
Voici les 10 joueurs de foot suisses les plus chers de l'histoire
Dan Ndoye s'est officiellement engagé avec Nottingham Forrest ce jeudi.
Nottingham Forrest
Avec un transfert qui pourrait avoisiner les 42 millions de francs, Dan Ndoye devient le second joueur suisse le plus cher de l'histoire . Dans le top 10, il figure en bonne compagnie. Tour d'horizon. 10. Noah Okafor, AC Milan, 15,5 millions
Noah Okafor avait été excellent avec Salzburg.
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Étincelant lors de sa dernière saison à Salzburg, Noah Okafor a plu à l'AC Milan. Notamment, lors de leur confrontation directe en Ligue des champions, lors de laquelle le Bâlois avait inscrit un but magnifique. Transféré pour 15,5 millions d'euros en 2023, il n'a jamais vraiment convaincu chez les Rossoneri. À noter qu'en comptant le pourcentage à la revente que vient de toucher Bologne pour la vente de Ndoye, le nouvel ailier de Nottingham devrait occuper cette 10e place.
À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. 9. Xherdan Shaqiri, Stoke City, 17 millions
Sous le maillot de Stoke, Shaqiri a brillé en Premier League.
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Après une expérience compliquée à l'Inter, Xherdan Shaqiri est transféré contre une jolie somme en Angleterre, en 2015. Sous le maillot de Stoke, il réalisera trois belles saisons, qui lui permettront ensuite de signer à Liverpool. 8. Gökhan Inler, Naples, 18 millions
L'ancien capitaine de la Nati a évolué durant quatre saisons à Naples.
EPA
L'ancien capitaine de la Nati intègre ce classement pour son transfert à Naples depuis l'Udinese à l'été 2011. Sous le maillot napolitain, il remporte notamment deux Coupes d'Italie, avant de filer à Leicester remporter un titre historique. 7. Zeki Amdouni, West Ham, 18,6 millions
Zeki Amdouni a inscrit cinq buts lors de sa première saison en Angleterre.
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Auteur d'une saison brillante à Bâle, Zeki Amdouni est transféré en 2023 contre une grosse somme en Angleterre. Cinq buts lors de sa première saison, prêté à Benfica la seconde, et désormais victime d'une rupture des ligaments croisés , les premiers pas du Genevois en Premier League ne sont certainement pas ceux dont il rêvait. 6. Manuel Akanji, Manchester City, et Denis Zakaria, Monaco, 20 millions
Denis Zakaria est le capitaine de l'AS Monaco.
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Deux piliers de leur club actuel occupent la sixième place de ce classement: Manuel Akanji pour son transfert à Manchester City à l'été 2022, Denis Zakaria pour celui à Monaco en 2023. Deux paris réussis. 4. Manuel Akanji, Borussia Dortmund, 21,5 millions
Manuel Akanji a joué quatre saisons sous le maillot duc lub allemand.
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Le jeune Manuel Akanji (23 ans) signe en Allemagne en 2017 après trois belles saisons au FC Bâle. Avec le BVB, il s'imposera comme l'un des tout bons défenseurs d'Europe. Avant de passer un cap supplémentaire en signant à Manchester City quatre ans plus tard. 3. Breel Embolo, Schalke 04, 26,5 millions
Lors de sa première saison dans la Ruhr, le jeune Breel Embolo a inscrit trois buts en championnat.
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Un jeune Breel Embolo, âgé de 19 ans à l'époque, occupe la troisième place du classement. Ses 10 buts et 7 assists sous le maillot du FC Bâle lui permettent alors de s'envoler pour Schalke à l'été 2016 contre un chèque de plus de 25 millions d'euros. 2. Dan Ndoye, Nottingham Forrest, 42 millions
À Bologne, Ndoye a découvert la Ligue des champions et remporté une Coupe d'Italie.
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La progression de Dan Ndoye est constante. Après avoir été convaincant à Bâle, il a véritablement explosé à Bologne. De quoi lui permettre d'occuper la deuxième place de ce classement pour son récent transfert en Angleterre. 1. Granit Xhaka, Arsenal, 45 millions
Du haut de ses 20 ans, Granit Xhaka s'est rapidement imposé comme un leader du milieu de terrain de Gladbach.
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Granit Xhaka s'est rarement trompé dans sa carrière. À Gladbach, où il signe à l'âge de 20 ans, il devient rapidement indispensable à mi-terrain. Et c'est logiquement qu'Arsenal claquera 45 millions d'euros en 2016 pour le recruter quatre ans plus tard. Faisant même de lui son capitaine durant quelques saisons.
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Une équipe suisse au départ de l'Ocean Race avec Alan Roura à la barre
Avec le soutien d'un sponsor saoudien, Alan Roura a fondé la Swiss Offshore Team. Premier test ce dimanche pour le début de l'Ocean Race Europe. Publié aujourd'hui à 17h01 Alan Roura a recruté un équipage presque exclusivement helvétique pour préparer l'Ocean Race. Jean-Guy Python En bref: L' Ocean Race est sans conteste la course la plus exigeante de la voile hauturière. C'est dans les années 70 qu'elle voit le jour sous le nom de Whitbread. Elle devient ensuite la Volvo Ocean Race et, depuis la dernière édition de 2024, elle est sobrement nommée The Ocean Race. Le format est toujours globalement le même. Un tour du monde en équipage, avec escales. Menés à plusieurs, les bateaux (désormais des Imoca de 60 pieds) sont poussés à l'extrême. Prochaine édition prévue en 2027. En attendant, les équipes se mesurent sur des épreuves préparatoires telles que The Ocean Race Europe cette année et The Ocean Race Atlantique en 2026. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Avec le Team AMAALA , Alan Roura vogue sur les traces de Pierre Fehlmann qui avait lancé la première génération de marins suisses hauturiers. C'était la grande époque de la Whitbread, des départs mythiques à Southampton, des escales historiques au Cap, à Auckland, à Rio de Janeiro. «Ce tour de l'Europe constitue la première marche dans la perspective de The Ocean Race de 2027, rappelle Alan Roura. Nous n'avons pas le bateau le plus rapide, mais nous ne lâcherons rien. Il y aura des coups à jouer, c'est certain.» Le parcours de l'Ocean Race 2025 Étape 1: Kiel – Portsmouth (départ le 10 août) Étape 2: Portsmouth – Cartaghène (ESP), départ le 17 août avec un passage express par Porto le 20 août; Étape 3: Cartaghène – Nice, départ le 26 août Étape 4: Nice – Gênes, départ le 31 août Étape 5: Gêne – Baie de Kotor (Monténégro), départ le 7 septembre. La sélection de la Team AMAALA Alan Roura (SUI/skipper), Simon Koster (SUI/ coskipper), Conrad Colman (NZ/coskipper), Felix Oberlé (SUI/équipier), Jessica Berthoud (SUI/équipière), Lucie de Gennes (SUI/équipière), Yann Burkhalter (SUI/équipier), Guillaume Rol (SUI/équipier), Rebecca Gmuer (SUI/équipière), Mathis Bourgnon (SUI/équipier). Remplaçants: Joshua Schopfer (SUI), Iona Jan (SUI) et Aurélien Gard (SUI). Le plateau: Team AMAALA (SUI/ASA), skipper: Alan Roura; Holcim PRB (SUI), Rosalin Kuiper; Biotherm (FRA), Paul Meilhat; Team Malizia (ALL), Boris Herrmann; Paprec Arkéa (FRA) Yoann Richomme; Canadian Ocean Racing - Be Water Positive (CAN), Scott Shawyer; Allagrande Mapei Racing (ITA), Ambrogio Beccaria. À lire encore sur la voile Grégoire Surdez est journaliste à Sport-Center depuis 2019. Après un stage en candidat libre de 2002 à 2004 au sein de la rubrique des sports de 24 heures, il y travaille 5 ans. En 2009, il rejoint la Tribune de Genève et se spécialise dans le suivi du ski alpin, de la voile et du hockey sur glace. En 2020, il est co-auteur du livre «Suisses en Mer» (éditons Favre). Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


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Alan Roura a recruté un équipage en un temps record
Le Genevois a eu moins de trois mois pour bâtir sa nouvelle équipe et composer son équipage de jeunes marins suisses, qui sera au départ de The Ocean Race Europe, dimanche, à Kiel. Publié aujourd'hui à 16h59 Jessica Berthoud est l'une des équipières sélectionnées par Alan Roura pour l'Ocean Race Europe. Jean-Guy Python En bref: La première victoire, c'est d'être au départ. Ainsi va la vie du marin hauturier. Capable de tout, mais jamais vraiment sûr de rien. Alan Roura , le plus populaire des navigateurs suisses, n'échappe pas à la règle. À peine est-il arrivé au bout d'une course que la suivante a déjà commencé dans sa tête. «Après ce troisième Vendée Globe bouclé avec Hublot, il était clair dans mon esprit que je voulais autre chose, dit-il. J'ai une envie de transmission. De redonner aux jeunes marins suisses tout ce que j'ai pu recevoir depuis dix ans. Partager, c'est le mot qui résume notre démarche avec Simon Koster et Elodie Mettraux. Nous sommes tous les trois des skippers expérimentés avec cette même volonté de permettre à une nouvelle génération d'avoir accès à ce qui se fait de mieux au niveau de la course au large.» Des marins suisses testés sur le Léman et la mer Ni une ni deux, l'aventure a pris son envol ce printemps, avec comme premier cap The Ocean Race Europe, une course mythique par étapes (et donc en équipage). Grâce à un nouveau sponsor titre – Amaala, une ville touristique saoudienne qui sera bientôt inaugurée au bord de la mer Rouge –, tout s'est accéléré. La première étape de sélection a eu lieu sur le Léman, avant un départ à Lorient. Jean-Guy Python Le bateau a été sorti de l'eau, déshabillé, pour être mieux revêtu de bleu et de noir. Un chantier mené de main de maître par l'équipe technique d'Alan Roura, du côté de Lorient, qui a une nouvelle fois fait des miracles et travaillé sans relâche. Pendant ce temps-là, le staff sportif et administratif s'est mis au diapason. «Nous avions lancé un appel à candidature et plus de 40 dossiers nous sont parvenus, résume Simon Koster, coskipper de cette Swiss Offshore Team, bâtie en un temps record. C'est dire que la voile suisse possède un très joli réservoir de jeunes talents.» À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Il a fallu trier, retrancher, convoquer. Tester les navigateurs et les navigatrices, tous ces aspirants du grand large rêvant de voguer sur les traces de leurs aînés. À commencer par le pionnier, Pierre Fehlmann, l'homme qui a placé la suisse sur la planète voile dans les années 80 et 1990. «Avec notre projet AMAALA, c'est un peu cet esprit qu'on souhaite retrouver, même si le contexte actuel est différent et que le bateau n'a plus rien à voir avec ceux de l'époque», souligne Alan Roura. Sur la Whitbread, embarquaient ceux qui le voulaient bien, qui avaient l'estomac bien accroché et une volonté d'ailleurs au fond du cœur. Un coup de blanc, une poignée de main et on devenait marin du soir au lendemain. Alan Roura mise aussi sur la communication Rien de tout cela avec le Team AMAALA. C'est à un vrai processus de sélection que les candidats ont été soumis. Pendant cinq jours, à Genève, puis à Lorient, une vingtaine de marins ont été mis en situation sur le lac et la mer, testés physiquement sur des machines à mouliner infernales. 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Une aventure comme The Ocean Race va bien au-delà de la voile et l'aspect humain doit être placé au centre des débats.» À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Les premières semaines d'entraînements ont confirmé que le staff technique avait fait, semble-t-il, les bons choix. Les heureux élus apprennent vite et bien à maîtriser un bateau pourtant bien complexe. Le convoyage de Lorient à Kiel, port de départ de The Ocean Race Europe a permis de tester la résistance de l'équipage avec un passage musclé sous la pointe sud du Danemark. «Franchement, ce n'est que du bonheur, savoure la Vaudoise Jessica Berthoud, benjamine de l'équipe avec ses 23 ans. C'est une chance énorme d'avoir été sélectionnée et j'en prends encore plus conscience depuis que nous sommes arrivés à Kiel et que l'on voit la foule, tous ces bateaux alignés sur le quai. C'est un autre monde.» Un monde où, pour être au départ à Kiel, rien n'a été laissé au hasard. À lire sur Alan Roura Grégoire Surdez est journaliste à Sport-Center depuis 2019. Après un stage en candidat libre de 2002 à 2004 au sein de la rubrique des sports de 24 heures, il y travaille 5 ans. En 2009, il rejoint la Tribune de Genève et se spécialise dans le suivi du ski alpin, de la voile et du hockey sur glace. En 2020, il est co-auteur du livre «Suisses en Mer» (éditons Favre). Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


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