
François Modesto nommé directeur technique de la Juventus Turin
Nommé directeur général de la Juventus le 4 juin, Damien Comolli avance sur les profils voués à le seconder dans l'organigramme du club italien. Alors que le poste de directeur sportif reste vacant, le dirigeant français a choisi un compatriote connaisseur du football transalpin dans le rôle de directeur technique. L'ancien président de Toulouse a opté vendredi matin pour François Modesto, qui était libre depuis son départ de Monza à la fin décembre.
Le Corse de 46 ans, ancien défenseur central de l'AS Monaco notamment, a été préféré au directeur sportif du Genoa Marco Ottolini, qui était soutenu par quelques historiques du club turinois. Passé par l'Olympiakos dans le rôle de directeur sportif, Modesto a occupé celui de directeur technique à Nottingham Forest (octobre 2019-juin 2022) puis durant deux ans et demi à Monza, qu'il a participé à faire monter en Serie A. Chez la Vieille Dame, il aura principalement pour rôle de faire le lien entre le groupe, les actionnaires et Comolli. Sa nomination s'inscrit dans la volonté du club de rejouer les premiers rôles sur la scène nationale et européenne.
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Je boude, comme quand il y a une défaite. Il y a des défaites dans ma carrière qui m'ont fait très mal. Je peux pleurer. Dans ces cas-là, je prends vite ma douche, je rentre chez moi ou à l'hôtel. Mais personne ne me parle. Je reste dans ma bulle quand j'ai perdu. Qu'est-ce que la défaite provoque comme émotion ?J'ai de la haine en moi. Maintenant, je suis plus mature, j'ai plus d'expérience. Je sais me contrôler. Mais si je m'écoutais, je pourrais crier. Connaissant mon tempérament, je peux dire des choses que je ne vais pas penser. J'ai trouvé un bon truc, c'est que personne ne m'adresse la parole. Je reste focus sur moi-même. « Les JO, ça a mis les deux semaines de vacances, presque trois semaines » Combien de temps mettez-vous à redescendre ?Ça dépend. La Coupe du monde 2023 (élimination en quarts de finale par l'Australie aux tirs au but, 0-0 a.p., 6-7 aux t.a.b.), ça a mis une semaine. Les JO (élimination en quarts par le Brésil, 0-1), ça a mis les deux semaines de vacances, presque trois semaines. Les Jeux, j'y ai tellement cru que ça m'a fait trop mal. J'ai été tellement déçue. Quels étaient vos sentiments après cette défaite ?Il y a des matches où tu te dis, c'est injuste, on ne mérite pas. Il y a des matches où, il faut dire la vérité, on est passé à côté. Quand c'est le cas, je suis frustrée, car on n'a pas le droit. Quand il y a des matches à enjeu, tu n'as pas le droit de passer à côté. Comme la Ligue des nations (en 2024, contre l'Allemagne puis l'Espagne). Je n'ai pas de mal à le dire, quand je suis nulle, je suis nulle. Cela a été le cas sur ce stage-là, et on n'a pas existé face à l'Espagne. Vous souvenez-vous de la première fois où vous êtes montée sur un podium chercher une médaille ?C'était ma première finale de Ligue des champions, avec l'OL, à l'âge de 17 ans (en 2018, 4-1, a.p., contre Wolfsburg). Je me revois avec mon petit chignon et mes grosses joues, c'était juste incroyable. Quelle fierté ! Moi, j'ai pleuré alors que de base quand je gagne, je ne pleure jamais. J'ai pleuré, car c'était un truc de fou. Je ne pensais pas qu'on allait gagner étant donné qu'on perdait 1-0 (à la 93e minute). Je me souviens de la haie d'honneur des adversaires, tu passes, tu es si contente. Tu serres la main, on te remet la médaille et tu attends la capitaine qui ramène la Coupe. Tu fais la fête pendant un ou deux jours (rires). Êtes-vous de celles qui lancent les chants après la victoire dans le vestiaire ?Non. Pour cela, il y a Melvine (Malard) en équipe de France. À l'OL, il y avait Ellie (Carpenter, partie à Chelsea depuis), elle le fait en français ! Elle est forte. Les petites jeunes aussi le font quand elles viennent. La dernière fois, c'était Liana Joseph quand on avait joué contre le Paris-Saint-Germain. Je suis juste là pour crier et danser. 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Kappa Kontroll : la nouvelle sneaker de running sur route qui allie performance et style
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