logo
Sophie Durocher perd sa quotidienne à Qub et hérite d'une hebdomadaire à LCN

Sophie Durocher perd sa quotidienne à Qub et hérite d'une hebdomadaire à LCN

La Pressea day ago
À l'approche de la rentrée radio, Qub reconfigure sa grille horaire. Sophie Durocher perd la quotidienne qu'elle animait l'après-midi. Elle hérite d'une nouvelle émission de grands entretiens qui sera diffusée sur LCN le vendredi soir.
La nouvelle a été confirmée par les médias de Québecor, mardi. Rappelons que la programmation de Qub est retransmise sur les ondes du 99,5 FM depuis l'an dernier. Jusqu'à cet été, Sophie Durocher y animait chaque jour une émission d'une heure sur le coup de 14 h.
Les chiffres d'audience étaient faméliques depuis les débuts. Les différentes données compilées par la firme Numeris dans les derniers mois montraient que les émissions de Sophie Durocher et Richard Martineau ralliaient nettement moins d'auditeurs que le reste de la grille horaire de la station en semaine.
Il a été annoncé mardi que Richard Martineau demeurait à la barre de l'émission du retour, entre 15 h et 18 h. Sophie Durocher y sera d'ailleurs collaboratrice. L'émission qu'elle pilotait juste avant en milieu d'après-midi n'a pas été reconduite cependant. La chroniqueuse vedette du Journal de Montréal animera à l'automne Dans le blanc des yeux, une émission de grandes entrevues d'une heure qui sera retransmise le vendredi soir sur la chaîne d'information LCN. Le format s'apparentera à un balado filmé, a-t-on indiqué dans les médias de Québecor mardi.
PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE
Isabelle Maréchal
Maréchal change de case
Au 99,5 FM, on dit avoir voulu bâtir une programmation « plus riche », « plus engagée » et plus près des « préoccupations » des auditeurs pour cette deuxième saison en tant que radio parlée.
Mario Dumont sera de retour à la barre de la matinale. Son émission gagne une demi-heure par rapport à l'an dernier. Benoît Dutrizac, l'animateur de Qub qui a réalisé la plus importante progression en parts de marché l'année passée, prendra le relais à compter de 9 h 30. Il sera en ondes jusqu'à 13 h. Isabelle Maréchal, qu'on pouvait entendre en fin de matinée jusqu'à cet été, change quant à elle de case horaire. Elle occupera le créneau d'après-midi, de 13 h à 15 h.
La programmation automnale du 99,5 FM débute le 25 août, deux semaines après celle de son principal concurrent, le 98,5 FM.
Au printemps dernier, le 99,5 FM représentait à peine 3,3 % des parts de marché dans le Grand Montréal, très loin derrière ICI Première (19,3 % des parts) et le 98,5 FM (19,1 %). En semaine, la station a cependant réalisé des gains chez les 25 à 54 ans, le groupe cible des annonceurs.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Chappell Roan promet de se produire en Saskatchewan
Chappell Roan promet de se produire en Saskatchewan

La Presse

timean hour ago

  • La Presse

Chappell Roan promet de se produire en Saskatchewan

La jeune sensation pop Chappell Roan, surnommée la « princesse du Midwest », promet de voyager plus au nord, à la « terre au ciel vivant ». Aaron Sousa La Presse Canadienne Roan a semé l'effervescence en Saskatchewan avec la sortie de The Subway, sa nouvelle chanson sur une frustration post-rupture, où elle mentionne la Saskatchewan. Elle a confié à la balado de Zane Lowe sur Apple Music avoir utilisé le mot Saskatchewan dans les paroles pour la simple raison que ce mot rime avec « gone ». Elle affirme n'avoir jamais visité cette province des Prairies, souvent négligée. Mais elle dit qu'il est temps que la Saskatchewan soit reconnue mondialement et qu'elle a hâte d'y aller un jour. Le premier ministre Scott Moe s'est mis de la partie, la semaine dernière, en déclarant lors d'une émission de radio que beaucoup attendraient avec impatience l'un de ses concerts en Saskatchewan. L'interprète de Good Luck, Babe avait déjà dit qu'elle ne pouvait pas chanter sur la Saskatchewan sans s'y produire, bien qu'elle n'ait actuellement aucune date de tournée au Canada. « C'est génial, s'est réjouie Roan à la balado, à propos de l'engouement en Saskatchewan. Je n'y suis jamais allée, mais je promets d'y jouer un jour. J'adore aussi que la capitale s'appelle Regina. » Chappell Roan a également fait les manchettes canadiennes lors des séries éliminatoires de la Coupe Stanley plus tôt cette année, lorsque les Oilers d'Edmonton ont commencé à jouer sa chanson Pink Pony Club après une victoire.

Critique de La grande mascarade
Critique de La grande mascarade

La Presse

time5 hours ago

  • La Presse

Critique de La grande mascarade

Après un court, mais remarqué passage au théâtre La Chapelle l'a dernier, Étienne Lou et Gabriel-Antoine Roy s'installent à l'Espace Libre pour y présenter leur Grande mascarade, une bouffonnerie masquée sur laquelle souffle un grand vent de liberté. Au début était Harry Potter. C'est dans les pages du roman Les reliques de la mort, septième et ultime tome de la saga imaginée par J. K. Rowling, que les deux comparses disent avoir trouvé la bougie d'allumage de ce spectacle déjanté. Plus précisément, ils ont été inspirés par le conte des trois frères, raconté sous la forme d'ombres chinoises dans le long métrage. Il y est question de trois frères qui, pensant avoir déjoué la mort, se voient offrir par elle des récompenses qui provoqueront leur perte. Pour Étienne Lou et Gabriel-Antoine Roy, cette simple histoire – dont ils dévient allègrement-est surtout un prétexte pour laisser libre cours à leur grande passion : le masque. Pendant près de dix ans, ces deux interprètes au jeu très physique ont peaufiné l'art du masque en multipliant explorations et improvisations. Après des années à « se pratiquer dans un local avec des bas de nylon sur la tête » (dixit le programme de la soirée), ils sortent de leur cocon pour se frotter à un public qui ne demande qu'à être charmé. Gabriel-Antoine Roy apparaît le premier sur la scène, attifé tel un Pantalon vulgaire, lubrique et mal dégrossi. Suit Étienne Lou, lunaire sous un demi-masque tout en rondeur, affublé d'un improbable accent chinois. Ensemble, ils vont enfiler pendant une heure quinze et des poussières des lazzis jubilatoires et totalement décomplexés. Ici, rien ne semble avoir été couché sur papier, si ce n'est le désir de laisser toute la place à leur créativité sans bride aucune. Le comique côtoie le trivial et le tragique dans un geyser fou et ininterrompu qui emporte tout sur son passage. Les corps s'agitent jusqu'à en être trempés, les mots s'entrechoquent et toujours, le rire l'emporte. Il sera question de trahison, d'orgueil et de passion, mais aussi de xénophobie et du jargon galvaudé du théâtre de création. La chèvre de M. Séguin sera évoquée (dans une scène quasi anthologique) ; Paul Saint-Pierre-Plamondon sera écorché. Le tout devant un public à qui on n'a donné qu'une seule consigne : manifester son ennui – si ce dernier se présente – en triturant allègrement un bonbon dans son papier ! Or, l'ennui ne m'a jamais gagné tant le rythme est soutenu dans ce spectacle qui recèle aussi quelques belles trouvailles scéniques, comme ce ballet de rideaux de scène d'une grande beauté. Certes, le spectateur en quête de profondeur risque de ressortir aussi affamé que lorsqu'il est entré, mais celui qui accepte de se laisser surprendre par la folie contagieuse de deux clowns en collant s'en trouvera mille fois récompensé. À la toute fin, lorsque les faux-nez tombent (dans une scène qui se veut émouvante, mais qui est peut-être la moins solide de l'ensemble), on se surprend à espérer que l'art du masque ainsi pratiqué trouve plus souvent le chemin jusqu'à nos scènes. Parce que le sentiment d'euphorie qui accompagne cette Grande mascarade n'est pas affaire courante. Consultez la page du spectacle

Entre performances et grandes fresques
Entre performances et grandes fresques

La Presse

time7 hours ago

  • La Presse

Entre performances et grandes fresques

Félix-Antoine Boutin, directeur artistique d'Espace Libre, a préparé une programmation en deux volets pour la saison qui vient. Le premier, intitulé Absence, se déploiera à l'automne et rassemblera des spectacles plus performatifs. Celui de l'hiver, composé de grandes fresques, porte le nom de Mon village. Morceaux choisis. L'évènement ILLUSTRATION DE SCORPION DAGGER, FOURNIE PAR ESPACE LIBRE La pièce Le diptyque du fleuve s'attardera notamment au système corrompu qui avait cours à l'époque de la Nouvelle-France. Le diptyque du fleuve Tenant ici les rôles de dramaturge et de metteur en scène, Sébastien Dodge s'est associé au PàP pour porter sur scène le fruit de plusieurs années de recherche sur « notre système géopolitique à travers les mécanismes de corruption et de désorganisation qui ont précipité la chute de la Nouvelle-France ». Cette fable qui balance entre passé et présent sera empreinte d'autodérision, dit-on. Le spectacle, mis en musique par Flore Laurentienne, sera porté par une distribution de huit interprètes. Du 20 janvier au 7 février On est intrigués PHOTO FATINE-VIOLETTE SABIRI, FOURNIE PAR ESPACE LIBRE L'interprète Louise Bédard sera seule sur scène dans Petits appareils/Small appliances. Petits appareils/Small appliances Campée dans l'intimité familière d'une cuisine, cette création imaginée par le metteur en scène Manolis Antoniou s'attarde aux thèmes de l'absence et de la solitude. Des voix hors champ accompagneront l'interprète Louise Bédard dans un rituel matinal destiné à être vécu à deux, mais exécuté en solo. Dans cet univers multisensoriel, les langues et les histoires s'entremêleront pour permettre au public d'entrevoir ses propres deuils. Du 28 octobre au 8 novembre Et aussi ILLUSTRATION DE SCORPION DAGGER, FOURNIE PAR ESPACE LIBRE Le castor dont il est question ici rappelle l'histoire de la Compagnie de la Baie d'Hudson, « ancêtre des multinationales modernes » selon le NTE. Le NTE et « l'ancêtre des multinationales modernes » Parmi les autres spectacles offerts au théâtre de la rue Fullum, notons la présentation en mars de L'empire du castor, création du Nouveau Théâtre Expérimental (NTE) qui retrace l'histoire de la Compagnie de la Baie d'Hudson en s'attardant sur le parcours du gouverneur général George Simpson. Des reprises de la pièce Au cœur de la rose (généalogie d'une tristesse), signée Jérémie Niel (d'après les écrits de Pierre Perrault), et du spectacle Un-nevering de la chorégraphe Thea Patterson sont aussi prévues. Consultez le site d'Espace Libre

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store