Ne pas les afficher à la carte est simplement le moyen de mettre en avant leurs propres créations. Dans ce cas, n'exigez rien, mais demandez au serveur ou mieux, directement au barman, s'il est possible de vous en faire un. Car il se peut en revanche que le bar ne dispose pas des produits nécessaires à sa réalisation. Maxence Conchy, responsable du bar de La Cour à Angers, confirme qu'il s'agira souvent de la principale raison pour laquelle votre demande pourra être déclinée. «On refuse rarement les classiques, sauf exception. Et souvent, c'est faute de produits, mais on essaiera d'orienter au mieux pour s'en rapprocher.» Publicité Attention à la note Si au contraire vous souhaitez une création sur-mesure, alors quelques règles de bienséance s'appliquent. Vous pouvez en effet faire appel à la créativité du barman, mais ayez en tête que votre demande sera davantage exigeante pour ce dernier. Il est donc important de choisir votre timing, pour vous assurer qu'il puisse prendre le temps de répondre à vos attentes, notamment en échangeant avec vous. «Forcément, il y a des moments un peu moins propices. Je prends l'exemple du rush à l'apéritif, parfois ça peut être un peu plus compliqué pour nous», nous précise le mixologue. Préférez alors un peu avant ou après les horaires de forte affluence. À lire aussi «Il faut un peu s'y connaître» : un mixologue nous apprend à déceler les vraies arnaques des cocktails dans les bars Autre point, il est important de considérer le barman. Il conviendra davantage de vous adresser directement à ce dernier plutôt qu'au serveur. «Le sur-mesure veut bien dire ce qu'il veut dire. Personnaliser au maximum le cocktail. C'est pour ça que j'invite toujours les gens à se rapprocher des barmans. Ce sont eux les mieux placés pour en parler». Et pour de parfaites conditions, Maxence nous recommande une pratique parfois oubliée… «Il faut se mettre au comptoir. Je conseillerai toujours de s'installer au bar et de commencer à amorcer la discussion avec le barman.». Il y a fort à parier que ce dernier soit sensible à ce geste qui prouve d'un intérêt pour son travail. Il sera ainsi plus aisé pour vous d'amener votre demande. «Questionnez-le : «Est-ce que vous avez le temps pour qu'on parle cocktail ?» (…) Et ensuite, s'il y a un échange qui peut se créer c'est le top, notamment en parlant produits » nous préconise le chef barman. Car il sera plus approprié de prendre le temps d'échanger avec lui en précisant vos envies et préférences. Elles vous aideront à justifier votre intérêt à vous essayer à une nouvelle création. Attention à la note en revanche. Toute exigence se paie. Alors le prix sera lui aussi, sur-mesure.