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Le spécialiste du fitness Basic-Fit, un néophyte sur les routes du Tour de France

Le spécialiste du fitness Basic-Fit, un néophyte sur les routes du Tour de France

Le Figaroa day ago
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La marque, qui exploite plus de 800 clubs dans l'Hexagone, devient partenaire de la Grande Boucle. Une bonne façon de rappeler que les salles de sport sont loin d'être cantonnées aux métropoles ou aux grandes villes.
Un nouveau partenaire fait ses premiers pas sur le Tour de France. Il s'agit de Basic-Fit, le spécialiste du fitness, qui exploite quelque 1600 clubs en Europe, dont plus de la moitié dans l'Hexagone. Jusqu'à présent, le groupe international, coté à Euronext Amsterdam, ne s'était jamais aventuré dans le cyclisme. Mais il possède déjà une expérience du sponsoring sportif : avant de contractualiser avec ASO (la société organisatrice du Tour), Basic-Fit a accompagné pendant quatre ans le judoka Teddy Riner, qui a enrichi son palmarès de deux médailles d'or lors des Jeux de Paris 2024. Quatre ans : c'est également la durée de cette association inaugurale entre l'enseigne et le Tour.
Caravane publicitaire
Les discussions entre les deux parties ont duré plusieurs mois avant que le partenariat ne soit officialisé. Fabien Rouget, business-manager et porte-parole chez Basic-Fit, en détaille le contenu: tout d'abord, quatre véhicules aux couleurs de la marque (orange et gris) font partie de la caravane publicitaire…
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Lors de la 112e édition du Tour (5-27 juillet), la meilleure prime sera réservée, comme de coutume, à celui qui ramènera le maillot jaune à Paris. Honneur au maillot jaune. Le 27 juillet prochain sur les Champs-Élysées, le coureur qui remportera le Tour de France empochera la meilleure prime parmi la dotation globale de 2,578 M€ réservée pour cette 112e édition. Le vainqueur de la Grande Boucle récoltera ainsi la coquette somme de 500.000€. Le deuxième du classement général gagnera «seulement» 200.000€ et le troisième, 100.000€. Des gains similaires à l'édition 2024 dominée par Tadej Pogacar devant Jonas Vingegaard, le Slovène et le Danois étant à nouveau les grands favoris cette année. À découvrir Le classement du Tour de France 2024 Derrière le podium final, les coureurs placés jusqu'à la 19e place du général recevront chacun une prime décroissante. Enfin, 1.000€ seront réservés à chaque participant qui termine la course entre la 20e et la dernière place. Publicité Les gains réservés aux coureurs du Tour de France 2025 selon leur classement général : 1er : 500.000€ 2e : 200.000€ 3e : 100.000 € 4e : 70.000€ 5e : 50.000€ 6e : 23.000€ 7e : 11.500€ 8e : 7.6000€ 9e : 4.500€ 10e : 3.800€ 11e : 3.000€ 12e : 2.700€ 13e : 2.500€ 14e : 2.100€ 15e : 2.000€ 16e : 1.500€ 17e : 1.300€ 18e : 1.200€ 19e : 1.100€ 20e au dernier : 1.000€ Une prime cinq mois élevée qu'à Wimbledon Notons, tout de même, que ces dotations font pâle figure en comparaison à celles offertes aux joueurs de tennis disputant Wimbledon, le Grand Chelem londonien qui a lieu chaque année à la même période que la Grande Boucle. Par exemple, un(e) éliminé(e) au premier tour sur le gazon londonien empoche 77.400€ (!), tandis que les vainqueurs du tournoi (hommes et femmes) verront 3,5 M€ tomber dans leurs caisses. Une somme supérieure à celle remportée (2,55 M€) à Roland-Garros par Coco Gauff et Carlos Alcaraz, lauréats cette année. 2,55 M€, soit cinq fois plus que les 500.000 euros promis au vainqueur du Tour de France… Au départ de Lille ce samedi 5 juillet, les 184 coureurs ne seront, en plus, pas tous en chasse du maillot jaune à Paris. Certains feront des victoires d'étapes et des autres maillots distinctifs (vert, blanc, blanc à pois rouges) leurs objectifs personnels. Pour garnir leur palmarès et, aussi, offrir des primes à leur équipe respective. Puisque, durant le Tour de France et plus globalement toutes les grandes courses cyclistes, les dotations de victoires ou maillots distinctifs sont d'abord distribuées à l'équipe du coureur récompensé en question. Ce dernier accepte ensuite, généralement, que l'argent soit redistribué à parts égales à ses coéquipiers et au staff technique, indispensables chaque jour pour sa réussite.

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« Elle mérite un petit coup de propre, les murs sont un peu fatigués. » Taylor Lapilus n'a pas mis les pieds dans cette salle du gymnase Caulaincourt du Mée-sur-Seine depuis plusieurs années, mais il y retrouve rapidement ses habitudes. Il tâte le tapis bleu et rouge, effleure les murs qui commencent à se délabrer et fait remonter ses souvenirs. C'est ici que le combattant de MMA , 33 ans, a découvert le grappling et le jujitsu, tremplins vers sa discipline actuelle. Il a donc logiquement décidé de nous y emmener lorsqu'on lui a proposé de nous conter sa vie.

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Pour son cinquième jour consécutif sur les courts, Arthur Rinderknech, dernier Français en lice, a cédé face à Kamil Majchrzak (6-3, 7-6 [4], 7-6 [6]), au troisième tour. Il n'a pas cherché d'excuses et a tiré un bilan positif de son tournoi. Dominé par le Polonais Kamil Majchrzak (6-3, 7-6 [4], 7-6 [6]), 109e au classement ATP, le dernier des Bleus, Arthur Rinderknech, a mis en avant la performance de son adversaire, très solide ce vendredi : «J'ai perdu aujourd'hui, j'ai tout donné, je n'ai pas beaucoup de regrets, il m'a posé pas mal de problèmes. Il a très bien joué aussi. Il n'a vraiment pas raté grand-chose. Il a un jeu compliqué à lire. Il jouait de sa ligne et prenait tout en demi-rebond, comme s'il jouait en indoor sur un "greenset" parfait». Et d'ajouter : «On n'était pas sur les mêmes jauges physiques aujourd'hui. Parfois il y a des matchs gagnés par celui qui est peut-être un peu plus fatigué ou qui a passé un peu plus de temps sur le court donc, ce n'est pas une excuse du tout. Encore une fois, chapeau à lui. Quand j'ai réussi à mettre en place mes frappes, il a réussi à me contrer avec un revers assez bluffant, chez lui. Même en coup droit. Je pensais que son coup droit était un peu plus faible. Et de mon côté avec la fatigue, je n'ai pas réussi à servir suffisamment bien. C'était la bagarre et je suis fier de m'être battu pendant trois heures et d'avoir eu quand même balle des balles de set au 2e et au 3e. Les opportunités étaient là, et il a très bien joué sur ces points-là aussi.» Je n'avais pas 100% de mes capacités et de ma réactivité. Publicité Le Breton d'adoption confessant qu'il lui avait peut-être été moins lucide que lors des deux tours précédents. «À partir du moment où je joue un premier tour comme celui que j'ai joué, c'est extrêmement compliqué de tout de suite rebasculer et rester dans le tournoi, émotionnellement, mentalement, note-t-il. J'ai réussi à le faire au deuxième tour, non sans mal, parce qu'évidemment que c'était très compliqué, physiquement et mentalement, mais j'ai bien tenu mentalement. Aujourd'hui, physiquement, j'étais présent, évidemment, dès le début, mais je n'avais pas 100% de mes capacités et de ma réactivité. Mais j'avais ce qu'il fallait pour être capable de gagner le match. Mentalement, contrairement aux deux premiers tours, j'ai eu un ou deux petits passages où je me suis agacé et qui m'ont coûté quelques points par-ci, par-là. » À lire aussi Wimbledon : dernier Français en lice, Rinderknech éliminé au troisième tour À l'heure de bilan, et malgré l'occasion en or ratée, de disputer son premier 8e de finale en Grand Chelem à 29 ans, Rinderknech a tenu un discours très positif : «Il y a plein de choses extrêmement positives et je vais continuer à construire et définitivement lancer ma saison. C'est ma première victoire sur un top 5, qui plus est en Grand Chelem. Je ne peux évidemment pas la jeter la poubelle, parce que j'ai perdu au troisième tour, contre un joueur à ma portée. Ça fait quatre jours de suite que je joue comme un dingue toute la journée. Je ne peux pas me plaindre, C'était un superbe tournoi et j'ai eu la plus belle victoire de ma carrière, les plus belles émotions de ma carrière.» La suite, ce sera si le physique tient, les deux semaines sur terre battue à Gstaad et à Kitzbühel. Avec ou sans Lucas Pouille, son coach pour la saison son gazon ? «On va discuter tranquillement autour d'un bon petit dîner, ou d'un petit verre de vin avec Lucas, comme on aime le faire. Mon souhait serait de prolonger l'aventure tant qu'il le peut.»

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