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Alexis et Félix Lebrun écartent Liang Jingkun et Wang Chuqin pour rallier la finale du double au Grand Smash de Las Vegas

Alexis et Félix Lebrun écartent Liang Jingkun et Wang Chuqin pour rallier la finale du double au Grand Smash de Las Vegas

L'Équipe2 days ago
Face à la sixième paire mondiale, Alexis et Félix Lebrun se sont sereinement imposés en demi-finales du tableau de double du Grand Smash de Las Vegas, ce vendredi. Les Français ont dominé les Chinois Liang Jingkun et Wang Chuqin en trois sets (11-8, 11-6, 11-8).
Les frères Lebrun n'ont pas ménagé le suspense. Solidement accrochés à leur statut de numéros 1 mondiaux en double, Alexis et Félix ont tranquillement dominé la paire Liang Jingkun-Wang Chuqin en trois sets en demi-finales du Grand Smash de Las Vegas (11-8, 11-6, 11-8), ce vendredi. À 7-7 dans l'ultime manche, les Montpelliérains ont accéléré pour s'assurer la victoire et la qualification sans égarer de set.
Face aux Chinois, sixièmes mondiaux, ils ont encore consolidé leur statut de favoris à la victoire finale aux États-Unis. En finale, les frères défieront samedi les Sud-Coréens Lim Jonghoon et An Jaehyun, vainqueurs des Hong-Kongais Wong Chun Ting et Baldwin Ho Wah Chan (11-8, 6-11, 11-4, 12-10) dans l'autre demi-finale. La journée de Félix n'est pas terminée, puisque le jeune Tricolore (18 ans) a rendez-vous avec son compatriote Lilian Bardet en quarts de finale du tournoi simple, ce vendredi.
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time3 hours ago

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L'ancien Lyonnais a évoqué les clés du succès de Chelsea face au PSG dimanche, en finale du Mondial des clubs. Malo Gusto (défenseur de Chelsea) : «C'est une grande fierté. C'était un objectif clair. On l'a réalisé, on est très contents pour le club et pour nous en tant que joueurs. On sait que beaucoup de gens ont mal parlé de nous et qui ne nous respectaient pas. On a montré qu'on mérite de gagner ce trophée. Les clés en première période ? C'était d'abord le pressing. On savait que c'était une équipe qui sait bouger, qui sait garder le ballon. Le pressing était donc important. Après, c'était la récupération. On avait l'intention de les tuer sur leurs faiblesses, c'est ce qu'on a fait et on est très contents. (…) On n'était pas forcément respectés. Les gens ont tendance à dire qu'on est jeunes, qu'on n'a pas l'habitude de jouer ce genre de rendez-vous. Le coach nous a dit que c'était l'occasion de montrer au monde qu'on est l'un des meilleurs clubs et qu'on peut se frotter à ce genre d'équipe. C'est ce qu'on a su faire.» (sur DAZN)

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Le président des États-Unis a eu droit à un accueil... mitigé lors de la finale de la Coupe du monde des clubs, dimanche, au MetLife Stadium, dans le New Jersey. Entre applaudissements et huées, Donald Trump a assisté dimanche à la finale du Mondial des clubs près de New York, un échauffement à un an de la Coupe du monde aux États-Unis dont il entend tirer profit. Le président républicain espère faire du Mondial 2026, co-organisé avec le Canada et le Mexique, comme des Jeux olympiques de Los Angeles en 2028, une vitrine de son «âge d'or de l'Amérique». Son accueil lors de la finale entre le Paris-SG et Chelsea, par les 81.118 spectateurs de l'imposant MetLife Stadium, a été mitigé : applaudi à son arrivée, il a cependant reçu des huées lorsque son visage est apparu sur un écran géant du stade pendant l'hymne américain, aux côtés de son épouse Melania. Les caméras ont tout de suite changé de plan. Les sifflets les plus nourris sont survenus après la rencontre, quand il est monté sur le podium pour remettre aux joueurs médailles et trophées. À lire aussi Les notes de Chelsea-PSG : Dembélé et les Parisiens n'ont pas existé, Palmer étincelant, Sanchez écœurant Publicité Si le «soccer» n'est toujours pas au premier plan aux États-Unis, Donald Trump bénéficie d'un atout de poids dans ce domaine : une relation très privilégiée avec Gianni Infantino, le patron de la puissante Fédération internationale de football (Fifa). L'Italo-suisse, assis à côté de Donald Trump dans les tribunes dimanche, affiche sans retenue sa proximité avec le président américain. Depuis un précédent passage du patron de la Fifa en mars à la Maison Blanche, le républicain a gardé le trophée de la Coupe du monde des clubs dans son Bureau ovale. Samedi, Gianni Infantino a aussi donné une conférence de presse dans les nouveaux locaux de la Fifa à New York... installés dans la Trump tower, l'immeuble du magnat de l'immobilier devenu président. Influence Interrogé pour savoir si Donald Trump aimait le foot, le patron de la Fifa a suggéré que oui, notamment en raison de son fils Barron, 19 ans. «Il m'a expliqué que son fils adorait le football», a déclaré Gianni Infantino. «Et bien sûr, quand vous êtes parents, vous adorez ce que vos enfants adorent, donc je pense qu'il aime» le foot, a-t-il ajouté. On rapporte même que, lycéen, Donald Trump a lui-même joué au foot pendant un an. Même si ce sport est, malgré sa croissance, bien moins populaire dans le pays que football américain, baseball ou basket, le milliardaire y voit une opportunité pour étendre son pouvoir et son influence. Donald Trump rappelle volontiers que les États-Unis ont remporté, avec le Canada et le Mexique, l'accueil du Mondial 2026, lors de son premier mandat en 2018. Et la première édition du Mondial des clubs à 32 équipes qui s'achève dimanche a été très réussie selon la Fifa, Gianni Infantino ajoutant même, reprenant une expression favorite de Donald Trump: «l'âge d'or du football de clubs a commencé». Mais, entre l'accusation de surcharge du calendrier des joueurs et des affluences parfois très modestes, les doutes sur la crédibilité de cette épreuve sont loin d'être levés. Accueil Et le football n'échappe pas à la politique. En accueillant les footballeurs de la Juventus de Turin dans le Bureau ovale en juin, Donald Trump s'était lancé dans une diatribe contre les personnes transgenres dans le sport, l'un de ses sujets de prédilection, prenant même à partie les joueurs en leur demandant: «Une femme pourrait-elle intégrer votre équipe, les gars?». Publicité Sa politique particulièrement agressive sur l'immigration s'est aussi invitée dans la sphère sportive, car elle pose la question de la venue de spectateurs étrangers pour le Mondial 2026. En mai, son vice-président JD Vance a déclaré qu'ils seraient «les bienvenus» aux États-Unis, «mais quand ce sera terminé, il faudra qu'ils rentrent chez eux.» Depuis, l'administration Trump a réinstauré une interdiction d'entrée aux États-Unis pour les ressortissants de 12 pays, en majorité africains ou du Moyen-Orient. La Maison Blanche a assuré que les équipes participant à la Coupe du monde ne seraient pas touchées. Fin juin, l'équipe féminine de basket du Sénégal a dû renoncer à un stage d'entraînement aux États-Unis, en vue du tournoi de l'AfroBasket 2025, faute de visas. L'organisation du Mondial de football 2026 pose aussi la question des relations américaines avec les pays co-organisateurs, le Mexique et le Canada, depuis que Donald Trump s'est lancé dans une politique offensive de droits de douane vis-à-vis des deux pays.

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