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Routes perméables, drones, IA: quand les nouvelles technologies permettent de lutter contre le stress hydrique

Routes perméables, drones, IA: quand les nouvelles technologies permettent de lutter contre le stress hydrique

Le Figaro2 days ago
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DÉCRYPTAGE - Dans les villes comme dans les campagnes, la préservation de l'eau, ressource aussi rare que convoitée, est devenue une priorité pour la recherche.
Préserver l'eau, limiter son usage, ou encore la récupérer, en ville comme à la campagne, les innovations se multiplient. Dans les fourmilières urbaines, mitées par le béton et l'asphalte, qui ne retiennent pas l'eau, des surfaces se muent en buvard à ondée ou en bassin de récupération afin de limiter le gaspillage, les dégâts liés aux inondations locales et, au passage, le bond des températures.
Des buvards urbains
Pionnière, la ville de Rotterdam a inauguré en 2013 le premier « water square », inspiré des villes éponges, un concept de cités recyclant les précipitations imaginé par des scientifiques chinois au début de ce siècle. Ce parc public, doté d'installations sportives, est inondable. En cas d'averse, sa structure creuse, composée de trois bassins, peut accueillir 1,7 million de litres d'eau ruisselante, ce qui permet de désengorger le réseau d'égouts et de réutiliser une partie des précipitations en irriguant la végétation. Le projet a fait des émules, jusqu'à Montréal.
À lire aussi Loi zéro artificialisation nette: un nouveau casse-tête pour implanter des entrepôts
L'Hexagone fait figure de…
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Eau polluée au plomb dans les écoles et crèches de Lyon : deux ans après, l'origine est toujours inconnue
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Le Figaro

timea day ago

  • Le Figaro

Eau polluée au plomb dans les écoles et crèches de Lyon : deux ans après, l'origine est toujours inconnue

La ville de Lyon a annoncé avoir engagé le 1er août un référé expertise pour comprendre ce qui a causé une pollution au plomb dans plusieurs écoles et crèches neuves de la commune. Le mystère de la pollution de l'eau du robinet au plomb et au nickel dans les écoles neuves va-t-il s'éclaircir à Lyon ? En 2023, des analyses menées dans plusieurs établissements neufs de la ville (les écoles Frida Kahlo, John F. Kennedy, Wangari Maathai, Audrey Hepburn ainsi que le groupe scolaire Eugénie Brazier (école et crèche) et les crèches Montbrillant, Nelly et Colibri) ont révélé des taux élevés de plomb dans l'eau dépassant les seuils réglementaires. Depuis, malgré les nombreuses investigations menées, l'origine de la contamination est toujours inconnue. Dans un communiqué, la ville de Lyon a annoncé avoir engagé, en lien avec Eau du Grand Lyon, un référé expertise le 1er août pour comprendre comment cette contamination a pu avoir lieu. Publicité Dès la découverte de la présence de plomb dans l'eau à des seuils dépassant les normes réglementaires, la ville de Lyon a mis en place un protocole de prévention pour garantir la sécurité des enfants et du personnel : mise à disposition de bouteilles d'eau, fermeture des points d'eau aux seuils non conformes, information régulière en direction des familles. Trois établissements toujours contaminés Il y a un an, la municipalité avait pointé les matériaux de construction comme étant possiblement à l'origine de la contamination. Des matériaux pourtant certifiés conformes, alors que la qualité générale de l'eau distribuée sur le territoire n'est pas altérée. Mais un an plus tard, cette hypothèse ne s'est finalement pas confirmée, ce qui a conduit la ville a lancé ce référé expertise. Depuis deux ans, plus de 5100 prélèvements ont été réalisés dans les établissements neufs concernés (écoles et crèches). À date, sur la trentaine de points de prélèvement que compte chaque établissement, un à trois présentent encore des niveaux de plomb supérieurs aux normes en vigueur.

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  • Le Parisien

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« Il n'y a plus d'eau ! » s'étonne un enfant en arrivant dans le parc de Robinson, à Corbeil-Essonnes (Essonne) , ce vendredi 1er août. Depuis 14h30, le bruit de la rivière qui coule a laissé place au silence. Résultat de l'assèchement du bassin d'entraînement pour le canoë-kayak au centre du site pour un mois par les équipes du Syndicat intercommunal d'aménagement, de rivières et du cycle de l'eau (Siarce).

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