
Libéré par l'UBB, Mahamadou Diaby rejoint Perpignan pour la prochaine saison
Il ne jouera plus pour l'Union Bordeaux-Bègles. Comme il l'a lui-même confirmé en début de semaine, le troisième-ligne Mahamadou Diaby (34 ans) a souhaité s'en aller un an avant la fin de contrat avec le vainqueur de la Coupe des champions. Arrivé en 2017 en Gironde en provenance de Grenoble, Diaby a été libéré par ses dirigeants. Il restait à connaître l'identité de son nouveau club.
Si Toulon est venu aux renseignements, Perpignan s'est rapidement et concrètement positionné sur ce dossier. Comme l'a confirmé le club catalan ce vendredi matin, le natif de Bagnolet a accepté la proposition de l'USAP. Il s'est engagé jeudi pour une saison plus une seconde en option.
Diaby a disputé 177 matches avec l'UBB, dont 153 comme titulaire, disputant quatre demi-finales et une finale de Top 14, et bien sûr la finale de Coupe des champions contre Northampton (28-20) fin mai à Cardiff, sa dernière apparition de la saison. Pour Perpignan, maintenu en Top 14 lors du barrage d'accession remporté contre Grenoble (11-13) le mois dernier, il s'agit de la septième recrue après les signatures de Jamie Ritchie, Duncan Paia'aua, Tristan Tedder, Mattéo Le Corvec, Peceli Yato, Sama Malolo.

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« Ils me ressemblent : des bagarreurs, des gens qui donnent tout » - Guerschon Yabusele explique pourquoi il a choisi les Knicks parmi une foule de courtisans
Onze mois après les Jeux de Paris qui ont précipité son retour en NBA, l'intérieur des Bleus Guerschon Yabusele va plonger dans la folie new-yorkaise pour tenter de ramener un titre aux Knicks la saison prochaine après avoir été courtisé par de nombreuses franchises cet été. « Il manque la photo de mon dunk ! » L'oeil vif en détaillant la collection de clichés sportifs exposés au dernier étage du bâtiment de L'Équipe, Guerschon Yabusele y ajouterait bien l'une des actions iconiques des Jeux de Paris : ce sacré coup de marteau sur la tête de LeBron James en finale (défaite des Bleus 87-98). De passage dans la capitale pour la première fois depuis l'aventure olympique, l'intérieur (2,03 m ; 29 ans) la quitte dès samedi, direction New York, pour signer son contrat de deux ans et 12 millions de dollars avec les Knicks, qui ont décroché la timbale au milieu de nombreuses équipes intéressées par « L'Ours » après son come-back réussi en NBA avec Philadelphie (11 points et 5,6 rebonds en 70 matches). Sa « free agency » « C'est un peu le grand huit, il y a des loopings » « J'avais hâte de vivre la "free agency" (marché des agents libres) et sur le moment, je me suis dit "Vivement que ça se termine". C'était un peu le grand huit, ça monte, ça descend, il y a des loopings. Je me voyais dans une équipe puis dans une autre. Il faut prendre des décisions rapidement : quand on te fait une offre, elle ne dure pas des jours ou des semaines. D'où je viens, toute proposition, c'était un effet "Waouh". Je ne voulais pas me retrouver sans rien et devoir rentrer en Europe après un an. L'objectif, c'était déjà de trouver un contrat et quand tu as de bonnes équipes qui te veulent, c'est flatteur. Il y avait Houston, les (San Antonio) Spurs, et là j'ai directement pensé à Victor (Wembanyama) en me disant que ça pouvait être cool. Il y avait aussi Denver, je me disais que ça pouvait être pas mal non plus de jouer avec Nikola Jokic (sourire). Et puis New York, qui sortait de la finale de conférence (à l'Est, 2-4 contre Indiana), en pensant à leur style de jeu, ça pouvait matcher. » Son choix « A New York, ils me ressemblent : des bagarreurs » « J'avais eu une très bonne impression quand on a joué New York cette saison. Ils me ressemblent : des bagarreurs, des gens qui donnent tout sur le terrain. Par rapport à mon rôle, de joueur qui se bat, un rôle de chien, de bulldog, ça cochait toutes les cases pour aller là où je veux aller. Leur équipe, c'est un bon groupe de gars, qui montent depuis plusieurs années. Ils sortent d'une finale de Conférence. C'est une équipe destinée, ou du moins qui a la chance de pouvoir prendre le titre (leur premier depuis 1973). Je voulais être dans une équipe avec de l'ambition et qui a une histoire comme ça. Quand tu joues contre eux, l'ambiance est incroyable au Madison Square Garden : c'est quelque chose d'irréel, tu ne vis ça qu'à New York avec les fans, les célébrités au premier rang. Pouvoir y jouer avec le maillot des Knicks, j'ai hâte. » Ses ambitions « Si tu peux réussir à New York, tu peux réussir partout » Sur le plan individuel, j'ai du mal à prendre le temps de voir tout ce que j'ai fait. Ma femme me dit de profiter car je suis toujours dans l'après. Mais quand même, je suis très content, ce n'était pas un pari facile de partir de Madrid (il a joué au Real de 2021 à 2024) avec l'indemnité (1,7 million d'euros à donner de sa poche). Je peux souffler car je peux payer ça sans problème. À New York, je sais qu'ils sont revanchards cette saison, qu'ils veulent aller au bout. On dit toujours que si tu peux réussir là-bas, tu peux réussir partout, il y a cette pression-là avec les fans, l'histoire de la salle, c'est impressionnant. Moi, ça me motive, ça m'amuse : si je fais un mauvais match et qu'on m'envoie un ou deux trucs drôles sur moi, je vais en rire aussi. C'est dans les deux sens. C'était un peu la même mentalité à Philadelphie, ça s'est bien passé avec leurs fans, donc ça ne devrait pas trop mal se passer avec ceux des Knicks. Est-ce que c'est plus ouvert dans la conférence Est ? On m'a dit ça récemment et c'est vrai que quand je vois les blessures (*), il y a une ouverture. Mais on a déjà vu beaucoup d'équipes qui pensaient faire une grosse saison et puis... C'est la mentalité générale qui va compter, il faut qu'on soit connectés et je pense qu'il y a quelque chose à faire. » (*) Saison blanche probable pour Jayson Tatum à Boston (tendon d'Achille droit), Damian Lillard (ex-Milwaukee, tendon d'Achille gauche) et Tyrese Haliburton à Indiana (tendon d'Achille droit). À lire aussi Qui va animer le marché de l'été ? Superstar, paria et businessman : l'incroyable parcours d'Alex Rodriguez Des Knicks enfin «sexy» sous Mike Brown ? Les Bleues aux portes de l'enfer

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Les Bleues n'ont pas pu utiliser leur car ce vendredi pour partir à Zurich où elles affronteront l'Angleterre samedi soir (21 heures) : il a été accidenté dans la matinée à l'issue de l'entraînement. Alors qu'elles avaient enfin récupéré leur car siglé « France » jeudi matin, les Bleues ont dû se rendre à Zurich avec un véhicule qui n'était pas le leur, vendredi après-midi. En marge de la séance dont seulement le premier quart d'heure était ouvert aux médias, le véhicule a subi un « gros accroc » alors que le chauffeur effectuait une manoeuvre pour faire demi-tour. Le car était vide, ni les joueuses, ni le staff ne s'y trouvant à ce moment-là et le conducteur n'a pas été blessé. Le véhicule a pu déposer les joueuses à leur hôtel avant de passer la soirée au dépôt pour y être réparé et les Françaises devraient le récupérer samedi matin. Elles pourront logiquement se rendre au Letzigrund pour affronter l'Angleterre dans leur car officiel. Lors des premiers jours en Suisse, elles voyageaient d'ailleurs dans celui, orange, des Bears de Saint-Gall, l'équipe de football américain locale.