
Mercato : Frankowski à Rennes, ça brûle
Sauf retournement de situation, Przemyslaw Frankowski portera bien les couleurs du Stade Rennais cette saison. Le club breton est très proche d'un accord avec Galatasaray pour le prêt avec option d'achat du latéral droit polonais (30 ans). Il ne resterait plus que quelques détails à régler.
Une issue positive est espérée d'ici la fin de la semaine. L'option d'achat serait comprise entre 5,5 et 6M€. Également courtisé par Lens (où il a joué entre 2021 et 2025) et le Paris FC, Frankowski avait donné très tôt sa priorité à Rennes.
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L'Équipe
an hour ago
- L'Équipe
« Se persuader qu'on en est capables » : Franck Haise, l'entraîneur de Nice, veut y croire avant la confrontation contre Benfica
Franck Haise, l'entraîneur de l'OGC Nice, est conscient de la supériorité présumée de Benfica, largement favori du troisième tour préliminaire de la Ligue des champions avant le match aller, mercredi soir (21 heures). Mais il a confiance en ses joueurs et dans les six semaines de préparation qui les ont menés là. « Vous allez entrer dans votre saison par un match de Coupe d'Europe, éliminatoire. Cela change quoi dans la préparation ?C'est assez singulier de commencer comme ça, car au bout de deux matches il y aura une décision. Et une orientation va se prendre. En Championnat, après le match de la 1re journée contre Toulouse (16 août), il y en aura toujours 33 autres derrière. Est-ce qu'on prépare différemment ce genre de matches ? De toute façon, on sait bien que personne ne peut être à 100 % après cinq ou six semaines de préparation. Que représente ce troisième tour préliminaire : est-ce que vous vous dites que la qualification est obligatoire ou qu'il y aura des choses plus importantes cette saison ?Toute la vie est plus importante, sans vouloir faire de la philosophie. On a juste envie de montrer notre meilleure image, ce qu'on n'avait pas réussi à faire la saison passée en Coupe d'Europe. Rien que par rapport à cela on a envie de montrer notre meilleur visage. C'est une certitude. La seule chose obligatoire sera de donner le meilleur de nous-mêmes. Abdelmonem, Bombito et Ndayishimiye gravement blessés : quelles solutions pour Nice en défense centrale avant de défier Benfica ? Que se dit-on lorsqu'on affronte un adversaire comme Benfica aussi habitué à jouer la Coupe d'Europe ?On se dit que tous les matches sont des opportunités de les gagner. Je n'ai jamais commencé un match - même contre un adversaire plus fort - en me disant qu'on allait le perdre et ça ne changera pas demain parce que Benfica est favori et habitué à ces matches de Ligue des champions. J'ai eu la chance de diriger des matches de Ligue des champions contre des adversaires qui étaient tous plus forts que l'équipe que j'entraînais (Lens) et pourtant on en a battu. « Globalement, il y a eu plein de bonnes choses dans la préparation. Et ça, il faut l'ancrer et le dire. On doit tous en être conscients. On a bien travaillé depuis qu'on est ensemble » Les deux équipes ont eu des préparations très différentes : Nice a repris l'entraînement le 23 juin alors que Benfica n'a repris que le 14 juillet après avoir disputé la Coupe du monde des Clubs. Que faut-il en déduire ?On peut penser que comme on a eu une préparation plus longue, on a un avantage sur cet aspect. Après, il y a un autre aspect à ne pas oublier, Benfica a joué des matches de haute compétition, à la fois pendant la Coupe du monde des clubs et très rapidement par la suite quand le groupe a repris l'entraî match de préparation contre Fenerbahçe (victoire 3-2 le 26 juillet) était bien plus qu'un match amical. C'était dans un stade plein et le Fener avait vraiment besoin de cette préparation avant son tour préliminaire de C1. Et, jeudi dernier, Benfica a joué remporté la Supercoupe du Portugal en battant le Sporting (1-0). On a eu des jours en plus, c'est vrai, mais eux ont eu la possibilité de jouer des matches de haute compétition, ce qui n'a pas été notre cas puisqu'on a eu que des matches de préparation classiques. Il est difficile de dire de quel côté penche la balance. Vous allez jouer sans vos deux meilleurs buteurs de la saison passée (Evann Guessand et Gaëtan Laborde), cela rend-il la tâche plus difficile ?Toutes les équipes changent d'effectif chaque année. C'est rare de recommencer une saison avec le même groupe de vingt que la saison d'avant. Parfois, ce sont les buteurs qui s'en vont, parfois ce sont les défenseurs. On ne s'apitoie pas sur nous. C'est une adaptation qu'on doit avoir. Le jour où... Jean-Pierre Rivère : « Tu vas perdre ton argent, tu vas te faire laminer » Votre équipe est-elle là où vous vouliez qu'elle soit le 6 août ?On verra demain (mercredi) où on en est. Globalement, il y a eu plein de bonnes choses dans la préparation. Et ça, il faut l'ancrer et le dire. On doit tous en être conscients. On a bien travaillé depuis qu'on est ensemble. « Nous aussi on sera là, avec nos forces » Quel tableau dressez-vous de cette équipe de Benfica ?Benfica, rien que son histoire, ancienne et récente, rien que son palmarès suffisent à dire ce qu'est ce club. Benfica a été capable de battre le Bayern durant la Coupe du monde des clubs et n'a perdu qu'en prolongation face au futur vainqueur (Chelsea). Ils ont ensuite gagné la Supercoupe du Portugal contre le Sporting, qui est une super équipe. Pas besoin d'en parler très longtemps pour comprendre. C'est une grosse é ce qui compte c'est ce qu'on va faire nous. On a fait des belles choses contre des grosses équipes françaises la saison passée (victoire au Paris SG, 3-1) et il faut d'abord être tous persuadés qu'on en est capables. Bien sûr, il y a des top joueurs dans cette équipe, comme dans toutes les grandes équipes. Mais on ne va pas être effrayés. Si on commence à être effrayés, on n'a plus qu'à rester chez nous. Nous aussi on sera là, avec nos forces. Le troisième tour préliminaire de Ligue des champions entre Nice et Benfica diffusé uniquement sur une plateforme de pay-per-view Vous n'avez pas réussi à recruter d'avant-centre et Moffi sera le seul n°9 d'envergure à votre disposition. Cela peut-il être un souci ?On a le petit Bernard Nguene qui est capable de donner un vrai coup de main. Il l'a montré sur des entraînements et sur ses entrées en jeu. Je suis sûr qu'il fera les choses à fond, avec coeur et détermination. Terem revient aussi d'une longue blessure. Il n'a pas été titulaire en compétition depuis 15 mois et il va lui falloir des automatismes. Il se rapproche chaque jour des 100 %. Je fais confiance à ces joueurs et je fais confiance au club pour renforcer le poste. Ça aurait dû être le cas mais ça ne l'a pas été. Ce ne sera pas pour demain mais pour après. Alors demain, je compte sur Terem, Bernard et les autres. »


Le Figaro
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- Le Figaro
Mercato : sans club depuis un an, l'ancien Grenoblois Feghouli signe en Irak
Sofiane Feghouli, milieu de terrain formé à Grenoble, rejoint officiellement l'Amanat Baghdad, en Irak. L'Algérien était sans club depuis un an et son départ du Fatih Karagümrük. Une destination pour le moins surprenante. Sofiane Feghouli, formé à Grenoble et sans club depuis un an, s'est engagé avec l'Amanat Bagdad, tout juste promu en première division irakienne. À 35 ans, c'est probablement le dernier défi de la carrière de l'international algérien (82 sélections pour 19 buts). Son nouveau club s'est réjoui de son arrivée sur Instagram : «nous écrivons un nouveau chapitre dans l'histoire du football irakien, avec une star de l'envergure de Feghouli qui arrive dans notre ligue». Plusieurs commentaires élogieux évoquent même le «transfert le plus important de l'histoire du championnat irakien». Publicité Objectif CAN 2025 Feghouli, formé à Grenoble, était libre depuis son départ du club turc du Fatih Karagümrük à l'été 2024. Il est surtout connu pour ses passages réussis à Valence (de 2010 à 2016) et à Galatasaray (entre 2017 et 2022). En signant en Irak, le milieu de terrain espère sans doute se voir offrir beaucoup de temps de jeu afin d'être sélectionné pour la CAN, organisée au Maroc entre le 21 décembre 2025 et le 18 janvier 2026.


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Football : un club allemand renonce à recruter un joueur israélien connu pour des propos virulents anti-palestiniens
Shon Weissman ne jouera pas au Fortuna Düsseldorf la saison prochaine, et ça n'est pas sans doute pas pour son niveau footballistique. L'attaquant israélien de 29 ans, sous contrat avec le club espagnol de Grenade, ne rejoindra pas la formation allemande de seconde division. Proche de faire signer l'international, Düsseldorf s'est finalement ravisé après avoir été interpellé par plusieurs de ses supporters sur des messages virulents du footballeur sur la guerre à Gaza. « Nous nous sommes intensément intéressés à Shon Weissman, mais nous avons finalement décidé de ne pas le faire signer », a expliqué mardi le club dans un post sur le réseau social X. « Qu'est-ce qu'il se passe ici ? Je reçois sans cesse des messages ce soir, avait posté la veille le Fortuna Düsseldorf sur X. Juger quelqu'un que l'on ne connait pas sur la base d'un article Wikipédia ? Ca ne colle pas vraiment avec qui nous sommes. » La veille, plusieurs soutiens du club de cette ville de l'ouest de l'Allemagne avaient en effet partagé sur les réseaux sociaux des éléments de la page Wikipedia du footballeur, formé au Maccabi Haïfa. Celle-ci explique que l'attaquant a partagé sur X peu après les attentats du 7 octobre 2023 un texte virulent, effacé depuis. « Quelle est la raison logique que 200 tonnes de bombes n'aient pas encore été larguées sur Gaza ? », s'interrogeait-il. « Ce jour noir reste une blessure ouverte pour moi » Shon Weissman avait aussi « liké » et partagé des publications appelant à « rayer Gaza de la carte », assumant qu'il n'y avait « pas d'innocents » dans ce territoire sous l'autorité du Hamas, le groupe terroriste à l'initiative des attentats ou se demandant, au sujet de deux détenus palestiniens, « pourquoi est-ce qu'on ne leur a pas encore tiré dans la tête ? ». Selon le journal Haaretz, l'agent du joueur avait expliqué que ces différentes publications et likes avaient été réalisés par un community-manager qui avait accès à son compte, et non par Weissman lui-même. À voir aussi L'intéressé s'est exprimé dans l'après-midi, peu après l'officialisation de sa non-venue à Düsseldorf. « Je suis le fils d'une nation encore endeuillée par les horreurs du 7 octobre, a-t-il écrit dans un texte partagé sur ses réseaux sociaux. Ce jour noir, où des familles entières ont été assassinées, kidnappées et brutalisées, reste une blessure ouverte pour moi, en tant que personne, en tant qu'Israélien et en tant qu'athlète représentant mon pays. » « Il est possible et nécessaire de s'opposer aux atteintes aux innocents des deux camps. Mais je ne me laisserai pas accuser d'avoir incité à la haine avec trois likes et un commentaire immédiatement supprimé, poursuit Shon Weissman. Si c'est difficile à accepter pour certains, ils devraient reconsidérer ce qu'il s'est passé le 7 octobre. » « Aucun étranger ne pourra jamais vraiment comprendre ce que nous avons vécu, poursuit-il. La loyauté n'est pas un débat, surtout quand votre peuple enterre encore ses morts. Je suis profondément reconnaissant pour le soutien que j'ai reçu de la part de personnes qui me connaissent réellement. Je continuerai à porter fièrement le drapeau israélien partout où je jouerai. »